Tome,  Chap.

 1    I,  IntIII| celui-ci, dont la vigueur et la rude activité se trahissaient
 2    I,      13|         que le ciel avait créée rude, dominatrice et susceptible ;
 3    I,      21|     défenseur des chevaux un si rude coup de poing, que celui-ci
 4    I,      38|        amie la duchesse est une rude antagoniste qui blesse en
 5   II,      43|    latin, et Tacite, qui est un rude jouteur, l’a bientôt eu
 6   II,      64|          Ce n’était pas la plus rude partie, car il restait encore
 7   II,      77|        vérité. Il a fait là une rude besogne. Tenez, comtesse,
 8   II,      79|                L’argument était rude, le roi le sentit.~ ~ ~–
 9  III,      85|         c’est vrai ; elle a été rude, c’est vrai encore ; mais
10  III,      90|   triomphe ! Mais le choc était rude, et notre maître est malade ;
11  III,      96|         exactitude : c’était un rude soufflet sur la joue des
12  III,      97|         stupeur.~ ~ ~– Voilà un rude coup ! dit Richelieu ; tu
13  III,     100|       chancelier de déployer sa rude et concise éloquence, pour
14  III,     101|   dégénéra en une mercuriale si rude que la noblesse en eut le
15  III,     106|         remontèrent ensemble le rude escalier qui conduisait
16  III,     118|       secret ni l’argent de son rude antagoniste.~ ~ ~ ~Elle
17   IV,     141|       par grâce, ne sois pas si rude envers ce garçon, tu le
18   IV,     145|       se voyait mise à une trop rude épreuve, lorsque, du fond