Tome,  Chap.

 1    I,  IntIII|        Socrate, depuis Moïse jusqu’à saint Jérôme, depuis Zoroastre
 2    I,  IntIII|              écroulement du trône de saint Louis.~ ~ ~– Pardon, très
 3    I,  IntIII|             suffi de Charlemagne, de saint Louis et de Henri IV pour
 4    I,      20|        besoin fût plus pressant qu’à Saint Dizier ?~ ~ ~– Là ! dit
 5    I,      21|       morbleu ! vous avez l’air d’un saint de plâtre.~ ~ ~ ~D’un œil
 6    I,      23|             des Carmélites de la rue Saint Antoine.~ ~ ~– Madame, j’
 7    I,      27|             de César chez un fils de saint Louis. Le clergé est habitué
 8   II,      41|              est la liberté. Le plus saint des devoirs de l’homme est
 9   II,      55|         noires profondeurs de la rue Saint Claude, disparut dans la
10   II,      56|             l’amour… mais de l’amour saint et pur, comme on le doit
11   II,      60|                  Puisque tu es comme saint Thomas, et que tu ne crois
12   II,      62|           yeux ! des lèvres à damner saint Antoine ; des pieds, oh !
13  III,      82| Saint-Anastase… non. C’est un nom de saint, toujours.~ ~ ~– Mais quel
14  III,      82|            toujours.~ ~ ~– Mais quel saint, voyons, vous qui devez
15  III,      82|           eusse parié pour un nom de saint.~ ~ ~– Rue Saint-Claude !
16  III,      85|                Je crois.~ ~ ~– Comme saint Thomas a cru, n’est-ce pas,
17  III,      98|           feriez perdre la tête à un saint… Tenez laissez-moi finir
18  III,     104|        racine permette à la fleur de saint Louis l’espoir de refleurir
19  III,     107|        francs à la buvette de la rue Saint Jacques. En es-tu ?~ ~ ~«
20  III,     118|              il était allé faire rue Saint Claude, où il avait pris
21  III,     118|              qui nous sauve, vous de Saint Lazare, moi de la Salpêtrière.
22  III,     123|            Et il demeure ?~ ~ ~– Rue Saint…~ ~ ~ ~Tout à coup, Lorenza
23   IV,     133|              ce monde était venu rue Saint Claude.~ ~ ~ ~Aussi cette
24   IV,     163|             ce matin du monastère de Saint Denis, où madame la dauphine