Tome,  Chap.

 1    I,      11|      elle s’était donnée tout entière, elle avait cru faire un
 2    I,      11|  Nicole, qu’elle couvrit tout entière d’un admirable regard de
 3   II,      50|    tenait à me posséder pure, entière et sans tache, puisqu’il
 4   II,      50|            La possession tout entière : mon cœur, mon âme, ma
 5   II,      50|       cœur. Je me sentis tout entière envahie par la puissance
 6   II,      50|   heure qui me donnerait tout entière à Dieu, et sentant bien
 7   II,      51|     ma conviction n’est point entière sur ce point.~ ~ ~– Votre
 8   II,      52|      C’est de votre propre et entière volonté que vous voulez
 9   II,      52|      c’est de votre propre et entière volonté que vous voulez
10   II,      59|   dites pas votre pensée tout entière, mon prince, dit Balsamo.
11   II,      60|     eût sauvé l’humanité tout entière, en l’arrachant à l’effet
12   II,      67|      la foule, désormais tout entière au coup d’œil qu’allait
13   II,      75|   avait passé la journée tout entière appuyé au rebord de sa lucarne.
14  III,      82|       bien, vous l’aurez tout entière.~ ~ ~– Ah ! cette bonté
15  III,      96| Bretagne et ceux de la France entière avaient noyé sous un déluge
16  III,     100|     est de la population tout entière ; les parlements refusent
17  III,     103|      vous avez ma pensée tout entière ; je ne dirai plus un mot. »~ ~–
18  III,     107|  pensée, avec sa volonté tout entière, un mot que Marat ne put
19  III,     113|       livre donc mon âme tout entière, car je ne voudrais pas
20  III,     117|      hostie. Sur cette hostie entière, vous jurerez de ne jamais
21  III,     118|     se mettre à la discrétion entière du maréchal.~ ~ ~– Parbleu !
22  III,     120|      qu’elle éprouvait ; tout entière au souvenir de Philippe,
23  III,     121|      l’avaient garrottée tout entière ; et, à force de lutter,
24   IV,     139|   débarrassés de la race tout entière.~ ~ ~– Je le crois.~ ~ ~–
25   IV,     143|     se reflétait son âme tout entière.~ ~ ~– Ma sœur, dit Philippe,
26   IV,     151|      deviné, c’est que la vie entière de celui que tu as pris
27   IV,     158|      subite de sa raison tout entière.~ ~ ~ ~Soudain un vagissement