Tome,  Chap.

 1    I,      14|      beauté ; ses mains étaient royales. Elle avait deux démarches
 2    I,      21|     chevaux, comme les altesses royales, quoique j’y aie droit,
 3    I,      30| carrosse magnifique aux livrées royales attendait près du perron.
 4    I,      38|    terreur. Le sens des paroles royales avait été bien compris :
 5   II,      48|         répandue des splendeurs royales de cette solennité, vit-on
 6   II,      49|     sergent.~ ~ ~ ~Les voitures royales passèrent.~ ~ ~ ~La file
 7   II,      76| familiarité et une grâce toutes royales.~ ~ ~– Permettez que je
 8   II,      76|        ne respectait ni humeurs royales ni boutades de philosophes.~ ~ ~ ~
 9  III,      91|        souper de Leurs Altesses royales.~ ~ ~ ~Trois fois par semaine,
10  III,     107|       on eût appelées des mains royales, si, au lieu des ampoules
11  III,     108|         seraient Leurs Altesses royales.~ ~ ~ ~Rousseau fit un bond
12   IV,     125|       de fois posées les lèvres royales.~ ~ ~ ~Dans ce mouvement,
13   IV,     148|     jour, et l’écho des maisons royales est bruyant.~ ~ ~– Oh !
Best viewed with any browser at 800x600 or 768x1024 on Tablet PC
IntraText® (VA2) - Some rights reserved by EuloTech SRL - 1996-2010. Content in this page is licensed under a Creative Commons License