Tome,  Chap.

 1    I,  IntIII|       sait dormir sur un lit de douleurs, pourvu qu’il dorme.~ ~ ~–
 2   II,      44|      une goutte de sang, si les douleurs que ces murs renferment
 3   II,      53|       du lion rendait mieux ses douleurs que le cri et la parole
 4   II,      53|   martyrs s’accroît souvent des douleurs qui le devraient tuer ;
 5   II,      65|        avait enfin suspendu les douleurs, et dont l’aube azurait
 6   II,      73|        catastrophe comme si les douleurs humaines ne pouvaient l’
 7  III,     103|       tous mon apprentissage de douleurs ; j’ai sondé le corps et
 8  III,     117|     ennuis !~ ~ ~– Eh bien, des douleurs ; oui, vous avez raison,
 9  III,     117|  Lorenza, ce sont de poignantes douleurs. Oui, Lorenza ; eh bien,
10  III,     117|      jour viendra où toutes ces douleurs prendront fin ; un jour
11   IV,     140|    crédulité superstitieuse aux douleurs d’Andrée ; mais, peu à peu,
12   IV,     141|      des fleurs lui causait des douleurs insupportables, et elle
13   IV,     145|         une des plus poignantes douleurs qu’il soit donné à l’homme
14   IV,     145|             Andrée, fatiguée de douleurs et d’émotions, s’endormit.
15   IV,     145|      fois vit mes larmes et mes douleurs sans rien dire, pourquoi
16   IV,     146|            Chapitre CXLVI~ Deux douleurs~ ~Gilbert avait jugé sainement
17   IV,     153|         qu’il efface toutes les douleurs passées. Mademoiselle…~ ~ ~ ~
18   IV,     157|         La mère qui souffre les douleurs de l’enfantement connaît
19   IV,     157|        ne vous exagérez pas les douleurs de ce travail, qui ne peut
20   IV,     158|       pour mon sacrifice et mes douleurs !~ ~ ~ ~Elle fit un mouvement
21   IV,     162|       mais s’absorbait dans ses douleurs.~ ~ ~« Qui peut lui écrire
22   IV,     163| peut-être. C’eut été une de ces douleurs sourdes, lentes, qui minent