Tome,  Chap.

 1      I,      6|        gentilshommes, j’ai les chevau-légers, j’ai les bourgeois : de
 2      I,      9|        troupe de Suisses et de chevau-légers : c’était celle que commandait
 3      I,      9|       rue Tirechappe ; là, les chevau-légers et les Suisses prirent la
 4     II,      9|      hier de la Bretagne ; les chevau-légers, répandus dans la Touraine,
 5     II,     19|      par trois détachements de chevau-légers, qui, à une heure convenue,
 6     II,     20|    puis trente : c’étaient les chevau-légers, qui, devenus fantassins,
 7     II,     20|  réponse de La Mole.~ ~ ~ ~Les chevau-légers étaient encore à trente
 8     II,     20|    tout haut au lieutenant des chevau-légers et tout bas à La Mole ;
 9     II,     20|    Puis se retournant vers les chevau-légers :~ ~ ~– Eh ! que diable,
10     II,     20|        sommes tout rendus. Les chevau-légers relevèrent leurs mousquetons.~ ~ ~–
11     II,     20|    furent placés au centre des chevau-légers, et l’on prit la route du
12     II,     20|  quelques sentinelles, que les chevau-légers, moyennant un changement
13     II,     20| surprise vigoureuse.~ ~ ~ ~Les chevau-légers avaient continué leur battue,
14     II,     21|      en se retournant vers les chevau-légers, croyez-vous que si nous
15     II,     21|          dit le lieutenant des chevau-légers.~ ~ ~– Eh ! sans indiscrétion,
16     II,     32|  double poste de Suisses et de chevau-légers gardait l’entrée des cours ;