Tome,  Chap.

 1    I,       3|             Mais à peine eut-il senti sa longe aux mains inhabiles
 2    I,      10|  proclamée.~ ~ ~ ~Gilbert avait senti la fausseté de sa position :
 3    I,      11|       et elle avait cruellement senti la douleur de cette punition ;
 4   II,      49|     lucidité de sa fille, avait senti s’allumer sa colère en songeant
 5   II,      53|      dernier, la dauphine avait senti ses lèvres blêmir et trembler ;
 6   II,      81|       comme des oiseaux qui ont senti la poudre du chasseur.~ ~ ~ ~
 7   II,      81|        voix de Jean, elle avait senti un malheur et accourait
 8  III,      86|        siens. Le clergé s’était senti ménagé par cet homme, dont
 9  III,     106|         le Breton, je n’ai rien senti ; mon sommeil a même été
10   IV,     125|        pistolet ; il avait même senti sur son front le froid de
11   IV,     139| vivement d’Aiguillon, qui avait senti toute la portée de la manœuvre
12   IV,     140|       Aussitôt que Philippe eut senti l’ennui, le découragement
13   IV,     146|        à votre approche, elle a senti les atteintes, et que vous
14   IV,     147|    couchée, elle lisait, elle a senti l’invasion de cette torpeur
15   IV,     150|       des bienfaits, avons-nous senti la protection d’un père ?…
16   IV,     151|      rapide, n’eut pas plus tôt senti la liberté qu’elle ouvrit
17   IV,     151| reporter dans sa chambre ; j’ai senti sa chair près de ma chair :
18   IV,     160|   Gilbert lui-même, n’avait pas senti les atteintes du froid et