Tome,  Chap.

 1      I,      2|       comme mari et femme. Vous voyez, madame, que je vais au-devant
 2      I,      2|  toujours le même rôle, vous le voyez bien.~ ~ ~– Seulement vous
 3      I,      3|  Précisément, Sire ; comme vous voyez, je recrute jusqu’en Provence.~ ~ ~–
 4      I,      4|        ont-ils peur de l’orage. Voyez comme le ciel est noir et
 5      I,      5|        Louvre ?…~ ~– Comme vous voyez, M. de Besme vous a introduit ?~ ~ ~–
 6      I,      7|     Coconnas.~ ~ ~– Maintenant, voyez cette troupe de cavaliers
 7      I,      7| rendez-vous à minuit au Louvre. Voyez, il va vous y attendre.~ ~ ~–
 8      I,     10|     monsieur, telle que vous me voyez, je dois la vie au hasard,
 9      I,     13|       Pauvre Henri !~ ~ ~– Vous voyez bien qu’il est heureux,
10      I,     13|        dit Henri, et la preuve, voyez. Alors, d’un geste rapide,
11      I,     14|   rugissement sourd.~ ~ ~– Vous voyez, madame, dit Marguerite,
12      I,     16|       faut qu’il soit amoureux. Voyez donc comme c’est bon d’être
13      I,     18|    retirant sa main.~ ~ ~– Vous voyez bien ! dit maître Caboche.~ ~ ~–
14      I,     18|        c’est que, comme vous le voyez, il ne m’en est pas resté
15      I,     19|        M. de Coconnas, que vous voyez, n’est qu’un homme, un homme
16      I,     20|        Catherine.~ ~ ~– Vous le voyez, René, dit la reine. C’est
17      I,     21|        ne m’aimeriez plus. Vous voyez bien qu’il vaut mieux que
18      I,     24|       danger qu’il avait couru. Voyez, madame ! voyez !~ ~ ~–
19      I,     24|    avait couru. Voyez, madame ! voyez !~ ~ ~– Comment n’avez-vous
20      I,     25|         deviné tout.~ ~ ~– Vous voyez bien, de Mouy, qu’on peut
21      I,     25|       gentilshommes.~ ~ ~– Vous voyez bien, de Mouy, répéta Henri,
22      I,     26|         la franchise en retour. Voyez, je me prosterne à vos pieds.
23      I,     29|      jetez les yeux sur lui, et voyez comme, malgré sa dissimulation
24      I,     31|      parole, à baisser la main. Voyez donc le joli chemin de traverse.
25      I,     31|   surprise admirablement jouée, voyez donc, François, votre balle
26     II,      4|       En effet, dit Henri, vous voyez bien, Sire, que rien ne
27     II,      9|         faire la Ligue. Vous ne voyez pas cela, vous, mais je
28     II,     10|      honneur et de sa vie. Vous voyez, madame, et cependant vous
29     II,     10|              Oh ! ma mère, vous voyez, dit Henri, un accident ! …
30     II,     10|         votre frère, si vous le voyez.~ ~
31     II,     13|    aussi. À la troisième passe, voyez le mal appris ! il est tombé
32     II,     17|       mille raisons.~ ~ ~– Mais voyez donc un peu, Sire, si vous
33     II,     17|         vous êtes si vous ne le voyez pas, il les cherche autre
34     II,     19|       cria tout à coup Charles. Voyez, voyez, messieurs, il a
35     II,     19|     tout à coup Charles. Voyez, voyez, messieurs, il a le dessus !
36     II,     19|   faucon avait le dessus.~ ~ ~– Voyez ! voyez ! … cria Charles.
37     II,     19|        le dessus.~ ~ ~– Voyez ! voyez ! … cria Charles. Bec-de-Fer
38     II,     21|   sourire qui signifiait : Vous voyez bien, Sire !~ ~ ~– Mais
39     II,     22|    crispée et tremblante.~ ~ ~– Voyez, Sire, dit René, voyez,
40     II,     22|          Voyez, Sire, dit René, voyez, voici des traces évidentes.
41     II,     24|     cette petite statue ?~ ~ ~– Voyez ce qu’elle a sur la tête,
42     II,     24|     acier qui perce le cœur, et voyez quelle lettre est écrite
43     II,     26|       vie du roi.~ ~ ~– Vous le voyez, messieurs, dit La Mole.~ ~ ~–
44     II,     28|     sous ses voûtes.~ ~ ~– Vous voyez, dit La Mole avec un accent
45     II,     28|        accent de détresse, vous voyez, ma reine, laissez-moi donc,
46     II,     29| criait-on de tous côtés :~ ~ ~– Voyez, voyez le rouge ! c’est
47     II,     29|       tous côtés :~ ~ ~– Voyez, voyez le rouge ! c’est lui qui
48     II,     30|        dit Marguerite ; vous le voyez, je suis bien souffrante.~ ~ ~–
49     II,     32| dit-elle ; à celle-ci, que vous voyez derrière les appartements