Tome,  Chap.

 1      I,      1|      parti protestant et le parti catholique : on se demandait comment
 2      I,      1| appartenaient, l’un à la religion catholique, l’autre à la religion réformée,
 3      I,      4|             allons donc ! je suis catholique comme notre saint-père le
 4      I,      6|     protestante ou de la religion catholique, mais tout simplement de
 5      I,      6|     gardes, ses amis, sa noblesse catholique… Nous sommes vingt contre
 6      I,      7|           monsieur, êtes-vous bon catholique ?~ ~ ~– Mais je le crois,
 7      I,      7|       trois cents. Que chaque bon catholique fasse, cette nuit, la dixième
 8      I,      9|               Prenez garde, brave catholique, prenez garde, s’écria la
 9      I,      9|         reconnut Coconnas pour un catholique, lui lança un pot de fleurs
10      I,     10|                   D’un chirurgien catholique, n’est-ce pas ? demanda
11      I,     10|       heure tout ce qui n’est pas catholique ; c’est son plaisir. Êtes-vous
12      I,     10|        est son plaisir. Êtes-vous catholique ? s’écria Charles, dont
13      I,     10|           de lui dire de se faire catholique !~ ~ ~– Sire, répondit Marguerite
14      I,     11|  compliments, cette belle et rude catholique. Que m’a-t-on dit, ma cousine,
15      I,     11|        roi, c’est au contraire un catholique blessé que j’ai eu le bonheur
16      I,     12|          cette fois tu as pris un catholique ?~ ~ ~– Mordi ! reprit la
17      I,     12|          protestant, l’autre pour catholique, ils vont se dévorer.~ ~ ~–
18      I,     13|        pensé à ma mère, qui était catholique ; il m’a semblé que je la
19      I,     13|         suis pas encore assez bon catholique pour être des amis de M.
20      I,     14|         de mes bons amis, quoique catholique, et il est probable que,
21      I,     14|    répondre sur-le-champ : Il est catholique. Mais la reine voulait se
22      I,     14|    Provence, que votre mère était catholique et que de là vient l’amitié
23      I,     14|           Je suis prêt à me faire catholique.~ ~ ~ ~Henri fronça le sourcil.
24      I,     15|    opposition, comme Henri moitié catholique par prudence, l’arrivée
25      I,     16|          n’irais-je pas ? Je suis catholique et je me dois à ma nouvelle
26      I,     16|         royaume, ce huguenot fait catholique. Sa figure longue et caractérisée,
27      I,     16|            j’ai le bonheur d’être catholique.~ ~ ~– Bah ! s’écria Coconnas
28      I,     21|                  Mais la religion catholique, dont j’apprends les dogmes
29      I,     21|      voulait-on ? que je me fisse catholique, à ce qu’il paraît. Eh bien,
30      I,     22|        Henri, étant déjà à moitié catholique, j’ai perdu toute influence
31      I,     23|            je n’en suis pas moins catholique.~ ~ ~– Oui, mais le resterez-vous
32      I,     23|        seulement que vous êtes un catholique forcé et je vous réponds
33      I,     23|       Mouy, je suis sauf, je suis catholique, je suis l’époux de Marguerite,
34      I,     23|      savez. Henri s’est bien fait catholique, je puis bien me faire protestant,
35      I,     25|       condition que je jouerai le catholique, et j’irais accepter quand
36      I,     25|          reçue. Vous n’êtes point catholique, n’est-ce pas ?~ ~ ~ ~Henri
37      I,     28|           cousu dans la peau d’un catholique ! j’en raffole. Et toi,
38     II,      6|        Charles ; et puisque tu es catholique, Henriot, va entendre la
39     II,      7|     demande à Marguerite ; en bon catholique ? qu’on le demande à mon
40     II,     12|           digne huguenot fort peu catholique malgré sa conversion, trouva
41     II,     33|            par conséquent un pays catholique. Le roi de France doit être
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