Tome,  Chap.

 1    I,  IntIII|     an. L’Espagne est un pays paresseux, où l’homme sait dormir
 2    I,      11|       il le mérite ; c’est un paresseux.~ ~ ~– Oh ! mademoiselle,
 3    I,      33|        serpent gigantesque et paresseux dont on pouvait suivre les
 4   II,      43|       le vieillard, vous êtes paresseux, alors ?~ ~ ~– Oh ! non,
 5   II,      43|      Oh ! non, je ne suis pas paresseux ; car, au lieu de me faire
 6   II,      44| charité.~ ~ ~– Comme tous les paresseux s’entendent ! murmura Thérèse
 7   II,      48|    pourtant rien porté.~ ~ ~– Paresseux ! dit la tante.~ ~ ~– Monsieur,
 8   II,      61| bouffis encore de sommeil, le paresseux ! Il se lève, ma chère,
 9   II,      66|      plus pressés et les plus paresseux du monde connu, se furent
10   II,      75|       l’œil est lourd, le dos paresseux ; herborisons donc encore
11  III,      89|          Rafté, tu n’es qu’un paresseux ; tu devines que toi, mon
12  III,     101|    quelquefois, ils n’étaient paresseux en même temps qu’égoïstes.
13   IV,     127|       ce faible vieillard, si paresseux, eût quitté son fauteuil,
14   IV,     151|   savez que je ne suis pas un paresseux.~ ~ ~– Eh bien, dit Rousseau