Tome,  Chap.

 1      I,      1|    Cythérée. C’était en effet la beauté sans rivale de cette cour
 2      I,      1|       retournaient éblouis de sa beauté s’ils l’avaient vue seulement,
 3      I,      1|       que Marguerite de Navarre, beauté magnifique et royale, n’
 4      I,      1|    inouïe, plus encore que de la beauté et de l’esprit de celle
 5      I,      3|         trente-cinq ans, dont la beauté vigoureuse était relevée
 6      I,      5|          surtout d’une admirable beauté.~ ~ ~ ~La lumière porta
 7      I,      5|     avança pleine de grâce et de beauté vers ce jeune homme qui,
 8      I,      6|        les traits de sa première beauté. Son appartement, comme
 9      I,      8|  elle-même, quittée ébloui de sa beauté.~ ~ ~ ~Marguerite jeta un
10      I,      9|         yeux d’une femme dont la beauté lui avait semblé aussi supérieure
11      I,      9|         la duchesse, belle d’une beauté terrible à la lueur de l’
12      I,     14|       instant une femme de votre beauté, de votre rang et de votre
13      I,     15|          de mon adresse et de ma beauté.~ ~ ~– Eh bien, dit Catherine
14      I,     15|      doublement séduisant par sa beauté et par sa pâleur, sentit
15      I,     15|        grand cheval noir dont la beauté eût été sans égale sans
16      I,     18|        pâle et élégant, avait la beauté de la distinction ; Coconnas,
17      I,     18|        haut en couleur, avait la beauté de la force. Il y avait
18      I,     26|    illustre, votre réputation de beauté si universelle m’étaient
19     II,      1|           Henri s’extasia sur la beauté de l’agrafe, et se confondit
20     II,      9|    bravoure, soit plutôt pour sa beauté, car il y avait, outre la
21     II,     30|      ajustements dignes de votre beauté.~ ~ ~– Oh ! des diamants,
22     II,     30| resplendissantes de jeunesse, de beauté, de parure, se courbant
23     II,     30|      royaux, devait conserver sa beauté. Henriette s’approcha à