Tome,  Chap.

 1    I,       6|        un boulet le prit à la gorge, comme autrefois M. de Berwick,
 2    I,       9|     Andrée porta la main à sa gorge, comme pour exprimer que
 3    I,      23|      menton, aux doigts ; une gorge moulée sur celle de la Vénus
 4    I,      31|      il en avait menti par la gorge. Mais, malheureusement,
 5    I,      33|       capable de se couper la gorge, comme ce pauvre Vatel.~ ~ ~–
 6   II,      67| menacé Andrée, étreignit à la gorge le soldat qui allait frapper,
 7   II,      74|     ses reins au profit d’une gorge exquise frémissant sous
 8  III,      91|    qui cachait pudiquement la gorge de la jeune fille. Mademoiselle
 9  III,     121|      ces cheveux épars, cette gorge que nul souffle ne soulevait,
10  III,     123|     porta ses deux mains à sa gorge, comme si les mots près
11   IV,     127| introduire mon élixir dans ma gorge avec un conduit d’or. Mais
12   IV,     128|     mais qui étouffent ; à la gorge dorée, mais pleine de venin ;
13   IV,     131|     cri étouffé au fond de sa gorge.~ ~ ~ ~Il venait, sous ce
14   IV,     132|      cri qui avait déchiré sa gorge.~ ~ ~ ~Depuis cette foudroyante
15   IV,     164|       ennemi pénétrer dans sa gorge ; il se redressa, se roidit