Tome,  Chap.

 1    I,      12|           asile d’une multitude d’oiseaux dont on entendait au château
 2    I,      17|      chère Nicole, sont comme les oiseaux qui gazouillent dans les
 3    I,      24|        derrière, font siffler des oiseaux de porcelaine et nager des
 4    I,      24|        jouer, faisant chanter les oiseaux, faisant nager les poissons,
 5   II,      42|        qui leur sert d’asile, les oiseaux passent muets dans le feuillage
 6   II,      42|      endormit.~ ~ ~ ~Le chant des oiseaux le réveilla ; il était jour
 7   II,      43|         vous jetez votre pain aux oiseaux, comme s’il n’était pas
 8   II,      43|        jette n’est perdu. Là, les oiseaux l’emportent ; ici, les pauvres
 9   II,      43| disputerait votre pain aux petits oiseaux.~ ~ ~– Serait-ce vous, mon
10   II,      65|        enfuyait comme une volée d’oiseaux effarés, le peuple de Versailles
11   II,      81|        madame du Barry, comme des oiseaux qui ont senti la poudre
12  III,      83|       plus pauvres créatures, des oiseaux, des fleurs. Elle appelait
13  III,      83|       étendre vos ailes comme ces oiseaux dont vous enviez le sort ;
14  III,      83|           ferai comme ces pauvres oiseaux du Sud que l’on tient en
15  III,      90|        ministère ?~ ~ ~– Oh ! des oiseaux de passage : Terray, Bertin,
16  III,     114|          rien. Eh ! mon Dieu, les oiseaux qui fuient, les troupeaux
17   IV,     137|      donnait aucune attention aux oiseaux qui se poursuivaient effarouchés
18   IV,     139|     comtesse, vous êtes comme les oiseaux poétiques qui prédisent
19   IV,     140|    écuries, et s’enfuit comme ces oiseaux sauvages ou malfaisants
20   IV,     151|        sur sa chaise, regarda les oiseaux qui becquetaient sur la
21   IV,     151|       regard fixe et lumineux des oiseaux de proie affamés ; un sourire
22   IV,     164|        envolait austère comme ces oiseaux farouches qu’on touche parfois