Tome,  Chap.

 1    I,    IntI|      cette solitude effraie et rend si vénérable cette partie
 2    I,  IntIII|     ces âmes préexistantes, la rend à l’heure de son trépas
 3    I,       6|             Et Philippe le lui rend bien du reste, dit Andrée
 4    I,      25|      cœur qu’un habile médecin rend à la vie.~ ~ ~ ~Le roi regarda
 5   II,      56|  Balsamo avec joie, cela ne te rend pas fière de moi ?~ ~ ~–
 6  III,      87|        ce rôle, que mon âge me rend impossible, je le dédoublerai.~ ~ ~–
 7  III,      88|       homme dont le choix vous rend populaire ?… Ma foi, non.~ ~ ~–
 8  III,      96|     soulever en France, ce qui rend la chanson souveraine dominatrice
 9  III,      98|   caractère, mais tout cela me rend furieux.~ ~ ~– Furieux monseigneur ?~ ~ ~–
10  III,      99|       oui… Lequel ? Sa Majesté rend beaucoup d’arrêtés.~ ~ ~–
11  III,     109|      dupe des respects qu’on y rend au maître ? Eh ! bonne femme,
12  III,     113|     société et c’est ce qui la rend furieuse.~ ~ ~– En vérité,
13  III,     113|      Qui sait ? La jalousie la rend folle, duc.~ ~ ~– Sire,
14  III,     119|     pas de ces femmes que l’on rend malheureuses, moi ; n’ayez
15   IV,     130|        prêter cette pierre qui rend invisible ; car il m’a semblé
16   IV,     146| demande pardon, monsieur ne me rend pas de comptes.~ ~ ~– Mon
17   IV,     148|         Andrée, toi, ce qui te rend malade, c’est le chagrin
18   IV,     150|     dernière faveur de Dieu le rend inviolable pour tous.~ ~ ~–