Tome,  Chap.

 1    I,  IntIII|   temps de s’aimer, et dans un an ils se mépriseront. D’ailleurs,
 2    I,  IntIII|      trois mille couronnes par an.~ ~ ~ ~Le chef suprême écrivit
 3    I,  IntIII|    chacun pour mille réaux par an. L’Espagne est un pays paresseux,
 4    I,       2|         que dis-je ? depuis un an. Eh bien ! vous n’y pensez
 5    I,      23|         sa maîtresse depuis un an à peu près, non sans observer
 6    I,      24|        sait bien que, depuis l’an… je ne sais combien de la
 7    I,      34|      le crois bien ; il y a un an que je m’y exerce.~ ~ ~–
 8   II,      43|  détritus des plantes mortes l’an dernier, et par les œufs
 9   II,      50| demandait, et le noviciat d’un an, de deux ans quelquefois
10   II,      57|    cellule. Qui sait ? dans un an, dans six mois, peut-être
11   II,      59|  commence à profiter ; dans un an, il portera les cent marcs
12   II,      79|  construire douze autres en un an… Enfin, cinquante frégates
13   II,      81|   quatre cent mille livres par an.~ ~ ~ ~La pendule tinta.~ ~ ~–
14  III,      84|  dépensé cent mille livres par an, et je ne l’ai jamais pu.~ ~ ~–
15  III,      99|       se plaidera pas avant un an, au moins.~ ~ ~– La raison,
16  III,     104|      je l’ai abordée, voilà un an, la monarchie fatiguait ;
17  III,     104|     dauphine, mariée depuis un an à l’héritier du trône de
18  III,     115|     naturel ; il y a tantôt un an de cela. Eh bien, mademoiselle,
19   IV,     160|       cent quarante livres par an.~ ~ ~– Jésus ! s’écria Madeleine ;
20   IV,     161|       de cinq cents livres par an, pendant quinze ans, et
21   IV,     Epi|       Épilogue~ ~Le 9 mai de l’an 1774, à huit heures du soir,