Tome,  Chap.

 1    I,       1|        de la rue avec la lourde machine, que vingt enfants et dix
 2    I,      25|       qui intéresse cette autre machine plus surprenante encore
 3    I,      25|       silence se fit dans cette machinefourmillaient naguère
 4    I,      25| aiguilles et de roues.~ ~ ~ ~La machine était arrêtée, la pendule
 5    I,      25|     génie de cette merveilleuse machine qui se reposait, fatigué
 6    I,      25|         continua de démonter la machine compliquée et en visita
 7   II,      60|        se plaça au centre de la machine, qui, au moyen d’un autre
 8   II,      60| arracher le foie à cette grande machine qu’on appelle le continent
 9   II,      60|     repoussant le cadavre et la machine, assez d’expériences comme
10   II,      65|         à décrire : c’était une machine, élevée au-dessus de la
11   II,      66|     avait séparé du corps de la machine : il était placé du côté
12   II,      78|       répondre :~ ~ ~– Bah ! la machine durera bien toujours autant
13  III,     105|         de la vie, trouvera une machine qui détachera ainsi la tête
14  III,     105|                Je comprends une machine froide et impassible comme
15  III,     105|       en serait pas ainsi d’une machine, de deux bras de chêne qui
16  III,     105|    trembler.~ ~ ~– Une pareille machine existe en Italie ; un corps
17  III,     105|         au lieu de chercher une machine qui tuât pour punir, l’homme
18   IV,     127|      son fauteuil, intelligente machine qui lui épargnait toute
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