Tome,  Chap.

 1    I,      35|  madame de Béarn.~ ~ ~– Je me meurs, dit la vieille. Ah ! quelle
 2   II,      42|     jour, tandis que, moi, je meurs de faim. » Et alors, il
 3   II,      50|      secret ?~ ~ ~– Oh ! j’en meurs de désir !~ ~ ~– Mais pourquoi
 4   II,      65| dites-le-moi, y en eût-il… Je meurs d’effroi !~ ~ ~– Il n’y
 5   II,      71| ramasse, on me reconnaît ; je meurs beau, noble, poétique ;
 6  III,      82| demanda Richelieu.~ ~ ~– J’en meurs d’envie, je l’avoue.~ ~ ~–
 7  III,     117|   dit-elle, vous savez que je meurs de tristesse et d’ennui.~ ~ ~ ~
 8  III,     120|  deviens fou, c’est que je me meurs.~ ~ ~– En effet, vous souffrez,
 9   IV,     131|      par chacun de ses pores, meurs donc, car, depuis quatre
10   IV,     134|     ah ! tu trouves que je ne meurs pas assez vite ; ah ! tu
11   IV,     134|    Allons, allons, dit-il, je meurs sans regret ; j’ai tout
12   IV,     144|       oui ! s’écria Philippe, meurs donc ! meurs donc, si tu
13   IV,     144|  écria Philippe, meurs donc ! meurs donc, si tu n’avoues ; meurs
14   IV,     144|  meurs donc, si tu n’avoues ; meurs à l’instant même. Dieu te
15   IV,     153|       cacher mon corps, si je meurs. Ce que j’ai en plus, je
16   IV,     164|           Oui.~ ~ ~– Eh bien, meurs comme un scélérat dont je
17   IV,     164|       dont je purge la terre, meurs comme un sacrilège, meurs
18   IV,     164|     meurs comme un sacrilège, meurs comme un bandit, meurs comme
19   IV,     164|        meurs comme un bandit, meurs comme un chien !~ ~ ~ ~Et