Tome,  Chap.

 1      I,      4|           drôle, dit Coconnas, ne voyez-vous pas que l’on a affaire à
 2      I,      6|      admirablement bien jouée, ne voyez-vous pas que vous taquinez mon
 3      I,      7|                Regardez, dit-il ; voyez-vous, sur la petite place, au
 4      I,      9|            qui que vous soyez, ne voyez-vous pas que j’attends ? La Hurière
 5      I,     10| débarrasse de tous les huguenots. Voyez-vous là-bas, au-dessus de l’hôtel
 6      I,     10|           de l’amiral, qui brûle. Voyez-vous ce corps que de bons catholiques
 7      I,     11|        Que cherchez-vous ? qui ne voyez-vous plus ?~ ~ ~– La Sauve, dit
 8      I,     13|     laquelle il se soutint.~ ~ ~– Voyez-vous, s’écria Marguerite en courant
 9      I,     13|           retenant dans ses bras, voyez-vous, monsieur, que vous avez
10      I,     13|         son mari. Comment donc ne voyez-vous pas que rien n’est sauvé
11      I,     16|           vous accrocher là-haut, voyez-vous, à ce petit clou qui semble
12      I,     16|      lancèrent des flammes.~ ~ ~– Voyez-vous, dit-il en goguenardant,
13      I,     16|        quand on vous appelle ! Ne voyez-vous pas que ces gentilshommes
14      I,     18|         chambre.~ ~ ~– C’est que, voyez-vous… vous m’aviez cru mort,
15      I,     23|           gris perle et or.~ ~ ~– Voyez-vous ce manteau, cette plume
16      I,     31|         qui suivent leur abbesse. Voyez-vous, ça ne s’appelle point chasser,
17     II,      6|     personne ne s’en doute.~ ~ ~– Voyez-vous, le Lorenzino ! dit Charles.~ ~ ~–
18     II,     10|          comme il crie à l’aide ! Voyez-vous comme tout devient sang
19     II,     10|      devient sang autour de lui ? Voyez-vous comme, enfin, autour de
20     II,     11|           espèce de billet.~ ~ ~– Voyez-vous cela ! dit Henri.~ ~ ~–
21     II,     11|        oui-da ! … continua Henri. Voyez-vous, il dit qu’il attend !~ ~ ~–
22     II,     12|         Derrière lui… c’est cela… voyez-vous un vieillard à barbe blanche,
23     II,     13|       tort : car enfin, l’amitié, voyez-vous… Je voudrais avoir son esprit
24     II,     13|       palper ma pensée… L’amitié, voyez-vous, c’est une étoile, tandis
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