Tome,  Chap.

 1      I,      4|          moins, montait un cheval blanc de race espagnole, et était
 2      I,      7|          des ciseaux et du papier blanc.~ ~ ~– Grégoire ! cria La
 3      I,      7|        cria La Hurière, du papier blanc pour écrire une lettre,
 4      I,      8|          au visage pâle et au cou blanc tout souillé de sang, apparut
 5      I,     13|           les rideaux en peignoir blanc, sauta à bas du lit, et,
 6      I,     15|         beau justaucorps de satin blanc et la plus riche broderie
 7      I,     15|      dis-je, une triple couche de blanc et de rouge ; mais comme
 8      I,     16|      rejoindre, et dont le cheval blanc, comme s’il était fier du
 9      I,     16|        par son pourpoint de satin blanc et sa galante plume, après
10      I,     16| gentilhomme au pourpoint de satin blanc quitta le chemin suivi par
11      I,     16|        même le pourpoint de satin blanc de La Mole s’imbiba d’une
12     II,      8|         signe d’adieu voltiger le blanc satin dans la nuit : ces
13     II,     11|        balcon vêtue d’un peignoir blanc, elle apercevait sur le
14     II,     12|         de pierreries. Son cheval blanc à longs crins flottants
15     II,     18|    aromate brûlé, qui flottait en blanc nuage dans ce laboratoire
16     II,     19|       pensif, sur son cheval plus blanc que la neige.~ ~ ~– Que
17     II,     19|           toujours sur son cheval blanc et tenant son faucon favori
18     II,     28|     gisante dans un grand manteau blanc.~ ~ ~ ~C’était La Mole.~ ~ ~ ~
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