Tome,  Chap.

 1    I,    IntI|          son côté, reconnu que la sienne ne tremblait pas.~ ~ ~ ~
 2    I,    IntI|         Soudain la main quitta la sienne, le bandeau s’envola de
 3    I,      11|           plus scrupuleuse que la sienne eût absorbé le double de
 4    I,      24| affliction et régler là-dessus la sienne. Pauvre vicomte ! forcé
 5    I,      29|           une main se posa sur la sienne et qu’une tête donna dans
 6    I,      30|         nulle autre figure que la sienne et celle du maigre, jaune
 7    I,      30|    révérence, la comtesse pour la sienne, et tous deux se saluèrent
 8    I,      34|         Louis XV laissa tomber la sienne.~ ~ ~ ~Ce matin-là, tout
 9   II,      45|           chambres pareilles à la sienne.~ ~ ~ ~Puis il réfléchit
10   II,      61|      autres femmes et très peu la sienne.~ ~ ~– En vérité, sire,
11   II,      68|           une cause pareille à la sienne, il passa outre.~ ~ ~ ~Puis
12   II,      73|           chambre qui séparait la sienne de celle de sa fille, et
13  III,      83|      intelligence supérieure à la sienne.~ ~ ~ ~Sa main gauche était
14  III,      88|         un autre aux dépens de la sienne.~ ~ ~ ~Mais, étant resté
15  III,     121|         voix n’ayant répondu à la sienne, cet homme ramassa le flambeau
16  III,     121|           glacée, la prit dans la sienne pour la réchauffer, et,
17   IV,     127|          influence contraire à la sienne, ne prît connaissance de
18   IV,     160|       suivaient ou dépassaient la sienne, les plaintes du vent dans