Tome,  Chap.

 1    I,    IntI|       arrête, disons-nous, le sable de son lit est si frais,
 2    I,      25|              Quelque grain de sable fin comme un atome était-il
 3    I,      34|    roues d’une voiture sur le sable de l’avenue.~ ~ ~– Attendez,
 4   II,      41|     terrasses, couvertes d’un sable fin, étaient bordées de
 5   II,      43|   bâton que j’aiguisais et du sable que je faisais passer au
 6   II,      47|       piaffait et creusait le sable avec impatience.~ ~ ~ ~Quelques
 7   II,      71|   indifférents qui foulent le sable du parterre ! Là, en effet,
 8   II,      74|       craquer sous ses pas le sable du jardin. Il n’eut que
 9   II,      75|     voit, du port, le banc de sable sur lequel se brisa son
10  III,      91|      voir, tandis que dans le sable du jardin s’imprimait la
11  III,     104|     front superbe, baisera le sable tout à l’heure.~ ~ ~– Et
12  III,     106|       prouvée par le grain de sable que par la montagne, par
13  III,     121|     gémissement, tomba sur le sable comme si elle eût été foudroyée
14  III,     121|       l’escalier, puis sur le sable du jardin ; mais bientôt
15  III,     122|       pieds de devant dans le sable.~ ~ ~ ~Coursier et cavalier
16   IV,     151|     et que je me roule sur le sable en criant : « Pardon ! »
17   IV,     153|     chercher à genoux, sur le sable des allées, la trace adorée
18   IV,     153|     fit crier sous ses pas le sable, et reconnut la petite porte
19   IV,     157|    tapis de neige jeté sur le sable du jardin par les premiers
20   IV,     159| échappait à ce regard : ni le sable du jardin sur lequel sa
21   IV,     164| pensées ; il s’étendit sur le sable doux et moelleux, s’adossa
22   IV,     164|       cri. Philippe sentit le sable s’imprégner sous son pied