Tome,  Chap.

 1    I,  IntIII|   impressions qui se résolvent en longs frémissements d’anxiété.~ ~ ~ ~
 2    I,       8|     appuyée sur sa main, avec ses longs cheveux sans poudre, épars
 3    I,      11|             car, pour démêler ses longs cheveux seulement, une main
 4    I,      14|           d’Andrée, qui, avec ses longs cheveux tordus en nattes,
 5    I,      16|  préparatifs ne peuvent être bien longs.~ ~ ~ ~Un sourire triste
 6    I,      16|         desquels jaillissaient de longs poils recourbés, et déchiquetait
 7    I,      21|         un charmant cheval gris à longs crins qui, attaché au contrevent
 8    I,      21| enveloppant la jeune femme de ses longs bras, il la couvrit de baisers.~ ~ ~ ~
 9    I,      24|              La récompense de ses longs et nombreux services.~ ~ ~–
10    I,      24|           douze ans.~ ~ ~– De ses longs et nombreux services futurs.~ ~ ~–
11    I,      29|       Aujourd’hui les procès sont longs, mais enfin, sans vivre
12    I,      30|          un qui en a deux bons et longs, et qui vous les offre.~ ~ ~–
13   II,      42|       joie immense. Il aspirait à longs flots l’air libre et pur ;
14   II,      55|          sur les murailles, et de longs cristaux de Bohême, aux
15   II,      59|         fournaise sa tenaille aux longs bras.~ ~ ~ ~L’étreinte fut
16   II,      65|        effet, brillantes comme de longs serpents de flamme, les
17  III,      83|         bottes épaisses armées de longs éperons.~ ~ ~ ~La physionomie
18  III,      87|           le cœur ; elle buvait à longs traits le charme de cet
19  III,     116|          ce dédaigneux, aspirer à longs traits l’air de la faveur
20   IV,     127|           qu’à l’aide de ses deux longs bras, grêles et arrondis
21   IV,     129|           belle, si pure avec ses longs cheveux dénoués, sa bouche
22   IV,     131|     entraînée par le poids de ses longs cheveux.~ ~ ~ ~Une large
23   IV,     134|      presque plus de souffle. Ses longs bras si nerveux, dans lesquels
24   IV,     134|      Lorenza comme un enfant, ses longs bras se soulevaient, mais
25   IV,     141|           fit-elle en respirant à longs traits l’air et la vie,
26   IV,     155|           ont besoin de braver de longs hivers ; il donne la cuirasse
27   IV,     160|       hérissé de broussailles aux longs filaments, aux touffes épineuses.