Tome,  Chap.

 1    I,       9|    brisées par une inexprimable fatigue, refusèrent de la porter :
 2    I,      11| produisent le même effet que la fatigue. Je sais cela, moi.~ ~ ~–
 3    I,      13|       déjà reparti au galop. La fatigue d’une faction de six heures
 4    I,      14|      vous ne devez ni porter la fatigue de mes fantaisies, ni jouir
 5    I,      19|        probable, – car après la fatigue dont elle s’était plainte
 6    I,      19|      même temps que la faim, la fatigue, sa compagne, commença d’
 7    I,      23|  crèverait bientôt tout seul de fatigue sous le poids de ses ouvrages.~ ~ ~–
 8   II,      42|       un instant, n’eut plus ni fatigue ni faim. Il voyait au reste
 9   II,      53|        Alors, épuisé, non de la fatigue du corps, mais des angoisses
10   II,      53|      avait recueilli de tant de fatigue et d’une si haute résolution
11   II,      53|         bout de dix minutes, la fatigue l’avait emporté sur la préoccupation,
12   II,      54| tombasse sur la route écrasé de fatigue et brisé de douleur. c’est
13   II,      73|       Andrée, je suis brisée de fatigue. Voilà la première fois
14   II,      81|       comme un homme accablé de fatigue, Jean fit trois pas dans
15  III,      85|         brisée.~ ~ ~– Que cette fatigue disparaisse, je le veux.~ ~ ~–
16  III,      91|        Une idée neuve était une fatigue pour elle, et une fatigue
17  III,      91|       fatigue pour elle, et une fatigue dérangeait l’économie de
18  III,      97|        et en se plaignant d’une fatigue mortelle.~ ~ ~ ~Le duc coupa
19  III,     117|       perdue de désespoir ou de fatigue.~ ~ ~ ~Balsamo entra donc
20   IV,     127|         qui lui épargnait toute fatigue ; pour qu’il eût consenti
21   IV,     127|        fût donné le souci et la fatigue d’opérer un pareil changement
22   IV,     130|        restée, sous prétexte de fatigue, à Trianon, cette menteuse
23   IV,     141|       plus chères m’ont été une fatigue, un dégoût.~ ~ ~– Enfin,
24   IV,     151|       le même prix ; mais je me fatigue et travaille moins, et puis
25   IV,     151|        sans forces. Je tombe de fatigue et d’inanition. Quant à
26   IV,     152|       sans ressentir la moindre fatigue, tant c’était une puissante
27   IV,     152|     moitié chemin de faim et de fatigue.~ ~ ~ ~Mais peu à peu, soulagé
28   IV,     155|         riches et oisifs, de la fatigue d’avoir dormi toute la nuit ;
29   IV,     155|         causer si longuement me fatigue. Avance la table.~ ~ ~–
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