Tome,  Chap.

 1    I,       6|           vertueux ; ou bien : La vraie monarchie n’est qu’une constitution
 2    I,      15|       vous attend ?~ ~ ~– Oh ! ma vraie famille, ma mère Marie-Thérèse,
 3    I,      32|        décidée à mentir comme une vraie comtesse, si la vérité n’
 4   II,      43|          on peut choisir entre la vraie science, modeste et martyre,
 5   II,      45|           de Graffenried est donc vraie ? Cet amour ardent pour
 6   II,      57| Enfermez-moi tout à fait dans une vraie prison !~ ~ ~– Non pas !
 7   II,      61|       attelait, ne serait pas une vraie provinciale, si, de son
 8   II,      73|        moins, chaque parole était vraie.~ ~ ~– Je repris mes sens,
 9  III,      93|           avança ; elle avait, en vraie Marton, écouté aux portes.~ ~ ~ ~
10  III,     114|     accent plein d’une terreur si vraie, vous vous exagérez une
11  III,     120|        elle aimât d’une affection vraie et profonde.~ ~ ~ ~Elle
12   IV,     143|           de cette exclamation si vraie d’Andrée, se rapprocha d’