Tome,  Chap.

 1    I,    IntI|        Faucons, celle-là la Crête du Serpent.~ ~ ~ ~La plus élevée de
 2    I,      33|    paillettes lumineuses à la Seine, serpent gigantesque et paresseux
 3   II,      54|                  Te calomnier, petit serpent, s’écria Rousseau, quand
 4   II,      57|              se reculant comme si un serpent l’eût effleurée :~ ~ ~–
 5   II,      65|              tordus, calcinés par ce serpent aux brûlantes étreintes
 6   II,      66| Champs-Élysées, en tournant comme un serpent trois fois replié sur lui-même.~ ~ ~ ~
 7   II,      68|         flasque recouvrait un œil de serpent, et sa bouche était tordue
 8   II,      75|          noueuses circonvolutions le serpent s’enroulant autour du tronc,
 9  III,     119|           Gilbert se glissa comme un serpent jusqu’au mur en terrasse
10  III,     120|              aussi fatalement que le serpent attire l’oiseau.~ ~ ~ ~À
11   IV,     128|              m’est nuisible.~ ~ ~« O serpent aux replis gracieux, mais
12   IV,     139|            dit-il.~ ~ ~– Et vous, un serpent.~ ~ ~– Ah ! c’est bien ;
13   IV,     139|        adroit ! C’est lui qui est un serpent ; figurez-vous que, moi,
14   IV,     151|              se redressa comme si un serpent l’eût piqué.~ ~ ~– Par moi ?