Tome,  Chap.

 1    I,    IntI|          car il faut qu’elle se jette dans le Rhin qui est son
 2    I,      10|        sens. Et puis que l’ange jette au vent sa robe de candeur,
 3    I,      10|       enfant. Si une fois je me jette hors de la pudeur, prends
 4    I,      11|       frisson révoltant où nous jette la succion d’un fruit âpre
 5    I,      27|  compensera. Le trône de France jette une ombre auguste sur les
 6    I,      36|    voilà M. de Richelieu qui se jette aux échelles, comme à Mahon,
 7   II,      43|       peuplée, le pain que l’on jette n’est perdu. Là, les oiseaux
 8   II,      59|        ami de la science, ne se jette dans la matière qu’au moment
 9   II,      74|      Nicole – Nicole à qui l’on jette des pierres par-dessus les
10   II,      74| ramassez les pierres qu’on vous jette par-dessus les murailles.~ ~ ~–
11   II,      81|     mêle, l’amour-propre vous y jette tout habillée… Vous dites
12  III,      84|      Prenez garde, comtesse, je jette mon bonnet par-dessus les
13  III,      85|         un coffret de fer. Il y jette la lettre et referme le
14  III,      87|        reste… et, pour Dieu, ne jette pas le manche après la cognée.~ ~ ~ ~
15  III,      91|      cette chaleur que Rousseau jette comme un fluide vivifiant
16  III,      98|        Le roi ! le roi ! qui se jette dans le guêpier.~ ~ ~– Vous
17   IV,     128|    mains de cette femme, qui le jette au vent ; je ressemble au
18   IV,     151|      voir un peu de ce que Dieu jette à pleines mains dans les
19   IV,     153| expression telle que je vous la jette au visage.~ ~ ~ ~Gilbert