Tome,  Chap.

 1    I,      37|           la mode frivole, écho des passions sociales qui creusaient
 2   II,      50|            mes rêves, et comme nous passions entre un petit bois et une
 3   II,      56|          dominer avec leurs propres passions !~ ~ ~– Oui, je vous sers
 4   II,      64|        goûts ?~ ~ ~– Oui.~ ~ ~– Ses passions ?~ ~ ~– Oh ! quant à ses
 5   II,      64|                    Oh ! quant à ses passions, sire, c’est autre chose ;
 6   II,      64| heureusement ; monseigneur est sans passions.~ ~ ~– Vous avez dit heureusement ?~ ~ ~–
 7   II,      64|           il n’en a pas ?~ ~ ~– Des passions ? Non, sire.~ ~ ~– Pas une ?~ ~ ~–
 8   II,      64|           bien qu’il n’ait point de passions, vous ne le condamnez point
 9   II,      66|      dérange, Philippe, et que nous passions.~ ~ ~– Ah ! vous ne connaissez
10  III,      98|             intérêts de vos petites passions, non, monsieur le duc, jamais…
11  III,     101|           terminée.~ ~ ~– Voilà les passions bien mûries, dit l’un d’
12  III,     104|           bouillonnaient toutes les passions de la jeunesse et de l’inexpérience.~ ~ ~–
13  III,     104|           déchaîner aujourd’hui les passions populaires, que j’emploierai
14  III,     108|             étonne plus si quelques passions sombres et concentrées ont
15  III,     110|            ne satisfaisant plus ses passions et dissimulant ses habitudes
16  III,     110|          Rousseau, c’est-à-dire ses passions et ses vices mêmes, à la
17   IV,     128|           et à l’orgueil toutes les passions généreuses qui bouillonnent
18   IV,     143|             oui, ma douce sœur, les passions de la jeunesse ont succédé
19   IV,     151|             poésie. N’ai-je plus de passions ? Dis ! Regarde bien mes
20   IV,     161|         sombres, les plus haineuses passions.~ ~ ~– Soit ! dit-il, je
21   IV,     162|       creuse le théologien pour les passions humaines. À toute prescription