Tome,  Chap.

 1      I,      2|             quelques avances de bonne amitié ; veuillez les accepter
 2      I,      2|          défaut de votre amour, votre amitié ne me fera pas défaut. Je
 3      I,      3| impitoyablement le roi, et une tendre amitié vous liait au jeune de Mouy,
 4      I,      7|                mon hôte, faites-moi l’amitié de me montrer le chemin
 5      I,     11|               c’est que vous rompez l’amitié qui vous attachait à mon
 6      I,     12|               plus que jamais ?~ ~ ~– Amitié sincère toujours, répondit
 7      I,     14|       catholique et que de là vient l’amitié qu’il vous porte ?~ ~ ~–
 8      I,     17|          farouches de Coconnas, que l’amitié des deux gentilshommes,
 9      I,     18|               deux corroborèrent leur amitié par cette dernière preuve,
10      I,     18|               laquelle il n’y a pas d’amitié, c’est-à-dire par une confiance
11      I,     19|              persécutée d’abord par l’amitié, qui lui a, à trois reprises,
12      I,     19|            corps tout absorbé par une amitié matérielle. M. de Coconnas,
13      I,     21|     compromettre, bien entendu… car l’amitié de la reine est changeante,
14      I,     23|          alors invoqué votre ancienne amitié, le souvenir de la religion
15      I,     24|     proportionnés à l’accroissement d’amitié que lui avait inspiré le
16      I,     25|             et il vous porte une vive amitié. Oserais-je vous prier de
17      I,     25|      pénétrant, sans haine comme sans amitié, toujours prêt à traiter
18      I,     26|              une plus grande preuve d’amitié que la preuve d’amour que
19     II,      8|             renouvelé ses promesses d’amitié, sortit en sifflant son
20     II,     13|             aurez tort : car enfin, l’amitié, voyez-vous… Je voudrais
21     II,     13|            ferait palper ma pensée… L’amitié, voyez-vous, c’est une étoile,
22     II,     13|            leurs malheurs et par leur amitié. Mon ami La Mole n’est pas
23     II,     16|        Charles ne répondit rien ; son amitié pour Henri lui avait fait
24     II,     16|                      Rien, madame ; l’amitié du roi Charles, nous a-t-il
25     II,     17|              récompenser cette grande amitié que vous me portez, je suis
26     II,     17|             est édifiant une pareille amitié, savez-vous ? surtout entre
27     II,     21|           voit-elle pas que c’est son amitié qui me perd ?~ ~ ~– Et tu
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