Tome,  Chap.

 1    I,  IntIII|              Frères, empruntez les ailes et les yeux de l’aigle,
 2    I,       1|            sur la vallée avait des ailes et se précipitait aussi
 3    I,       5|            après avoir dévoré deux ailes de perdreau que sa fille
 4   II,      42|          frôlement rapide de leurs ailes, et le seul chant qui retentisse
 5   II,      56|          moi comme des sylphes aux ailes d’or, et qui fondaient mon
 6  III,      83|           à l’heure, d’étendre vos ailes comme ces oiseaux dont vous
 7  III,      89|          qui se réchauffe sous les ailes de la dauphine pour mordre
 8  III,      96|             ouvraient leurs vastes ailes au-dessus du palais de Thémis,
 9   IV,     128|       Jamais tu ne regretteras tes ailes, pauvre colombe ? car, sache-le
10   IV,     132|  silencieusement en repliant leurs ailes pesantes sur cette chambre
11   IV,     132|         sans parvenir à enfler ses ailes.~ ~ ~ ~La stupéfaction de
12   IV,     151|         liberté qu’elle ouvrit ses ailes comme faisaient ces passereaux
13   IV,     152|     escalier comme s’il eût eu des ailes, s’enfonça dans le bois
14   IV,     152| chauve-souris venait battre de ses ailes silencieuses les vitres
15   IV,     163|          enseveli dans ses grandes ailes.~ ~ ~ ~Philippe s’alla enfermer