Tome,  Chap.

 1    I,      11| Gilbert l’avilissaient à ses propres yeux. Elle venait d’être
 2    I,      23|   Maupeou, Terray sous leurs propres couleurs ;~ ~Il y joint
 3    I,      31|     c’est-à-dire que, de vos propres oreilles, vous l’entendriez
 4    I,      35|    neuf mille livres sur mes propres deniers. J’espère que vous
 5    I,      39|    répétait probablement les propres paroles dictées par Marie-Thérèse.~ ~ ~ ~
 6   II,      41|    Chon était battue par ses propres armes. Elle se mordit les
 7   II,      47|     traité comme le sont les propres chevaux du roi.~ ~ ~– Merci.~ ~ ~–
 8   II,      49|     du monde à en croire ses propres yeux.~ ~ ~ ~Quant au visage
 9   II,      51|     après avoir abusé de ses propres forces.~ ~ ~ ~Le comte s’
10   II,      53|      un homme (c’étaient ses propres expressions) dont son père
11   II,      54|     grandissait encore à ses propres yeux. Qu’importait Gilbert
12   II,      56|  pour les dominer avec leurs propres passions !~ ~ ~– Oui, je
13   II,      59|      bien peu de chose à mes propres yeux si j’agissais ainsi ;
14   II,      59|      comme pour voir par ses propres yeux l’or gisant à ses pieds.~ ~ ~–
15  III,     103|      vous me donniez par vos propres moyens la liberté si on
16  III,     104|   consultant parfois sur ses propres misères, il arborait un
17   IV,     139|     je vous instruise de vos propres affaires ?~ ~ ~– Instruisez,
18   IV,     141|     vous vous abusez sur vos propres forces, Andrée.~ ~ ~– Non ;
19   IV,     161|   Toutefois, confiant en ses propres idées, en ses propres forces,
20   IV,     161|    ses propres idées, en ses propres forces, Gilbert eut le courage