Tome,  Chap.

 1    I,       3|          Oh ! mon Dieu, dit-elle, suis-je abandonnée ici sans secours,
 2    I,      11|      mains. Que m’est-il arrivé ? Suis-je folle ?~ ~ ~ ~Et elle se
 3    I,      11|           d’un ton doucereux ; ne suis-je pas la femme de chambre
 4    I,      20|       voilà donc mieux ?~ ~ ~– Où suis-je ? demanda Gilbert se rappelant
 5    I,      23|       êtes chansonné, voilà tout. Suis-je perdue pour la Belle Bourbonnaise,
 6    I,      24|                   Sire, peut-être suis-je un peu vive, c’est vrai ;
 7    I,      26|    éternellement ce que je hais ! Suis-je sage ou suis-je fou ? Suis-je
 8    I,      26|         je hais ! Suis-je sage ou suis-je fou ? Suis-je le maître
 9    I,      26|     Suis-je sage ou suis-je fou ? Suis-je le maître ou ne le suis-je
10    I,      26|        Suis-je le maître ou ne le suis-je pas ?~ ~ ~ ~Le dauphin prit
11   II,      44| graduellement conduit Jacques. Ne suis-je pas là pour faire tous vos
12   II,      46|        bouleversée.~ ~ ~– Mais où suis-je donc ici ? s’écria-t-il.
13   II,      50|           Expliquez-vous, voyons. Suis-je donc la première à qui vous
14   II,      57|          répondit point.~ ~ ~– Où suis-je ? demanda-t-elle.~ ~ ~–
15   II,      62|               Aussi, reprit Jean, suis-je convenu avec moi-même, tout
16   II,      77|   encyclopédistes, vous.~ ~ ~– Ne suis-je pas de l’Académie ?~ ~ ~–
17  III,     105|          une bien triste opinion. Suis-je donc, en effet, si peu de
18  III,     105|           être taxé d’ignorance ? Suis-je donc un si tiède adepte,
19  III,     108|       cent fois raison.~ ~ ~« Que suis-je, sinon un homme dangereux
20  III,     108|          enfance, décidément ; ne suis-je pas, en vérité, un beau
21  III,     113|           distraira, d’ailleurs ! Suis-je un si aimable compagnon ?
22  III,     123|        que me voulez-vous ?~ ~ ~– Suis-je, répondit Lorenza, devant
23   IV,     129|          Lorenza, assez.~ ~ ~– Ne suis-je pas à toi ? Ordonne, commande.~ ~ ~–
24   IV,     151|            j’ai cédé à mon amour. Suis-je donc aussi criminel qu’on