Tome,  Chap.

 1    I,      18|         serviette, au bout de sa canne de cornouiller. Puis, découvrant
 2    I,      21|        quelque chose, soit de la canne, soit des pierres, soit
 3   II,      42|      tenait entre ses jambes une canne de houx, dont la pomme arrondie
 4   II,      48|    couleurs vives et à la grosse canne, qui lui-même se faisait
 5   II,      68|        droite s’appuyant sur une canne, tandis que, de la gauche,
 6  III,      93|     vieux maréchal en donnant sa canne et son chapeau à Nicole
 7  III,     102| reprenait haleine, appuyé sur sa canne, debout et un instant immobile
 8  III,     102|               Il s’appuya sur sa canne de jonc, et, sans avoir
 9  III,     102|      Rousseau, en s’aidant de sa canne, descendit les degrés ;
10  III,     105|    riches.~ ~ ~– Mon chapeau, ma canne, dit Marat.~ ~ ~– Allongez
11  III,     105|     chapeau, et sans doute cette canne, qui est près de votre chapeau,
12  III,     107|          d’argent de ma dernière canne, qu’a pris cette petite
13  III,     107|     disparition du pommeau de ma canne.~ ~ ~– Eh bien, moi, je
14  III,     109|   chapeau sous son bras, prit sa canne, et, profitant d’un moment
15   IV,     138|         et appuyé sur une longue canne, entra dans le petit appartement.~ ~ ~–
16   IV,     Epi|       tourné vers le château, sa canne servant d’appui à ses deux