Tome,  Chap.

 1    I,   IntII|         regards sur la muraille humaine qui l’entourait étroitement.
 2    I,       3|        y a-t-il aucune créature humaine qui prenne pitié de moi ?~ ~ ~–
 3    I,      10|         porte ouverte une forme humaine, mais si rapide, si muette
 4    I,      18|         de trouver une créature humaine meilleure qu’elle ne l’espérait.~ ~ ~–
 5    I,      27|        ces chagrins qu’une main humaine ne peut guérir.~ ~ ~– Même
 6   II,      40|      élevés par la persévérance humaine, ou créés par la puissance
 7   II,      43|         avec la voix ou la main humaine.~ ~ ~– Soit, dit Gilbert ;
 8   II,      43|        à ce qu’aucune puissance humaine ne lui fît faire ce qu’il
 9   II,      46| admirait la force de la volonté humaine, qui peut courber douze
10   II,      50|    descendrais point. Faiblesse humaine ! quand venait l’heure,
11   II,      57|             Moi ? la perfection humaine.~ ~ ~– Oh ! les démons !
12   II,      66|    élevé au milieu de cette mer humaine.~ ~ ~ ~De temps en temps,
13   II,      73|        rire partit d’une bouche humaine. – Adorée ! j’ai dit le
14  III,      85|    comme les accents d’une voix humaine.~ ~ ~– Peste ! voilà qui
15  III,     102|       ces plans de régénération humaine que proposent certains esprits
16  III,     107|     exquis enfin dans la nature humaine.~ ~ ~ ~Balsamo regarda longtemps
17  III,     115|        l’égal de toute créature humaine, et moi, que vous maltraitez
18   IV,     127|   celles d’un squelette de main humaine, tremblotaient en cliquetant ;
19   IV,     127|         ton ami ! vile créature humaine ! Je crois que tu me parles,
20   IV,     127|    misères de la sale condition humaine ? Malade ! as-tu oublié
21   IV,     129|    hideuse de ce monstre à face humaine qui l’emportait vers le
22   IV,     131|        faillible d’une créature humaine ne tromperait-elle pas à
23   IV,     132|  presque sans vie, nulle pensée humaine ne s’était encore fait jour
24   IV,     144|        dans l’air, pas une voix humaine ne retentissait ; la nature
25   IV,     151|       terrible mot de la langue humaine.~ ~ ~– Et comment êtes-vous
26   IV,     151|    comme tu lis mal dans la vie humaine ! Tu n’as vu que la surface
27   IV,     161|       est capricieux, la nature humaine est sujette aux faiblesses.