Tome,  Chap.

 1      I,      1|                 Si je vous eusse aimé, Sire, il me faudrait donc
 2      I,      2|          Moi nier que je vous ai aimé ! moi vouloir éteindre une
 3      I,     18|   bourreau.~ ~ ~– J’aurais mieux aimé votre main seule, dit maître
 4      I,     19|       mais dites-moi si je serai aimé, car en vérité tout ce qui
 5      I,     19|          ressemblance de l’objet aimé. Est-ce un moyen ?~ ~ ~–
 6      I,     19|        Voulez-vous toujours être aimé de votre royale maîtresse ?
 7      I,     26|         on prétend que vous avez aimé quelquefois, et que votre
 8      I,     26|      bien, faites de moi le plus aimé et le plus heureux de vos
 9     II,      5|        dit Charles, car elle m’a aimé avant de savoir que j’étais
10     II,      9|          moins d’être tendrement aimé par elle.~ ~ ~ ~En effet,
11     II,      9|        Je suis amoureux, je suis aimé ; mais c’est cet amour même
12     II,      9|       près de la meilleure mère, aimé d’une des plus charmantes
13     II,      9|       avait su que La Mole était aimé de sa sœur. Marguerite avait
14     II,      9|       quelqu’un qui m’ait jamais aimé ? Non, non, je n’aime pas
15     II,     22| confiance en vous, et j’ai mieux aimé vous consulter, vous, que
16     II,     26|         En vérité, j’eusse mieux aimé aller en Navarre ; en Navarre,
17     II,     26|          et dont je voulais être aimé.~ ~ ~– Ce n’est pas vous
18     II,     33|           Charles IX n’était pas aimé, et cependant on pleurait
19     II,     35|       cette âme qui l’avait tant aimé, elle appuya ses lèvres
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