Tome,  Chap.

 1      I,      1|      prix à cent cinquante mille écus d’or, le roi ne jurait plus
 2      I,      3|         n’était-ce pas dix mille écus que vous deviez toucher
 3      I,      7|    argent ; à peine si j’ai cent écus d’or dans ma valise ; et
 4      I,      7|    fortune avec cela.~ ~ ~– Cent écus d’or ! s’écria Coconnas,
 5      I,      7|          je vous l’ai dit, à six écus.~ ~ ~– Comment jouer, alors ?~ ~ ~–
 6      I,      7|         à concurrence de vos six écus, et, si vous les perdiez
 7      I,      7|        car, dussé-je perdre cent écus d’or comme les vôtres, j’
 8      I,      7|        il venait de perdre trois écus. En voyant l’étonnement
 9      I,      7|     voilà qui fait juste vos six écus ! Voulez-vous votre revanche
10      I,      7|         train de vous gagner six écus.~ ~ ~– Mordi ! c’est la
11      I,      7|                Vous me devez six écus de plus, dit tranquillement
12      I,      7|         excuser. Voilà cinquante écus que je perds en un tour
13      I,      7|        il vous a gagné cinquante écus.~ ~ ~– C’est vrai, dit Coconnas,
14      I,      7|         épée que tu m’as gagné d’écus ce soir ! Ah ! je viens
15      I,      9|         rendrai ; j’ai dix mille écus d’or, je vous les donnerai ;
16      I,     18|         de La Mole les cinquante écus que je lui dois et que je
17      I,     18|         après l’autre, cinquante écus qu’il apporta à La Mole.~ ~ ~–
18      I,     18|          omelette. Les cinquante écus seront pour M. Grégoire.~ ~ ~–
19      I,     22|        votre ami a besoin de dix écus d’or, n’est-ce pas, René ?
20     II,      8|           il me reste encore six écus.~ ~ ~– Alors, mets le mien.~ ~ ~–
21     II,      9|         J’ai quatorze cent mille écus à la Bastille ; mon épargne
22     II,      9|     jours passés huit cent mille écus que j’ai enfouis dans mes
23     II,      9|          trois cent mille autres écus à ma disposition.~ ~ ~ ~
24     II,     14|      Maurevel recevait les mille écus d’or qui lui avaient été
25     II,     14|      dit-elle, et tu auras mille écus d’or ?~ ~ ~– Je n’ai pas
26     II,     14|         madame.~ ~ ~– Deux mille écus.~ ~ ~– Impossible. Puisque
27     II,     14|          donner.~ ~ ~– Dix mille écus, Orthon. Orthon, qui voyait
28     II,     23|    avez-vous ?~ ~ ~– Trois cents écus environ, ces bijoux, ces
29     II,     23|    donner tout de suite les cent écus moyennant lesquels je consens
30     II,     23|             Je lui ai donné cent écus.~ ~ ~– Tant mieux que notre
31     II,     25|        homme et trois cent mille écus.~ ~ ~– Tu dis qu’il est
32     II,     25|        homme et trois cent mille écus… Mais c’est pour rien !~ ~ ~–
33     II,     25|      Pour rien… trois cent mille écus ! … Mais tous tes joyaux
34     II,     25|         ai, les trois cent mille écus.~ ~ ~– Toi ?~ ~ ~– Oui,
35     II,     25|     trois diamants de cent mille écus chacun ! »~ ~– Eh bien,
36     II,     25|    diamants les trois cent mille écus et l’homme sont prêts.~ ~ ~–
37     II,     25|       non ; moyennant cinq cents écus, tout bonnement.~ ~ ~– Pour
38     II,     25| bonnement.~ ~ ~– Pour cinq cents écus tu as trouvé un homme qui
39     II,     26|          volerais ses cinq cents écus ; dans le bras.~ ~ ~– Ah !
40     II,     26|           songe donc, cinq cents écus de nous, une récompense
41     II,     28|    donnez d’abord les cinq cents écus que nous avons promis à
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