Tome,  Chap.

 1      I,      1|       celui du jeune duc, un nuage semblait obscurcir ce front charmant
 2      I,      1|          Marguerite, celle-ci, qui semblait plutôt le sentir que le
 3      I,      2|          Ah ! ah ! En effet, il me semblait bien reconnaître l’écriture.
 4      I,      5|                   Non.~ ~ ~– Il me semblait cependant que vous teniez
 5      I,      8|       cercle de lumière funèbre où semblait s’agiter un monde de démons.~ ~ ~ ~
 6      I,      8|        loin de lui. Parfois il lui semblait que les pas s’éloignaient
 7      I,      9|            hôtel de Guise lui-même semblait aussi tranquille que dans
 8      I,     12|         abord une épée dont le feu semblait éclairer toute la scène
 9      I,     13|         souriant, tandis que Henri semblait vouloir lire jusqu’au fond
10      I,     13|           tout dormait ou du moins semblait dormir au Louvre.~ ~ ~ ~
11      I,     14| entrouverte du roi de Navarre, qui semblait, sur la couche en désordre,
12      I,     14|           un lit pour La Mole, qui semblait si heureux et si satisfait
13      I,     15|           Médicis.~ ~ ~ ~Catherine semblait calme ; mais madame de Sauve
14      I,     17|            l’ombre de La Mole, qui semblait chaque jour reprendre de
15      I,     17|       personnage, dont la présence semblait une anomalie dans le Louvre,
16      I,     19|     jalousie naissante, car il lui semblait que Coconnas n’eût pas dû
17      I,     20|           lumière d’une pensée qui semblait éclore au fond de son cerveau.~ ~ ~–
18      I,     21|       compte de Charlotte ; il lui semblait que ce voile qui s’épaississait
19      I,     21|          que cette révélation, que semblait vouloir faire le parfumeur,
20     II,      2|            d’Alençon.~ ~ ~ ~Le duc semblait les attendre dans son cabinet.~ ~ ~–
21     II,      3|         celui qui était menacé qui semblait poursuivre, et celui qui
22     II,      3|          et celui qui menaçait qui semblait fuir.~ ~ ~– Ah ! scélérat,
23     II,      3|             d’Alençon, dont il lui semblait que la porte venait de s’
24     II,      4|         était peu traitable. Paris semblait destiné à offrir cette nuit
25     II,      6|    embûches d’ordinaire mortelles, semblait protégé par quelque puissance
26     II,      8|            la reine. Gillonne, qui semblait guetter son arrivée, le
27     II,     10|              Une autre figure, qui semblait celle d’une femme, était
28     II,     11|           et qui, pour s’éloigner, semblait d’une matière aussi inerte
29     II,     12|         flottants et au pas relevé semblait souffler le feu par ses
30     II,     12|        Béarnais auquel la destinée semblait faire place en balayant
31     II,     13|           où l’astre du Piémontais semblait pâlir dans le ciel de sa
32     II,     14|    soutenait une longue épée qu’il semblait ne pouvoir tirer, tant elle
33     II,     14|        entra. Orthon pâlit, car il semblait que le regard rapide et
34     II,     14|           cette voûte ; le parquet semblait morne, comme le couvercle
35     II,     14|            d’un escalier à vis qui semblait s’enfoncer dans les entrailles
36     II,     18|          une extase magnétique, il semblait à François qu’il voyait
37     II,     19|          fatalité persévérante qui semblait garder Henri et poursuivre
38     II,     19|         une alouette, et le faucon semblait un point noir qui, à chaque
39     II,     20|          la vivacité du Piémontais semblait être passée dans le cœur
40     II,     20|            insouciance de celui-ci semblait à son tour s’être emparée
41     II,     21|            le monde remarqua qu’il semblait fort grave ; pendant toute
42     II,     23|     observation. Toute demeure lui semblait plus sûre que le Louvre,
43     II,     28|      lèvres blêmes de La Mole, qui semblait ne plus devoir sourire.~ ~ ~–
44     II,     28|           et les yeux ruisselants, semblait une Madeleine.~ ~ ~– Fuis,
45     II,     30|          ses yeux d’émeraude, d’où semblait sortir un double jet de