Tome,  Chap.

 1    I,       4|       ses poumons :~ ~ ~– Nicole Legay ! Nicole Legay !~ ~ ~– Qu’
 2    I,       4|            Nicole Legay ! Nicole Legay !~ ~ ~– Qu’est-ce que Nicole
 3    I,       4|             Qu’est-ce que Nicole Legay ? demanda l’étranger continuant
 4    I,       5|       recette d’un plat à Nicole Legay, à votre femme de chambre ?
 5    I,       5|   tranquillement Andrée. Voyons, Legay, ajouta-t-elle d’une voix
 6    I,       5|         gâteau fumant que Nicole Legay, la jolie chambrière, venait
 7    I,       6|          que mademoiselle Nicole Legay, ici présente, n’est point
 8    I,       6|        calme parfait. Desservez, Legay !~ ~ ~ ~La jeune fille,
 9    I,       6|          quand on ne mange plus… Legay, donnez un flacon de marasquin…
10    I,       6|             Faites, dit Andrée à Legay, qui semblait attendre les
11    I,       7|       éclairée. C’était celle de Legay. La jeune fille détachait
12    I,       8| continuer ses observations quand Legay serait partie.~ ~ ~ ~Ses
13    I,      10|               Chapitre X~ Nicole Legay~ ~Gilbert avait passé tout
14    I,      10|      fille. C’était enfin Nicole Legay qui retenait Gilbert prisonnier.~ ~ ~–
15    I,      10|         de la mansarde de Nicole Legay. C’est flatteur pour moi.~ ~ ~ ~
16    I,      10|          il me semble que Nicole Legay vaut bien Sébastien Gilbert.~ ~ ~–
17    I,      11|           Rassure-toi, ma pauvre Legay, je ne le regarde pas, ton
18    I,      11|          laissée entrouverte par Legay.~ ~ ~ ~Elle vit alors Balsamo,
19    I,      12|                 Parce que Nicole Legay a dans le visage quelques
20    I,      17|         est-ce pas, mademoiselle Legay ?~ ~ ~– Oui, monsieur Gilbert.~ ~ ~–
21  III,     118|   celui-ci, n’es-tu point Nicole Legay, par hasard ?~ ~ ~– Si fait,
22  III,     118|  maréchal.~ ~ ~– Eh bien, Nicole Legay a un amant.~ ~ ~– Oh ! par
23  III,     118|     amant de mademoiselle Nicole Legay ?~ ~ ~ ~Le dernier espoir
24  III,     118|       Taverney que de la famille Legay, il est de mon devoir de