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Alexandre Dumas La Reine Margot Concordances (Hapax Legomena) |
Tome, Chap.
1 I, 19 | avait été bâti en pierres en 1373 : malgré son apparente solidité, 2 I, 19 | en partie le 31 janvier 1408 ; en 1416, il avait été 3 I, 19 | le 31 janvier 1408 ; en 1416, il avait été reconstruit 4 I, 19 | pendant la nuit du 16 décembre 1547 il avait été emporté de 5 I, 19 | emporté de nouveau ; vers 1550, c’est-à-dire vingt-deux 6 II, 31 | c’est-à-dire le 30 mai 1574, la cour étant à Vincennes, 7 II, 3 | heurta un cadavre ; elle abaissa sa lampe ; c’était celui 8 I, 19 | laquelle un large toit s’abaissait comme la paupière d’un œil 9 II, 3 | dites, le pistolet s’était abaissé à la hauteur du front de 10 II, 32 | hallebardes, tous ces mousquets s’abaisseront devant moi.~ ~ ~– Insensé ! 11 II, 17 | ai déjà dit qu’il vous l’abandonnait ! Henri est un joyeux garçon 12 II, 9 | la puissance humaine, l’abandonnèrent tout à coup : il étendit 13 II, 28 | reine, laissez-moi donc, abandonnez-moi donc avec un dernier adieu 14 I, 9 | chaque coup de rapière, abattait son ennemi, Coconnas essayait, 15 II, 17 | première arquebuse venue, abattez une pie à cent pas, vous 16 I, 8 | timidement de ce grand vieillard abattu.~ ~ ~– Ah ! te voilà donc, 17 I, 5 | Je suis Pesme. J’abbartiens à M. le dugue de Gouise.~ ~ ~– 18 I, 5 | autre chose. Et fous fous abbelez… ?~ ~– Le comte Annibal 19 I, 5 | compagnon ?~ ~ ~– Comment fous abbelez-vous ?~ ~ ~– Le comte Lerac de 20 I, 31 | religieuses qui suivent leur abbesse. Voyez-vous, ça ne s’appelle 21 II, 5 | aussi léger que celui d’une abeille sur un lis.~ ~ ~ ~Et cependant 22 II, 14 | un horrible cri, disparut abîmé dans l’oubliette du Louvre, 23 II, 6 | fantômes qui au théâtre s’abîment dans une trappe.~ ~ ~– Ventre-saint-gris ! 24 I, 9 | seuls sur la terre.~ ~ ~– Abjurez tous ensemble ! cria Coconnas ; 25 I, 8 | éprouverait, comme le cerf aux abois, un indicible plaisir à 26 II, 27 | tué ! murmura-t-il ; c’est abominable ! Mais c’est qu’on ne peut 27 II, 9 | temps le sang jaillit en abondance de ses lèvres et de son 28 II, 17 | peu mutuellement.~ ~ ~ ~Il aborda donc Catherine avec un visage 29 I, 5 | Monsieur, dit-il en l’abordant, j’apprends que vous êtes 30 I, 19 | bien, soit ! dit La Mole, abordons franchement la question. 31 I, 19 | encore ces cinq ponts aboutissaient-ils à la Cité. C’étaient le 32 I, 19 | mur une espèce de rigole aboutissant à un entonnoir par l’orifice 33 I, 11 | de frénésie dont chacun abrège sa vie de dix ans ; j’ai 34 I, 9 | de la portée de l’épée, s’abrita derrière la galerie du balcon.~ ~ ~ ~ 35 I, 19 | grossière de réparer les absences d’un corps tout absorbé 36 I, 19 | absences d’un corps tout absorbé par une amitié matérielle. 37 I, 6 | ouverte, regardait le ciel, absorbée dans ses pensées.~ ~ ~ ~ 38 I, 1 | habitude. » Ces douces paroles, absorbées par l’énorme collet goudronné 39 I, 27 | Maintenant, supposons que l’absorption soit plus lente que l’inglutition, 40 I, 12 | Charles était historique, je m’abstiendrais.~ ~ ~– Bon ! s’écria Henriette, 41 I, 13 | cette femme, si je ne m’abuse, je ne puis pas compter 42 II, 24 | déclarerais qu’il est infâme d’abuser de l’amour d’un gentilhomme 43 I, 27 | ouvrit les yeux ; mais, accablée de sommeil, sans même chercher 44 I, 3 | s’écria Maurevel, ne m’accablez pas !~ ~ ~– C’était un digne 45 I, 16 | avec un mordi ! des plus accentués.~ ~ ~– Ah çà ; mais, ils 46 I, 2 | le choisissant, mais en l’acceptant pour époux.~ ~ ~– Oh ! madame, 47 I, 7 | trouverait tout préparés.~ ~ ~– J’accepterais volontiers la proposition, 48 I, 2 | Mais ce premier étage, accessible s’il n’y eût point eu de 49 I, 26 | ferai de tout le reste qu’un accessoire de cet amour. Vous m’aimez, 50 II, 10 | un accident ! … et si cet accident-là arrive, je ne serai point 51 II, 13 | rendit avec effusion ses accolades ; mais tout en les lui rendant :~ ~ ~– 52 II, 5 | Henri, le dur montagnard, s’accommoda sur un fauteuil, où bientôt 53 I, 9 | comte Annibal de Coconnas accommode les huguenots.~ ~ ~ ~En 54 I, 23 | demandés, vous voici assez mal accommodé ; vous avez eu affaire à 55 I, 20 | Albret.~ ~ ~ ~Et Catherine accompagna ces derniers mots d’un soupir 56 I, 11 | tenir un cheval prêt, elle accompagnerait volontiers Leurs Majestés.~ ~ ~ ~ 57 I, 9 | Hurière.~ ~ ~– Puisque vous m’accompagnez, nous le cherchons.~ ~ ~– 58 II, 15 | mienne à accomplir, vous l’accomplirez en roi. Je suis un soldat, 59 II, 21 | Votre Majesté voit que je l’accomplis.~ ~ ~– Continuez.~ ~ ~– 60 II, 13 | prétexte que c’était en accomplissant un ordre d’elle qu’il avait 61 II, 9 | pénible à remplir, mais l’accomplissement d’un devoir bien doux pour 62 II, 21 | mais si tes désirs ne s’accomplissent point, si tu manques le 63 I, 21 | voir si ses yeux étaient d’accord avec ses paroles.~ ~ ~– 64 II, 12 | galanterie qui lui avait été accordée pour faire briller son beau 65 I, 21 | ventre-saint-gris ! vous m’accorderez bien la faveur d’assister 66 I, 23 | cependant au Louvre, si vous m’accordez ce que je vais vous demander.~ ~ ~– 67 I, 3 | qui ravit par de si doux accords, Te soumet les esprits dont 68 II, 19 | Allons, dit Charles en s’accoudant sur le livre, en croisant 69 I, 18 | laquelle se tenait un homme accoudé.~ ~ ~– Ah ! ah ! c’est vous, 70 I, 8 | leur besogne sanglante et accouraient. Tout à coup il aperçut 71 I, 14 | pour son roi, puisqu’il accourait ici pour vous annoncer la 72 I, 7 | M. de Besme me disait d’accourir au premier coup de tocsin ?~ ~ ~– 73 I, 4 | grand duc de Guise et j’accours. À quoi puis-je vous être 74 II, 35 | roi de Navarre et était accouru.~ ~ ~– Mon cher La Hurière, 75 II, 19 | cri tous les courtisans accoururent.~ ~ ~– Ce n’est rien, ce 76 II, 15 | La rue est pleine de gens accourus au bruit, on nous prendra 77 II, 27 | appelle une lâcheté.~ ~ ~ ~Accoutumé aux colères des victimes, 78 II, 11 | qui vint, avec son adresse accoutumée, tomber aux pieds de sa 79 II, 19 | lui-même, lâcha la bride et s’accrocha d’une main à la crinière 80 II, 29 | montant sur les bornes, s’accrochant aux anfractuosités des murailles, 81 I, 24 | poing proportionnés à l’accroissement d’amitié que lui avait inspiré 82 I, 14 | Majesté a si froidement accueilli mes explications à cet égard, 83 I, 8 | leurs croix blanches et accueillis par des cris de bienvenue, 84 I, 31 | arrivé à une clairière, il s’accula à une roche et fit tête 85 I, 9 | Guise, qu’ils finirent par acculer à l’hôtel d’où ils étaient 86 I, 10 | vos dernières paroles m’accusaient, et vous aviez à la fois 87 II, 35 | poussa un cri sauvage qui accusait une si profonde douleur 88 II, 9 | craindrais qu’on ne vous accusât de profiter bien vite de 89 I, 8 | tendresse n’eût pas été accusée d’être plus grande qu’il 90 II, 6 | dit d’Alençon, moi je l’accuserais presque.~ ~ ~– Si vous accusiez, 91 II, 6 | accuserais presque.~ ~ ~– Si vous accusiez, répondit Henri, vous comprenez, 92 I, 10 | douloureuse et non mortelle, Acerrimum humeri vulnus, non autem 93 I, 1 | six ans faisait une guerre acharnée au roi, que la conduite 94 I, 8 | Les autres, ils achèfent les autres.~ ~ ~– Et toi, 95 II, 29 | nous avons parlé, et qui s’acheminait à travers les rues, couchés 96 I, 18 | rue de l’Arbre-Sec et s’acheminèrent vers l’enseigne de la Belle-Étoile, 97 I, 20 | Venise, l’autre qui avait été acheté par votre aïeul Laurent, 98 I, 29 | qui n’en a jamais eu ; il achète des chevaux, des armes, 99 II, 6 | coûté cher, car il l’aura achetée à crédit. Il est vrai qu’ 100 II, 6 | querelle avec ma mère.~ ~ ~ ~En achevant ces mots, Charles souleva 101 II, 24 | comprirent que la réception était achevée, et se retirèrent les uns 102 II, 20 | loin quand elles furent achevées, et par conséquent lorsque 103 II, 2 | Henriot. Viens avec moi, tu l’achèveras ailleurs ; je te débauche 104 I, 13 | la préoccupe seule, comme Achille elle est vulnérable. Or, 105 II, 27 | supplie, par vos estimables acolytes ; peut-être n’auraient-ils 106 I, 22 | avec un singulier signe d’acquiescement.~ ~ ~– Parlez, je vous écoute, 107 II, 1 | faire quelque chose qui nous acquitte envers vous.~ ~ ~– Tout 108 I, 14 | s’écria-t-il, comment m’acquitterai-je jamais envers vous ?~ ~ ~ ~ 109 II, 18 | l’odeur pénétrante d’un âcre parfum, et, par l’ouverture 110 I, 22 | Rappelez-vous le vieux soldat d’Actium, qui, ayant un procès, demandait 111 II, 15 | affaires de Votre Majesté assez activement, comme elle voit, Votre 112 I, 7 | marchands, et J. Choron, prévôt actuel. Les deux derniers vont 113 II, 12 | Marguerite continua :~ ~ ~« Adeo dolemur a te dividi ut tecum 114 II, 12 | nunc hac in aula insperati adestis exultaremus ego et conjux, 115 II, 22 | les parcelles de papier adhérentes à ses gencives, et regarda 116 I, 23 | les chefs du parti n’y adhéreront-ils pas sans condition.~ ~ ~– 117 II, 26 | embrassons-nous et faisons nos adieux à ces murs.~ ~ ~ ~Les deux 118 I, 10 | sœur !~ ~ ~– Ma consigne n’admet point d’exception, madame ; 119 I, 26 | folie, me diras-tu, je l’admets, je suis fou. Mais toi qui 120 I, 12 | fait de sectes nous les admettons toutes, qu’en fait de dieux 121 II, 22 | Mais il faudrait qu’il fût administré aussitôt, sans cela…~ ~ ~– 122 II, 22 | Quel est le contre-poison à administrer à un homme qui aurait avalé 123 II, 35 | souvent dénoués pour en admirer la longueur, et sortit en 124 I, 30 | qu’aucune excuse n’est admise ; qu’une défaite, même un 125 I, 5 | entendu Coconnas réclamer son admission au Louvre, interrompit son 126 I, 11 | profondeur des vues de cet adolescent que personne à la cour n’ 127 I, 21 | des amours de Vénus et d’Adonis ; tel était le logement, 128 II, 19 | à la ligne verticale qu’adoptait le héron, lequel montait 129 II, 7 | tournant vers le roi, vous avez adopté l’avis de notre mère ?~ ~ ~– 130 I, 24 | après avoir quitté deux adorables femmes avec lesquelles nous 131 I, 18 | fenêtre de cette maison adossée à la tour et sur l’appui 132 II, 24 | conséquence, prescrit un régime adoucissant qui ne pouvait qu’aider 133 I, 16 | notes, il faut l’avouer, s’adressaient à sa compagne, madame la 134 I, 20 | de nouveaux ordres ou lui adressât de nouvelles questions.~ ~ ~ ~ 135 II, 12 | profonde ces paroles, qui, adressées aux ambassadeurs, étaient 136 II, 9 | vous succéder s’il vous advenait malheur, laissant dans ce 137 I, 3 | Amboise,~ ~Qu’entre nous adviendra une bien grande noise.~ ~ ~– 138 I, 5 | pien, ste nuit, refenez ici afec un groix planche à fotre 139 I, 9 | armes, mais irrité plutôt qu’affaibli par les trois ou quatre 140 I, 23 | bruit des pas qui allaient s’affaiblissant ; puis ouvrant la porte 141 I, 15 | dérangées, le double oreiller affaissé au chevet, le chapeau du 142 II, 3 | ressemblait beaucoup à de l’affaissement, car les assistants remarquèrent 143 I, 4 | flatteur pour un voyageur affamé : c’était une volaille rôtissant 144 I, 1 | soucieux que le premier affectait d’être joyeux et ouvert, 145 II, 24 | moral pourrait finir par s’affecter chez vous, j’ai rassemblé 146 I, 15 | donna du regard un bonjour affectueux à ce dernier, et appelant 147 II, 11 | avoue, d’un grand poids pour affermir le mien.~ ~ ~– Votre Majesté 148 II, 18 | cour, et sa conviction s’en affermit que c’était lui qui venait 149 I, 7 | fourbissais ma salade, j’affilais mon épée et je repassais 150 I, 29 | couteau de chasse espagnol, affilé comme un rasoir, pointu 151 I, 4 | émécher mon arquebuse et affiler ma pertuisane. On ne sait 152 I, 4 | fit de la tête un signe affirmatif. Nous désirons, M. le comte 153 I, 13 | aussi dans un regard, fut affirmative. Elle était parvenue à faire 154 II, 24 | reine, je vous ai entendu affirmer tout à l’heure que vos médecins 155 I, 16 | va se passer des choses affreuses ! ils se regardent, ils 156 I, 27 | le soir même. L’animal, affriandé par l’odeur aromatique, 157 I, 10 | craignant le danger, il l’affrontait en souriant, mais le danger 158 I, 29 | qu’ils pussent impunément affronter le terrible animal. Un petit 159 II, 31 | tous : vous oubliez les affronts faits à notre famille, vous 160 I, 14 | sorte qu’en le voyant ainsi affublé, Marguerite, tout en lui 161 II, 9 | une espèce de chasse à l’affût. D’Alençon, tout au contraire, 162 I, 5 | fous afre eine lettre d’afis ?~ ~ ~– Oui, et j’arrive 163 II, 15 | de quelques années plus âgé que le premier, traînant 164 II, 10 | Pendant ce temps René s’agenouillait, et à la clarté de la flamme, 165 II, 29 | regard sur la tourelle ; et s’agenouillant, tout en conservant cette 166 I, 24 | Franciscum ducem.~ ~ ~– Agentem ?~ ~ ~– Nescio quid.~ ~ ~– 167 I, 26 | juste ; tu es amoureux, agis en amoureux. Moi je suis 168 I, 14 | monsieur de la Mole. Ne s’agissait-il pas de quelque chose de 169 I, 23 | Pourquoi voulez-vous que j’agisse ainsi, quand je vous ai 170 II, 16 | monsieur ? continua Charles ; agissiez-vous violemment ?~ ~ ~– Contre 171 II, 2 | finir ; mieux vaut que nous agissions chacun de notre côté.~ ~ ~– 172 I, 22 | baronne de Sauve, de quoi s’agit-il ?~ ~ ~– Il s’agit, dit le 173 II, 3 | les idées tumultueuses qui agitaient son esprit.~ ~ ~ ~Catherine, 174 I, 1 | et rit de ce pantin qui s’agite sans raison, car le curieux, 175 I, 1 | son attitude impatiente et agitée.~ ~ ~ ~La princesse Claude, 176 I, 5 | continuèrent leur chemin agités chacun des sentiments qu’ 177 I, 10 | divinité.~ ~ ~– Ne vous agitez pas ainsi, monsieur, s’écria 178 I, 15 | madame.~ ~ ~– Quoi ! l’agneau noir a toujours poussé ses 179 I, 15 | propos, laissons là les agneaux, et essayons des poules.~ ~ ~– 180 I, 31 | tomber près de l’animal agonisant. Mais il se remit ; et se 181 II, 30 | retour, elle râlait comme une agonisante.~ ~ ~ ~À l’autre coin de 182 II, 3 | pourpoint de soie, avait agrafé son épée, passé dans le 183 I, 25 | et faites-moi la grâce d’agréer mes hommages.~ ~ ~ ~Et de 184 II, 21 | en raison de cet axiome : Aide-toi, le ciel t’aidera.~ ~ ~– 185 I, 16 | achever, se précipitèrent, aidées du capitaine des gardes. 186 I, 19 | chimiste. Deux apprentis l’aident dans cette vente de détail, 187 II, 21 | axiome : Aide-toi, le ciel t’aidera.~ ~ ~– Pourquoi ne m’as-tu 188 I, 18 | pas faire, moi j’ai mes aides, qui font la grosse besogne 189 I, 14 | brouillent à cet égard ; aidez-moi donc, monsieur de la Mole. 190 I, 20 | avait été acheté par votre aïeul Laurent, et qui a été offert 191 I, 29 | Béarnais d’origine, dont les aïeux étaient serviteurs des siens 192 I, 1 | si jamais peut paraître aigre la voix de la femme qui 193 II, 20 | il avait vu poindre les aigrettes blanches et briller les 194 II, 17 | rancune. À mesure que l’une s’aigrissait, l’autre grandissait, et 195 I, 5 | d’œil La Mole écarta les aiguillettes de son pourpoint, et tira 196 II, 26 | hourra au coursier qu’on aiguillonne de l’éperon, et qui à chaque 197 I, 4 | gentilhomme, fit l’hôte en aiguisant sur un repassoir le couteau 198 I, 1 | instinct merveilleusement aiguisé par la haine, suivait de 199 II, 31 | brûlait, une forte odeur d’ail se répandait dans toute 200 II, 19 | son vol sur lui à tire-d’aile.~ ~ ~ ~Cependant le héron 201 I, 13 | crois qu’il est temps que tu ailles porter la clef. Gillonne 202 I, 19 | pas l’aimant ; mais en l’aimantant, à son tour il attire le 203 I, 17 | ressortaient de sa nature douce et aimante, et qui, secondés par la 204 I, 2 | connussions, sans que nous nous aimassions ; on nous a mariés sans 205 II, 10 | La reine de Navarre aime-t-elle M. de La Mole ?~ ~ ~– Elle 206 I, 18 | mais souvent beaucoup aimeraient mieux voir le diable que 207 II, 9 | frère ! Pourquoi donc l’aimerais-je ? Ah ! ah ! ah ! est-ce 208 II, 8 | M. d’Alençon. Peut-être aimerait-il mieux sortir par cette fenêtre 209 I, 21 | trouvant maussade, vous ne m’aimeriez plus. Vous voyez bien qu’ 210 II, 17 | voilà pourquoi nous nous aimions.~ ~ ~– Oui, mais les choses 211 II, 10 | distique suivant :~ ~ ~ ~Ains a peri cil que l’on redoutoit, 212 II, 12 | nostra. 7 »~ ~ ~ ~On devine aisément que de Mouy écoutait avec 213 I, 17 | avait frappé au-dessous de l’aisselle droite, mais n’avait offensé 214 I, 6 | donnée : Phôs pherei ê de kai aïthzên, et qui peut se traduire 215 I, 5 | Monsieur, j’arrive d’Aix, porteur d’une lettre de 216 I, 6 | air qui indiquait qu’il n’ajoutait pas grande foi aux prédictions 217 I, 26 | Margarita chérie, car on ajoute aussi que vous conservez 218 II, 35 | Maurevel, car un soldat l’ajustait et allait le tuer à bout 219 I, 17 | puis enfin, après avoir ajusté son manteau, ceint son épée, 220 II, 30 | pierreries nouvelles et des ajustements dignes de votre beauté.~ ~ ~– 221 II, 14 | pistolet de son agrafe et d’ajuster de Mouy ; mais un mouvement 222 I, 16 | pistolet ; mais, bah ! j’ajusterais mal, car j’ai la main encore 223 II, 34 | sur lui ! Les sentinelles ajustèrent, mais Henri était déjà trop 224 II, 27 | préparatifs. Allons, maître, ajustez les bottines à monsieur.~ ~ ~ ~ 225 I, 19 | fourneau, des cornues, des alambics, des creusets : c’est le 226 I, 8 | tout entier, mais pâle, alangui par la douleur ; elle mit 227 II, 28 | une fois, dit Coconnas, alanguissant sa voix, portez-moi près 228 I, 10 | perdu, s’écria Marguerite alarmée par la vue de toutes ces 229 II, 5 | eût dit un tableau de l’Albane représentant la Vierge et 230 I, 28 | allemand avec des gravures d’Albert Dürer, qu’il se mit à regarder 231 II, 3 | allée ?~ ~ ~– À une séance d’alchimie, répondit Gillonne, laquelle 232 I, 12 | camériste, Sicilienne des plus alertes :~ ~ ~– Mica, lui dit-elle 233 II, 12 | Aussitôt un héraut cria :~ ~ ~« Alexandre-Édouard-Henri de France, duc d’Anjou, 234 II, 8 | il y a un certain vin d’Alicante qui est restaurant.~ ~ ~– 235 I, 9 | descendu, je le prierai d’aligner son épée avec la mienne.~ ~ ~– 236 II, 30 | au même degré que lui : alité depuis quinze jours, frêle 237 II, 26 | juste, dit Coconnas ; qu’allais-je donc raconter, moi, comme 238 I, 3 | pour l’enfant qu’elle a allaité, mais à laquelle les pamphlets 239 I, 16 | bien-aimée,~ ~Pour ses amours alléger,~ ~Vient loger~ ~Tous les 240 II, 21 | matin des conspirateurs allègres et un roi joyeux, et où 241 I, 5 | arrive, mais je suis d’une allégresse rare. La tenue est pourtant 242 II, 16 | lisière ni de bourrelet. Allez-vous-en en Pologne avec votre fils 243 I, 6 | Oui, peut-être.~ ~ ~– Allez-y ; ce sera d’un bon exemple, 244 I, 11 | mère a deviné tout. Je m’alliais aux huguenots parce que 245 II, 17 | car, pour faire de bonnes alliances, il faut bien se tromper 246 I, 2 | protection mutuelle et s’allient ; c’est bien comme cela 247 I, 9 | disiez-vous pas que vous alliez quelque part ?~ ~ ~– Vous 248 I, 6 | put que glisser son museau allongé sous la tapisserie en poussant 249 I, 27 | autre, frais et nacré, s’allongeait sur le damas cramoisi qui 250 II, 2 | me faire des propos, et j’allongerai agréablement sa moustache 251 II, 9 | scintillant comme s’il se fût allumé par places. Votre fils ! 252 I, 21 | après-midi, on était obligé d’y allumer une lampe, qui, ne contenant, 253 II, 19 | était pas plus gros qu’une alouette, et le faucon semblait un 254 I, 8 | mort s’obscurcit ; sa tête alourdie retomba en arrière, ses 255 I, 24 | piteux, lorsque des pas alourdis retentirent, s’approchant 256 II, 24 | au milieu des éternelles alternatives de bien et de mal qu’il 257 II, 8 | et de Moschus, ils font alterner Daphnis et Corydon. Ah ça, 258 II, 13 | poignées de main et les frais d’amabilité faits par la duchesse en 259 II, 24 | le front pâle, le visage amaigri et l’œil enfoncé de son 260 II, 14 | son fourreau deux jambes amaigries et tremblantes. En outre, 261 II, 32 | un vallon voilé par des amandiers en fleur, un homme sur la 262 I, 15 | demeura clouée à sa place, amassant intérieurement toutes les 263 I, 15 | pas trompée : la colère amassée au fond du cœur de Catherine 264 I, 18 | il se mêla à la foule des amateurs qui répondaient aux grimaces 265 II, 32 | que, vous croyant ces vues ambitieuses qu’on lui a dites, il veuille 266 I, 3 | vois-tu, est celui que j’ambitionne avant toutes choses ; et, 267 I, 18 | Coconnas une si notable amélioration.~ ~ ~ ~La seconde, à l’hôtel 268 II, 30 | portes, ordonna que l’on amenât la litière à la petite porte 269 I, 26 | vous se rompra un jour et amènera la nôtre. Allons, Marguerite, 270 I, 17 | la vigueur du Piémontais, amenèrent une convalescence plus rapide 271 I, 28 | Tâchez de le trouver et amenez-le.~ ~ ~ ~Gillonne partit. 272 I, 25 | reproche plus triste qu’amer, vous me trahissez malgré 273 II, 24 | vous me dites, répondit amèrement le roi. Et comment a-t-on 274 I, 14 | à vos yeux rougis, à vos amères sorties contre la Sauve, 275 I, 31 | dans une forêt vierge de l’Amérique. Bref, une forêt, à cette 276 I, 10 | auxquels elle souriait plus amicalement étaient ceux qui étaient 277 II, 12 | frater ; proficiscere, amice ; proficiscere sine nobis ; 278 II, 12 | solum fratris sed etiam amici orbitas6 »~ ~ ~ ~Ces paroles 279 I, 3 | Les huguenots, quelque peu amollis par cette Capoue nouvelle, 280 I, 12 | s’appelle Éros, Cupido, Amor ; oui, celui qui a un carquois, 281 II, 15 | Quelque affaire d’amourettes.~ ~ ~– Tu crois ?~ ~ ~– 282 II, 15 | des coups d’épée que ces amourettes-là. Je voulais jurer tout à 283 II, 29 | Hôtel de Ville semblaient un amphithéâtre peuplé de spectateurs. Chaque 284 I, 19 | boîtes particulières, des amphores à l’aspect sinistre ; tout 285 II, 16 | a-t-il dit, le dédommagerait amplement de la perte d’une couronne.~ ~ ~ ~ 286 I, 15 | morieris reformidata, regina amplificabere.~ ~ ~– Ce qui veut dire, 287 I, 4 | festins, de carrousels. Ne s’amuse-t-on pas beaucoup à Paris, hein ?~ ~ ~– 288 I, 6 | férocité ; mais je ne m’amuserais pas à tuer mes sujets, car 289 II, 5 | Il fait surtout les anagrammes à ravir. Dis-lui de faire 290 II, 31 | profonde sagacité ne pouvait analyser, et que sa force presque 291 I, 16 | douleur arraché par les anciennes blessures. Cependant, les 292 I, 25 | nouveaux amis.~ ~ ~– Mais les anciens, monsieur, n’ont-ils pas 293 I, 17 | rapporter à celles de cet âne bâté que l’on nomme Ambroise 294 I, 2 | là-dedans celle que vous voudrez anéantir.~ ~ ~ ~Marguerite fouilla 295 II, 29 | bornes, s’accrochant aux anfractuosités des murailles, et paraissait 296 II, 9 | parlait, ses joues pâles s’animaient d’une fébrile rougeur.) 297 II, 10 | plein de mordant et de sucs animaux, qu’il promet de longues 298 I, 10 | poussa un gémissement. Alors, animé par une effrayante ardeur, 299 II, 19 | cette joyeuse jeunesse, animée d’intérêts si divers, se 300 II, 27 | parole, et toujours avec une animosité facile à reconnaître.~ ~ ~ ~ 301 I, 1 | spectacle que fournissent les annales de la triste comédie humaine.~ ~ ~ ~ 302 I, 1 | de son père le connétable Anne de Montmorency, tué d’un 303 I, 5 | Tonnez la lettre, monsir Annipal, tonnez.~ ~ ~– Voici, sur 304 I, 27 | dont les feuillets froissés annonçaient les fréquents services.~ ~ ~ ~ 305 II, 14 | billet à ton maître, et annonce-lui qu’à partir d’aujourd’hui 306 I, 22 | annonce mieux que cela.~ ~ ~– Annonce-t-il qu’à la tête d’une de ces 307 II, 10 | madame ? dit-il. Eh bien, annoncez à votre fils bien-aimé, 308 I, 23 | devait aller au couvent de l’Annonciade. Il n’y avait pas moyen 309 I, 24 | mystère : au couvent des Annonciades. Mais vous, que faites-vous 310 I, 17 | la présence semblait une anomalie dans le Louvre, jeta sur 311 II, 11 | douleurs sont des situations anormales dont l’esprit secoue le 312 II, 12 | Nord, il était semblable à Antée, ce fils de la Terre, qui 313 II, 16 | datée.~ ~ ~– D’une date antérieure à la scène du Louvre ? dit 314 II, 33 | pleurait beaucoup dans les antichambres. À la mort des rois, quels 315 I, 19 | dans la nature humaine des antipathies qu’on peut vaincre, des 316 II, 10 | qui prenaient les pythies antiques sur le trépied et les poursuivaient 317 II, 13 | versée dans les auteurs de l’Antiquité comme elle l’est, ne connaisse 318 II, 6 | Ce fut au milieu de ces anxiétés qu’elle entendit frapper 319 II, 3 | dans l’attente vague et anxieuse des événements que lui avait 320 II, 8 | Mais comment s’est apaisé ce grand orage ?~ ~ ~– Devinez.~ ~ ~– 321 I, 4 | Coconnas, interrompant les apartés de son hôte.~ ~ ~– Mais, 322 II, 13 | reprochant qu’une chose, son apathie pour la chasse au vol, et 323 II, 13 | la rue de Grenelle, vous apercevez un homme qui ressemble à 324 II, 29 | nous, dit La Mole, ne les aperçois-tu pas quelque part ?~ ~ ~ ~ 325 II, 30 | humide et raboteuse. Elles aperçurent une lumière au fond d’un 326 II, 26 | de robe pour qu’on ne s’aperçût point qu’il était bancal 327 I, 24 | Coconnas, pour suivre l’aphorisme romain, se serait installé 328 II, 3 | riposta, mais la balle alla s’aplatir sur la cuirasse de De Mouy.~ ~ ~ ~ 329 II, 14 | probable que la balle s’aplatirait sur cette cuirasse, ou qu’ 330 I, 9 | encoignure, tandis que Coconnas s’aplatissait de lui-même contre la muraille.~ ~ ~– 331 II, 9 | était en belle humeur, car l’aplomb de sa sœur Margot l’avait 332 I, 28 | toi, que fais-tu de ton Apollo ?~ ~ ~– Hélas ! fit Marguerite 333 II, 28 | les figures livides des apôtres en robes rouges.~ ~ ~ ~Coconnas 334 II, 25 | semblant d’être mort ; nous apparaissons, nous jetons chacune un 335 II, 17 | ces trente mille hommes apparaîtront tout à coup comme s’ils 336 I, 23 | un quart, le cheval était appareillé. À huit heures sonnant, 337 I, 15 | double soin à la pose des appareils. Les deux blessures, au 338 II, 35 | Si l’on en croit les apparences, il vient voir madame de 339 II, 21 | aurais le malheur de ne plus appartenir à Votre Altesse ?…~ ~– Eh ! 340 II, 11 | précieux encore pour avoir appartenu à celle qui l’envoyait que 341 I, 2 | léger accent de dépit, que j’appartiens à un homme qui, le soir 342 I, 16 | rapière de La Mole avait apparu sanglante derrière le dos 343 II, 14 | soldats, que je criai, j’appelai ; l’un d’eux me donna un 344 II, 12 | ces nouveaux venus, qu’ils appelaient dédaigneusement des barbares.~ ~ ~ ~ 345 I, 30 | pas l’habitude des gens appelés à la cour, une épée de campagne 346 II, 7 | est à son service.~ ~ ~– Appelez-les si vous voulez, mon fils, 347 I, 7 | à M. de Guise… comment l’appelez-vous donc ?~ ~ ~– M. de Besme ?~ ~ ~– 348 I, 3 | désespoir.~ ~ ~– Vous l’appeliez votre père, je crois, continua 349 I, 20 | trois fils, celui qu’on appellera un jour Henri IV, et qui 350 I, 29 | de sortir de Paris, je t’appellerai comme pour ressangler mon 351 II, 9 | je tombais malade, je l’appellerais, je ne voudrais pas qu’il 352 I, 4 | maître, maître… comment t’appelles-tu ?~ ~ ~– Maître La Hurière, 353 I, 11 | dernier soupir. Il s’arrêta, s’appesantit, se complut sur les détails 354 I, 18 | âtre gastronomique et son appétissante légende.~ ~ ~ ~Coconnas 355 II, 3 | allait se passer, et s’était applaudi de voir un ami si dangereux 356 II, 7 | Catherine.~ ~ ~– Et pourquoi n’applaudirais-je pas ? Quand nous faisons 357 I, 15 | de rouge ; mais comme l’application était insuffisante, une 358 II, 26 | porte-clefs, quand il vit celui-ci appliquer son doigt sur les lèvres 359 II, 32 | ciel, et des ravenelles, apportées par le souffle du vent d’ 360 II, 17 | France. Qui sait ! qui vous apportera un autre trône peut être.~ ~ ~– 361 II, 14 | donne une réponse, tu l’apporteras où tu sais ; si tu n’en 362 II, 31 | Oui.~ ~ ~– Prenez-le, et apportez-le-moi.~ ~ ~ ~Catherine, malgré 363 I, 6 | après-demain en mon appartement et apportez-moi vos meilleures parfumeries.~ ~ ~– 364 I, 30 | le roi Charles venait d’apposer sa signature, faisait introduire 365 II, 5 | répondant par le sourire à l’appréhension éternelle de son esprit, 366 II, 4 | Charles. L’Écriture nous apprend : il y a trois choses qui 367 II, 1 | moment où le roi de Pologne apprendra qu’il est vacant. Alors, 368 I, 19 | l’habile chimiste. Deux apprentis l’aident dans cette vente 369 I, 18 | aussi, comme on le voit, s’apprêtait-il à récompenser généreusement 370 II, 10 | autour de son lit de mort s’apprêtent de grands combats ? Tenez, 371 I, 28 | moments où ce tigre que j’ai apprivoisé me fait peur à moi-même. 372 II, 12 | brillantes à mesure qu’ils approchaient de la France, et qu’ils 373 II, 27 | arracherai, et malheur à qui m’approchera !~ ~ ~ ~Coconnas se releva, 374 II, 32 | signe qui voulait dire : Approchez-vous et tenez-vous prêt à tout 375 II, 17 | précises, grâce à cette étude approfondie qu’il avait faite de sa 376 I, 11 | vous me mettiez à même d’approfondir la question ; et comment 377 I, 6 | Moi, dit Catherine, je n’approuve rien… Mais qui va là ?… 378 I, 21 | Et Henri, comme pour approuver ce que venait de dire la 379 I, 6 | donc, madame, puisque vous approuvez cette démarche.~ ~ ~– Moi, 380 II, 33 | parlement, une armée éprouvée. Appuie-toi sur le parlement et sur 381 II, 29 | complètement vêtus de noir, s’appuyaient l’un contre l’autre. Coconnas 382 II, 27 | train de réagir, deux hommes appuyèrent leurs mains sur son épaule 383 I, 18 | l’hiver, les deux amis, appuyés au bras l’un de l’autre, 384 I, 19 | Et maintenant, dit René, appuyez vos lèvres sur les lèvres 385 II, 9 | vissent courir avec tant d’âpreté après cette couronne.~ ~ ~– 386 II, 10 | représenter, par ses capricieuses arabesques, les événements de la destinée 387 II, 12 | au Coran, de la Syrie à l’Arabie Pétrée, de Nazareth à La 388 II, 14 | particulière : celle des arbalétriers. Mais, y eût-il eu des promeneurs, 389 I, 13 | je n’ai point mon libre arbitre. Je ferai donc ce que m’ 390 II, 15 | Avez-vous du bon vin d’Arbois ?~ ~ ~– J’en ai que le Béarnais 391 I, 3 | les pourpoints de soie, à arborer les devises et à parader 392 II, 19 | cette époque en face de l’arbre qu’aujourd’hui encore on 393 II, 20 | allée de Violettes, longue arcade de feuillage, retraite moussue 394 I, 24 | petite porte de la rue d’Argenson qui s’ouvrit devant elle, 395 I, 9 | rouges, selon que la lune en argentait la lame ou qu’un flambeau 396 II, 19 | rive simulait la frange argentée.~ ~ ~ ~En avant du roi, 397 I, 5 | occasion d’utiliser vos arguments sur la vertu et de prouver 398 I, 15 | gentilhomme :~ ~ ~– Monsieur d’Arguzon, dit-elle, partons pour 399 I, 10 | le serpent.~ ~ ~ ~Charles arma son arquebuse, et frappant 400 I, 20 | cheval et une litière sans armoiries attendaient Catherine.~ ~ ~ ~ 401 II, 3 | de Mouy avait revêtu une armure dont il avait plus d’une 402 I, 3 | le jour même un célèbre armurier lui avait apporté une magnifique 403 I, 1 | remarquer encore qu’au combat d’Arnay-le-Duc où il avait bravement payé 404 II, 18 | épaisse, comme celle d’un aromate brûlé, qui flottait en blanc 405 I, 6 | recommande de traiter avec des aromates.~ ~ ~ ~Et elle serra de 406 I, 27 | animal, affriandé par l’odeur aromatique, la dévora avidement, et, 407 I, 21 | Oh ! quel délicieux arôme ! s’écria Charlotte en frottant 408 II, 18 | autre ses joyaux, qu’il arpenta cent fois le même sillon 409 II, 23 | en face de Coconnas qui arpentait les dalles de la chambre 410 I, 9 | de cet effort solitaire, arquebusait de son mieux à sa fenêtre.~ ~ ~ ~ 411 II, 17 | son beau-frère le voulait arquebuser le jour de la Saint-Barthélemy, 412 II, 13 | grande la violence qui m’arrache de son service, en raison 413 II, 31 | par la haine bien plus qu’arrachées à la douleur, s’effacent 414 II, 27 | fer, s’écria-t-il, je l’arracherai, et malheur à qui m’approchera !~ ~ ~ ~ 415 II, 2 | traversé le pont-levis, cela t’arrange donc, Henriot, que les gens 416 II, 15 | petites affaires seront arrangées, ce qui donnera à ce brigand 417 II, 15 | M. d’Alençon ; qu’ils s’arrangent comme bon leur semblera. 418 II, 28 | mon coup de dague, et arrangez-moi cela en digne gentilhomme, 419 I, 31 | toutes les dispositions arrêtées, et c’est un plan à refaire.~ ~ ~ ~ 420 I, 30 | grande faveur.~ ~ ~– Vous l’arrêterez donc dans le Louvre.~ ~ ~– 421 II, 23 | dit :~ ~ ~– Monseigneur, arrêtez-vous là.~ ~ ~– Ah ! ah ! ah ! 422 I, 29 | demain ou après-demain. Arrêtons-le après la chasse seulement, 423 II, 21 | de Nancey et prenez les arrêts dans votre chambre. Vous, 424 I, 5 | fort loin.~ ~ ~– Ah ! fous arrife de fort loin ?~ ~ ~– J’arrive 425 I, 5 | bien loin.~ ~ ~– Et t’où arrifez-vous ?~ ~ ~– De Provence.~ ~ ~– 426 I, 16 | avançait ; le roi et Catherine arrivaient les premiers, puis venaient 427 I, 8 | un instant avant que nous arrivassions, un homme sans chapeau, 428 I, 13 | fait un lit.~ ~ ~– Mais qu’arrive-t-il donc, monsieur ? demanda 429 I, 16 | Mais avant qu’elles fussent arrivées à eux, les mains se détendirent, 430 II, 1 | croyez, François, qu’il arriverait tant de malheurs ? Avec 431 I, 27 | de ses bras gracieusement arrondi, tandis que l’autre, frais 432 I, 27 | dévora avidement, et, s’arrondissant dans sa corbeille, se rendormit. 433 II, 35 | sur la terre fraîchement arrosée par la pluie.~ ~ ~ ~C’était 434 II, 18 | de sang par le meurtre, arrosés de vin par l’orgie, embaumés 435 I, 19 | parades de la foire, le grand Artaxerce, il s’écria d’une voix à 436 I, 18 | adressant à la nouvelle Artémise :~ ~ ~– Madame, lui dit-il, 437 II, 18 | de l’attente brûlait ses artères. Les battements de ses tempes 438 II, 3 | Maurevel essaya d’articuler quelques paroles ; mais 439 I, 13 | Majesté de m’avoir donné asile hier au soir, autant je 440 I, 5 | odunê, ton de gastéra semô askeïn.~ ~ ~– Ah ça ! vous le savez 441 I, 22 | empoisonna l’huile, et il fut asphyxié par l’odeur.~ ~ ~ ~Henri 442 II, 28 | robes rouges.~ ~ ~ ~Coconnas aspirait avidement l’air de la nuit, 443 II, 17 | lui son œil de vautour, aspirant pour ainsi dire chacune 444 I, 14 | combien votre frère et moi aspirons à vous rendre heureuse.~ ~ ~ ~ 445 II, 4 | Charles, le plus acharné des assaillants, reçut une aiguière d’argent 446 I, 31 | tout un monde haletant, assailli par des cris de terreur 447 II, 24 | la vengeance à distance assassine la victime ?~ ~ ~– Par le 448 I, 8 | jaillissaient de ses yeux.~ ~ ~– Assassinerez-vous ainsi un fils de France ? 449 II, 5 | pensée peut sortir de cet assemblage de lettres avec lesquelles 450 II, 27 | armé d’un lourd maillet et assena un coup terrible sur le 451 II, 35 | écriture ?~ ~ ~– Non.~ ~ ~– Asseyez-vous là et écrivez. Maurevel 452 I, 14 | tirant son fauteuil :~ ~ ~– Asseyons-nous, Marguerite, dit-elle, et 453 II, 8 | Quand nous avons assiégé la maison de la rue Cloche-Percée, 454 II, 4 | bruit ne parvint jusqu’aux assiégeants.~ ~ ~– On prépare quelque 455 I, 9 | rapprochait de la maison assiégée.~ ~ ~ ~de Mouy, après un 456 II, 15 | par faire disparaître l’assiette, la serviette et le verre 457 I, 1 | solennité, à laquelle il assistait comme spectateur, n’était 458 I, 21 | ferez-vous pas attendre en y assistant ?~ ~ ~– Charlotte, répliqua 459 II, 30 | couraient de bouche en bouche assombrir dans chaque maison l’heure 460 II, 27 | objets environnants, et qui assombrissait encore la silhouette de 461 II, 34 | dit Henri dont le visage s’assombrit.~ ~ ~– Promis, mais non 462 II, 13 | chercher, vous.~ ~ ~– Vous êtes assommant, mon cher ; mais continuez. 463 II, 9 | Hardi ! pique, pousse, assomme, tue ! Ah ! c’est un homme 464 I, 9 | pavé, surpris, étourdi, assommé, sans qu’il eût pu entendre 465 II, 3 | sachets et dans son riche assortiment, plusieurs nouveautés.~ ~ ~– 466 I, 14 | bruit de ses pas se fut assourdi dans la profondeur du corridor, 467 I, 25 | lambris me répond de son assourdissement.~ ~ ~– Je m’en rapporte 468 I, 2 | tira l’échelle à elle, l’assujettit solidement ; et le prince, 469 I, 19 | certains rayons de lumière, et assuraient avoir entendu certains bruits 470 I, 25 | tous ces préambules, il s’assurait préalablement que son épée 471 II, 29 | tandis qu’au contraire, assurait-on, Coconnas n’avait pu supporter 472 II, 11 | puisque Votre Altesse m’assure que La Mole n’est pas mort 473 II, 9 | flatte, n’est-ce pas ?~ ~ ~– Assurément.~ ~ ~– Et voir un fils de 474 II, 14 | a point de mal qu’ils s’assurent si c’est un cœur dévoué. 475 I, 7 | nous mettre en campagne, assurons-nous du logis, comme on dit à 476 I, 22 | ami s’occupe beaucoup d’astrologie.~ ~ ~– Oui, interrompit 477 II, 10 | première fois que la reine et l’astrologue se revoyaient depuis la 478 II, 24 | Charles révolté par tant d’astuce.~ ~ ~– Cherchez bien, mon 479 I, 15 | marchands fermèrent boutiques et ateliers, et les flâneurs de la populace 480 I, 7 | chassent de race.~ ~ ~– Atieu !~ ~ ~– Allez.~ ~ ~– Et 481 II, 31 | sur le seuil pour humer l’atmosphère alliacée de la chambre :~ ~ ~– 482 I, 10 | sur lui un regard dont l’atonie se changeait peu à peu en 483 I, 18 | toujours au voyageur son âtre gastronomique et son appétissante 484 I, 5 | gentilhomme fut celle de Coconnas attablé devant une gigantesque omelette 485 I, 28 | chevreau dont on a rompu l’attache, madame de Nevers échangeait 486 I, 19 | poules noires se débattent, attachées l’une à l’autre par la patte, 487 II, 32 | une dernière preuve de mon attachement. Nous touchons à un moment 488 I, 23 | princes auxquels ils étaient attachés, des hôtelleries qu’ils 489 II, 11 | exiger de votre complaisance, attachez, je vous prie, cette échelle 490 II, 11 | tout simple, dit Henri, attachez-la à votre balcon et la laissez 491 I, 9 | ces quatre hommes qui l’attaquaient à la fois, il fit, avec 492 I, 7 | dit Coconnas, vous vous attaqueriez à votre hôte ?~ ~ ~– C’est 493 I, 19 | cet abandon, des passants attardés avaient vu jaillir, à travers 494 II, 4 | coups de plat d’épée qui n’atteignaient que le mur, tel fut l’exercice 495 I, 8 | Lorsque nos trois guisards atteignirent l’extrémité de la rue de 496 I, 9 | lancés par la fenêtre l’atteignissent plus sûrement. Mais Coconnas, 497 II, 35 | épée que, quoique ce coup atteignît sa ceinture de cuir, la 498 II, 26 | ressentit les premières atteintes du mal dont il souffre en 499 II, 4 | qui donnait dans la maison attenante ; et tous quatre, après 500 I, 18 | Aussi les deux blessés attendaient-ils avec une impatience sans 501 II, 8 | votre force.~ ~ ~– Et vous l’attendiez ? dit Marguerite du ton 502 I, 2 | physionomie ouverte et joyeuse ; m’attendiez-vous, par hasard ?~ ~ ~– Non, 503 II, 30 | secret.~ ~ ~ ~Quoiqu’il s’attendît à un triste spectacle, et 504 I, 5 | dit-elle. J’attendrai et l’on m’attendra.~ ~ ~– Oh ! pardonnez-moi, 505 I, 30 | dans mon oratoire, où vous attendrez l’heure.~ ~ ~– Mais comment 506 I, 19 | cas où il ne pourrait vous attendrir, de lui passer, pour la 507 I, 17 | fond d’une certaine poésie attendrissante, eu égard aux mœurs farouches 508 II, 14 | au sérieux, regardait cet attendrissement de Catherine avec un grand 509 I, 3 | étaient des caresses et des attendrissements à faire perdre la tête aux 510 II, 11 | hommes ; cinq cents vous attendront à Fontainebleau : alors 511 I, 24 | en reprenant sa course, attends-moi donc, c’est moi, Coconnas ! 512 II, 14 | dit-elle. Eh bien ! mais qu’attends-tu donc ? Ne t’ai-je pas dit 513 I, 4 | l’hôte s’approcha, fort attentif.~ ~ ~– Il me semble que 514 II, 21 | reine mère vous comble d’attentions.~ ~ ~– C’est justement pour 515 II, 9 | ces paroles. Elle demeura atterrée, regardant Charles d’un 516 II, 26 | force, cette promesse parut atterrer René, et il ne répondit 517 II, 35 | l’a déjà fait circuler, atteste que c’est le mari qui s’ 518 II, 32 | aux baisers d’une brise attiédie.~ ~ ~ ~Mais le regard de 519 I, 19 | aimantant, à son tour il attire le fer.~ ~ ~– Sans doute, 520 I, 4 | Majesté le roi de Navarre attirent cependant beaucoup de monde 521 I, 10 | qui avez eu l’idée de m’attirer dans un piège ; c’est vous 522 I, 11 | moment, de nouveaux pèlerins attirèrent l’attention de l’auguste 523 I, 19 | foule de diables dans des attitudes plus grotesques les unes 524 I, 18 | franchement.~ ~ ~ ~À ce simple attouchement, Coconnas pâlit légèrement, 525 II, 13 | honnête gentilhomme pouvait attraper des accrocs à sa peau, à 526 II, 10 | réellement l’effet qu’on leur attribue.~ ~ ~– Votre Majesté est 527 II, 16 | assassinat et la grâce sont deux attributs inhérents à la puissance 528 I, 1 | empressée d’obéir. Henri, tout attristé qu’il avait été d’abord 529 II, 35 | était encore singulièrement attristée depuis la mort de La Mole 530 I, 1 | à demi-voix :~ ~ ~– Ipse attuli.~ ~ ~ ~Ce qui voulait dire :~ ~ ~« 531 I, 4 | Mole, patience ! Toutes les auberges sont pleines de gentilshommes 532 I, 4 | passée de massacrer les aubergistes qui refusent de louer leurs 533 II, 3 | sourire intérieurement les auditeurs :~ ~ ~– Au reste, murmura 534 II, 20 | dont les douleurs aiguës augmentaient la mauvaise humeur. Deux 535 I, 19 | gentilshommes. Elle sentait augmenter son malaise de toute la 536 I, 19 | c’est le sanctuaire de l’augure.~ ~ ~ ~Revenons à la chambre 537 I, 15 | de cette persistance des augures ; et comme pour elle un 538 II, 10 | petite porte du cloître des Augustines, ma suite m’attend dans 539 I, 19 | aujourd’hui le quai des Augustins, et de la berge qu’on appelle 540 II, 12 | Quod nunc hac in aula insperati adestis exultaremus 541 I, 7 | cherchez-vous ?~ ~ ~– J’y cherche l’auperge de la Belle-Étoile, pour 542 II, 27 | estimables acolytes ; peut-être n’auraient-ils pas la main aussi légère 543 II, 25 | milieu de ses larmes, les aurais-tu volés ?~ ~ ~– Tu en jugeras.~ ~ ~– 544 I, 1 | répondit madame de Sauve, aurait-elle la prétention de me faire 545 II, 30 | de lever mon manteau ; qu’aurait-on dit si, sous ce manteau, 546 I, 1 | formaient une tremblante auréole, et quelque vague dessein 547 I, 1 | comparaient les uns à l’Aurore, les autres à Cythérée. 548 I, 10 | Acerrimum humeri vulnus, non autem lethale, murmura la belle 549 I, 30 | Si le roi contestait l’authenticité de l’ordre, ce n’est pas 550 I, 16 | en garde, ferme, comme un automate, et Coconnas engagea le 551 I, 18 | de ces belles journées d’automne, comme Paris en offre parfois 552 I, 1 | partie du corps exclue de l’autopsie, qui devait offrir les traces 553 II, 16 | le point de solliciter l’autorisation de Votre Majesté, lorsque 554 II, 16 | justice vous-même, je vous y autorise, et de grand cœur.~ ~ ~– 555 I, 28 | une guerrière, moi, j’ai autorisé le roi à disposer d’un petit 556 I, 1 | Ambroise Paré, avaient été autorisés à ouvrir et à étudier le 557 I, 19 | saurait vivre si vous ne l’autorisez à vivre exclusivement pour 558 II, 2(3)| avait épousé Élisabeth d’Autriche, fille de Maximilien.~ ~ 559 I, 13 | moi même, et le bonheur d’autrui me fait mal.~ ~ ~– Le bonheur 560 I, 1 | une des plus redoutables auxiliaires de cette reine, qui versait 561 I, 10 | doigt la ville, ceux-là ne m’avaient-ils pas bien servi aussi ? n’ 562 II, 24 | préparations ? répondit le roi en avalant vivement le breuvage.~ ~ ~– 563 II, 14 | sauver son maître, c’était d’avaler le billet. Il porta la main 564 II, 26 | récompense du gouvernement, de l’avancement peut-être ; comme il vivra 565 I, 7 | mieux vaut les horloges qui avancent que celles qui retardent.~ ~ ~ ~ 566 I, 9 | suivis de leurs pages, et s’avancèrent vers la maison de la maîtresse 567 I, 2 | mes respects et quelques avances de bonne amitié ; veuillez 568 II, 4 | qui m’arrive, voilà tout. Avançons. Et il marcha droit aux 569 II, 30 | grandes catastrophes, on est avare de sa douleur comme d’un 570 I, 3 | Or, tout était à l’avenant de ce prie-Dieu et de cette 571 II, 27 | elle est en France et fort aventurée même. Quant à mes bois de 572 I, 2 | aucun accident n’arriva à l’aventureux prince par le chemin, et 573 I, 9 | jouant le huguenot, vous avertirez de Mouy de tout ce qui se 574 II, 1 | chers pour que je ne vous avertisse pas que les huguenots ont 575 I, 25 | quelqu’un du palier même, avertissez.~ ~ ~ ~La Mole, faible et 576 I, 31 | sorte de vapeur tumultueuse avertit les chasseurs de se tenir 577 II, 17 | Voulez-vous m’obéir aveuglément à l’égard de Henri, que 578 II, 26 | chevaux ne soient point aveuglés !~ ~ ~ ~Il se préparait 579 I, 16 | avant et sur les côtés, s’avisa de regarder en arrière et 580 I, 27 | contrepoison, murmura-t-elle ; nous aviserons à cela, ou plutôt non. Voyant 581 II, 7 | contre celle d’un hobereau : avisez à vous venger en princes.~ ~ ~– 582 I, 22 | Auguste.~ ~ ~– Auguste était avocat, René, et je ne le suis 583 I, 24 | parcourut toutes les rues avoisinant le quai de la Grève, le 584 II, 6 | embarrassée pour un plan avorté, vous, ma mère ? Vous en 585 II, 1 | aussi, plutôt que de laisser avorter en des déchirements affreux 586 II, 27 | avouer ; et tant qu’on n’avouait pas, la torture continuait, 587 I, 20 | oiseau de proie :~ ~ ~– Avoue-moi que tu as fait pour elle 588 I, 8 | neige matinale au soleil d’avril.~ ~ ~ ~Mais tout à coup, 589 II, 21 | voulu fuir en raison de cet axiome : Aide-toi, le ciel t’aidera.~ ~ ~– 590 II, 15 | Bois, passa la Seine au bac de Nesle, remonta jusqu’ 591 I, 24 | tendait à prouver que l’Amour, Bacchus et Cérès sont des dieux 592 II, 4 | scientifique et la conversation bachique furent violemment interrompues.~ ~ ~ ~ 593 I, 19 | circulation était nécessaire, des bacs étaient établis, et tant 594 I, 9 | Coconnas, qui à la vue de cette bagarre tressaillait de plaisir 595 II, 23 | environ, ces bijoux, ces bagues.~ ~ ~– Donnez, monsieur, 596 II, 32 | éloignées, tandis qu’il baignait d’un or fluide la cime des 597 II, 8 | passer une heure chez les baigneurs à la mode, était allé dîner 598 II, 3 | chambre, se frotta les yeux, bâilla, s’assit et se leva, se 599 I, 24 | manteau, sous lequel on vit bâiller à divers endroits son pourpoint 600 II, 8 | qui venait de prendre un bain, s’épilait et se promenait 601 II, 23 | lèvres. Mais après l’avoir baisé à plusieurs reprises, il 602 II, 9 | sera demain ; et si vous ne baissez pas le front, si vous n’ 603 II, 34 | Écoutez.~ ~ ~– J’écoute.~ ~ ~– Baissez-vous. Henri s’inclina au-dessus 604 I, 8 | au-dessus du balcon, le balança un instant dans le vide, 605 II, 14 | plateau de cette froide balance où se pèsent les destinés 606 I, 23 | Ah ! à propos, de Mouy, balancez fort le bras droit en marchant, 607 II, 12 | semblait faire place en balayant autour de lui les rois, 608 I, 3 | parader devant certains balcons comme s’ils eussent été 609 II, 3 | retentir les vastes échos du baldaquin. De Mouy ronflait en vrai 610 I, 3 | suivirent se passèrent en fêtes, ballets et tournois.~ ~ ~ ~La même 611 I, 4 | moins on ne parle que de bals, de festins, de carrousels. 612 I, 5 | la vertu comme une plante balsamique d’un impérissable parfum 613 II, 32 | premier, se courba hors de la balustrade, couvrit ses yeux de sa 614 II, 3 | et se composa un sourire banal.~ ~ ~– Qu’y avait-il donc, 615 II, 26 | aperçût point qu’il était bancal en même temps.~ ~ ~ ~Il 616 I, 30 | Arsenal.~ ~ ~ ~Une large bande de taffetas, pareil à un 617 I, 19 | égyptiens, les momies aux bandelettes dorées, le crocodile bâillant 618 I, 24 | agissait de nous laisser bander les yeux. Votre Majesté 619 I, 19 | René traça sur une petite banderole de papier rouge quelques 620 II, 32 | écharpe.~ ~ ~ ~Toutes les banderoles blanches s’agitèrent de 621 I, 24 | un jeune homme, les yeux bandés, sortait par la même porte 622 I, 19 | demanda-t-il.~ ~ ~– Je baptise cette petite figurine du 623 I, 9 | écria celui qui s’était baptisé lui-même du nom de Tueur 624 I, 24 | unus eques.~ ~ ~– Optime, barbari ! dit-elle. Dic, Moles, 625 II, 15 | les fers de nos chevaux barbes et de nos genêts d’Espagne.~ ~ ~– 626 II, 26 | jamais de terre ferme : on barbote dans cent pieds d’eau, ou 627 I, 31 | homme, avec son escorte bardée de fer, est le véritable 628 I, 20 | le coin de la rue de la Barillerie, où quatre gentilshommes 629 II, 19 | Sully. Puis on fit signe aux barques pavoisées qui suivaient 630 I, 18 | porte leur avait constamment barré le passage, et ils avaient 631 I, 2 | accident. Derrière lui, le barreau reprit sa place, la fenêtre 632 II, 22 | trouvé dans le cabinet une barrette de son maître, et il avait 633 II, 26 | ensuite…~ ~ ~– Ensuite tu barricades la grande porte avec des 634 II, 20 | franchissant fossés, buissons, barrières, arriva près des deux gentilshommes.~ ~ ~ ~ 635 I, 4 | vingt-cinq ans, au teint basané, aux yeux bleus, à la fine 636 II, 14 | sur un ressort : le fond bascula, et le cadavre glissant, 637 II, 11 | jeté dans quelque cul de basse-fosse, n’est-ce pas ? Tant mieux, 638 II, 14 | lequel s’arrêta proche du bastion et attendit.~ ~ ~ ~Il y 639 II, 9 | tandis que Henri d’Anjou, un batailleur, bon ! toujours l’épée au 640 II, 9 | préparé. J’ai rappelé deux bataillons de la Normandie, un de la 641 I, 17 | rapporter à celles de cet âne bâté que l’on nomme Ambroise 642 I, 6 | Tuileries, qu’on commençait à bâtir. Pendant le chemin la reine 643 II, 8 | dormant, moitié rêvant, bâtissant des châteaux sur ce sable 644 II, 8 | le duc d’Anjou, je m’en bats l’œil, Condé est mon ennemi ; 645 II, 13 | qui voulez-vous que je me batte ? pour une femme ?~ ~ ~– 646 II, 3 | quelques Suisses ivres qui se battent.~ ~ ~ ~Le calme de la reine, 647 II, 24 | ayant tout disposé pour ses batteries, étant sûr du succès, eût 648 II, 17 | chanson :~ ~ ~ ~Cil qui mieux battit la muraille~ ~N’entra point 649 I, 6 | madame, répondit Henri, nous battons la ville ce soir avec MM. 650 I, 7 | n’ai encore fait que des battues à l’ours ou au loup, et 651 I, 24 | des boutiques de la place Baudoyer, et entra dans le palais.~ ~ ~ ~ 652 II, 22 | étaient tombées, mêlées à une bave écumeuse et sanglante. Le 653 II, 29 | Marguerite, dit-il, sois bé… Il n’acheva pas. D’un revers 654 II, 12 | figures de bourgeois naïvement béantes, bon nombre d’hommes enveloppés 655 I, 1 | Sauve.~ ~ ~ ~Charlotte de Beaune-Semblançay, petite-fille du malheureux 656 II, 2 | attendaient au bout de la rue de Beauvais le vinrent rejoindre, et 657 I, 19 | gracieux qu’on a vus se becqueter sur une branche en fleur.~ ~ 658 I, 7 | vibrer le premier coup de beffroi à Saint-Germain-l’Auxerrois.~ ~ ~– 659 II, 34 | temps, j’irai dire à la belle-mère que vous descendez ; vous 660 II, 4 | reine et de la part de mes belles-sœurs, invoquons pour le faire 661 I, 9 | selon l’humeur pacifique ou belliqueuse de leurs habitants, se refermaient 662 I, 18 | donc guéri de vos goûts belliqueux ?~ ~ ~– Oui, ma foi, oui, 663 II, 17 | loin. Mais n’importe, les bénédictions ne connaissent pas la distance.~ ~ ~– 664 II, 17 | ajouta-t-il en souriant, vous me bénirez de loin. Mais n’importe, 665 I, 14 | femme que l’Église vous ait bénis ? et la consécration du 666 I, 18 | fort. N’importe ! Dieu vous bénisse, mon gentilhomme.~ ~ ~– 667 I, 12 | homme beau comme le Nisus de Benvenuto Cellini, et qui s’est venu 668 II, 10 | le rendormir essaya de le bercer comme lorsqu’il était enfant.~ ~ ~– 669 I, 19 | des Augustins, et de la berge qu’on appelle aujourd’hui 670 II, 8 | je ne veux pas qu’on te berne ; il y a assez longtemps 671 I, 8 | rues Tirechappe, Étienne et Bertin-Poirée, l’œuvre terrible s’accomplissait. 672 I, 11 | l’oreille de sa fille. O bestia ! … Allons, allons, Henriette ! 673 I, 7 | Moi, je fas tire un betit mot à l’amiral.~ ~ ~– Dites-lui-en 674 I, 8 | allez foir ; regulez-vous un beu. Le duc fit un pas en arrière. 675 I, 18 | demandée, et n’y épargnez ni le beurre ni le lard. Puis se retournant 676 I, 17 | contact velouté de la liqueur bienfaisante humectant ses lèvres et 677 II, 8 | ciel !~ ~ ~– Non, c’est un bienfait du roi de Navarre.~ ~ ~– 678 I, 29 | envié les privilèges de ces bienheureux favoris.~ ~ ~– Faites-y 679 II, 27 | pour y être décapité ; ses biens seront confisqués, ses hautes 680 I, 4 | sauf toutefois l’expression bienveillante qui caractérise toujours 681 I, 18 | ses sourcils, soyez les bienvenus.~ ~ ~– Quel est cet homme ? 682 I, 31 | recouvraient de leur tapis bigarré, qui de tous côtés essayaient 683 II, 8 | pastorales ; ils causent de Bion et de Moschus, ils font 684 I, 7 | dans l’épaule ! attends ! birbonne ! attends !~ ~ ~ ~Sur ces 685 I, 27 | volière où elle émiettait des biscuits à quelques oiseaux rares 686 II, 20 | c’est aujourd’hui saint Blaise, cousin de saint Barthélemy.~ ~ ~ ~ 687 II, 20 | oserais donc dire que, loin de blâmer comme toi M. de Mouy, je 688 II, 22 | interstices quelques fragments blanchâtres accrochés aux pointes des 689 I, 16 | sang coagulé et de boue blanchie par de nouvelles couches 690 I, 3 | temps que l’âge qui ont fait blanchir votre barbe et vos cheveux : 691 II, 20 | taupinière sous une moisson blanchissante.~ ~ ~ ~C’était dans cette 692 I, 18 | fasce traverse le champ du blason, une espèce de roue en bois, 693 II, 21 | D’Alençon murmura un blasphème.~ ~ ~– Eh ! dit Marguerite 694 II, 35 | aujourd’hui la halle au blé, et dont il ne reste que 695 II, 28 | tristesse passa sur les lèvres blêmes de La Mole, qui semblait 696 I, 2 | là-bas~ ~Qu’une bouchette blêmie ;~ ~Et quand, mort, je te 697 II, 24 | et que l’aiguille qui la blesse ainsi porte une petite bannière 698 I, 20 | sacrifice un couteau d’acier bleuissant, tandis que René allait 699 II, 31 | un œil atone les flammes bleuissantes qui rongeaient les feuilles 700 II, 11 | Fontainebleau : alors vous gagnerez Blois, Angoulême et Bordeaux.~ ~ ~– 701 I, 25 | appartiennent qu’aux femmes de Boccace, puisque tel est votre désir, 702 I, 24 | de cent ans que celui où Boileau se réveillait au bruit d’ 703 II, 19 | prairie qui pend du sommet boisé de Saint-Germain, et qui 704 II, 11 | dernier, qui était le baron de Boissey, lui avait dit en tombant :~ ~ ~– 705 I, 18 | apporté au Louvre cette boisson rafraîchissante qui t’a 706 I, 18 | bossue, éraillée, borgne et boiteuse, au toit taché de mousse 707 II, 20 | presque furieux. Leurs chevaux bondissaient comme ces sauterelles dont 708 II, 19 | belles dents avec mille bonds folâtres.~ ~ ~ ~Charles 709 II, 25 | moyennant cinq cents écus, tout bonnement.~ ~ ~– Pour cinq cents écus 710 I, 19 | Au milieu des maisons qui bordaient la ligne du pont, faisant 711 II, 34 | agité la frange d’écume qui bordait ses lèvres. Il regarda longtemps ; 712 I, 16 | tournait devant un sentier bordé de larges haies qui remontait, 713 II, 11 | gagnerez Blois, Angoulême et Bordeaux.~ ~ ~– Madame, dit Henri 714 II, 13 | portrait du Titien dans sa bordure dorée.~ ~ ~– La Mole ! cria 715 I, 18 | informe, bossue, éraillée, borgne et boiteuse, au toit taché 716 II, 29 | haussait, montant sur les bornes, s’accrochant aux anfractuosités 717 I, 8 | pruit, il avre oufert son borte, et moi ly avre passé mon 718 II, 26 | était un petit greffier bossu, et qui sans doute s’était 719 I, 18 | Une maison informe, bossue, éraillée, borgne et boiteuse, 720 II, 27 | Allons, maître, ajustez les bottines à monsieur.~ ~ ~ ~À ces 721 I, 10 | amiral et retournait à la boucherie.~ ~ ~– Oh ! Henri ! s’écria 722 I, 2 | n’auras là-bas~ ~Qu’une bouchette blêmie ;~ ~Et quand, mort, 723 I, 16 | remplacé la tête par un bouchon de paille sur lequel elle 724 I, 2 | et le prince, après avoir bouclé son épée à son ceinturon, 725 I, 10 | arrière, de son cou ombragé de boucles épaisses et qui appartenait 726 II, 22 | se dit-il, et Actéon me boude encore du coup de fouet 727 I, 29 | Risquetout ! ne vas-tu pas bouder à ton tour ?~ ~ ~– Charles, 728 II, 22 | de nouveau. Le chien ne bougea point. Charles courut à 729 II, 4 | nous ont vus et qui n’en bougent pas ; puis, certaine coupe 730 II, 8 | pas en avant, démasqua un bougeoir de vermeil dont il s’éclairait 731 II, 11 | trahit ; s’il hésite, ne bougeons pas.~ ~ ~– Sait-il quelque 732 II, 1 | votre bon frère Henri, ne bougez pas. François serra la main 733 II, 17 | dévorait le cœur se répandre bouillante au-dehors ; sa vengeance 734 I, 29 | vite, car vous me faites bouillir. En vérité, il y a des jours 735 I, 27 | par cette conscience qui bouillonne toujours, quoique invisiblement, 736 I, 31 | Oui, dit Henri, cela bouleverse quelquefois toutes les dispositions 737 II, 17 | donc ? vous paraissez tout bouleversé.~ ~ ~– Il y a que nous sommes 738 I, 19 | dents branlantes, enfin les bouquins poudreux vénérablement rongés 739 I, 18 | comme s’il eût frappé sur le bourdon de Notre-Dame, et je l’ai 740 I, 7 | une compagnie de milice bourgeoise.~ ~ ~ ~Et cela dit, tandis 741 II, 16 | besoin ni de lisière ni de bourrelet. Allez-vous-en en Pologne 742 I, 7 | pourrait même dire quelque peu boursouflée.~ ~ ~– Ah ! ceci, dit Coconnas, 743 I, 24 | un cheval ordinaire ; il bouscula et démolit sur son passage 744 II, 3 | heureuse.~ ~ ~ ~Après cette boutade, qui fit sourire intérieurement 745 I, 4 | vin n’a pas trois ans de bouteille, si son valet n’est pas 746 I, 24 | Alors, réconforté par deux bouteilles d’un petit vin d’Anjou qu’ 747 II, 3 | reconnaître la solidité ; il avait boutonné dessus un pourpoint de soie, 748 I, 29 | compté avec mon fleuret onze boutonnières sur son pourpoint qui n’ 749 I, 2 | Chaume, en face de la rue de Brac, et après l’avoir remise 750 I, 16 | huguenot, tandis qu’il était brahme, et sa religion lui défend-elle 751 II, 27 | le déposa couché sur le brancard ; mais malgré toutes ces 752 I, 19 | vus se becqueter sur une branche en fleur.~ ~ 753 II, 20 | disparaissait entre les branches qui s’ouvraient devant lui 754 I, 11 | cris étaient accompagnés de brandissements d’épées rougies et d’arquebuses 755 I, 19 | yeux vides et aux dents branlantes, enfin les bouquins poudreux 756 I, 9 | abri à l’angle de la rue de Braque, assez éloignée pour qu’ 757 II, 13 | comme il savait dresser braques et courants.~ ~ ~ ~Catherine 758 I, 9 | saisit son adversaire à bras-le-corps, le présentant à tous les 759 II, 2(4)| Espèce de brasero.~ ~ 760 I, 6 | continuerait de supporter les bravades que se permettent, depuis 761 I, 2 | mon alliée, je puis tout braver ; tandis qu’au contraire, 762 II, 9 | réellement ce fils, soit pour sa bravoure, soit plutôt pour sa beauté, 763 I, 23 | religion. Soyons clairs, soyons brefs, soyons francs.~ ~ ~– J’ 764 I, 4 | arrêta au bout de la rue de Bresec, dont nous avons fait depuis 765 I, 7 | pon, ah ! pien… Vous êtes brêt ?~ ~ ~– Oui. Que faut-il 766 I, 2 | dit Marguerite d’une voix brève et en saisissant la main 767 I, 7 | de la Belle-Étoile, pour brévenir un certain monsir Gogonnas.~ ~ ~– 768 II, 30 | sceau du roi. C’était le brevet patibulaire.~ ~ ~ ~Dans 769 I, 23 | est-à-dire tout sellé et tout bridé, un petit cheval du Béarn, 770 I, 16 | réunit dans ses mains les brides des quatre chevaux. Un gazon 771 II, 14 | sans autre témoin que ce brigandeau à qui mon second coup irait 772 I, 8 | qu’on me pende tous ces brigands !~ ~ ~ ~Plus effrayé à la 773 I, 13 | long poignard de Milan qui brilla aussitôt à sa main comme 774 II, 13 | use, tandis que l’étoile brille toujours. À cela vous me 775 I, 19 | celui d’un rasoir ; les uns brillent comme des miroirs ; les 776 II, 29 | rues, couchés sur quelques brins de paille, deux jeunes gens, 777 II, 25 | devenus depuis des angoisses, brisaient le cœur d’une femme à demi 778 II, 32 | ses yeux de sa main, et brisant ainsi les rayons du soleil 779 I, 3 | il se penchait, vous lui brisâtes les reins ; puis le voyant 780 II, 7 | votre union, et je vous briserai les uns après les autres. 781 I, 16 | effleurer les premières brises du soir. Quand nous disons 782 II, 27 | misérables ! torturez-moi, brisez-moi, mettez-moi en morceaux, 783 II, 23 | dans cette chambre : des brocs et des chevalets pour la 784 II, 27 | XXVII~ La torture du brodequin~ ~ ~ ~Ce fut seulement lorsqu’ 785 I, 11 | Deum, et les accents de ce bronze joyeux retentissant au milieu 786 II, 11 | adressé à cause d’une grosse brouille existant déjà depuis deux 787 I, 14 | religion ? Mes idées se brouillent à cet égard ; aidez-moi 788 II, 20 | comme s’il s’apprêtait à brouter, il écoutait immobile. Bientôt 789 I, 23 | défaut de quelqu’un, de Mouy broya son chapeau entre ses mains, 790 II, 14 | C’est là que, sanglant, broyé, écrasé par une chute de 791 II, 17 | une rougeur ardente lui brûla les joues ; la faveur que 792 I, 9 | autour de lui que maisons qui brûlaient.~ ~ ~ ~Ce fut une bien courte 793 I, 19 | à vos doigts roses et brûlants de l’appeler d’un signe ; 794 I, 19 | fer dans le ventre ; âme brûlée par le feu de vos yeux, 795 I, 19 | îlot sur lequel avaient été brûlés les Templiers, et où pose 796 I, 17 | pauvre camarade, car vous brûlez.~ ~ ~ ~C’était en effet 797 II, 31 | faiblesse, continua Charles ; brûlez-le, madame ! il ne faut pas 798 II, 22 | grande douleur de tête, des brûlures intérieures, comme s’il 799 I, 17 | cuir tout maculé de taches brunes, de chausses sang-de-bœuf, 800 I, 24 | de lui, et que des voix brutales lui ordonnèrent de se ranger. 801 I, 27 | dit Catherine, mon chien Brutus est mort enflé en une minute. 802 II, 19 | des chasseurs, les saluts bruyants de cent personnes rassemblées, 803 I, 16 | étrange avec la douce et bucolique chanson que nous venons 804 II, 30 | irai. Une larme, qui fut bue aussitôt par sa paupière 805 I, 5 | avec un froid subit, che ne buis donc bas me charger de votre 806 II, 20 | et, franchissant fossés, buissons, barrières, arriva près 807 I, 17 | moitié dramatique, moitié burlesque, mais qui ne manquait pas 808 I, 17 | une tasse de ses lèvres, buvez cela, mon pauvre camarade, 809 I, 12 | chaque botte qu’il portait ; ç’a été une émotion d’un quart 810 II, 20 | l’un après l’autre de la cabane.~ ~ ~ ~Mais de roi de Navarre, 811 I, 31 | enleva son cheval, qui se cabra ; mais il avait mal mesuré 812 I, 23 | chefs sont à Paris et s’y cachent.~ ~ ~ ~Et en disant ces 813 I, 12 | jeune, il est blessé. Tu le caches dans ton cabinet, tu veux 814 II, 26 | fois qu’on ouvrait un des cachots de l’étage supérieur et 815 II, 1 | nous. Catherine me fait un cadeau, Catherine me promet une 816 II, 23 | ouvrit la portière fermée à cadenas, et invita respectueusement 817 I, 6 | puis, se retournant vers la cadette :~ ~ ~– Çà, Margot, dit-elle, 818 II, 13 | voir La Mole pris dans le cadre de cette porte, comme un 819 I, 19 | ils couchent rue de la Calandre. Le soir, ils sortent un 820 II, 17 | rien osé dire ; mais Henri calculait tout : il comprit que son 821 I, 9 | balcon en bonnet de nuit, en caleçon et sans armes.~ ~ ~– Qui 822 II, 12 | conjux, nisi ideo immineret calimitas, scilicet non solum fratris 823 I, 29 | écuyer il avait affaire et se calma.~ ~ ~ ~Aussitôt les fanfares 824 II, 22 | trait, et se sentit un peu calmé.~ ~ ~ ~Alors il reprit la 825 II, 13 | Allons, allons, Coconnas, calme-toi, et tâche de ne pas oublier 826 II, 1 | ses transports se furent calmés :~ ~ ~– Mon fils, dit Catherine, 827 II, 8 | un fat qui s’est vanté en calomniant ma femme, rien n’est plus 828 II, 19 | visionnaires, mais encore des calomniateurs.~ ~ ~– Que demandez-vous 829 II, 8 | assassinat ; ma femme n’est plus calomniée, elle est coupable.~ ~ ~– 830 II, 30 | comme le Seigneur jusqu’au Calvaire ! et si sur la route, comme 831 I, 7 | huguenot que Luther, que Calvin, que Mélanchthon et que 832 I, 14 | les yeux hagards, le corps cambré en arrière comme si un abîme 833 I, 1 | aux petits pieds mutins et cambrés dans leurs mules de velours, 834 I, 1 | ayez autour de vous quelque camérière, quelque suivante, quelque 835 I, 12 | sa porte ; et appelant sa camériste, Sicilienne des plus alertes :~ ~ ~– 836 I, 19 | de Coconnas, qui s’était campé devant la reine en Énée 837 II, 13 | que j’étais de toute cette canaille qui hurlait après mes chausses, 838 I, 13 | debout et retomba sur le canapé dont on avait fait un lit.~ ~ ~– 839 I, 7 | personne que mes lapins, mes canards et mes poulets, répliqua 840 II, 13 | lui, qui avait approché un candélabre de son visage pour le regarder 841 I, 17 | chirurgien, puis marcher avec une canne, puis enfin marcher tout 842 I, 3 | magnifique arquebuse sur le canon de laquelle étaient incrustés 843 I, 15 | musqué, armé de pied en cap, il descendit une seconde 844 II, 1 | désir, nulle ambition, nulle capacité ; je suis un bon gentilhomme 845 II, 9 | matin au soir et jugent les capacités de leur roi sur celles d’ 846 II, 19 | encombrée de chevaux richement caparaçonnés, d’hommes et de femmes richement 847 II, 31 | relâchement des vaisseaux capillaires, et que ce relâchement amenait 848 II, 6 | rembourser ensemble intérêt et capital.~ ~ ~– Dame ! que voulez-vous ! 849 I, 3 | quelque peu amollis par cette Capoue nouvelle, commençaient à 850 II, 13 | gaieté et de ses insatiables caprices de plaisir, vint un jour 851 II, 10 | toute jolie femme d’être capricieuse, ne m’a plus reparlé de 852 II, 10 | destinée à représenter, par ses capricieuses arabesques, les événements 853 II, 25 | Henriette. Si nos pauvres captifs changeaient de prison, tout 854 I, 10 | emprisonne-t-on, je me fais captive ; vous tue-t-on, je meurs.~ ~ ~ ~ 855 I, 29 | tout ce qu’il pourra pour captiver leur attention. Il est insinuant, 856 II, 1 | démontrer que j’étais en captivité.~ ~ ~– Ah ! vraiment ! et 857 I, 29 | je ne sais pourquoi, va caqueter avec eux, leur parler latin, 858 I, 4 | expression bienveillante qui caractérise toujours la figure du provincial 859 I, 16 | catholique. Sa figure longue et caractérisée, sa tournure un peu vulgaire, 860 II, 21 | sa soif, vidé toute une carafe d’eau.~ ~ ~ ~Au milieu de 861 I, 15 | chose ? c’est que l’illustre carcasse de monsieur l’amiral, qu’ 862 I, 3 | de ses trophées d’armes, caressa un grand lévrier qui le 863 II, 13 | Charles et à d’Alençon, caressante à Henri et à Marguerite, 864 I, 25 | Sola sum ; introito, carissime. 2~ ~ ~ ~de Mouy, sans répondre, 865 I, 21 | doigt rougie par la pâte carminée.~ ~ ~ ~Henri se leva, et 866 I, 19 | comme toute chair : Omnis caro fenum. Bien que ce gentilhomme 867 I, 2 | Pluton,~ ~Là-bas, après que Caron~ ~T’aura mise en sa nacelle ?~ ~ ~ ~ 868 I, 12 | Amor ; oui, celui qui a un carquois, un bandeau et des ailes… 869 I, 21 | fenêtre ogivale à petits carreaux enchâssés de plomb, laquelle, 870 I, 31 | parcs coupés par des allées carrossables. Alors, l’exploitation était 871 I, 4 | de bals, de festins, de carrousels. Ne s’amuse-t-on pas beaucoup 872 I, 7 | malgré son amour pour le carton peint, Coconnas se leva 873 I, 18 | bruit de la balle qui vous cassait quelque chose, je ne sais 874 II, 19 | c’est le soleil qui me casse la tête et me crève les 875 II, 35 | quitté ses fourneaux et ses casseroles au moment où justement il 876 I, 21 | poudre, que de fioles, que de cassolettes !~ ~ ~– Cela paraît beaucoup, 877 II, 4 | profita du moment : véritable catapulte vivante, il lança la pierre 878 I, 15 | après, La Mole, gravement catéchisé par Marguerite, baisait 879 I, 14 | sonnaient au Louvre. La Mole causa un instant politique avec 880 II, 8 | muguet-là ; des pastorales ; ils causent de Bion et de Moschus, ils 881 I, 5 | omelette avec moi, nous causerons de la vertu en mangeant ?~ ~ ~– 882 I, 1 | Médicis s’était informée des causes qui tenaient sa bien-aimée 883 II, 23 | pour vous que pour moi, ne causez pas politique.~ ~ ~ ~La 884 I, 23 | avec cet homme que vous causiez tout à l’heure, n’est-ce 885 II, 9 | le roi en se rasseyant ; causons-en, mère. Eh bien ! à quand 886 I, 19 | Nevers et le sourire un peu caustique de Marguerite, jugea que 887 I, 3 | paysannes des environs de Caux. Elle portait le haut bonnet 888 II, 30 | dernière marche. Au fond du caveau gisaient deux formes humaines 889 I, 10 | deux ne pénétrait dans les cavités de cette forteresse naturelle 890 I, 4 | accent provençal qui ne le cédait en rien à l’accent piémontais 891 I, 31 | le mors ou peut-être même cédant à son épouvante, se renversa 892 I, 6 | péchés, je crains et je cède.~ ~ ~ ~Et sur ce, Catherine 893 I, 24 | Marguerite.~ ~ ~ ~De peur de céder à la tentation, il reprit 894 I, 6 | dit-elle au duc, insistez, il cédera.~ ~ ~ ~Et la portière retomba 895 II, 31 | tombe, croyez-vous que je céderai à personne, surtout à un 896 II, 12 | et que la décision du roi céderait à sa faiblesse, qui continuait. 897 II, 12 | nunc sine ullâ morâ Lutetiâ cedere juberis, hac in urbe detinet. 898 II, 4 | une compote d’orange et de cédrats, et le duc de Guise un quartier 899 II, 17 | bonne chemise de mailles ; ceignez votre meilleure épée ; montez 900 I, 17 | avoir ajusté son manteau, ceint son épée, coiffé sa tête 901 I, 10 | du roi ; mais ils étaient ceints intérieurement par deux 902 I, 1 | son cœur.~ ~ ~ ~La cour célébrait les noces de madame Marguerite 903 I, 3 | mousquetons, et le jour même un célèbre armurier lui avait apporté 904 I, 12 | comme le Nisus de Benvenuto Cellini, et qui s’est venu réfugier 905 I, 5 | troupe de cavaliers d’une centaine d’hommes.~ ~ ~– Ah ! ah ! 906 I, 9 | lui imprimait, traçait des cercles blancs ou rouges, selon 907 II, 10 | reposeront à leur tour dans le cercueil.~ ~ ~– Cependant vous disiez 908 I, 20 | la division de la pulpe cérébrale.~ ~ ~– Toujours, s’écria-t-elle 909 II, 12 | vieillard, lorsque le maître des cérémonies, s’approchant d’elle par 910 I, 28 | la reine quelques saluts cérémonieux qui donnèrent le temps aux 911 I, 24 | que l’Amour, Bacchus et Cérès sont des dieux de première 912 II, 20 | avaient continué leur battue, cernant le pavillon ; mais de Mouy, 913 I, 8 | ont été enfoncées, l’hôtel cerné. L’homme est bien entré, 914 II, 19 | dit d’Alençon, je ferais cerner la forêt de Saint-Germain 915 I, 20 | expérience se fasse sur des cerveaux humains, comme étant plus 916 II, 19 | faucon rongeait déjà la cervelle du héron. En arrivant, Charles 917 I, 31 | pour exciter ses chiens, ne cessait d’exciter ses chiens que 918 II, 27 | abandonné à lui-même et cessant d’être soutenu par la lutte 919 I, 23 | nous meurt. Écoutez-moi et cessez de tourmenter ainsi la poignée 920 I, 19 | est suspendue par trois chaînettes noircies.~ ~ ~ ~René, seul 921 I, 20 | seulement les savants chaldéens recommandent…~ ~ ~– Recommandent… 922 II, 3 | récalcitrant, l’arrachant au chambranle auquel il se tenait cramponné, 923 I, 9 | avec la vigueur d’un de ces chamois qu’il avait si souvent poursuivis 924 I, 18 | lépreux, avait, pareille à un champignon, poussé au pied de cette 925 I, 6 | Marguerite se retira toute chancelante en cherchant vainement à 926 II, 29 | un enfant, et monta sans chanceler, chargé de son fardeau, 927 II, 26 | casques sur chacun desquels la chandelle fumeuse envoya une paillette 928 II, 25 | Si nos pauvres captifs changeaient de prison, tout serait à 929 I, 21 | l’amitié de la reine est changeante, c’est celle d’une belle 930 I, 12 | Cependant il faudrait que nous changeassions d’idée l’un et l’autre, 931 I, 31 | serait ainsi.~ ~ ~– Ces changements de vent sont mauvais pour 932 I, 12 | tu peux être sûre qu’il changera, lui !~ ~ ~– Justement, 933 II, 5 | la rue des Barres, cela changerait bien des choses dans le 934 I, 13 | répondit Marguerite, vous changerez de langage quand vous saurez 935 I, 15 | changeant la victime nous ne changions rien aux présages.~ ~ ~– 936 I, 10 | un psaume calviniste que chantait une voix tremblante dans 937 II, 22 | La nourrice sera allée chanter ses psaumes chez quelque 938 I, 16 | lambrusche sauvage.~ ~ ~ ~Le chantre rossignolet,~ ~Nouvelet,~ ~ ~ ~ 939 I, 7 | celle que nous avons à nos chapeaux. Autrefois on laissait à 940 II, 19 | leurs poings leurs faucons chaperonnés ; quelques piqueurs avaient 941 I, 11 | ouvrait en face de la rue des Chaps, aujourd’hui celle des Déchargeurs. 942 II, 29 | comme il l’eût regardée d’un char triomphal.~ ~ ~ ~L’infortune 943 I, 19 | ombre de la reine, en me chargeant, moi, de parler à votre 944 I, 2 | tièdes et larges des nuages chargés de soufre et d’électricité.~ ~ ~ ~ 945 II, 35 | et trouvé par quelque âme charitable qui l’a déjà fait circuler, 946 I, 14 | bien prise, beaucoup de charmes ; mais s’il allait ne pas 947 I, 10 | du baume et prépare de la charpie, Gillonne.~ ~ ~ ~Cependant 948 I, 31 | vous m’envoyiez une pleine charretée d’ours, car ce doit être 949 II, 26 | Mais, répondit Coconnas, je chassais.~ ~ ~– Le roi était aussi 950 II, 35 | sifflait, dont chaque haleine chassait une sueur sanglante, tomba 951 I, 28 | de rire un saint dans sa châsse. Au demeurant, c’est le 952 I, 19 | faisait avec son ami un chassé-croisé amoureux.~ ~ ~ ~En ce moment 953 I, 7 | limiers, et bons chiens chassent de race.~ ~ ~– Atieu !~ ~ ~– 954 II, 17 | mes chagrins, car je ne chasserai plus avec elle.~ ~ ~– Corbœuf ! 955 I, 13 | quand j’aurai parlé, vous me chasserez, je l’espère.~ ~ ~– Taisez-vous, 956 I, 21 | reine mère.~ ~ ~– Vous me chassez donc ce soir, ma mie ? dit 957 II, 17 | N’entra point dedans le chasteau.~ ~ ~ ~La précaution n’était 958 I, 15 | yeux dilatés comme ceux du chat et de la panthère, sans 959 I, 3 | au nez recourbé en bec de chat-huant, au faciès élargi par des 960 I, 9 | lui avec la rapidité du chat-tigre, et lui traversa la poitrine 961 II, 16 | vers vos frères, que j’ai châtiés… un peu durement, peut-être ; 962 I, 1 | quoique à son départ de Châtillon une paysanne se fût jetée 963 II, 7 | mériterais toutes sortes de châtiments ; mais ce n’est point moi, 964 II, 24 | tuer, ma mère ?~ ~ ~ ~L’œil chatoyant de Catherine roula hypocritement 965 I, 15 | comme un immense reptile aux chatoyants anneaux.~ ~ 966 I, 9 | jeter à l’eau comme les chats, avant qu’ils voient clair.~ ~ ~– 967 II, 14 | ronds comme ceux d’une chatte ou d’une panthère, semblaient 968 II, 5 | soigneuse, couvrait d’une chaude étoffe le petit Charles, 969 II, 2 | chandelier, s’approcha du chauffe-doux4, et souffla sur un charbon 970 II, 19 | de justaucorps verts et chaussés de grosses bottes, qui, 971 II, 13 | M. de La Mole. »~ ~ ~Ce chef-d’œuvre terminé, Coconnas 972 II, 26 | parfaite, comte de Montpantier, Chenaux et autres lieux ; mais on 973 II, 20 | ces vieux hêtres et ces chênes séculaires qui puissent 974 I, 7 | coup de marteau, un coup de chenet, un coup de ce que vous 975 II, 32 | verdoyantes, ni sur ces cimes chenues et dorées : son regard franchissait 976 II, 8 | avoir regardé de tous côtés, cherche-le toi-même, je ne le trouve 977 I, 3 | par mes ministres. Je te chercherai tout cela et je te le remettrai 978 II, 17 | avez-vous répondu ?~ ~ ~– Que je chercherais dans ma bibliothèque.~ ~ ~– 979 II, 14 | madame.~ ~ ~– De sorte que tu cherches le roi de Navarre pour rentrer 980 II, 14 | demanda Catherine ; ne cherches-tu point madame de Sauve ?~ ~ ~– 981 I, 21 | étais sûr.~ ~ ~– Vous me cherchiez donc ?~ ~ ~– Je suis heureux 982 II, 13 | je puis vous aimer, vous chérir, vous idolâtrer, et, dans 983 II, 17 | êtes-vous donc pas aperçu qu’il chérit Henriot, son Henriot ?~ ~ ~– 984 I, 7 | et tressez-moi pien ce cheune homme-là.~ ~ ~– Oui, oui, 985 II, 12 | mythologique des royaumes chevaleresques du XVIe siècle.~ ~ ~ ~L’ 986 II, 23 | chambre : des brocs et des chevalets pour la question de l’eau, 987 I, 31 | reculant comme faisaient les chevaliers lorsqu’ils prenaient du 988 I, 18 | ne m’en est pas resté un cheveu.~ ~ ~ ~Les deux jeunes gens 989 I, 17 | montant au-dessus de la cheville, un bonnet de la même couleur 990 I, 28 | escalier, bondissant comme un chevreau dont on a rompu l’attache, 991 I, 3 | reconnaissance qu’il poussait vers Chevreux. Il laissa tomber son fouet 992 I, 3 | Guise, j’en suis sûr, ne chicanera pas sur le choix du moyen !~ ~ ~– 993 I, 13 | plaint.~ ~ ~ ~Marguerite chiffonnait la soie de son aumônière 994 I, 24 | la recommandation, et au chiffre convenu ôta le mouchoir 995 II, 18 | pour faire ses opérations chimiques.~ ~ ~ ~Soit par la porte 996 I, 10 | murmura la belle et savante chirurgienne ; passe-moi du baume et 997 I, 10 | valons-nous les meilleurs chirurgiens du monde, à ce que disent 998 II, 20 | parce que celui-ci le choisissait toujours pour ses rendez-vous 999 I, 2 | lui ai fait non pas en le choisissant, mais en l’acceptant pour 1000 I, 2 | est à vous, dit le duc ; choisissez donc là-dedans celle que