Tome,  Chap.

 1    I,       9|    murmura Balsamo avec une joie sauvage, la science n’est donc pas
 2    I,      10|                J’ai toujours été sauvage et cherchant la solitude,
 3   II,      49|       accent de fermeté fière et sauvage qui fixa un instant sur
 4   II,      49|       faire ? Voyons, tu es trop sauvage pour te mettre en condition.~ ~ ~ ~
 5   II,      50| inutilement, et que dans ce lieu sauvage personne ne m’entendrait.~ ~ ~«
 6   II,      54|     tomba du haut de son orgueil sauvage, et joignant les deux mains :~ ~ ~–
 7   II,      59|         c’était un tableau d’une sauvage et majestueuse horreur.
 8   II,      60|   maintenant quel est le fou, le sauvage, le cannibale de nous deux ?
 9   II,      62|           un philosophe de cette sauvage espèce ? Allons donc !~ ~ ~–
10   II,      62|      ardents, avec cette ivresse sauvage ?~ ~ ~– Il guette.~ ~ ~ ~
11   II,      65| composèrent en ce moment la plus sauvage et la plus lugubre harmonie
12   II,      69|      hôtel ; le baron poussa une sauvage exclamation.~ ~ ~ ~En ce
13   II,      80|        le roi, est encore un peu sauvage, comme toutes les Allemandes
14  III,      91|    encore ces mots avec une joie sauvage, et, une main convulsive
15  III,     110|     gracieuse avec le philosophe sauvage, comme elle l’eût été avec
16  III,     112|          élevé ta fille comme un sauvage que tu es.~ ~ ~– Mon cher,
17  III,     115|        tout entier, c’est-à-dire sauvage, naïf, sublime, dans sa
18  III,     117|      Lorenza en riant de ce rire sauvage et effrayant qui faisait
19   IV,     140|          entendue et comprise du sauvage enfant.~ ~ ~– Tu ne me reconnais
20   IV,     149|         que ne le serait le pays sauvage où vous la conduiriez.~ ~ ~–
21   IV,     151|   maintenant, j’ai agi en animal sauvage, et non en homme. L’exemple,
22   IV,     153|          s’écria Andrée avec une sauvage fureur, c’était donc toi ?
23   IV,     154|          sa colère et de sa joie sauvage.~ ~ ~– C’est cela, dit-il