Tome,  Chap.

 1    I,       1|     près invisibles au profane vulgaire, étaient pratiquées dans
 2    I,      10|       trouvent le naturel trop vulgaire, entraînées qu’elles sont
 3    I,      25|     doux, à la démarche un peu vulgaire, se promenait, les bras
 4    I,      27| chagrin n’est point un chagrin vulgaire ; voilà pourquoi ma résolution
 5   II,      47|        est point à une abbesse vulgaire que je puis m’adresser,
 6   II,      61|        Taverney est une beauté vulgaire.~ ~ ~– Allons donc ! dit
 7   II,      63|  éclater de ce gros rire assez vulgaire, mais qui donnait à son
 8   II,      65|       laissons ces craintes au vulgaire : l’agitation physique est
 9  III,      83|  éperons.~ ~ ~ ~La physionomie vulgaire de cet homme annonçait un
10  III,      84|      nous traduirons en langue vulgaire :~ ~ ~– Mon amie !… m’entendez-vous ?…
11  III,     103|  naître l’homme, cet événement vulgaire et pourtant sublime ? l’
12   IV,     127|      un de ces actes de la vie vulgaire ; pour qu’il se fût donné
13   IV,     132|     aux pieds d’un objet aussi vulgaire que cette femme morte ?
14   IV,     134|     prendre comme une créature vulgaire : écoute, tu peux revenir,
15   IV,     140|       nature même au-dessus du vulgaire, et souvent aussi, par leur
16   IV,     148|      pas pour arriver à un but vulgaire. Ma sœur, répéta Philippe,
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