Tome,  Chap.

 1    I,    IntI| tressaillent parfois, eux et leurs chiens, au bruit de quelque sapin
 2    I,      19|        éteignit dans le bourg, les chiens eux-mêmes, fatigués de la
 3    I,      28|       traite mal, plus mal que ses chiens.~ ~ ~– Je le crois bien ;
 4    I,      28|             Je le crois bien ; mes chiens, quand j’arrive, ils me
 5    I,      28|             ils me caressent ; mes chiens, voilà de véritables amis !
 6    I,      28|            on ouvre le cabinet des chiens, dit le roi.~ ~ ~– Oh !
 7    I,      28|          sifflant les haleines des chiens qui sentaient leur maître.~ ~ ~–
 8    I,      28|          que le roi entre près des chiens.~ ~ ~– Ah ! oui ! dit le
 9    I,      28|      Artois court les ruelles. Mes chiens deviennent enragés et veulent
10   II,      40|            de Taverney !~ ~ ~ ~Des chiens joyeux, des domestiques
11   II,      44|    jouaient dans la fange avec des chiens, des vaches et des porcs.~ ~ ~ ~
12   II,      48|          précéder parfois par deux chiens irrésistibles.~ ~ ~ ~Le
13   II,      60|            Parce que c’étaient des chiens ; des hommes n’eussent rien
14   II,      60|                Que c’est laid, les chiens noirs ! Tâche, la première
15   II,      61|  processions et quand joueront les chiens savants.~ ~ ~– Ah ! ça me
16  III,      91|          idées nouvelles comme les chiens aux masques.~ ~ ~ ~Richelieu