Tome,  Chap.

 1      I,      2|      rester.~ ~ ~– Faut-il que j’appelle vos femmes ? demanda le
 2      I,      2|            cette Margot, comme l’appelle mon beau-frère Charles IX,
 3      I,      3|    gentilhomme accompli et qui s’appelle de la Mole, je ne saurais
 4      I,      8|          terrible. Veux-tu que j’appelle Gillonne ?~ ~ ~– Non, non,
 5      I,     12|     paganisme ; oui, celui qui s’appelle Éros, Cupido, Amor ; oui,
 6      I,     12|          de Coconnas.~ ~ ~– Il s’appelle Annibal de Coconnas ? reprit
 7      I,     12|        celui qu’il poursuivait s’appelle ?~ ~ ~– Tu ne prononceras
 8      I,     16|         venez donc quand on vous appelle ! Ne voyez-vous pas que
 9      I,     18|     cette pièce héraldique qu’on appelle la fasce traverse le champ
10      I,     19|        est visible du quai qu’on appelle aujourdhui le quai des
11      I,     19|  Augustins, et de la berge qu’on appelle aujourdhui le quai des
12      I,     19|       aide de ce goupillon qu’on appelle l’incrédulité, Coconnas,
13      I,     21|          reposer ; mon service m’appelle de très bon matin demain
14      I,     23|                 Mon ami, dit-il, appelle un de tes camarades pour
15      I,     31|     abbesse. Voyez-vous, ça ne s’appelle point chasser, cela. Vous,
16     II,      3|         porte une couronne, on l’appelle Votre Majesté, et elle n’
17     II,      5|         vois, dit le roi, elle m’appelle Charles. La reine dit Sire.~ ~ ~–
18     II,      6| charmante résidence royale qu’on appelle le Louvre ?~ ~ ~– Mais lui
19     II,      8|       sur ce sable mouvant qu’on appelle l’avenir ; puis il s’était
20     II,     10|   nourrice, je ne dormirai plus. Appelle mes gens, je veux travailler
21     II,     14|         arrêta donc.~ ~ ~– Qui m’appelle ?~ ~ ~– Moi, M. de Nancey,
22     II,     16|      royaume, et son souverain s’appelle François. Je ne demande
23     II,     19|   haussant la voix :~ ~ ~– Qu’on appelle le roi de Navarre ! ajouta-t-il.~ ~ ~ ~
24     II,     19|         qu’aujourdhui encore on appelle le chêne de Sully. Puis
25     II,     26|       mon ami !~ ~ ~– Monsieur m’appelle ! dit le geôlier qui faisait
26     II,     27|         Coconnas, voilà ce que j’appelle une infamie ; voilà ce que
27     II,     27|         infamie ; voilà ce que j’appelle bien plus qu’une infamie,
28     II,     27|          infamie, voilà ce que j’appelle une lâcheté.~ ~ ~ ~Accoutumé
29     II,     33|         trois pas d’elle :~ ~ ~– Appelle ma mère, bonne nourrice,
30     II,     34|  tout-puissant me pardonne… il m’appelle… Mon Dieu ! mon Dieu ! recevez-moi
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