Tome,  Chap.

 1      I,      1|      était condamné, sinon à aimer, du moins à traiter en épouse,
 2      I,      1|    nous reproche de ne pas l’aimer.~ ~ ~– Avec vos beaux yeux
 3      I,      2|   vos frères ou vos parents. Aimer ses parents ou ses frères,
 4      I,      2|     la reine, je puis ne pas aimer mon mari, mais personne
 5      I,     13|   ses anges pour me la faire aimer.~ ~ ~– Mais vous ne pourrez
 6      I,     19| priez votre corps, madame, d’aimer un peu l’âme de ce pauvre
 7      I,     21|      vous a dit d’abord de m’aimer ?~ ~ ~– Henri, dit madame
 8      I,     21|      vous a dit d’abord de m’aimer, que votre cœur vous l’a
 9      I,     28|    ai une peur affreuse de l’aimer tout de bon.~ ~ ~– Vraiment ?~ ~ ~–
10      I,     28|  alors ! s’écria Henriette ; aimer un peu, c’était mon rêve ;
11      I,     28|      peu, c’était mon rêve ; aimer beaucoup c’était le tien.
12     II,      9|  quand cela serait, voyons ? Aimer mon frère ! Pourquoi donc
13     II,     13|  idolâtre. Mais je puis vous aimer, vous chérir, vous idolâtrer,
14     II,     13|    puisque j’ai la sottise d’aimer cette vilaine tête-là, comme
15     II,     24|      un charme pour se faire aimer de cette femme et non un
16     II,     25|     charme était de se faire aimer de cette femme.~ ~ ~ ~Ces
17     II,     30|   répliqua la reine, on doit aimer jusque dans la mort.~ ~ ~ ~