IntraText Index | Mots: Alphabétique - Fréquence - Inversions - Longueur - Statistiques | Aide | Bibliothèque IntraText | Recherche |
Alphabétique [« »] philanthrope 3 philanthropes 1 philanthropiques 2 philippe 826 philippsburg 12 philologie 1 philosophait 2 | Fréquence [« »] 845 jeune 829 fait 828 où 826 philippe 786 deux 783 encore 750 eh | Alexandre Dumas Joseph Balsamo Concordances philippe |
Tome, Chap.
1 I, 6| Il l’exècre.~ ~ ~– Et Philippe le lui rend bien du reste, 2 I, 7| puisque c’est celle de M. Philippe quand il vient à Taverney.~ ~ ~– 3 I, 9| Maison-Rouge ?~ ~ ~– Mon frère Philippe.~ ~ ~– Pourquoi l’appelez-vous 4 I, 9| Vous me demandez où est Philippe ?~ ~ ~– Oui.~ ~ ~– Il est 5 I, 9| joie éclatante ; oh ! cher Philippe, quel bonheur !~ ~ ~– Qu’ 6 I, 9| Qu’y a-t-il ?~ ~ ~– Cher Philippe ! continua Andrée, dont 7 I, 9| portière et fait signe à Philippe d’approcher : il obéit, 8 I, 12| monsieur votre fils.~ ~ ~– Par Philippe ?~ ~ ~– Par lui-même.~ ~ ~ ~ 9 I, 12| réjouit le plus. Ce cher Philippe, qu’un heureux hasard va 10 I, 12| voilà en effet…~ ~ ~– M. Philippe ! s’écria Nicole en se haussant 11 I, 12| Oui, mon père, disait Philippe, qui voyait un reste de 12 I, 12| toi ?~ ~ ~– Mon père, dit Philippe, un grand honneur est réservé 13 I, 13| Chapitre XIII~ Philippe de Taverney~ ~Philippe de 14 I, 13| Philippe de Taverney~ ~Philippe de Taverney, chevalier de 15 I, 13| que la leur fait le monde, Philippe était triste sans être sombre. 16 I, 13| mansuétude du lion.~ ~ ~ ~Philippe avait à peine embrassé son 17 I, 13| la chaste enfant.~ ~ ~ ~Philippe prit la main d’Andrée et 18 I, 13| Andrée, voyant que Philippe était joyeux, ne doutait 19 I, 13| voyez bien, mon père, que Philippe semble heureux !~ ~ ~– Parce 20 I, 13| heureux !~ ~ ~– Parce que M. Philippe est un enthousiaste ; mais 21 I, 13| Oui, oui, raconte, Philippe, dit Andrée.~ ~ ~– Eh bien ! 22 I, 13| chevalier.~ ~ ~– Dis donc, Philippe ?… dit le baron en hésitant.~ ~ ~– 23 I, 13| enthousiasme.~ ~ ~– Cherche.~ ~ ~ ~Philippe chercha.~ ~ ~– Non, dit-il.~ ~ ~– 24 I, 13| c’est étrange ! s’écria Philippe surpris. Oui, Nicole en 25 I, 13| D’un sorcier ? dit Philippe étonné.~ ~ ~– Oui, lequel 26 I, 13| mais achève ton récit, Philippe, achève.~ ~ ~– Peut-être 27 I, 13| ridicules, dit-il. Continuez, Philippe, continuez.~ ~ ~– J’y suis, 28 I, 13| retenues mot pour mot, dit Philippe, avec l’intonation, l’air 29 I, 13| reines. Bien, continuez, Philippe.~ ~ ~– Que répondîtes-vous ? 30 I, 13| vous, monsieur, répondit Philippe en s’inclinant.~ ~ ~ ~Andrée 31 I, 13| de Son Altesse, continua Philippe, pour retourner à mon logis 32 I, 13| Cependant, continua Philippe, madame la dauphine était 33 I, 13| dire, mon père ? demanda Philippe.~ ~ ~– Je dis, mâchonna 34 I, 13| tarder, monsieur, répéta Philippe. J’ai pris la traverse par 35 I, 14| bien !~ ~ ~ ~En ce moment Philippe de Taverney arriva suivi 36 I, 14| chuchotant tout bas.~ ~ ~ ~Philippe de Taverney s’approcha de 37 I, 14| comme ce que lui avait dit Philippe de la pauvreté de leur père 38 I, 14| côté Andrée et fit signe à Philippe de venir auprès de sa sœur.~ ~ ~ ~ 39 I, 14| d’un grand salut.~ ~ ~ ~Philippe, de son côté, se retournait 40 I, 14| pas de la dauphine.~ ~ ~ ~Philippe et Andrée se regardaient 41 I, 14| dauphine se tourna vers Philippe.~ ~ ~– Monsieur vous avait 42 I, 14| peut-être raison.~ ~ ~ ~Philippe tremblait de surprise, et, 43 I, 16| recommandation fût faite : Philippe de Taverney bondissait déjà 44 I, 16| le monde. En conséquence, Philippe s’approcha d’elle.~ ~ ~– 45 I, 16| les lèvres d’Andrée et de Philippe, tout en se dessinant amer 46 I, 16| voiture, messieurs !… Monsieur Philippe, à cheval !~ ~ ~ ~Philippe 47 I, 16| Philippe, à cheval !~ ~ ~ ~Philippe baisa la main de son père, 48 I, 21| écumant de sueur.~ ~ ~– M. Philippe de Taverney ! murmura Gilbert 49 I, 22| Chaussée.~ ~ ~ ~En apercevant Philippe, le maître de poste alla 50 I, 22| Non, répondit froidement Philippe, mais vous allez me le dire, 51 I, 22| madame la dauphine.~ ~ ~ ~Philippe dressa l’oreille en homme 52 I, 22| Monsieur ? répéta Philippe.~ ~ ~– Eh ! mordieu ! oui, 53 I, 22| quatre chevaux, monsieur, dit Philippe étendant le bras vers le 54 I, 22| ces termes ? interrompit Philippe.~ ~ ~– Eh ! parbleu ! de 55 I, 22| car je suis pressé.~ ~ ~ ~Philippe saisit le premier cheval 56 I, 22| bride.~ ~ ~– Monsieur, dit Philippe de Taverney de sa voix calme, 57 I, 22| élança dans la voiture.~ ~ ~ ~Philippe s’approcha de la portière.~ ~ ~– 58 I, 22| seconde, monsieur, reprit Philippe en empêchant avec sa main 59 I, 22| arrête dans mon devoir, dit Philippe en s’inclinant avec politesse, 60 I, 22| nous verrons, monsieur, dit Philippe en tombant en garde et en 61 I, 22| brigadier qui commandait sous Philippe six hommes de l’escorte, 62 I, 22| une partie de sa force. Philippe, au contraire, semblait 63 I, 22| maîtres de régiment.~ ~ ~ ~Philippe, au contraire, avec ses 64 I, 22| rien, mais aussi sans que Philippe, qui, sans doute, étudiait 65 I, 22| long de ses doigts.~ ~ ~ ~Philippe, d’un coup de riposte, venait 66 I, 22| laissant tomber son épée.~ ~ ~ ~Philippe la ramassa et la lui rendit.~ ~ ~– 67 I, 22| justice d’avouer, madame, dit Philippe, qu’il n’y a pas de ma faute, 68 I, 22| reconduisez-les à leur place, dit Philippe au maître de poste.~ ~ ~ ~ 69 I, 22| Jean montra le poing à Philippe, qui haussa les épaules.~ ~ ~– 70 I, 22| Pendant ce temps Philippe, remonté sur son cheval, 71 I, 22| appelle ce monsieur ?~ ~ ~– Philippe de Taverney.~ ~ ~ ~En ce 72 I, 22| plaisir, monsieur, répartit Philippe impassible.~ ~ ~– Oui, oui, 73 I, 22| que nous verrons, monsieur Philippe de Taverney ! cria Jean 74 I, 22| jeune homme.~ ~ ~ ~En effet, Philippe leva la tête avec une vive 75 I, 26| poste, quand M. le chevalier Philippe de Taverney est arrivé, 76 I, 39| cela. Ce jeune homme est M. Philippe de Taverney.~ ~ ~– Celui 77 II, 40| préliminaires du duel de Philippe de Taverney avec le vicomte 78 II, 40| vicomte le coup d’épée de Philippe, qui ne pouvait tourner 79 II, 41| leur porte.~ ~ ~– Et M. Philippe de Taverney, par exemple, 80 II, 41| Je n’ai rien contre M. Philippe. M. Philippe ne m’a jamais 81 II, 41| rien contre M. Philippe. M. Philippe ne m’a jamais fait ni bien 82 II, 41| M. de Choiseul contre M. Philippe de Taverney ?~ ~ ~– À quel 83 II, 41| comprends : le bien… c’est M. Philippe de Taverney ; le mal… c’ 84 II, 41| Vous témoignerez contre Philippe de Taverney, n’est-ce pas ?~ ~ ~– 85 II, 41| Tandis qu’au contraire, M. Philippe de Taverney…~ ~ ~– Eh bien ?~ ~ ~– 86 II, 49| Gilbert, retirez-vous !~ ~ ~– Philippe, Philippe ! cria le vieillard.~ ~ ~– 87 II, 49| retirez-vous !~ ~ ~– Philippe, Philippe ! cria le vieillard.~ ~ ~– 88 II, 49| portière du carrosse : c’était Philippe de Taverney, avec un uniforme 89 II, 49| Bonjour, monsieur Philippe, répondit le jeune homme.~ ~ ~– 90 II, 49| qu’a-t-il fait ? demanda Philippe en regardant tour à tour 91 II, 49| écria le baron. Frappe, Philippe, comme sur un chien.~ ~ ~ ~ 92 II, 49| Gilbert.~ ~ ~– Non, rien, Philippe, répondit Andrée, non ; 93 II, 49| C’est là tout ? demanda Philippe.~ ~ ~– Absolument, mon frère, 94 II, 49| pas même un regard. Voyez, Philippe, si nous avançons.~ ~ ~ ~ 95 II, 49| coup mortel de l’épée de Philippe, et même un coup sanglant 96 II, 49| Il se retourna et vit Philippe, qui, ayant mis pied à terre 97 II, 49| ignorance et de faim !~ ~ ~ ~Philippe tressaillit, car son esprit 98 II, 49| désirent ne rien faire.~ ~ ~ ~Philippe tressaillit à cette réponse. 99 II, 49| gagne mon pain, monsieur Philippe, et il n’en faut pas davantage 100 II, 49| Tu en gagnes ! dit Philippe en souriant ; et combien 101 II, 49| services à moi, monsieur Philippe ?~ ~ ~– Sans doute, mes 102 II, 49| Ce langage t’étonne ? dit Philippe.~ ~ ~– Non, monsieur, dit 103 II, 49| fier avec moi, continua Philippe, et ce que je t’aurai prêté, 104 II, 49| cette admirable expansion de Philippe ; merci, je n’ai besoin 105 II, 49| Et là-dessus, saluant Philippe stupéfait, il regagna vivement 106 II, 53| Saint-Denis~ ~En s’éloignant de Philippe, Gilbert, comme nous l’avons 107 II, 53| douleur que le bon accueil de Philippe et ses obligeantes offres 108 II, 53| reconnu le carrosse d’Andrée, Philippe galopait ou plutôt piaffait 109 II, 53| un genou.~ ~ ~– Monsieur Philippe, dit la dauphine, je vous 110 II, 53| Il y monta avec Andrée et Philippe, puis la portière se referma 111 II, 53| eux.~ ~ ~– Mon ami, dit Philippe au laquais qui refermait 112 II, 53| et doit être fatigué, dit Philippe.~ ~ ~ ~Le baron grommela 113 II, 53| Je l’espère, dit Philippe. J’ai envoyé directement 114 II, 53| Malheureusement, oui, mon père, dit Philippe en souriant avec mélancolie.~ ~ ~– 115 II, 53| nous réveiller trop tôt. Philippe, as-tu donné l’adresse au 116 II, 53| Oui, mon père, dit Philippe.~ ~ ~ ~Gilbert, qui avait 117 II, 53| maison que leur avait choisie Philippe.~ ~ ~ ~Heureusement qu’il 118 II, 53| tête à la portière.~ ~ ~ ~Philippe dit :~ ~ ~– C’est la statue 119 II, 53| Nous voici arrivés, dit Philippe.~ ~ ~ ~Gilbert laissa ses 120 II, 53| derrière une borne.~ ~ ~ ~Philippe sauta le premier hors de 121 II, 54| avait demandé Andrée à Philippe.~ ~ ~– Que n’avait-elle 122 II, 54| à conserver. La veille, Philippe avait annoncé à son père 123 II, 66| Oh ! mon père ! dit Philippe.~ ~ ~– Qu’est-ce que c’est 124 II, 66| je vais descendre, dit Philippe, et voir s’il y a moyen 125 II, 66| dites qu’on se dérange, Philippe, et que nous passions.~ ~ ~– 126 II, 66| plus Paris, mon père, dit Philippe. Ces façons de maître étaient 127 II, 66| Mon père, dit en souriant Philippe, quand vous seriez le dauphin 128 II, 66| Voulez-vous, Andrée ? demanda Philippe.~ ~ ~– Je veux bien, dit 129 II, 66| Bien, restez, dit Philippe, nous ne nous éloignons 130 II, 66| place entre elles.~ ~ ~ ~Philippe se plaça aux pieds de sa 131 II, 66| Êtes-vous bien, Andrée ? demanda Philippe.~ ~ ~– À merveille, répondit 132 II, 67| diversifiés.~ ~ ~– Voyez donc, Philippe, que c’est beau ! dit-elle.~ ~ ~– 133 II, 67| presque horizontalement.~ ~ ~ ~Philippe achevait à peine de manifester 134 II, 67| trop tôt !~ ~ ~– Non, dit Philippe, non, ce n’est pas le bouquet : 135 II, 67| laissez-moi voir encore, Philippe ; c’est si beau !~ ~ ~– 136 II, 67| il vous plaît !~ ~ ~ ~Et Philippe, passant son bras autour 137 II, 67| tard, et la prédiction de Philippe se réalisait. Le bouquet, 138 II, 67| que le flot dont parlait Philippe tomba comme une trombe sur 139 II, 67| générales.~ ~ ~ ~Au moment où Philippe avait entraîné Andrée, Gilbert 140 II, 67| Andrée, cramponnée au bras de Philippe, fut englobée dans un groupe 141 II, 67| de deux chevaux furieux. Philippe le vit venir à lui rapide 142 II, 68| en poursuivant de ce cri Philippe qui s’enfuyait, voyez, sont-ce 143 II, 68| jambes des riches ?~ ~ ~ ~Philippe, qui appartenait à cette 144 II, 68| Entendant gémir ainsi Philippe, cet homme comprit ce qu’ 145 II, 68| fils ? demanda timidement Philippe.~ ~ ~– Non, monsieur, mais 146 II, 68| pâles, ce soir, répliqua Philippe.~ ~ ~– Oh ! voyez, dit le 147 II, 68| bien certainement, murmura Philippe.~ ~ ~– Que de souffrances !~ ~ ~– 148 II, 68| supplie !~ ~ ~ ~En effet, Philippe avait aperçu et saisi un 149 II, 68| Gilbert !… s’écria à son tour Philippe.~ ~ ~– Vous connaissez Gilbert, 150 II, 68| elle était glacée.~ ~ ~ ~Philippe ouvrit le gilet du jeune 151 II, 68| vit, vous dis-je ! s’écria Philippe.~ ~ ~– Oh ! croyez-vous ?~ ~ ~– 152 II, 68| Je n’ai qu’un bras, dit Philippe, il est à vous, monsieur.~ ~ ~– 153 II, 68| le chirurgien apercevant Philippe avant d’apercevoir le vieillard.~ ~ ~ ~ 154 II, 68| apercevoir le vieillard.~ ~ ~ ~Philippe ne répondit rien. Le vieillard 155 II, 68| presque inintelligibles.~ ~ ~ ~Philippe, saisi de stupéfaction de 156 II, 68| retirant, il passa près de Philippe.~ ~ ~– Tenez, monsieur, 157 II, 68| Merci, monsieur, merci, dit Philippe.~ ~ ~ ~Il saisit la lanterne, 158 II, 69| n’était-elle pas près de Philippe, suspendue à son bras, sous 159 II, 69| rien de plus simple ; mais Philippe, cette nature ardente, vigoureuse, 160 II, 69| ardente, vigoureuse, vivace ; Philippe, ce bras d’acier ; Philippe 161 II, 69| Philippe, ce bras d’acier ; Philippe responsable de sa sœur, 162 II, 69| sœur, c’était impossible : Philippe avait lutté et devait avoir 163 II, 69| comme tout égoïste, ornait Philippe de toutes les qualités qu’ 164 II, 69| raisonnement, conclut d’abord que Philippe avait tout naturellement 165 II, 69| cria :~ ~ ~– Et monsieur Philippe ! et mademoiselle Andrée ! 166 II, 69| ciel.~ ~ ~– Ah ! voici M. Philippe, s’écria Nicole avec un 167 II, 69| impossible à décrire, car Philippe était seul.~ ~ ~ ~En effet, 168 II, 69| ombre de la nuit accourait Philippe, haletant, désespéré.~ ~ ~– 169 II, 69| n’est pas ici, monsieur Philippe. Oh ! mon Dieu ! mon Dieu ! 170 II, 69| secrets de sa logique.~ ~ ~ ~Philippe, pour toute réponse, s’approcha, 171 II, 69| morte ou vive ! s’écria Philippe d’un air sombre.~ ~ ~ ~Et 172 II, 69| y porter secours.~ ~ ~ ~Philippe erra une partie de la nuit 173 II, 69| blanchissaient l’orient, Philippe, exténué, prêt à tomber 174 II, 69| été ramenée à la maison, Philippe reprit le chemin de la rue 175 II, 69| Eh bien ? cria-t-il à Philippe.~ ~ ~– Quoi ! ma sœur n’ 176 II, 69| espoir ?~ ~ ~– Rien !~ ~ ~ ~Philippe tomba sur le banc de pierre 177 II, 69| épaule et comme évanouie. Philippe, réveillé en sursaut à cette 178 II, 69| nous la rapporte, s’écria Philippe en tombant à genoux.~ ~ ~– 179 II, 69| baron de Balsamo ! murmura Philippe.~ ~ ~– Moi-même, monsieur 180 II, 69| cela, monsieur ? demanda Philippe.~ ~ ~– Près du Garde-meubles.~ ~ ~– 181 II, 69| Garde-meubles.~ ~ ~– Oui, dit Philippe.~ ~ ~ ~Puis, passant tout 182 II, 69| larme sur sa joue ridée. Philippe présenta la seule main qu’ 183 II, 69| qui toucha profondément Philippe et même le baron.~ ~ ~– 184 II, 69| qui refusa la bourse de Philippe, Balsamo remonta en fiacre 185 II, 69| Dieu ! mon Dieu ! murmura Philippe. Dieu ne nous l’aurait-il 186 II, 69| Aide ta sœur à rentrer, Philippe.~ ~ ~ ~Le jeune homme soutint 187 II, 69| parole lui revint.~ ~ ~– Philippe !… Mon père ! dit-elle.~ ~ ~– 188 II, 69| nous reconnaît ! s’écria Philippe.~ ~ ~– Sans doute, je vous 189 II, 69| En rentrant chez lui, Philippe trouva un médecin que le 190 II, 69| docteur examina le bras de Philippe. Il n’était point cassé, 191 II, 69| sortie.~ ~ ~ ~Après quoi, Philippe, encore inquiet pour sa 192 II, 70| vu dans la main et dont Philippe s’était saisi.~ ~ ~ ~Cependant 193 II, 71| là la chambre destinée à Philippe, là le cabinet occupé par 194 II, 72| celle-là, c’était celle de Philippe. Le jeune homme s’informait 195 II, 73| sous la dentelle.~ ~ ~ ~Philippe, assis sur le pied même 196 II, 73| était la première fois que Philippe sortait.~ ~ ~ ~Les deux 197 II, 73| De sorte, disait Philippe, au moment où Gilbert s’ 198 II, 73| Oui, je l’espère, Philippe ; car madame la dauphine, 199 II, 73| souffrez, ma sœur ? demanda Philippe en lui prenant la main.~ ~ ~– 200 II, 73| me manque.~ ~ ~– Oh ! dit Philippe rêveur, ce n’est pas étonnant ; 201 II, 73| miraculeux, Andrée, continua Philippe en se rapprochant de sa 202 II, 73| éprouver un malaise.~ ~ ~ ~Philippe ne remarqua point ou ne 203 II, 73| par exemple, poursuivit Philippe, il y a un point que je 204 II, 73| Andrée.~ ~ ~– C’est, dit Philippe, la façon même dont vous 205 II, 73| sur elle-même.~ ~ ~– Oh ! Philippe, dit-elle, j’ai presque 206 II, 73| les bras, je criais : « Philippe ! Philippe ! » quand tout 207 II, 73| je criais : « Philippe ! Philippe ! » quand tout à coup je 208 II, 73| continuez, Andrée, dit Philippe en assombrissant son visage 209 II, 73| à la vie. Oh ! vois-tu, Philippe, continua Andrée avec une 210 II, 73| chose s’est passée ? demanda Philippe.~ ~ ~– Oui, jusqu’au moment 211 II, 73| C’est cela, poursuivit Philippe, il était minuit à peu près. 212 II, 73| sa raison.~ ~ ~– Merci, Philippe, dit Andrée en serrant la 213 II, 73| souviens, mon frère.~ ~ ~ ~Philippe calcula le temps, et vit 214 II, 73| Gilbert.~ ~ ~– Mais, continua Philippe, ce qu’il y a d’étrange, 215 II, 73| Au dernier moment, Philippe, j’ai vu tant de figures 216 II, 73| bonsoir, mon père.~ ~ ~ ~Philippe se leva respectueusement ; 217 II, 73| beaucoup mieux, mon père, dit Philippe.~ ~ ~– Je le sais bien, 218 II, 73| trompez pas, ma sœur, dit Philippe tristement.~ ~ ~– La cour ! 219 II, 73| de rire si étrange, que Philippe regarda son père, ne croyant 220 II, 73| Andrée baissa les yeux, et Philippe, lui prenant la main :~ ~ ~– 221 II, 73| son père, se tourna vers Philippe.~ ~ ~– Ma sœur, dit celui-ci, 222 II, 73| baron, vous êtes en argent, Philippe ?~ ~ ~– Si vous en avez 223 II, 73| bonsoir, mes enfants.~ ~ ~ ~Philippe s’était levé de son côté.~ ~ ~– 224 II, 73| accident. Bonsoir, cher Philippe.~ ~ ~ ~Et elle donna sa 225 II, 73| me déferai seule. Adieu, Philippe.~ ~ ~ ~ 226 II, 74| dis à mademoiselle, à M. Philippe, à M. le baron, que je t’ 227 II, 74| croyez ?~ ~ ~– C’est M. Philippe qui l’a dit à son père. 228 II, 74| de M. de Taverney, de M. Philippe, de mademoiselle Andrée, 229 II, 74| disparut à ses yeux, le baron, Philippe, Nicole, Beausire, et il 230 III, 89| songe donc plus qu’à mon Philippe, qui porte un fort beau 231 III, 89| si personne ne l’aide… Philippe est un garçon brave et réfléchi, 232 III, 89| toi pour faire obtenir à Philippe une compagnie… Madame la 233 III, 89| peut-être… Si votre fils, M. Philippe de Taverney, me paraît mériter 234 III, 92| involontairement Andrée. Philippe !… C’est pour Philippe, 235 III, 92| Philippe !… C’est pour Philippe, monsieur le duc, que vous 236 III, 92| en donnant un grade à M. Philippe de Taverney. Il s’appelle 237 III, 92| de Taverney. Il s’appelle Philippe, n’est-ce pas, mademoiselle ?~ ~ ~– 238 III, 93| service qu’il avait rendu à Philippe de Taverney.~ ~ ~ ~D’Andrée, 239 III, 95| fait donner un grade à M. Philippe, est venu chez nous hier, 240 III, 95| désintéressement philosophique que Philippe eut signée des deux mains.~ ~ ~ ~ 241 III, 104| qui est arrivé aux fils de Philippe le Bel : Louis le Hutin, 242 III, 104| le Bel : Louis le Hutin, Philippe le Long et Charles IV, morts 243 III, 104| race capétienne, est venu Philippe VI de Valois, collatéral 244 III, 112| Mais nous avons déjà M. Philippe capitaine, avec une compagnie 245 III, 114| mademoiselle, voici M. Philippe.~ ~ ~ ~Ce cri partait du 246 III, 114| trouva aussitôt en face de Philippe, que l’officieuse Nicole 247 III, 114| qu’Andrée s’aperçut que Philippe était plus sérieux que de 248 III, 114| Qu’y a-t-il donc, Philippe ? demanda-t-elle aussitôt 249 III, 114| suffisante.~ ~ ~– Ma sœur, dit Philippe, j’ai reçu ce matin l’ordre 250 III, 114| Mon Dieu ! demanda Philippe étonné, ce départ vous afflige-t-il 251 III, 114| me dire, Andrée ? demanda Philippe inquiet de cette tristesse, 252 III, 114| En effet, le départ de Philippe, c’est-à-dire d’un officier 253 III, 114| coup et le sentiment de Philippe et la surprise de Nicole ; 254 III, 114| jusqu’à la grille du parc, Philippe ; je vous reconduirai par 255 III, 114| descendait l’escalier avec Philippe.~ ~ ~ ~Andrée descendit 256 III, 114| par le regard inquiet de Philippe, elle se tint longtemps 257 III, 114| ma bonne Andrée, s’écria Philippe ; mais, au nom du Ciel, 258 III, 114| pleure ! Ah ! songez-y, Philippe, j’ai perdu ma mère en naissant ; 259 III, 114| y souffrir ? C’est vous, Philippe, toujours vous. Car enfin 260 III, 114| m’a aimée que vous. Oh ! Philippe ! continua mélancoliquement 261 III, 114| le voyez cependant bien, Philippe, il ne suffit pas d’être 262 III, 114| affection. Or, l’affection, Philippe, c’est ce sentiment si nécessaire 263 III, 114| apprends rien de nouveau, Philippe : non seulement mon père 264 III, 114| peur. Oui, oui, j’ai peur, Philippe, peur de lui, surtout depuis 265 III, 114| tête avec le roi. Eh bien ! Philippe, je le répète, dussé-je 266 III, 114| chère sœur, dit tristement Philippe, vous étiez seule aussi ; 267 III, 114| aujourd’hui vous êtes le tout, Philippe ; et quand vous me quittez, 268 III, 114| Et cependant, Andrée, dit Philippe, aujourd’hui vous avez une 269 III, 114| Je ne sais rien, Philippe, si ce n’est qu’il me semble, 270 III, 114| sœur, bonne Andrée, dit Philippe ému malgré lui à cet accent 271 III, 114| son frère.~ ~ ~– Alors, Philippe, dit-elle, vous qui êtes 272 III, 114| facile, chère sœur, dit Philippe en arrêtant la marche d’ 273 III, 114| Chère sœur, s’écria Philippe en voyant l’expression de 274 III, 114| Moi ? dit-elle. Non, non, Philippe, je vous le jure, vous savez 275 III, 114| mieux que personne, vous, Philippe ; toujours j’ai craint, 276 III, 114| alarmer. Vous avez raison, Philippe : c’est vrai, c’est bien 277 III, 114| est parfait pour moi ici. Philippe, pardonnez-moi donc ; vous 278 III, 114| pleure plus, je souris. Philippe, ce n’est plus adieu, c’ 279 III, 114| du jeune officier.~ ~ ~ ~Philippe la regarda avec cette tendresse 280 III, 114| une de vous.~ ~ ~– Oui, Philippe, dit Andrée ; oui, et ce 281 III, 114| Ne vous trompez-vous pas, Philippe ?~ ~ ~– Il vous a, répondit 282 III, 114| Il vous a, répondit Philippe éludant la question, et 283 III, 114| sœur.~ ~ ~– Le croyez-vous, Philippe ? Il ne me voit jamais.~ ~ ~– 284 III, 114| Qu’avez-vous encore, Philippe ? Vous semblez embarrassé.~ ~ ~– 285 III, 114| adieu, mon frère…~ ~ ~ ~Philippe l’embrassa une dernière 286 III, 114| avait plus de voix.~ ~ ~ ~Philippe la salua encore du geste 287 III, 114| retenir ses soupirs.~ ~ ~ ~Philippe monta à cheval, lui cria 288 III, 115| ai entendue dire que, M. Philippe parti, vous étiez désormais 289 III, 118| qu’il comptait donner à Philippe, mais un régiment.~ ~ ~ ~ 290 III, 118| nouvelle faveur accordée à Philippe, et nous suivrons le maréchal. 291 III, 119| chercher quelques livres que Philippe devait avoir fait transporter 292 III, 119| elle-même ; oui, j’écrirai à Philippe, cela m’allégera un peu.~ ~ ~– 293 III, 120| une fervente prière pour Philippe, le seul être au monde qu’ 294 III, 120| tout entière au souvenir de Philippe, elle ramena sur ce frère 295 IV, 135| depuis près d’un mois aussi, Philippe attend à Reims la nomination 296 IV, 135| que, si dans deux jours Philippe n’a pas reçu ce brevet…~ ~ ~– 297 IV, 135| Dans deux jours, Philippe sera ici.~ ~ ~– Oui, je 298 IV, 135| ministre, tu eusses envoyé Philippe aux cinq cents diables.~ ~ ~– 299 IV, 136| autre. Je veux parler de Philippe de Taverney, de ce brave 300 IV, 136| Oui, sire, un régiment que Philippe de Taverney attend toujours, 301 IV, 139| Il est vrai que messire Philippe est un fort joli garçon 302 IV, 140| savait à quoi s’en tenir sur Philippe et il aurait pu sciemment 303 IV, 140| et de l’inquiétude.~ ~ ~ ~Philippe, en effet, oublié à Reims ; 304 IV, 140| effet, oublié à Reims ; Philippe, après avoir passé par tous 305 IV, 140| indifférence et de l’oubli ; Philippe, ennuyé d’abord de recevoir 306 IV, 140| même de ses supérieurs ; Philippe, au fur et à mesure que 307 IV, 140| cette brillante fortune, Philippe s’était dégoûté de voir 308 IV, 140| caractères du regret.~ ~ ~ ~Philippe regrettait donc bien sa 309 IV, 140| homme.~ ~ ~ ~Mais ce que Philippe regrettait surtout, c’était 310 IV, 140| éviter.~ ~ ~ ~Aussitôt que Philippe eut senti l’ennui, le découragement 311 IV, 140| au contraire, c’était que Philippe eût eu cette patience d’ 312 IV, 140| brusquer l’aventure.~ ~ ~ ~Philippe, n’ayant pas reçu le brevet 313 IV, 140| proportions effrayantes.~ ~ ~ ~Philippe arrivait donc vers midi 314 IV, 140| de Richelieu en sortait. Philippe avait marché une partie 315 IV, 140| Aussi, ce jour-là, Philippe avait-il été frappé d’une 316 IV, 140| étrange hasard, c’était lui, Philippe, qui, sans raison, après 317 IV, 140| maître.~ ~ ~ ~De son côté, Philippe reconnut Gilbert.~ ~ ~ ~ 318 IV, 140| Gilbert avait reconnu Philippe, nous l’avons dit, et, en 319 IV, 140| dans le taillis.~ ~ ~ ~Mais Philippe poussa son cheval vers lui 320 IV, 140| de douceur que prononça Philippe fut heureusement entendue 321 IV, 140| pas, Gilbert ? lui cria Philippe.~ ~ ~ ~Gilbert comprit sa 322 IV, 140| pour une punition.~ ~ ~ ~Philippe se contenta de l’explication, 323 IV, 140| répondit celui-ci.~ ~ ~ ~Philippe sourit avec tristesse.~ ~ ~– 324 IV, 140| je comprends, continua Philippe ; mon père t’a traité avec 325 IV, 140| Oui, oui, dit à son tour Philippe, oui, je comprends ; ma 326 IV, 140| pauvre sœur ! interrompit Philippe.~ ~ ~– Seule en ce moment, 327 IV, 140| en vérité, Gilbert, dit Philippe de plus en plus inquiet, 328 IV, 140| eue.~ ~ ~– Aussi, monsieur Philippe, je m’intéresse beaucoup 329 IV, 140| rauque, car la mansuétude de Philippe et un autre sentiment que 330 IV, 140| malade ! ma sœur ! s’écria Philippe avec explosion ; bien malade, 331 IV, 140| M. le baron aussi.~ ~ ~ ~Philippe n’en entendit pas davantage ; 332 IV, 141| CXLI~ Le frère et la sœur~ ~Philippe trouva sa sœur couchée sur 333 IV, 141| jours.~ ~ ~ ~Au moment où Philippe entra, Andrée rêvait ; son 334 IV, 141| entendre respirer.~ ~ ~ ~Philippe avait toujours été d’un 335 IV, 141| se doutât de rien.~ ~ ~ ~Philippe eut donc le temps de la 336 IV, 141| un frisson dans son cœur, Philippe ne put retenir un mouvement 337 IV, 141| frère.~ ~ ~– Vous, vous, Philippe ! dit-elle.~ ~ ~ ~Et la 338 IV, 141| Oui, oui, moi, répondit Philippe en l’embrassant et en la 339 IV, 141| rire nerveux qui fit mal à Philippe, bien loin de le rassurer, 340 IV, 141| ai-je donc l’air malade, Philippe ?~ ~ ~– Oh ! oui, Andrée, 341 IV, 141| C’est tout simple, Philippe, quand je vous ai vu entrer…~ ~ ~– 342 IV, 141| point que je vous embrasse, Philippe ?~ ~ ~– Oh ! chère Andrée !~ ~ ~ ~ 343 IV, 141| vous me trompiez ! cria Philippe. Ah ! chère sœur, vous souffrez, 344 IV, 141| avec peine, indiquaient à Philippe un flacon placé sur le petit 345 IV, 141| près de la fenêtre.~ ~ ~ ~Philippe se précipita vers le meuble, 346 IV, 141| malade ? Parlez.~ ~ ~ ~Mais Philippe ne songeait pas même à répondre ; 347 IV, 141| moites la main tremblante de Philippe, et son regard s’adoucissant, 348 IV, 141| dit-elle, vous le voyez bien, Philippe, c’est fini, et je gage 349 IV, 141| devant moi, vous comprenez, Philippe, devant moi qui vous aime 350 IV, 141| Oh ! mon Dieu ! tenez, Philippe, je n’y veux plus penser, 351 IV, 141| larmes.~ ~ ~– Et d’air, Philippe, car c’est de l’air qu’il 352 IV, 141| votre chambre.~ ~ ~– Non, Philippe, non, en vérité, il y a 353 IV, 141| Taverney a eu la migraine, cher Philippe, et comme c’est une heureuse 354 IV, 141| bonté de me venir voir… Oh ! Philippe, quelle charmante protectrice, 355 IV, 141| à ce qu’on dit ; donc, Philippe, vous le voyez, je me porte 356 IV, 141| qui est étrange ! murmura Philippe.~ ~ ~ ~Andrée fit un effort.~ ~ ~– 357 IV, 141| me voilà sur mes pieds, Philippe ; tenez, si vous m’en croyez, 358 IV, 141| forces, Andrée.~ ~ ~– Non ; Philippe revenu serait la santé au 359 IV, 141| voulez-vous que nous sortions, Philippe ?~ ~ ~– Tout à l’heure, 360 IV, 141| heure, chère Andrée, dit Philippe en arrêtant doucement sa 361 IV, 141| entraînant auprès d’elle Philippe, qu’elle tenait par la main.~ ~ ~– 362 IV, 141| Négligente ! dit Philippe avec un doux reproche.~ ~ ~– 363 IV, 141| Non, mais souffrante, Philippe. Tenez, vous avez raison, 364 IV, 141| par ma sœur.~ ~ ~– Oh ! Philippe !~ ~ ~– Croiriez-vous, ma 365 IV, 141| Non. Si vous saviez, Philippe. M. de Richelieu et mon 366 IV, 141| le roi très capricieux, Philippe. Sa Majesté m’avait d’abord, 367 IV, 141| non ? Je sais bien, cher Philippe, ajouta Andrée en riant, 368 IV, 141| aperçue. Vous le savez, Philippe, l’évanouissement n’ôte 369 IV, 141| jardins. En vérité, cher Philippe, ce n’était cependant point 370 IV, 141| Pauvre chère, dit Philippe en serrant affectueusement 371 IV, 141| Décidément, murmura Philippe, vous souffrez, ma sœur, 372 IV, 141| affectez.~ ~ ~– Mais enfin, Philippe, puisque le docteur a dit…~ ~ ~– 373 IV, 141| dauphine.~ ~ ~– Bien, dit Philippe plus tranquille, j’attendrai 374 IV, 142| Chapitre CXLII~ Méprise~ ~Philippe prolongea la conversation 375 IV, 142| nouvelles défaillances.~ ~ ~ ~Philippe parla beaucoup de ses mécomptes, 376 IV, 142| pût passer sans que lui, Philippe, reconnût la personne qui 377 IV, 142| Pardonnez-moi, monsieur, dit Philippe ; est-ce bien à M. le docteur 378 IV, 142| mot, s’il vous plaît, dit Philippe.~ ~ ~– Monsieur, excusez-moi ; 379 IV, 142| attendre.~ ~ ~– Monsieur – et Philippe fit un mouvement de prière 380 IV, 142| ma vie, docteur !~ ~ ~ ~Philippe prononça ces mots avec une 381 IV, 142| dire, monsieur ? demanda Philippe.~ ~ ~– C’est donc vous qui 382 IV, 142| docteur avec impatience.~ ~ ~ ~Philippe fit deux pas en arrière, 383 IV, 142| Docteur, insista Philippe, je vous en supplie, ne 384 IV, 142| Docteur, docteur, dit Philippe en passant sa main sur son 385 IV, 142| Docteur ! s’écria Philippe avec une véhémence nouvelle, 386 IV, 142| est impossible ! s’écria Philippe fou de douleur et entrecoupant 387 IV, 142| Docteur ! s’écria Philippe au désespoir.~ ~ ~– Prenez 388 IV, 142| avez raison, docteur, dit Philippe d’une voix si basse, que 389 IV, 142| séparons-nous.~ ~ ~ ~Mais Philippe ne pouvait se résigner ainsi. 390 IV, 142| liberté, partit laissant Philippe sur l’esplanade, Philippe 391 IV, 142| Philippe sur l’esplanade, Philippe tremblant de fièvre, inondé 392 IV, 143| Interrogatoire~ ~Aussitôt que Philippe eut repris ses sens et fut 393 IV, 143| Cependant, lorsque Philippe se retrouva en face d’Andrée, 394 IV, 143| produit un pareil effet sur Philippe.~ ~ ~– Mon Dieu ! mon frère, 395 IV, 143| Pourquoi ? demanda Philippe.~ ~ ~– Parce que la consultation 396 IV, 143| Non, ma sœur, dit Philippe ; le docteur n’est pas inquiet, 397 IV, 143| contrarie pas, Andrée ?~ ~ ~ ~Et Philippe plongea ses regards dans 398 IV, 143| notre jeunesse ?~ ~ ~– Oh ! Philippe ! Philippe !~ ~ ~– Ainsi, 399 IV, 143| Oh ! Philippe ! Philippe !~ ~ ~– Ainsi, je suis pour 400 IV, 143| confuse :~ ~ ~– Excusez-moi, Philippe, dit-elle, j’oubliais…~ ~ ~– 401 IV, 143| Andrée ?~ ~ ~– Oui.~ ~ ~ ~Philippe prit la main de sa sœur 402 IV, 143| époux.~ ~ ~ ~Andrée regarda Philippe quelque temps, comme elle 403 IV, 143| point parlé de mon époux, Philippe ? Eh ! mon Dieu, il est 404 IV, 143| ne le connais pas.~ ~ ~ ~Philippe, touché de cette exclamation 405 IV, 143| amant.~ ~ ~ ~Andrée regarda Philippe tout étonnée, souffrant 406 IV, 143| entière.~ ~ ~– Ma sœur, dit Philippe, depuis votre naissance 407 IV, 143| ai changé à votre égard, Philippe ? Expliquez-vous. En vérité, 408 IV, 143| votre secret.~ ~ ~– Faites, Philippe, et je vous jure que je 409 IV, 143| ce que vous ferez.~ ~ ~ ~Philippe regarda sa sœur, se leva 410 IV, 143| Aussi, avant que Philippe eût repris la parole, Andrée 411 IV, 143| inexprimable :~ ~ ~– Écoute, Philippe, dit-elle, regarde-moi comme 412 IV, 143| Je veux te dire, Philippe, que tu as toujours été 413 IV, 143| oui, j’en vois un, dit Philippe. Andrée, tu aimes quelqu’ 414 IV, 143| chaste de son maintien, Philippe, qui sentait battre d’un 415 IV, 143| jeté sur Andrée expliqua à Philippe la faillibilité du docteur ; 416 IV, 143| faillibilité du docteur ; et Philippe se trouva si heureux de 417 IV, 143| période des fluctuations que Philippe entendit dans l’escalier 418 IV, 143| Louis, probablement, dit Philippe.~ ~ ~ ~Au même instant, 419 IV, 143| d’anxiété de la part de Philippe, parut en effet dans la 420 IV, 143| avait si rudement traité Philippe à leur première entrevue : 421 IV, 143| les dernières paroles de Philippe, le docteur s’était dit 422 IV, 143| sans la prière instante de Philippe, il fût venu trouver Andrée, 423 IV, 143| attaques qui avaient effrayé Philippe, et elle chancelait, portant 424 IV, 143| mouchoir à ses lèvres.~ ~ ~ ~Philippe, tout occupé de recevoir 425 IV, 143| de la jeune fille.~ ~ ~ ~Philippe la regardait et semblait 426 IV, 143| laisse, monsieur, répliqua Philippe d’un air sombre.~ ~ ~ ~Puis, 427 IV, 143| lui voulait dire.~ ~ ~ ~Philippe reprit :~ ~ ~– Mais, tandis 428 IV, 143| docteur reconduisit gravement Philippe jusqu’à la porte d’entrée, 429 IV, 144| espèce d’importance que Philippe et le médecin donnaient 430 IV, 144| comme elle avait regardé Philippe.~ ~ ~– Vous aussi, monsieur ? 431 IV, 144| porte violemment poussée, et Philippe bondit au milieu de la chambre, 432 IV, 144| Docteur ! murmura Philippe en laissant tomber son épée.~ ~ ~– 433 IV, 144| demeurait immobile ; mais Philippe fit un mouvement.~ ~ ~– 434 IV, 144| Le médecin parti, Philippe se leva, alla fermer la 435 IV, 144| Eh bien, oui ! s’écria Philippe, meurs donc ! meurs donc, 436 IV, 144| sans la subite terreur de Philippe et la vue de quelques gouttes 437 IV, 144| raison d’abord. Tue-moi, Philippe ; car on dit que je suis 438 IV, 144| indiquait la raison.~ ~ ~– Philippe, dit-elle après un long 439 IV, 144| faux serment. Je te jure, Philippe, par le Dieu qui m’entend, 440 IV, 144| ma naissance. Maintenant, Philippe, maintenant Dieu ait mon 441 IV, 144| mains.~ ~ ~– C’est bien, dit Philippe après un long silence ; 442 IV, 144| Eh bien, continua Philippe, voyons, aide-moi, soutiens-moi. 443 IV, 144| Grand Dieu ! s’écria Philippe, continue, continue.~ ~ ~– 444 IV, 144| devinai.~ ~ ~– Bien ! s’écria Philippe, maintenant, sois tranquille, 445 IV, 144| nous sommes sauvés !~ ~ ~ ~Philippe prit Andrée entre ses bras, 446 IV, 145| sécurité, lorsque tout à coup Philippe, arrivant comme nous l’avons 447 IV, 145| occasions.~ ~ ~ ~Et puis Philippe était le plus redoutable 448 IV, 145| Taverney pût appeler à l’aide ; Philippe, le seul de la famille qui 449 IV, 145| homme et presque d’égal, Philippe ne tuerait-il pas aussi 450 IV, 145| la première apparition de Philippe ; aussi, en revenant, n’ 451 IV, 145| résistance.~ ~ ~ ~Il suivit Philippe, le vit monter chez Andrée, 452 IV, 145| comprit le désespoir de Philippe. Il vit naître et grandir 453 IV, 145| empara d’un couteau pour tuer Philippe, qu’il s’attendait à voir 454 IV, 145| Tout au contraire, Philippe se réconcilia avec sa sœur ; 455 IV, 145| une porte de salut. Si Philippe n’était pas encore monté 456 IV, 146| retrouvera-t-on ? »~ ~ ~En effet, Philippe ignorait complètement où 457 IV, 146| logeait rue Saint-Honoré. Philippe comprima toute agitation 458 IV, 146| Saint-Claude, au Marais.~ ~ ~ ~Philippe se dirigea aussitôt vers 459 IV, 146| la porte s’ouvrit.~ ~ ~ ~Philippe entra dans la cour en tenant 460 IV, 146| Que veut monsieur ?~ ~ ~ ~Philippe tressaillit comme à un obstacle 461 IV, 146| comte de Fœnix, répliqua Philippe en passant la bride de son 462 IV, 146| laissant cependant passer Philippe, avec cette politesse d’ 463 IV, 146| dressé.~ ~ ~ ~Chose étrange, Philippe semblait avoir tout prévu, 464 IV, 146| comptes.~ ~ ~– Mon ami, dit Philippe, il faut pourtant que je 465 IV, 146| est donc sorti ? demanda Philippe.~ ~ ~– Oui, monsieur.~ ~ ~– 466 IV, 146| Non.~ ~ ~– Très bien, dit Philippe avec un commencement de 467 IV, 146| consignes, mon ami, dit Philippe, et la vôtre est respectable ; 468 IV, 146| puisqu’il y a consigne, dit Philippe, le comte de Fœnix est ici ?~ ~ ~– 469 IV, 146| habites cependant, toi, dit Philippe, maladroit à son tour.~ ~ ~– 470 IV, 146| habite comme gardien.~ ~ ~ ~Philippe haussa les épaules en homme 471 IV, 146| À quoi ? demanda Philippe s’oubliant.~ ~ ~– À vous 472 IV, 146| Fritz.~ ~ ~– Toi ? s’écria Philippe, l’œil étincelant.~ ~ ~– 473 IV, 146| aigu et, s’élançant sur Philippe en bâtonniste plutôt qu’ 474 IV, 146| cette petite épée.~ ~ ~ ~Philippe poussa un cri de colère 475 IV, 146| Monsieur le comte de Fœnix, dit Philippe, est-ce l’habitude de votre 476 IV, 146| le comte distinguant mal Philippe à la lueur de la lampe qui 477 IV, 146| bien, en vérité, s’écria Philippe, de demander du repos, vous 478 IV, 146| le comte.~ ~ ~– Je suis Philippe de Taverney ! s’écria le 479 IV, 146| répondait à tout.~ ~ ~– Philippe de Taverney ?… Monsieur, 480 IV, 146| est fort heureux ! murmura Philippe.~ ~ ~– Veuillez me suivre, 481 IV, 146| dérobé, et, marchant devant Philippe, il le conduisit au salon 482 IV, 146| doux et voilé qui força Philippe de lever les yeux sur lui.~ ~ ~ ~ 483 IV, 146| Mais, à la vue de Balsamo, Philippe fit un pas en arrière.~ ~ ~ ~ 484 IV, 146| une tête de mort.~ ~ ~ ~Philippe demeura atterré. Balsamo 485 IV, 146| forçant.~ ~ ~– Monsieur, dit Philippe, il y a, vous le savez, 486 IV, 146| voulais vous voir, continua Philippe, je voulais vous parler ; 487 IV, 146| Je vous tiens, continua Philippe, je vous tiens enfin, et 488 IV, 146| homme.~ ~ ~ ~Et, du doigt, Philippe désignait Fritz, qui venait 489 IV, 146| Balsamo attacha sur Philippe un regard dont le but était 490 IV, 146| rang et par la distinction, Philippe avait repris son calme et 491 IV, 146| en face l’un de l’autre, Philippe le dos tourné à la cheminée, 492 IV, 146| jugerai convenable, dit Philippe ; et, sauf votre bon plaisir, 493 IV, 146| rappelait de tels souvenirs, que Philippe eût frémi s’il avait su 494 IV, 146| Monsieur, répondit Philippe, vous ne m’avez jamais bien 495 IV, 146| Monsieur ! s’écria à son tour Philippe, irrité du ton plein de 496 IV, 146| non pas, monsieur, dit Philippe, non pas, vous ne prendrez 497 IV, 146| ce sourire désespéré que Philippe avait déjà vu errer sur 498 IV, 146| Moi, monsieur, continua Philippe, j’ai perdu l’honneur de 499 IV, 146| pouvez y faire ? s’écria Philippe les yeux étincelants.~ ~ ~– 500 IV, 146| de colère que le bras de Philippe l’arrêta aussitôt.~ ~ ~– 501 IV, 146| Je suis fou ? s’écria Philippe d’une voix saccadée. Mais 502 IV, 146| Malheureux ! s’écria Philippe.~ ~ ~– Quelle déplorable 503 IV, 146| insulté votre sœur ?~ ~ ~ ~Philippe hésita ; le ton avec lequel 504 IV, 146| Vous alliez dire ? s’écria Philippe avec un geste menaçant.~ ~ ~– 505 IV, 146| dans les veines, s’écria Philippe, si toutefois vous en avez.~ ~ ~– 506 IV, 146| Balsamo sonna, et, comme Philippe voulait l’en empêcher, il 507 IV, 146| aime mieux cela, s’écria Philippe, tuez-moi !~ ~ ~– Pourquoi 508 IV, 146| bien, soit, monsieur, dit Philippe, je vous crois quant au 509 IV, 146| vous voyez bien ! dit Philippe.~ ~ ~– Eh bien, que j’aie 510 IV, 146| interrogation injurieuse de Philippe, c’est dans cette nuit que 511 IV, 146| avouez, vous avouez ! s’écria Philippe.~ ~ ~– Oui, et quelque infâme, 512 IV, 146| avec vous, monsieur.~ ~ ~ ~Philippe demeura immobile d’étonnement.~ ~ ~– 513 IV, 146| apparaître l’Allemand.~ ~ ~ ~Philippe arpentait le salon comme 514 IV, 146| passa dans la ceinture de Philippe.~ ~ ~– Mais vous ? dit le 515 IV, 147| de Versailles à Trianon, Philippe avait fait arrêter la voiture ; 516 IV, 147| ailleurs, monsieur, continua Philippe, ce retard me donnera le 517 IV, 147| Balsamo leva sur Philippe un regard vague tout chargé 518 IV, 147| avez dit, monsieur, reprit Philippe, que, pendant la nuit du 519 IV, 147| niez ; prenez-y garde ! dit Philippe.~ ~ ~– Je ne nie pas, monsieur ; 520 IV, 147| au contraire, fit signe à Philippe qu’il attendait.~ ~ ~– Lorsque 521 IV, 147| monté chez ma sœur, continua Philippe s’animant de plus en plus, 522 IV, 147| réveiller, et cependant, ajouta Philippe en saisissant le poignet 523 IV, 147| trouver au jardin.~ ~ ~ ~Philippe fit un mouvement, mais Balsamo 524 IV, 147| dans sa méditation.~ ~ ~ ~Philippe poussa un sourd rugissement, 525 IV, 147| Au bout de dix minutes, Philippe sentit qu’il lui était impossible 526 IV, 147| D’ailleurs, murmurait Philippe caressant une idée qui, 527 IV, 147| sortit du carrosse.~ ~ ~ ~Philippe prit un sentier qui le conduisit 528 IV, 147| La grille s’ouvrit, Philippe donna son explication au 529 IV, 147| grille fut refermée sur eux, Philippe s’arrêta encore une fois.~ ~ ~– 530 IV, 147| La physionomie de Philippe exprima le doute.~ ~ ~– 531 IV, 147| entrevue.~ ~ ~– Soit, dit Philippe ; quand je verrai cela, 532 IV, 147| derrière la charmille.~ ~ ~ ~Philippe et Balsamo allèrent prendre 533 IV, 147| Où cela ? demanda Philippe en cherchant des yeux celui 534 IV, 147| celui-ci.~ ~ ~– Ah ! oui, dit Philippe, c’est Gilbert, un ancien 535 IV, 147| en apercevant ensemble Philippe et Balsamo, il comprenait 536 IV, 147| décidez-vous ?~ ~ ~– Monsieur, dit Philippe éprouvant malgré lui l’espèce 537 IV, 147| Arrêtez-la, arrêtez-la, dit Philippe éperdu et stupéfait à la 538 IV, 147| rentra dans sa chambre.~ ~ ~ ~Philippe se précipita derrière elle ; 539 IV, 147| Balsamo le suivit.~ ~ ~ ~Philippe entra presque en même temps 540 IV, 147| Quelques instants après Philippe, Balsamo entra et ferma 541 IV, 148| sur le seuil au moment où Philippe contemplait sa sœur avec 542 IV, 148| monsieur, oui, balbutia Philippe tout tremblant.~ ~ ~– Nous 543 IV, 148| S’il vous plaît, dit Philippe en essayant de soulever 544 IV, 148| qui se passe ici ?~ ~ ~ ~Philippe ne répondit pas, il fit 545 IV, 148| dort, c’est visible, dit Philippe ; mais de quel étrange sommeil, 546 IV, 148| Balsamo prit la main de Philippe et la mit dans celle d’Andrée.~ ~ ~ ~ 547 IV, 148| asseoir sur un fauteuil.~ ~ ~ ~Philippe restait immobile, sa main 548 IV, 148| esprit de son frère.~ ~ ~ ~Philippe ne s’attendait pas à ce 549 IV, 148| parle, voilà tout.~ ~ ~ ~Philippe regarda sa sœur en formulant 550 IV, 148| comme c’est mal à toi, Philippe, de croire qu’Andrée t’a 551 IV, 148| donc personne ? demanda Philippe.~ ~ ~– Personne.~ ~ ~– Alors 552 IV, 148| comprends pas, mon frère.~ ~ ~ ~Philippe regarda le comte comme pour 553 IV, 148| Eh bien, demanda Philippe, si tu y vois, ma sœur, 554 IV, 148| Non, monsieur, répondit Philippe, c’est inutile, et, depuis 555 IV, 148| vulgaire. Ma sœur, répéta Philippe, racontez-moi tout ce qui 556 IV, 148| dit Andrée.~ ~ ~– Oh ! fit Philippe essuyant son front.~ ~ ~– 557 IV, 148| breuvage préparé ! s’écria Philippe : dans quel but ?~ ~ ~– 558 IV, 148| Après ? après ? demanda Philippe.~ ~ ~– Je me levai, et j’ 559 IV, 148| regard de Balsamo adressé à Philippe lui dit clairement : « Vous 560 IV, 148| voulait le comte ? répéta Philippe.~ ~ ~– Il voulait me demander 561 IV, 148| ma sœur, continuez, dit Philippe.~ ~ ~– D’une personne qui 562 IV, 148| sombre gémissement.~ ~ ~ ~Philippe s’arrêta ; il y eut un moment 563 IV, 148| dans le jardin ? demanda Philippe.~ ~ ~– Oui.~ ~ ~– Que fîtes-vous 564 IV, 148| Andrée, c’est le roi.~ ~ ~ ~Philippe frissonna.~ ~ ~– Ah ! murmura 565 IV, 148| roulaient dans les yeux de Philippe, tandis que sa main étreignait 566 IV, 148| Andrée est sauvée !~ ~ ~ ~Philippe aspirait, haletant, chaque 567 IV, 148| cherchait l’appui du bras de Philippe.~ ~ ~– Après ? après ? demanda 568 IV, 148| Après ? après ? demanda Philippe.~ ~ ~– J’avais oublié.~ ~ ~– 569 IV, 148| Qui ?~ ~ ~– Gilbert.~ ~ ~ ~Philippe retenait son haleine.~ ~ ~– 570 IV, 148| force.~ ~ ~– Mon Dieu ! dit Philippe n’osant interrompre.~ ~ ~– 571 IV, 148| le tueras, n’est-ce pas, Philippe ?~ ~ ~– Ah ! oui, s’écria 572 IV, 148| Nous écoutait-on ? s’écria Philippe en mettant l’épée à la main.~ ~ ~– 573 IV, 148| le tueras, n’est-ce pas, Philippe, tu le tueras ?~ ~ ~– Oh ! 574 IV, 148| Gilbert, Gilbert, murmurait Philippe ; et il était caché là, 575 IV, 148| Et, s’inclinant devant Philippe, Balsamo regarda encore 576 IV, 148| yeux étonnés :~ ~ ~– Oh ! Philippe, murmura-t-elle, que vient-il 577 IV, 148| donc de se passer ?~ ~ ~ ~Philippe comprima le sanglot qui 578 IV, 148| Andrée ! s’écria Philippe en lui serrant la main, 579 IV, 148| père ?~ ~ ~– Mon père, dit Philippe d’un air sombre, mon père, 580 IV, 148| frère ! que je souffre, Philippe !~ ~ ~– Dieu est au bout 581 IV, 148| honneur à tous deux.~ ~ ~ ~Et Philippe se hâta d’embrasser sa sœur, 582 IV, 149| duquel nous avons laissé Philippe, se promenait dans un petit 583 IV, 149| raisonnant sous la main de Philippe, elle s’approcha de la porte 584 IV, 149| je vous la promets.~ ~ ~ ~Philippe s’inclina, trop ému pour 585 IV, 149| inquiet de cette pâleur de Philippe, et craignant quelque catastrophe 586 IV, 149| Le docteur regarda Philippe, comme pour l’interroger : 587 IV, 149| individus.~ ~ ~– Oui, dit Philippe, oui, qu’ils viennent ; 588 IV, 149| en attendant…~ ~ ~ ~Et Philippe fit un geste de sombre menace.~ ~ ~– 589 IV, 149| répondit tranquillement Philippe, oui, je suis de ceux-là.~ ~ ~– 590 IV, 149| secret fût gardé ?~ ~ ~ ~Philippe posa sa main sur le bras 591 IV, 149| quand un mariage…~ ~ ~ ~Philippe releva la tête.~ ~ ~– Ignorez-vous, 592 IV, 149| docteur tourna le dos à Philippe, et se remit à arracher 593 IV, 149| herbes de son jardin.~ ~ ~ ~Philippe croisa les bras.~ ~ ~– Docteur, 594 IV, 149| une seule question.~ ~ ~ ~Philippe se révolta.~ ~ ~– Écoutez, 595 IV, 149| docteur, après avoir suivi Philippe des yeux jusqu’à ce que 596 IV, 150| père et le fils~ ~Lorsque Philippe revint près de sa sœur, 597 IV, 150| éternellement.~ ~ ~– Oh ! Philippe, vous ne dites pas la vérité ; 598 IV, 150| ne dites pas la vérité ; Philippe, vous mentez à votre propre 599 IV, 150| Dieu… Le nom de cet homme, Philippe.~ ~ ~– Ma sœur, ne parlons 600 IV, 150| une épée au côté ?~ ~ ~ ~Philippe pâlit de ce mouvement de 601 IV, 150| Excepté pour un homme, Philippe… pour un homme qui rit, 602 IV, 150| retraite ténébreuse.~ ~ ~ ~Philippe serra les poings, regarda 603 IV, 150| moi, cet homme… Enfin, Philippe, permettez-moi de vous le 604 IV, 150| ne cherchez plus…~ ~ ~– Philippe, remontons ensemble plus 605 IV, 150| Allons jusqu’au roi !~ ~ ~ ~Philippe entoura de ses bras cette 606 IV, 150| flamboyants.~ ~ ~– Non, répliqua Philippe, non. Ne m’interroge plus ; 607 IV, 150| accentuation terrible que Philippe avait mise sur ce mot.~ ~ ~– 608 IV, 150| fixe du morne désespoir que Philippe venait de secouer si courageusement.~ ~ ~– 609 IV, 150| hier, répondit froidement Philippe, d’oublier tout chagrin, 610 IV, 150| Qu’est cela ?… dit Philippe.~ ~ ~– C’est l’écrin de 611 IV, 150| présentation à Trianon.~ ~ ~ ~Philippe pâlit en voyant la richesse 612 IV, 150| cent mille livres.~ ~ ~ ~Philippe referma l’écrin.~ ~ ~– Elles 613 IV, 150| tout ce qui nous reste, dit Philippe, notre seule ressource. 614 IV, 150| le petit Gilbert.~ ~ ~ ~Philippe tressaillit ; ses yeux s’ 615 IV, 150| cherchez pas Gilbert, murmura Philippe.~ ~ ~– Pourquoi ?… Il doit 616 IV, 150| adieu ; à ce soir.~ ~ ~ ~Philippe baisa la main de la jeune 617 IV, 150| la rue Coq-Héron.~ ~ ~ ~Philippe savait bien rencontrer là 618 IV, 150| Or, le baron, quand Philippe sonna au guichet de la porte 619 IV, 150| branches.~ ~ ~ ~Il reçut donc Philippe avec le sentiment d’un dépit 620 IV, 150| expliquer cela, monsieur, dit Philippe.~ ~ ~– Bon ! c’est grave ?~ ~ ~– 621 IV, 150| un malheur, dit gravement Philippe.~ ~ ~ ~Le baron chancela.~ ~ ~– 622 IV, 150| sommes bien seuls ? demanda Philippe.~ ~ ~– Mais oui.~ ~ ~– Voulez-vous 623 IV, 150| la salle basse, dont déjà Philippe avait ouvert la porte.~ ~ ~ ~ 624 IV, 150| furent soigneusement fermées, Philippe attendit un geste de son 625 IV, 150| salon :~ ~ ~– Monsieur, dit Philippe, ma sœur et moi, nous allons 626 IV, 150| vous en supplie…, répliqua Philippe avec une fermeté qui signifiait : « 627 IV, 150| avec un aplomb qui étonna Philippe.~ ~ ~– Je m’expliquerai 628 IV, 150| pointe de son épée.~ ~ ~ ~Philippe haussa les épaules.~ ~ ~– 629 IV, 150| ne pas le dire, répliqua Philippe pâle et frémissant.~ ~ ~ ~ 630 IV, 150| donc faible… Alors…~ ~ ~ ~Philippe, se rapprochant tout à coup :~ ~ ~– 631 IV, 150| Un lâche, continua Philippe, a voulu que le nom de Taverney… 632 IV, 150| la peine ?~ ~ ~– Monsieur Philippe…~ ~ ~– Ah ! ne craignez 633 IV, 150| baron !~ ~ ~– Mais alors, Philippe, s’écria le vieillard avec 634 IV, 150| homme que je pensais, dit Philippe avec un suprême dégoût ; 635 IV, 150| Assez ! répliqua Philippe. Craignez d’éveiller, en 636 IV, 150| volonté.~ ~ ~– Ma sœur, dit Philippe, ne vous reverra jamais, 637 IV, 150| sot et une brute.~ ~ ~ ~Philippe ne répliqua rien.~ ~ ~– 638 IV, 150| l’écrin chez vous.~ ~ ~ ~Philippe tendit l’écrin à son père. 639 IV, 150| frémissement de ses lèvres ; Philippe même ne les remarqua pas. 640 IV, 150| Non, tout de suite.~ ~ ~ ~Philippe s’inclina.~ ~ ~– À Taverney, 641 IV, 150| un atroce sourire :~ ~ ~– Philippe, dit-il, je vous permets 642 IV, 150| Et il sortit en ricanant. Philippe, l’œil sanglant, le front 643 IV, 152| aux premières fureurs de Philippe, que la générosité de sa 644 IV, 152| hésita un moment.~ ~ ~– Et M. Philippe ? demanda-t-il.~ ~ ~– Oh ! 645 IV, 152| demanda-t-il.~ ~ ~– Oh ! M. Philippe est parti avec mademoiselle 646 IV, 153| pardon sera facile. C’est Philippe qui vous a remis la clef ?~ ~ ~– 647 IV, 153| murs.~ ~ ~– Votre frère, M. Philippe ?… balbutia Gilbert. Non, 648 IV, 153| rentrant dans son appartement. Philippe ! Philippe ! à moi, Philippe !~ ~ ~ ~ 649 IV, 153| appartement. Philippe ! Philippe ! à moi, Philippe !~ ~ ~ ~ 650 IV, 153| Philippe ! Philippe ! à moi, Philippe !~ ~ ~ ~Gilbert, qui l’avait 651 IV, 153| personnes : devant votre frère Philippe, devant le comte de Balsamo ; 652 IV, 154| M. de Taverney ou par M. Philippe, lorsque Andrée me poursuivra 653 IV, 154| Qui m’empêche de terrasser Philippe, de le désarmer, de rire 654 IV, 154| glace.~ ~ ~ ~Ensuite vint Philippe, qui s’était levé plus tôt, 655 IV, 154| de la scène de la veille. Philippe se promenait avec une sorte 656 IV, 154| frère et de la sœur.~ ~ ~ ~Philippe visita et fit visiter, avec 657 IV, 154| c’est que le serrurier, Philippe présent, changea les gardes 658 IV, 156| que nous avons racontés, Philippe de Taverney sortit de grand 659 IV, 156| sommeil des riches.~ ~ ~ ~Philippe se hâta de traverser le 660 IV, 156| époque.~ ~ ~ ~Aussi, quand Philippe s’aperçut que le vent du 661 IV, 156| Tyrrhénienne.~ ~ ~ ~En apercevant Philippe, l’automédon fit sentir 662 IV, 156| Arrangez-vous de façon, dit Philippe, qu’à neuf heures précises 663 IV, 156| À neuf heures, en effet, Philippe avait de la dauphine une 664 IV, 156| ses délicatesses.~ ~ ~ ~Philippe avait d’abord résolu de 665 IV, 156| décent à Versailles.~ ~ ~ ~Philippe comptait bien revenir à 666 IV, 156| points opposés, le patricien Philippe et le plébéien Gilbert s’ 667 IV, 156| voit, rencontrés.~ ~ ~ ~Philippe revit, avec le cœur serré, 668 IV, 156| vibrante arrivait jusqu’à Philippe, et remuait en lui des sentiments 669 IV, 156| favorisées d’audiences comme Philippe, se présentèrent les unes 670 IV, 156| visite se présentât.~ ~ ~ ~Philippe demeurait le dernier. Il 671 IV, 156| recevait plus personne.~ ~ ~ ~Philippe s’avança donc. La dauphine 672 IV, 156| billet d’audience :~ ~ ~– M. Philippe de Taverney, madame, répliqua-t-il.~ ~ ~– 673 IV, 156| plus curieux regard.~ ~ ~ ~Philippe attendait à demi courbé.~ ~ ~– 674 IV, 156| traits amaigris et pâles de Philippe ; elle reconnaissait bien 675 IV, 156| retirèrent immédiatement. Philippe crut que ce salut l’allait 676 IV, 156| madame, se hâta de répondre Philippe, du moins languissante.~ ~ ~– 677 IV, 156| une si belle santé !~ ~ ~ ~Philippe s’inclina. La jeune princesse 678 IV, 156| Elle fit quelques pas ; Philippe était resté en place.~ ~ ~– 679 IV, 156| en se retournant.~ ~ ~ ~Philippe, en deux bonds, fut près 680 IV, 156| intéresse ?~ ~ ~– Hélas ! dit Philippe, Votre Altesse vient de 681 IV, 156| nécessité, madame ! dit tout bas Philippe.~ ~ ~– Quoi ! ce mot est 682 IV, 156| ce mot, monsieur.~ ~ ~ ~Philippe ne répondit pas.~ ~ ~– Le 683 IV, 156| larmes sincères, madame, dit Philippe, dont le cœur battait violemment, 684 IV, 156| Madame, se hâta de dire Philippe, ma sœur ne regrette que 685 IV, 156| Altesse plus longtemps, dit Philippe ; la maladie de ma sœur 686 IV, 156| dérobée un nouveau regard sur Philippe :~ ~ ~– Voilà ce que je 687 IV, 156| œil brillant et loyal de Philippe rencontra celui de la princesse 688 IV, 156| Non, madame, dit Philippe avec fermeté ; non, ce n’ 689 IV, 156| madame, répliqua doucement Philippe, je ne suis rien qu’un dévoué 690 IV, 156| la cour !~ ~ ~ ~Alors Philippe sourit avec mélancolie.~ ~ ~– 691 IV, 156| yeux de la dauphine, que Philippe cacha son visage dans ses 692 IV, 156| nerveuse et inquiète.~ ~ ~ ~Philippe revint à lui.~ ~ ~– Veuillez 693 IV, 156| Madame, répliqua Philippe, voulez-vous avoir encore 694 IV, 156| protection, madame, dit Philippe résolument.~ ~ ~– C’est 695 IV, 156| prie et se souvient !~ ~ ~ ~Philippe prononça ces mots avec un 696 IV, 156| Je le veux !~ ~ ~ ~Philippe vit s’abaisser vers lui 697 IV, 156| retira pas sa main.~ ~ ~ ~Philippe courba la tête. Un flot 698 IV, 157| affectueux et les consolations de Philippe, s’assombrissait d’heure 699 IV, 157| nerveuse que de coutume, Philippe envoya chercher le docteur, 700 IV, 157| C’était le 29 novembre. Philippe avait eu l’art de prolonger 701 IV, 157| froids de l’hiver.~ ~ ~ ~Philippe laissa venir le moment où 702 IV, 157| moment approche, continua Philippe.~ ~ ~– Mon Dieu !~ ~ ~– 703 IV, 157| Andrée devint si pâle, que Philippe, effrayé, lui prit et lui 704 IV, 157| promettez. Je suis mère, Philippe ; mais Dieu a voulu, je 705 IV, 157| si j’allais à l’échafaud… Philippe, je suis maudite !…~ ~– 706 IV, 157| Andrée, ma sœur !~ ~ ~– Philippe, reprit-elle avec une véhémence 707 IV, 157| toute ma vie, si je vis, Philippe, le jour où pour la première 708 IV, 157| lèvres, jusque-là si pures. Philippe, je suis une mauvaise mère ! 709 IV, 157| suis une mauvaise mère ! Philippe, je suis maudite !~ ~ ~– 710 IV, 157| lâche criminel !… Eh bien, Philippe, je te l’ai dit, je ne suis 711 IV, 157| marbre, malgré les efforts de Philippe, qui l’étreignait dans ses 712 IV, 157| en route. Vous, dit-il à Philippe, soyez plus raisonnable 713 IV, 157| releva, presque honteuse. Philippe l’assit sur un fauteuil.~ ~ ~ ~ 714 IV, 157| et… du courage !~ ~ ~ ~Philippe, le cœur gonflé, se précipita 715 IV, 157| Docteur ! docteur ! s’écria Philippe au désespoir, entendez-vous…~ ~ ~ ~ 716 IV, 157| sur le fauteuil, conduisit Philippe dans la chambre, dont il 717 IV, 157| laquelle pleurait et suppliait Philippe.~ ~ ~– Votre sœur a donné 718 IV, 157| à un fils, dit-il.~ ~ ~ ~Philippe joignit les mains.~ ~ ~– 719 IV, 157| Voyez, d’ailleurs.~ ~ ~ ~Philippe avança la tête.~ ~ ~– Écoutez 720 IV, 157| Oui ! oh ! oui ! murmura Philippe en embrassant le médecin.~ ~ ~– 721 IV, 157| fût placé près de la mère, Philippe le supplia de l’éloigner, 722 IV, 157| tandis que le fiacre emmenait Philippe du côté du Roule.~ ~ ~ ~ 723 IV, 158| dans sa scène du soir avec Philippe.~ ~ ~ ~Le cri de l’enfant 724 IV, 158| en vint à se demander si Philippe, en éloignant cet enfant 725 IV, 158| dit-elle doucement, M. Philippe avait bien recommandé qu’ 726 IV, 158| Marguerite courut à la chambre de Philippe. Personne !~ ~ ~– C’est 727 IV, 158| voyez !~ ~ ~– C’est M. Philippe qui revient… Entrez, monsieur, 728 IV, 158| monsieur, entrez !~ ~ ~ ~Philippe arrivait en effet. Derrière 729 IV, 158| ma sœur, me voici, dit Philippe en pénétrant dans la chambre.~ ~ ~– 730 IV, 158| Oh ! je te remercie, Philippe, dit Andrée en l’attirant 731 IV, 158| l’eusse vu… embrassé !… Philippe, tu connaissais bien mon 732 IV, 158| aimerai mon enfant.~ ~ ~ ~Philippe saisit et couvrit de baisers 733 IV, 158| que dites-vous ? répliqua Philippe.~ ~ ~ ~Andrée regarda son 734 IV, 158| connaissance sur l’oreiller. Philippe ne s’attendait ni à ce malheur 735 IV, 158| Sauvons la mère, se dit Philippe. Ma sœur, ma bonne sœur, 736 IV, 158| perd la tête ici…~ ~ ~– Philippe, tu me jures ?…~ ~– Chère 737 IV, 158| Quoi ?~ ~ ~– Des pas…~ ~ ~ ~Philippe frissonna.~ ~ ~– Impossible ! 738 IV, 158| terrible secousse.~ ~ ~ ~Philippe congédia la nourrice et 739 IV, 159| toutes les démarches de Philippe, et, calculant comme il 740 IV, 159| la minutie jusqu’à suivre Philippe, un soir qu’il allait à 741 IV, 159| mouvement d’Andrée ou de Philippe correspondait à son oreille, 742 IV, 159| Il vit ce jour-là Philippe et Andrée causer ensemble 743 IV, 159| Rousseau, nul doute que Philippe et Andrée ne fissent faire 744 IV, 159| le docteur sortit ; enfin Philippe échangea les derniers mots 745 IV, 162| dernier adieu de Gilbert~ ~Philippe avait passé une nuit terrible. 746 IV, 162| précisait ses soupçons.~ ~ ~ ~Philippe connaissait si bien son 747 IV, 162| paternel, consolèrent un peu Philippe, qui crut possible de reconquérir 748 IV, 162| faveur des suppositions de Philippe.~ ~ ~– Le baron m’est assez 749 IV, 162| père.~ ~ ~– Oh ! s’écria Philippe, j’avais eu un moment cette 750 IV, 162| consolée par les soins de Philippe.~ ~ ~ ~Son premier mot fut 751 IV, 162| même de cette promenade, Philippe, qui s’était absenté pendant 752 IV, 162| enfant ?~ ~ ~– Le père, dit Philippe, a été saisi d’un accès 753 IV, 162| désespoir.~ ~ ~ ~À ce moment, Philippe entendit la voix de sa sœur 754 IV, 162| criait :~ ~ ~– N’est-ce pas Philippe qui est entré ?~ ~ ~– Grand 755 IV, 162| Que lui dirai-je ? murmura Philippe.~ ~ ~– Silence ! fit le 756 IV, 162| Le docteur regarda Philippe comme pour lui dire : « 757 IV, 162| Ne m’accuse pas, Philippe, ce n’est pas là un caprice 758 IV, 162| Je t’aime sincèrement, Philippe ; mais, si tu me quittes, 759 IV, 162| dans ma résolution.~ ~ ~ ~Philippe et le docteur échangèrent 760 IV, 162| Oui, ma sœur, ajouta Philippe.~ ~ ~– Dieu ne défend pas 761 IV, 162| dites-vous cela ? Et vous, Philippe, pourquoi me considérez-vous 762 IV, 162| le docteur à l’oreille de Philippe ; elle est bien faible encore 763 IV, 162| que, demain, au retour de Philippe, j’irais voir le pauvre 764 IV, 162| peux en mourir, interrompit Philippe.~ ~ ~– Eh bien, j’en mourrai !… 765 IV, 162| Andrée, dit tout à coup Philippe en la prenant dans ses bras, 766 IV, 162| bras le long du fauteuil où Philippe et le docteur venaient de 767 IV, 162| venaient de l’asseoir.~ ~ ~ ~Philippe ne répondit qu’en baisant 768 IV, 162| Dieu a voulu, dit Philippe, que nous subissions ce 769 IV, 162| la rue Plâtrière. »~ ~ ~Philippe la montra au docteur par-dessus 770 IV, 162| lui écrire ici ? pensait Philippe. Nul ne connaissait son 771 IV, 162| Tiens, Andrée, dit Philippe, une lettre pour toi.~ ~ ~ ~ 772 IV, 162| qui s’approchait.~ ~ ~ ~Philippe ramassa la lettre et lut :~ ~ ~« 773 IV, 162| mère !~ ~ ~ ~Gilbert. »~ ~ ~Philippe froissa le papier avec un 774 IV, 162| trente-six heures, répondit Philippe.~ ~ ~ ~ 775 IV, 163| alors, prenant la main de Philippe :~ ~ ~– Mon ami, dit-elle, 776 IV, 163| Saint-Denis, aux grilles duquel Philippe, incapable de maîtriser 777 IV, 163| Adieu ! répondit Philippe étouffant son désespoir.~ ~ ~– 778 IV, 163| lugubre et ce fut tout.~ ~ ~ ~Philippe prit la poste à Saint-Denis 779 IV, 163| jour même pour New-York. Philippe alla trouver le capitaine, 780 IV, 163| ciel rouge à l’horizon. Philippe, accoudé sur le bastingage, 781 IV, 163| France, passagers, océan, Philippe ne vit plus rien. La nuit 782 IV, 163| ses grandes ailes.~ ~ ~ ~Philippe s’alla enfermer dans le 783 IV, 163| cette lecture, le cœur de Philippe se serra : le bruit mélancolique 784 IV, 163| violence du vent.~ ~ ~ ~Philippe prit dès lors l’habitude 785 IV, 163| chambres. De l’autre côté, Philippe aperçut une fois quelques 786 IV, 163| diminuait les souffrances, Philippe reprenait de la sérénité 787 IV, 163| alors, même pendant la nuit, Philippe, qui s’était fait une loi 788 IV, 163| il redoutait d’aborder, Philippe entendait, de sa chambre, 789 IV, 163| orageuse aux passagers, car Philippe n’en vit aucun sur la dunette. 790 IV, 163| rêvait une figure noire, que Philippe distingua péniblement dans 791 IV, 163| de l’Amérique, tandis que Philippe regrettait le port de France.~ ~ ~ ~ 792 IV, 163| le port de France.~ ~ ~ ~Philippe regarda longtemps ce voyageur 793 IV, 163| qui commençait à blanchir. Philippe entendit le capitaine s’ 794 IV, 163| seulement par moi…, dit Philippe. Voyez, là-bas, cet homme 795 IV, 163| est cet homme ? demanda Philippe.~ ~ ~– Un… marchand, dit 796 IV, 163| après la fortune ? murmura Philippe. Ce brick va trop lentement 797 IV, 163| il dit quelques mots, et Philippe le vit disparaître dans 798 IV, 163| avez troublé son rêve, dit Philippe au capitaine quand ce dernier 799 IV, 164| heures de l’après-midi.~ ~ ~ ~Philippe vit ces hauts pitons de 800 IV, 164| vous êtes chasseurs.~ ~ ~ ~Philippe prit son fusil, des balles 801 IV, 164| tout ce qu’il fera.~ ~ ~ ~Philippe, satisfait de l’explication, 802 IV, 164| rouler jusqu’au rivage.~ ~ ~ ~Philippe les regarda faire. Il admirait 803 IV, 164| dessinée, éclairée ; et Philippe préférait, comme netteté, 804 IV, 164| le bruit s’éteignit, et Philippe resta seul.~ ~ ~ ~De leur 805 IV, 164| revenir dans la grotte.~ ~ ~ ~Philippe se laissa entraîner peu 806 IV, 164| jamais.~ ~ ~ ~Pendant que Philippe rêvait ainsi, sans doute 807 IV, 164| caverne, sur le seuil même… Philippe vit quelqu’un marcher, les 808 IV, 164| des herbes.~ ~ ~ ~Alors Philippe se leva et vint tendre la 809 IV, 164| de la grotte.~ ~ ~ ~Mais Philippe, poussant tout à coup un 810 IV, 164| recula.~ ~ ~– Gilbert !~ ~ ~– Philippe !~ ~ ~ ~Ces deux mots éclatèrent 811 IV, 164| bruit d’une sorte de lutte. Philippe avait serré de ses deux 812 IV, 164| te tiens, enfin !… rugit Philippe. Dieu te livre à moi… Dieu 813 IV, 164| lâche et scélérat ! dit Philippe ; il n’a pas même l’instinct 814 IV, 164| Gilbert ne répondit rien. Philippe, qui s’enivrait insensiblement 815 IV, 164| donc pas un homme ? dit Philippe en le secouant avec rage, 816 IV, 164| un lion, jeta loin de lui Philippe, d’un seul mouvement d’épaules, 817 IV, 164| de coups honteux.~ ~ ~ ~Philippe avait saisi, en effet, son 818 IV, 164| à renier son père.~ ~ ~ ~Philippe reprit haleine un moment.~ ~ ~– 819 IV, 164| bien.~ ~ ~– Écoute ! dit Philippe frémissant de colère. Tout 820 IV, 164| misérable, tu me braves ! dit Philippe ; tu ne crains donc pas 821 IV, 164| croisa ses bras en fixant sur Philippe un regard plein du feu le 822 IV, 164| Encore une fois, Gilbert, dit Philippe l’écume à la bouche, veux-tu ?…~ ~– 823 IV, 164| que je te tue ! s’écria Philippe, fou de rage et de désespoir.~ ~ ~– 824 IV, 164| comme un chien !~ ~ ~ ~Et Philippe lâcha son coup de pistolet 825 IV, 164| face sans pousser un cri. Philippe sentit le sable s’imprégner 826 IV, 164| Qu’avez-vous tué ?~ ~ ~ ~Philippe, entendant ce mot, perdit