Tome,  Chap.

 1    I,      10|          je suis orphelin ; notre misère et notre abjection nous
 2    I,      13| médiocrité encore supportable une misère complète.~ ~ ~– Allez, monsieur,
 3    I,      17|       sans doute la crainte de la misère et que, maintenant qu’elle
 4    I,      34|     temps-là, ils ne crieront pas misère.~ ~ ~– Oui, sire ; mais
 5    I,      38|      oubliait, chose étrange ! sa misère et sa faim à l’aspect de
 6   II,      40|        souple. Le sentiment de sa misère et de son infériorité l’
 7  III,      84|           faut-il pour cela ? Une misère.~ ~ ~ ~Le maréchal se mit
 8  III,      84|        ses ongles.~ ~ ~– Oui, une misère, dit-il ironiquement.~ ~ ~–
 9  III,      89|         Impossible ? une pareille misère impossible ? C’est un ancien
10  III,      93|          Sa Majesté n’aime pas la misère, et les jolis minois ne
11  III,      95|           remarqué ou critiqué ma misère, au lieu de la changer en
12  III,     104|    attendu qu’il porte sa part de misère et de fatalité comme un
13  III,     104|             mais la faim, mais la misère, mais le désespoir, ne se
14  III,     105|          avec une fanfaronnade de misère qui n’échappa point à Balsamo,
15  III,     107|            dans des conditions de misère, d’asphyxie incessante et
16  III,     107|        les femmes condamnées à la misère sont vieilles à trente ans :~ ~ ~–
17  III,     112|              Un écrin ?~ ~ ~– Une misère… un collier de quelques
18  III,     113|   pauvreté, qui est presque de la misère…~ ~ ~– Oui, oui, tenez-vous
19  III,     114|      effraye plus que notre douce misère et notre obscurité de Taverney.~ ~ ~–
20   IV,     151|           les enfants nés dans la misère sont à l’État, qui doit
21   IV,     151|        pour exemple, cette vie de misère et de souffrance, je pouvais
22   IV,     151|         le philosophe, que, cette misère m’ayant forcé tout d’abord
23   IV,     151|           la persévérance dans la misère ? N’as-tu pas compris que
24   IV,     151|           ennemi ; suicide que ma misère me conseille, que ma conscience
25   IV,     154|          créature à l’oubli, à la misère, à la mort peut-être, attendu
26   IV,     156|           moi, j’ai tant de noble misère ! Eh ! colonel, c’est mal