Tome,  Chap.

  1    I,    IntI|              Adieu, mon brave cheval, dit-il, si je ne te retrouve pas,
  2    I,    IntI|               venu jusqu’à Danenfels, dit-il tout haut, car de Mayence
  3    I,    IntI|             du voyageur.~ ~ ~– Merci, dit-il ; maintenant que cette lumière
  4    I,   IntII|              sa tête :~ ~ ~– Je bois, dit-il, à la mort de tout homme
  5    I,   IntII|           était convaincu.~ ~ ~– Oui, dit-il, il est en effet chargé
  6    I,   IntII|                      Ego sum qui sum, dit-il, je suis celui qui est.~ ~ ~ ~
  7    I,   IntII|              ce que je dois répondre, dit-il.~ ~ ~– D’où viens-tu donc
  8    I,   IntII|         président :~ ~ ~– À ton tour, dit-il, prophète de Zurich, voyons
  9    I,   IntII|             Vous êtes tous irrésolus, dit-il, puisque vous ne pouvez
 10    I,  IntIII|            instant :~ ~ ~– Seigneurs, dit-il, vous pouvez déposer les
 11    I,  IntIII|              flacon.~ ~ – Acharat, me dit-il, je t’ai toujours dit que
 12    I,  IntIII|            offrait Ève.~ ~ – Bois, me dit-il en souriant.~ ~ ~« Alors
 13    I,  IntIII|             double vue.~ ~ – Dors, me dit-il, et souviens-toi.~ ~ ~«
 14    I,  IntIII|    physionomies, très illustre frère, dit-il, moi je lis dans l’avenir.
 15    I,  IntIII|                      Oui, sans doute, dit-il, c’est bien long pour quiconque
 16    I,  IntIII|          parla le premier.~ ~ ~– Moi, dit-il, je représente la Suède.
 17    I,  IntIII|          parla à son tour.~ ~ ~– Moi, dit-il, envoyé des cercles irlandais
 18    I,  IntIII|           précédente.~ ~ ~– Et vous ? dit-il au troisième chef.~ ~ ~–
 19    I,  IntIII|           part.~ ~ ~– Swedenborg, lui dit-il, tu es véritablement un
 20    I,       2|                      D’abord, maître, dit-il, nous ne traversons plus
 21    I,       3|            écouta.~ ~ ~– Oui, madame, dit-il en revenant, il y est.~ ~ ~ ~
 22    I,       4|              apparence.~ ~ ~– Allons, dit-il en passant sur son front
 23    I,       4|            cette lanterne, monsieur ? dit-il.~ ~ ~– Que vous éclairiez
 24    I,       4|                   Ouvrez la lanterne, dit-il.~ ~ ~ ~Gilbert obéit.~ ~ ~–
 25    I,       4|          baron de Taverney, mon ami ? dit-il.~ ~ ~– Oui, monsieur, et
 26    I,       4|             pas domestique, monsieur, dit-il.~ ~ ~– Mais enfin, reprit
 27    I,       4|         profondément.~ ~ ~– Monsieur, dit-il tout à coup, savez-vous
 28    I,       4|                  Je ne comprends pas, dit-il.~ ~ ~ ~Peut-être le voyageur
 29    I,       4|               avoué, je ne sais rien, dit-il.~ ~ ~ ~Ces deux soupirs
 30    I,       5|             seigneur.~ ~ ~– Monsieur, dit-il, puis-je savoir à quel heureux
 31    I,       5|             études.~ ~ ~– Sans cœur ! dit-il ; mais, au reste, peut-être
 32    I,       6|           jeunesse.~ ~ ~– Voyez donc, dit-il, quels jolis doigts a cette
 33    I,       6|               Vous rêvez aussi, vous, dit-il ; bon ! vous devriez au
 34    I,       6|        Balsamo.~ ~ ~– Mais, au moins, dit-il, M. le maréchal fait avancer
 35    I,       6|            grands yeux.~ ~ ~– Pardon, dit-il ; mais quel âge avez-vous
 36    I,       6|              son âge.~ ~ ~– Monsieur, dit-il, permettez-moi de vous dire
 37    I,       6|             vous aussi, mademoiselle, dit-il, vous croyez que je suis
 38    I,       6|               à manger.~ ~ ~– Allons, dit-il triomphant, lorsqu’elle
 39    I,       7|          ville prochaine.~ ~ ~– J’ai, dit-il, un mauvais cheval qui en
 40    I,       7|           probité.~ ~ ~– And honest ! dit-il comme Hamlet.~ ~ ~ ~Et fouillant
 41    I,       7|          Balsamo l’arrêta.~ ~ ~– Non, dit-il, laissez tous ces vieux
 42    I,       7|          électricité :~ ~ ~– Dormez ! dit-il.~ ~ ~ ~Puis, comme elle
 43    I,       8|          fureur :~ ~ ~– Oh ! sa main, dit-il ; approcher seulement mes
 44    I,       8|          était éteinte.~ ~ ~– Allons, dit-il.~ ~ ~ ~Et il s’avança de
 45    I,       9|           vous ai commandé de dormir, dit-il ; dormez-vous ?~ ~ ~ ~Andrée
 46    I,       9|             Je veux que vous parliez, dit-il.~ ~ ~ ~La jeune fille tressaillit.~ ~ ~–
 47    I,       9|           fauteuil.~ ~ ~– Maintenant, dit-il, voyez-vous ?~ ~ ~ ~Les
 48    I,       9|            sourit.~ ~ ~– Est-ce vous, dit-il, qu’elle guette et qu’elle
 49    I,       9|              Reposez-vous maintenant, dit-il à Andrée en lui reprenant
 50    I,      10|                   Soit, je vous suis, dit-il.~ ~ ~ ~Il marcha effectivement
 51    I,      10|          absolument, expliquons-nous, dit-il.~ ~ ~– Oh ! ce sera vite
 52    I,      12|            rencontre.~ ~ ~– Monsieur, dit-il avec une politesse d’autant
 53    I,      12|            répliquer.~ ~ ~– Eh bien ! dit-il en montrant La Brie, qui
 54    I,      12|           Merci, mon brave serviteur, dit-il.~ ~ ~ ~Et, prenant le verre
 55    I,      12|              sorcier.~ ~ ~– Ah ! ah ! dit-il, conduite par mon fils…
 56    I,      12|            Balsamo :~ ~ ~– Pardonnez, dit-il.~ ~ ~– Monsieur, dit Balsamo
 57    I,      13|              tu es surprise, ma sœur, dit-il, après les avoir fait asseoir
 58    I,      13|          Philippe chercha.~ ~ ~– Non, dit-il.~ ~ ~– Voyons… à Nicole,
 59    I,      13|           plus nous serons ridicules, dit-il. Continuez, Philippe, continuez.~ ~ ~–
 60    I,      13|          major s’avança.~ ~ – Madame, dit-il, M. le lieutenant de Taverney
 61    I,      13|       faites-vous donc là, monsieur ? dit-il en arrachant le brandon
 62    I,      14|           mélancolique.~ ~ ~– Madame, dit-il, si Votre Altesse royale
 63    I,      14|            Altesse royale est servie, dit-il avec un mélange impossible
 64    I,      15|            apprendre de M. de Bièvre, dit-il.~ ~ ~– Oh ! mon cher hôte,
 65    I,      15|             au palais de Schoenbrunn, dit-il, un cabinet qu’on appelle
 66    I,      15|     grommelant.~ ~ ~– Allons, allons, dit-il, voilà mon sorcier usé :
 67    I,      15|              eut mordu.~ ~ ~– Madame, dit-il d’une voix frémissante,
 68    I,      15|                     Êtes-vous prête ? dit-il à la princesse, que cette
 69    I,      16|        approcha d’elle.~ ~ ~– Madame, dit-il, c’est pour obéir aux ordres
 70    I,      16|               revint.~ ~ ~– Monsieur, dit-il, ce gentilhomme est là-bas.~ ~ ~–
 71    I,      16|                  Mais, triple coquin, dit-il à La Brie, il y a une chose
 72    I,      17|             point.~ ~ ~– Par ma foi ! dit-il, c’est une belle somme.~ ~ ~–
 73    I,      18|                       Te voilà libre, dit-il ; cherche ta vie comme tu
 74    I,      18|              les massifs.~ ~ ~– Bien, dit-il ; maintenant nous verrons
 75    I,      18|               meilleur.~ ~ ~– Adieu ! dit-il en se retournant pour voir
 76    I,      19|   faiblissaient sous lui.~ ~ ~– Bien, dit-il, partez, partez ! Moi aussi,
 77    I,      19|               caractère.~ ~ ~– Merci, dit-il, je me contente de moins ;
 78    I,      20|             étais en effet désespéré, dit-il.~ ~ ~– Et de quoi ? demanda
 79    I,      21|            êtes point poli, mon cher, dit-il, et que, si vous n’ouvrez
 80    I,      21|              prend l’os.~ ~ ~– Tiens, dit-il, qu’as-tu donc ramassé là ?~ ~ ~–
 81    I,      21|               instant :~ ~ ~– Allons, dit-il, pas de mots, des faits…~ ~ ~ ~
 82    I,      21|           monde :~ ~ ~– Mon cher ami, dit-il, je vais mettre votre responsabilité
 83    I,      22|             le vicomte Jean du Barry, dit-il, vous allez me faire l’honneur
 84    I,      22|           Vous êtes blessé, monsieur, dit-il.~ ~ ~– Je le sens sacrebleu
 85    I,      22|                  Allez, monsieur, lui dit-il, et ne faites plus de pareilles
 86    I,      22|          chaise.~ ~ ~– Et mon arabe ? dit-il. Ah ! ma foi, qu’il aille
 87    I,      22|           chaise.~ ~ ~– Allons, bon ! dit-il en apercevant Gilbert, voilà
 88    I,      22|               monsieur Jean du Barry, dit-il.~ ~ ~ ~La voiture partit
 89    I,      22|            raison ; je me sens mieux, dit-il, causons.~ ~ ~ ~Gilbert
 90    I,      24|              n’est pas mon intention, dit-il.~ ~ – Que voulez-vous donc ?~ ~ –
 91    I,      24|            cuirassa.~ ~ ~– Ah ! bien, dit-il, nous allons nous jeter
 92    I,      24|               ravisa.~ ~ ~– J’y vais, dit-il, j’y vais. Adieu, comtesse.
 93    I,      25|             sur lui-même.~ ~ ~– Sire, dit-il, est-ce que madame la dauphine
 94    I,      26|           croisa les bras.~ ~ ~– Moi, dit-il, j’avoue que je suis reconnaissant
 95    I,      26|         Altesse veut-elle continuer ? dit-il. Sa Majesté aura sans doute
 96    I,      26|               savoir, il faut savoir, dit-il.~ ~ ~– Je sais, sire, ajouta
 97    I,      26|           secours.~ ~ ~– Enfin, sire, dit-il, l’épée a été croisée par
 98    I,      26|             sur le seuil.~ ~ ~– Sire, dit-il, Son Altesse royale Madame
 99    I,      27|              troublé.~ ~ ~– Oh ! non, dit-il, non, ma fille, vous ne
100    I,      27|           vous ne m’avez parlé ainsi, dit-il. Vous vous égarez, chère
101    I,      27|             poitrine.~ ~ ~– Ma fille, dit-il, vous me parlez sévèrement ;
102    I,      27|               tu voudras, mon enfant, dit-il ; seulement, reçois la bénédiction
103    I,      28|                Ah ! c’est toi, Loque, dit-il s’adressant à l’aînée des
104    I,      28|              Qu’en sais-tu, Graille ? dit-il. Est-ce que Louise, en partant,
105    I,      28|                    Ah ! vous croyez ? dit-il.~ ~ ~– Oui, reprit Madame
106    I,      28|              la tempête.~ ~ ~– Voilà, dit-il, pour me prouver que je
107    I,      28|        service.~ ~ ~– Ventre à terre, dit-il, jusqu’à ce que vous ayez
108    I,      28|           France. »~ ~– Tenez, Lebel, dit-il, allez porter cette lettre
109    I,      29|             Guildou, notre procureur, dit-il.~ ~ ~– Ah ! mon Dieu !~ ~ ~–
110    I,      30|                   Madame la comtesse, dit-il, vous avez raison de dire
111    I,      30|          phrase.~ ~ ~– À votre place, dit-il, j’oublierais les vieux,
112    I,      30|   stupéfaction :~ ~ ~– Faites entrer, dit-il.~ ~ ~ ~L’huissier se retira ;
113    I,      31|                   Notez bien, madame, dit-il, que je ne vous propose
114    I,      32|                 monsieur Boucher, lui dit-il, comme vous sentez la térébenthine !~ ~ ~ ~
115    I,      32|           mais, dix heures et demie ! dit-il ; j’ai dormi près de trois
116    I,      32|               Sans doute, sans doute, dit-il en baisant la main de la
117    I,      32|                   Eh bien ! non, non, dit-il ; impossible même de souper…
118    I,      33|                     Voyons, comtesse, dit-il avec dépit, commandez, je
119    I,      33|                     Oui, c’est drôle, dit-il ; mais cela n’empêche point
120    I,      33|               du roi.~ ~ ~– Ah ! ah ! dit-il en s’arrêtant, qu’est-ce
121    I,      34|            Chaussée :~ ~ ~– Bon, bon, dit-il en l’écartant de la main,
122    I,      34|             Ah ! vous voilà, Sartine, dit-il ; comme vous êtes exact !~ ~ ~ ~
123    I,      34|              la croisée.~ ~ ~– Quoi ! dit-il, c’est la comtesse qui sort ?~ ~ ~–
124    I,      34|         poussa un soupir.~ ~ ~– Sire, dit-il, si nous ne punissons pas
125    I,      34|                sire, la tranquillité, dit-il à son tour, voilà ce que
126    I,      34|           elle. »~ ~– De cette façon, dit-il, je serai débarrassé de
127    I,      35|          court.~ ~ ~– Vite, comtesse, dit-il, vite, montez dans mon carrosse,
128    I,      35|           mauvais sourire.~ ~ ~– Oh ! dit-il, les dettes qui se payent
129    I,      35|             elle.~ ~ ~– Eh bien ? lui dit-il.~ ~ ~– Voici ce qu’a dit
130    I,      36|              sortir :~ ~ ~– À propos, dit-il, il y aura demain présentation
131    I,      36|            comtesse d’Egmont ; allez, dit-il, allez.~ ~ ~– Mesdames,
132    I,      37|               carrosse chez Francian, dit-il, et cela avec les chevaux
133    I,      37|          Lettre pour maîtresse Barry, dit-il.~ ~ ~– Qui l’a apportée ?~ ~ ~–
134    I,      37|            position :~ ~ ~– Monsieur, dit-il, je voulais offrir mes services
135    I,      37|          madame se défie trop de moi, dit-il, je me retirerai.~ ~ ~–
136    I,      37|                     Ah ! c’est vrai ! dit-il. Monsieur, imaginez-vous
137    I,      38|            duchesse de Grammont ici ? dit-il.~ ~ ~– Sire, répondit M.
138    I,      38|             la princesse de Guéménée, dit-il, où est-elle donc ? Ne l’
139    I,      38|            une épigramme.~ ~ ~– Mais, dit-il, ne vous semble-t-il pas,
140    I,      38|                     Beau temps, sire, dit-il timidement.~ ~ ~– Superbe,
141    I,      38|               belle filleule, madame, dit-il à madame de Béarn ; mais
142    I,      38|             silence :~ ~ ~– Mesdames, dit-il en élevant la voix, c’est
143    I,      38|               J’espère, mon cher duc, dit-il, que madame d’Egmont sera
144    I,      39|          Madame la comtesse du Barry, dit-il, ma meilleure amie !~ ~ ~ ~
145    I,      39|               Savez-vous, Jeanne, lui dit-il en lui montrant du doigt
146   II,      40|            effaré.~ ~ ~– Non, madame, dit-il, je n’ai pas cet honneur.~ ~ ~–
147   II,      40|       blanches.~ ~ ~– Moi gouverneur, dit-il, moi pas magot.~ ~ ~ ~Gilbert
148   II,      40|             un tailleur.~ ~ ~– Voici, dit-il en désignant Gilbert, la
149   II,      41|               Taverney.~ ~ ~– Madame, dit-il, j’étais…, j’étais homme
150   II,      42| Plessis-Piquet.~ ~ ~– Allons, allons, dit-il en regardant autour de lui,
151   II,      43|           voulez me parler, mon ami ? dit-il en souriant et en posant
152   II,      43|            mangé depuis douze heures, dit-il, et il y en a maintenant
153   II,      43|              cœur.~ ~ ~– Non pas, lui dit-il, ma boîte est presque pleine,
154   II,      43|        tendresse.~ ~ ~– Eh bien ! lui dit-il, continuez d’étudier la
155   II,      43|               est une prédisposition, dit-il, un instinct. Ces sortes
156   II,      43|                  J’ai une profession, dit-il ; oui, c’est vrai, car tout
157   II,      43|                      Je m’en doutais, dit-il.~ ~ ~– Combien croyez-vous
158   II,      43|           bâton.~ ~ ~– Et maintenant, dit-il plus gaiement, maintenant
159   II,      44|               Voilà un beau monument, dit-il.~ ~ ~– C’est Saint-Eustache,
160   II,      44|             seuil :~ ~ ~– Venez vite, dit-il.~ ~ ~ ~Et il referma la
161   II,      44|               arrêta.~ ~ ~– Monsieur, dit-il avec une certaine fermeté,
162   II,      44|             Gilbert, je vous en prie, dit-il.~ ~ ~ ~La vieille, pour
163   II,      44|                 Maintenant, ma femme, dit-il en reposant la bouteille
164   II,      44|             en effet rafraîchissante, dit-il. Prenez sur la table un
165   II,      44|             fontaine.~ ~ ~– Monsieur, dit-il, l’eau est-elle chère à
166   II,      45|                Demain nous causerons, dit-il. Je pense que vous ne répugnerez
167   II,      45|                     Hélas ! monsieur, dit-il, je vois bien pourquoi vous
168   II,      45|             ébloui.~ ~ ~– Ainsi donc, dit-il, cette aventure avec mademoiselle
169   II,      45|               comme madame de Warens, dit-il ; il y en a de fières, de
170   II,      45|            femme doit être réveillée, dit-il coupant court à l’entretien ;
171   II,      45|              somptueusement logé, lui dit-il ; mais au bout du compte
172   II,      45|               retourna.~ ~ ~– Allons, dit-il, vous êtes non seulement
173   II,      46|              plus écouter aux portes, dit-il ; je ne veux plus pénétrer
174   II,      46|              note n’est pas mauvaise, dit-il ; vous négligez les marges,
175   II,      46|             main.~ ~ ~– Au reste, lui dit-il, ne vous désespérez pas.
176   II,      46|            son hôte.~ ~ ~– J’accepte, dit-il.~ ~ ~ ~Puis il se retira
177   II,      46|            Jean-Jacques.~ ~ ~– Enfin, dit-il en entrant dans sa mansarde,
178   II,      46|              effarouché.~ ~ ~– Quoi ! dit-il, que voulez-vous donc faire ?
179   II,      46|                     À la bonne heure, dit-il, vous avez un motif. J’aime
180   II,      46|              n’est pas de l’ambition, dit-il, c’est de l’amour !~ ~ ~ ~
181   II,      47|                   Vous savez, madame, dit-il, que maintenant la supérieure
182   II,      47|           tour.~ ~ ~– Entrez, madame, dit-il, et tirez après vous votre
183   II,      48|                    Et un joli garçon, dit-il.~ ~ ~ ~La rougeur de la
184   II,      48|                      Merci, monsieur, dit-il, grand merci, j’ai déjeuné.~ ~ ~–
185   II,      49|           militaires.~ ~ ~– Eh bien ! dit-il, on n’ôte donc pas son chapeau
186   II,      49|           orgueil.~ ~ ~– Excusez-moi, dit-il, je suis de province.~ ~ ~–
187   II,      49|              bien que l’on m’appelle, dit-il.~ ~ ~– Où cela ?~ ~ ~– De
188   II,      49|                    Monsieur le baron, dit-il, apprenez que, depuis que
189   II,      49|                     Tiens ! Gilbert ! dit-il avec bonhomie en reconnaissant
190   II,      49|           homme.~ ~ ~– Eh ! monsieur, dit-il avec un soupir arraché à
191   II,      49|                 Manges-tu, au moins ? dit-il.~ ~ ~– Je gagne mon pain,
192   II,      49|                      Je veux étudier, dit-il.~ ~ ~– Mais, pour étudier,
193   II,      51|               de Prusse, il voudrait, dit-il, avoir l’honneur d’entretenir
194   II,      51|                N’est-ce pas, Lorenza, dit-il, que vous êtes en sûreté
195   II,      51|       répondis-je.~ ~ – Alors, venez, dit-il une seconde fois.~ ~ ~«
196   II,      52|               n’est pas tout, Madame, dit-il, et Votre Altesse n’a entendu
197   II,      52|           souvient-il, chère Lorenza, dit-il, de la suite de notre voyage,
198   II,      52|                c’est vous, monsieur ! dit-il avec surprise.~ ~ ~– Vous
199   II,      52|               sourit.~ ~ ~– Monsieur, dit-il, c’est un rôle difficile
200   II,      52|          sourit.~ ~ ~– Oh ! monsieur, dit-il, que voilà une petite guerre
201   II,      52|           lettre voulez-vous parler ? dit-il.~ ~ ~– Oh ! vous le savez
202   II,      52|              son visage :~ ~ ~– Soit, dit-il. Mais il ne sera pas dit
203   II,      52|             princesse :~ ~ ~– Madame, dit-il, je suis forcé d’avouer
204   II,      53|            voiture.~ ~ ~– C’est bien, dit-il. Il faut que je sache où
205   II,      53|             adresse.~ ~ ~– N’importe, dit-il, je les suivrai. Il n’y
206   II,      53|              dernier.~ ~ ~– Eh bien ! dit-il, ces marauds-là vont-ils
207   II,      54|                      Rien ! monsieur, dit-il, absolument rien.~ ~ ~–
208   II,      54|               être vu.~ ~ ~– Non pas, dit-il en saisissant le jeune homme
209   II,      54|             se fâcha.~ ~ ~– Monsieur, dit-il, j’en suis désespéré pour
210   II,      54|               mains :~ ~ ~– Monsieur, dit-il, écoutez-moi ; un mot, un
211   II,      54|             ses paroles.~ ~ ~– Ainsi, dit-il, cette jeune dame, c’est
212   II,      54|           cœur ou un grand fourbe, se dit-il ; mais, après tout, si l’
213   II,      55|         devant elle :~ ~ ~– Lorenza ! dit-il.~ ~ ~ ~La jeune femme, à
214   II,      55|              au cocher.~ ~ ~– Que lui dit-il ?~ ~ ~– Rue Saint-Claude,
215   II,      56|                   Lorenza ! Lorenza ! dit-il, par pitié !…~ ~– Je suis
216   II,      56|             cœur brisé.~ ~ ~– Hélas ! dit-il, c’est ta faute, ou plutôt
217   II,      56|              puisque tu m’aimes tant, dit-il, épargne-moi.~ ~ ~ ~Lorenza
218   II,      57|                     Et, en attendant, dit-il, il vous conseille de trahir
219   II,      57|                      Voyons, Lorenza, dit-il, revenez à vous, soyez calme ;
220   II,      58|           tout rêveur.~ ~ ~– Mon ami, dit-il en s’arrêtant à la porte
221   II,      58|                 Bonsoir, monseigneur, dit-il simplement.~ ~ ~– On m’a
222   II,      59|                    L’or sera superbe, dit-il, monseigneur, et de première
223   II,      59|              y aura un peu de déchet, dit-il après avoir rempli le second
224   II,      59|                    Vingt-huit carats, dit-il ; je vais verser les deux
225   II,      59|             Vous m’obligez, monsieur, dit-il, et cela je m’empresse de
226   II,      59|               lui.~ ~ ~– Monseigneur, dit-il, un prince jeune, ardent,
227   II,      60|              la tête.~ ~ ~– Oh ! oh ! dit-il, voici Althotas qui m’appelle.~ ~ ~ ~
228   II,      60|              instant :~ ~ ~– Eh bien, dit-il, il y a donc du nouveau ?~ ~ ~–
229   II,      60|  amoureusement sa fiole.~ ~ ~– Enfin, dit-il, la combinaison est trouvée :
230   II,      60|               de rire.~ ~ ~– Affaire, dit-il, affaire en France. Ah !
231   II,      60|                  Je suis donc l’égal, dit-il, du manœuvre qui mord dans
232   II,      60|         marbre.~ ~ ~– Voyons, voyons, dit-il, ne sois pas un idiot humanitaire,
233   II,      60|                     Donc la mort est, dit-il ; c’est un point que tu
234   II,      60|               voilà qui est étrange ! dit-il.~ ~ ~– Vois comme la mort
235   II,      60|                Prends garde, Acharat, dit-il, voilà un chien mort qui
236   II,      60|         toucher.~ ~ ~– Non, non, non, dit-il, et tu es vraiment logicien,
237   II,      60|               plaie :~ ~ ~– Regarde ! dit-il.~ ~ ~ ~Alors, devant cette
238   II,      60|          souverain mépris.~ ~ ~– Va ! dit-il, va, je te convaincrai plus
239   II,      61|             assit.~ ~ ~– Viens, Chon, dit-il, viens ; ceux qui sont trop
240   II,      61|             tête.~ ~ ~– On me parle ? dit-il.~ ~ ~– Oui, monsieur l’empressé,
241   II,      61|               Le carrosse est prêt », dit-il.~ ~ ~ ~Chon s’élança, après
242   II,      63|              Qu’on mette les chevaux, dit-il.~ ~ ~– J’ai une voiture,
243   II,      63|       quelques papiers.~ ~ ~– Voyons, dit-il, si votre jeune homme est
244   II,      63|            commence à croire que oui, dit-il, et sans violence, sans
245   II,      64|              danger pour aujourdhui, dit-il, et revenons à ce qui nous
246   II,      65|              sa nature.~ ~ ~– Madame, dit-il en regardant l’archiduchesse,
247   II,      65|         épouse.~ ~ ~– Allons, madame, dit-il après un moment de silence,
248   II,      68|         délice :~ ~ ~– Oh ! monsieur, dit-il, pourquoi choisissez-vous
249   II,      68|           Alors je suis donc le seul, dit-il sans s’irriter, moi, gentilhomme
250   II,      68|     consolation :~ ~ ~– Monsieur, lui dit-il, pardonnez-moi de mêler
251   II,      68|        lanterne.~ ~ ~– Non, monsieur, dit-il, vraiment, non ; le mien
252   II,      68|                      Pauvre Gilbert ! dit-il.~ ~ ~– Mon cher enfant !
253   II,      68|              ne suis pas gentilhomme, dit-il, je suis homme du peuple ;
254   II,      68|              impératif :~ ~ ~– Place, dit-il, place à l’homme de la nature !
255   II,      68|             jour vient de mon vivant, dit-il, si j’ai le bonheur de voir
256   II,      68|                      Tenez, monsieur, dit-il, moi, je n’ai plus besoin
257   II,      69|             douleur.~ ~ ~– Ma fille ! dit-il ; ma fille !~ ~ ~ ~Et il
258   II,      69|            ramenez bien tard, baron ? dit-il.~ ~ ~– Monsieur, répondit
259   II,      69|          Balsamo.~ ~ ~– Monsieur, lui dit-il, vous savez mon adresse,
260   II,      69|            retournant :~ ~ ~– Pardon, dit-il, j’oubliais de vous donner
261   II,      70|              draps.~ ~ ~– Maintenant, dit-il à Thérèse, vous allez pouvoir
262   II,      70|        rouvrant les yeux :~ ~ ~– Non, dit-il avec effort, non ; là-haut !~ ~ ~–
263   II,      70|               ne veut pas nous gêner, dit-il à Thérèse, qui approuva
264   II,      70|                 J’avais besoin d’air, dit-il.~ ~ ~ ~Il n’y avait pas
265   II,      70|                     Le fonds est bon, dit-il. Mais qui donc vous a pressé
266   II,      73|                  Encore ces sottises, dit-il. Je ne comprends vraiment
267   II,      73|                 M. le baron a raison, dit-il, vous êtes bien tout ce
268   II,      73|    Voulez-vous que j’appelle Nicole ? dit-il à son tour en s’éloignant.~ ~ ~–
269   II,      74|          porte de sortie :~ ~ ~– Non, dit-il, non ; vous avez vos moyens
270   II,      75|            argent.~ ~ ~– Neuf heures, dit-il.~ ~ ~– Si nous nous reposions
271   II,      75|                      Je ne vois rien, dit-il.~ ~ ~– Comment, vous n’apercevez
272   II,      76|         modeste.~ ~ ~– Quelle folie ! dit-il à M. de Jussieu, le pain
273   II,      76|              bien m’offrir un emploi, dit-il, je désire entrer comme
274   II,      78|               la comtesse.~ ~ ~– Fi ! dit-il en entrant ; la méchante,
275   II,      78|              est bien. Adieu, madame, dit-il.~ ~ ~– Mes chevaux ! s’écria
276   II,      78|             comtesse, de ma vivacité, dit-il.~ ~ ~– En vérité, sire,
277   II,      78|              vainqueur.~ ~ ~– Parlez, dit-il.~ ~ ~– Tout à l’heure. Faites-y
278   II,      78|               carrosse.~ ~ ~– Cocher, dit-il, à Versailles, ventre à
279   II,      79|         sourcil.~ ~ ~– Votre Majesté, dit-il, est d’un caractère trop
280   II,      79|             sentit.~ ~ ~– Vous savez, dit-il, que je n’aime pas à dégoûter
281   II,      79|              rapproché de nous, sire, dit-il.~ ~ ~– Encore ! Quoi donc ?~ ~ ~–
282   II,      79|              gloire de Votre Majesté, dit-il ; elle avait de hautes idées
283   II,      81|              la chambre.~ ~ ~– Voilà, dit-il en montrant le duc et la
284  III,      82|                  Eh ! mais, comtesse, dit-il, il me semble…~ ~ ~– Et
285  III,      82|        respects à madame la comtesse, dit-il.~ ~ ~– Comment, cardinal,
286  III,      82|          voyez donc pas, monseigneur, dit-il, que madame enrage de ne
287  III,      82|          instruit.~ ~ ~– Au Marais… ? dit-il ayant l’air de chercher.~ ~ ~–
288  III,      83|               vous condamnez à vivre, dit-il, et, puisque vous êtes si
289  III,      83|                      Allons, Lorenza, dit-il, de la douceur, de la résignation ;
290  III,      83|                      Vous êtes folle, dit-il, vous savez bien que vous
291  III,      83|           voix menaçante :~ ~ ~– Non, dit-il, Lorenza, vous avez raison,
292  III,      83|             égaux.~ ~ ~– Un courrier, dit-il.~ ~ ~ ~Puis, après un court
293  III,      83|            retentit.~ ~ ~– Et pressé, dit-il.~ ~ ~– Ah ! fit Lorenza,
294  III,      83|                      Encore une fois, dit-il, et la dernière, vivons
295  III,      83|              les yeux :~ ~ ~– Dormez, dit-il.~ ~ ~ ~Cette parole était
296  III,      83|                      Voyez-vous ? lui dit-il.~ ~ ~– Oui, je vois, répondit
297  III,      83|       duchesse.~ ~ ~– Pièce curieuse, dit-il, que l’on me payerait bien
298  III,      83|                      Est-ce vrai, lui dit-il, ce que je pense ?~ ~ ~–
299  III,      83|                      Voilà la lettre, dit-il.~ ~ ~– Qu’en faut-il faire ?~ ~ ~–
300  III,      84|              que si, monsieur le duc, dit-il, puisque je vous ai rencontré
301  III,      84|                      Oui, une misère, dit-il ironiquement.~ ~ ~– Une
302  III,      84|            tête.~ ~ ~– Oh ! monsieur, dit-il, ce moyen est bon pour ceux
303  III,      84|          nuque et au cœur.~ ~ ~– Oui, dit-il après un long silence, seul
304  III,      84|            escalier.~ ~ ~– Permettez, dit-il, que je vous enferme, afin
305  III,      85|            lui parlant.~ ~ ~– Que lui dit-il ?~ ~ ~– Je n’ai entendu
306  III,      85|                   Maintenant, madame, dit-il à la comtesse, voulez-vous
307  III,      86|         presque souriant.~ ~ ~– Sire, dit-il, ainsi que Votre Majesté
308  III,      86|    profondément.~ ~ ~– Adieu, madame, dit-il d’une voix entrecoupée.~ ~ ~–
309  III,      87|                Elle goûte l’oncle, se dit-il, elle prend goût au neveu ;
310  III,      87|            Vous parlez sérieusement ? dit-il.~ ~ ~– Mais oui ; pourquoi
311  III,      87|                La chose est faite, se dit-il, ou d’Aiguillon est un sot.~ ~ ~ ~
312  III,      88|             penserait, Jeannette, lui dit-il, à vous entendre vous inquiéter,
313  III,      88|                    Oh ! je sais tout, dit-il, on entendMerci, madame,
314  III,      88|              s’inclina.~ ~ ~– Madame, dit-il, je vais me rendre auprès
315  III,      88|            Vous n’êtes pas une femme, dit-il, vous êtes…~ ~ ~– L’Ange,
316  III,      89|               salons.~ ~ ~– Oh ! oh ! dit-il, je fais du bruit, à ce
317  III,      89|             passé par l’antichambre ? dit-il.~ ~ ~– Oui.~ ~ ~– Qui est
318  III,      89|              de la Vaudraye a raison, dit-il. Mais tu es donc déjà sorti ?~ ~ ~–
319  III,      89|               craindre.~ ~ ~– Allons, dit-il, monseigneur, hâtez-vous,
320  III,      89|               haut :~ ~ ~– Continuez, dit-il avec hauteur au baron de
321  III,      90|              J’étais un grand sot, se dit-il.~ ~ ~– Eh bien, d’Aiguillon ?
322  III,      90|            rougit.~ ~ ~– Vous savez ? dit-il.~ ~ ~– M. le vicomte m’a
323  III,      90|              regret.~ ~ ~– Que diable dit-il là ? fit Jean, qui se croisait
324  III,      90|               ridées.~ ~ ~– Oh ! oui, dit-il avec un sourire dont rien
325  III,      90|           Soigne bien M. le maréchal, dit-il ; il souffre. Il a eu ce
326  III,      91|               moins forte que moi, se dit-il, et je la dominerai. Orgueilleuse
327  III,      91|                     Encore lâche ! se dit-il.~ ~ ~ ~Puis il ajouta tout
328  III,      91|                    Ah ! mademoiselle, dit-il d’une voix tout aimable,
329  III,      92|           Andrée.~ ~ ~– Ma fille, lui dit-il, je viens sans façon vous
330  III,      92|            selon son gré.~ ~ ~– Sire, dit-il, Votre Majesté sait que
331  III,      92|              voisine.~ ~ ~– Ah ! duc, dit-il à demi-voix, je vais me
332  III,      92|                     Rue Saint-Claude, dit-il.~ ~ ~ ~Bientôt après, il
333  III,      92|                Ma Lorenza chérie, lui dit-il en lui mettant le papier
334  III,      92|             bien, monsieur le comte ? dit-il.~ ~ ~– Eh bien, monseigneur…~ ~ ~–
335  III,      92|             Une seule recommandation, dit-il : n’allez pas avaler les
336  III,      93|                      Je le sais bien, dit-il, qu’il la lui faut, ou plutôt
337  III,      93|               une seconde.~ ~ ~– Oui, dit-il, oui, elle a une ressemblance,
338  III,      93|              promesses :~ ~ ~– Baron, dit-il, Nicole n’a certes pas sa
339  III,      93|             de chambre à votre fille, dit-il, c’est que cela fera plaisir
340  III,      94|            Très aimable, monseigneur, dit-il avec un mouvement de lèvres
341  III,      94|            fauteuil, ma chère enfant, dit-il, à côté de M. Rafté. Ouvrez
342  III,      95|            pas surpris.~ ~ ~– Non, se dit-il, non ; il n’y a que calcul
343  III,      95|              Richelieu.~ ~ ~– Peste ! dit-il, après l’exempt le maréchal
344  III,      96|             se doute de rien, Rafté ? dit-il.~ ~ ~– De rien, monseigneur.~ ~ ~–
345  III,      96|            est vous, maître Flageot ! dit-il ; enchanté de votre visite.~ ~ ~–
346  III,      96|                  Allons, monseigneur, dit-il, en voiture ! vous n’avez
347  III,      97|        attaque :~ ~ ~– Mon oncle, lui dit-il, est-il vrai que vous, l’
348  III,      97|            commissaires du parlement, dit-il avec inquiétude.~ ~ ~– Tiens !
349  III,      97|                    N’étant plus pair, dit-il, tu seras moins exposé à
350  III,      97|              tort.~ ~ ~– Vous croyez, dit-il, que M. d’Aiguillon sortira
351  III,      98|         étendit la main.~ ~ ~– Donne, dit-il, je suis brave.~ ~ ~– Je
352  III,      98|        lecture.~ ~ ~– Le roi est bon, dit-il au bout d’un instant.~ ~ ~–
353  III,      98|          tapis.~ ~ ~– À la Bastille ! dit-il en haussant les épaules :
354  III,      98|              Voyons, ne me boude pas, dit-il, et, si je ne comprends
355  III,      99|               Enchanté, madame, ravi, dit-il, et je rends mille grâces
356  III,      99|              une chanson assez drôle, dit-il.~ ~ ~– Une chanson assez
357  III,      99|               son Dieu :~ ~ ~– Soit ! dit-il ; Bernardet, rendez les
358  III,      99|               Vous irez à Luciennes ? dit-il.~ ~ ~– Sans balancer.~ ~ ~–
359  III,      99|                   Rafté avait raison, dit-il, les Flageot vont faire
360  III,     100|              le roi entra.~ ~ ~– Ah ! dit-il, vous avez des visites,
361  III,     100|                Maîtresse, une lettre, dit-il.~ ~ ~– Vous permettez, sire ?
362  III,     101|                    Vous avez entendu, dit-il d’une voix ferme, ce que
363  III,     101|             ne partez pas, monsieur ? dit-il.~ ~ ~– Oh ! je suis trop
364  III,     102|              au sien.~ ~ ~– Ainsi, se dit-il, ce secret que tout initié
365  III,     103|           Vous ne vous étonnerez pas, dit-il, que nous vous ayons réunis
366  III,     103|              entreprise.~ ~ ~– Frère, dit-il avec autorité au jeune homme,
367  III,     103|      mélancolique.~ ~ ~– J’y cherche, dit-il, ce que je n’y trouve pas.
368  III,     103|         ruisseaux de lait et de miel, dit-il, les champs élysées de Virgile,
369  III,     103|                   Vous avez entendu ? dit-il à tous.~ ~ ~– Oui, répondit
370  III,     103|     discrétion que vous me demandez ? dit-il.~ ~ ~– Vous l’avez dit.~ ~ ~–
371  III,     104|          cette lecture.~ ~ ~– Frères, dit-il, le prophète inspiré se
372  III,     104|    inexpérience.~ ~ ~– Parlez, frère, dit-il à Marat, qui s’agitait par
373  III,     105|                 Vous voyez, monsieur, dit-il en jetant sournoisement
374  III,     105|               opération épouvantable, dit-il ; l’os est plein de gerçures
375  III,     105|               terreur :~ ~ ~– Dormez, dit-il non seulement avec sa bouche,
376  III,     105|                À partir de ce moment, dit-il, ne bougez plus que je ne
377  III,     106|              esprit au pauvre diable, dit-il ; voilà pourquoi il ne souffre
378  III,     106|              de l’école de Gœttingue, dit-il, et j’ai fait la découverte
379  III,     106|                      Vous prétendiez, dit-il, tout à l’heure que, si
380  III,     106|            les mains.~ ~ ~– Non, non, dit-il.~ ~ ~ ~Son visage s’éclaira
381  III,     106|           Éveillez-vous, Havard ! lui dit-il.~ ~ ~ ~Le jeune homme ouvrit
382  III,     106|              étaient.~ ~ ~– Eh bien ! dit-il douloureusement, on ne m’
383  III,     106|            grande.~ ~ ~– Mon ami, lui dit-il, tranquillisez-vous. M.
384  III,     107|               Marat :~ ~ ~– Monsieur, dit-il, voici le moment où toutes
385  III,     107|             de fluide :~ ~ ~– Parlez, dit-il, parlez ; qui a pris la
386  III,     107|                    Eh bien, monsieur, dit-il, vous voyez enfin la lutte
387  III,     108|           cœur.~ ~ ~– Ah ! bon Dieu ! dit-il en lisant un paragraphe
388  III,     108|           petite chambre.~ ~ ~– J’ai, dit-il, médit des gens du pouvoir
389  III,     108|              Voilà donc par ma faute, dit-il, les frères mis en présence
390  III,     108|               Rousseau.~ ~ ~– Là, là, dit-il, ma bonne amie ; vous verrez
391  III,     108|             de parler à M. Rousseau ? dit-il.~ ~ ~– Oui, monsieur, répondit
392  III,     108|          rencontrait.~ ~ ~– Monsieur, dit-il, qu’y a-t-il pour votre
393  III,     108|             Je vous assure, monsieur, dit-il, que c’est pour moi un insigne
394  III,     108|               Il faut donc me rendre, dit-il, car jamais je n’ai été
395  III,     109|                  Vous êtes une sotte, dit-il, il n’y a pas d’honneur
396  III,     110|             la tête alors.~ ~ ~– Ah ! dit-il froidement, monsieur Rousseau,
397  III,     110|              comtesse.~ ~ ~– Madame…, dit-il de mauvaise humeur.~ ~ ~–
398  III,     110|                Bonjour, monsieur, lui dit-il de sa voix brève et pédante.~ ~ ~ ~
399  III,     110|        supérieur dans la philosophie, dit-il.~ ~ ~ ~Rousseau s’inclina.~ ~ ~–
400  III,     111|               Barry.~ ~ ~– Il paraît, dit-il tout haut, que mademoiselle
401  III,     111|        paraître la voir :~ ~ ~– Sire, dit-il, Votre Majesté nous fera-t-elle
402  III,     111|               à Richelieu.~ ~ ~– Duc, dit-il, j’ai à vous parler de certaine
403  III,     112|              la galerie.~ ~ ~– Baron, dit-il aussitôt qu’il se vit seul
404  III,     112|               Prends-tu, oui ou non ? dit-il.~ ~ ~ ~Taverney allongea
405  III,     112|             Comme cela, tu es moral ? dit-il au duc avec un sourire jumeau
406  III,     112|               Grâce à ta délicatesse, dit-il, ma fille va pouvoir accepter
407  III,     113|        paroles.~ ~ ~– Furieuse, sire, dit-il, et de quoi ? de ce que
408  III,     113|             rire.~ ~ ~– Allons, sire, dit-il, raison de plus et, si Votre
409  III,     113|             instant.~ ~ ~– Mais vous, dit-il, avez-vous quelqu’un ?~ ~ ~–
410  III,     113|               à Trianon.~ ~ ~– Ainsi, dit-il tout haut, c’est convenu,
411  III,     113|             se mit à rire.~ ~ ~– Duc, dit-il, voilà une fort belle maxime,
412  III,     113|            Taverney.~ ~ ~– Messieurs, dit-il, nul doute que je ne suivisse
413  III,     113|             au duc :~ ~ ~– Maréchal ! dit-il.~ ~ ~ ~Le duc s’approcha
414  III,     114|             et du père.~ ~ ~– Andrée, dit-il, je vous aime ainsi. Soyez
415  III,     114|       dernière fois.~ ~ ~– Au revoir, dit-il ; rappelez-vous votre promesse.~ ~ ~–
416  III,     115|                 Pardon, mademoiselle, dit-il, c’est que j’ai entendu
417  III,     116|             son compte.~ ~ ~– Le roi, dit-il, m’a affirmé qu’il n’avait
418  III,     116|    signification.~ ~ ~– Mademoiselle, dit-il, le roi a voulu vous prier
419  III,     116|                      Une main royale, dit-il, un pied de fée… l’esprit,
420  III,     116|               aient agi.~ ~ ~– Voici, dit-il.~ ~ ~– Ah ! des bijoux…
421  III,     116|                       Voyons, enfant, dit-il, est-ce que votre père n’
422  III,     116|              caresses.~ ~ ~– Eh bien, dit-il, vous serez, comme le disait
423  III,     116|             Madame la dauphine aussi, dit-il vivement ; dans l’intimité
424  III,     117|       inaccoutumée.~ ~ ~– M’asseoir ? dit-il. Tu sais bien, ma Lorenza,
425  III,     117|              Parlez vite, ma Lorenza, dit-il tout haut avec un sourire
426  III,     117|              la calmer.~ ~ ~– Voyons, dit-il, Lorenza, de la douceur,
427  III,     117|                      Dormez, Lorenza, dit-il, dormez, je le veux !~ ~ ~ ~
428  III,     117|             entends, malheureux ! lui dit-il ; tu entends, si dans huit
429  III,     118|          Richelieu.~ ~ ~– Petite, lui dit-il en lui frappant sur l’épaule,
430  III,     118|           elle :~ ~ ~– Ah çà, petite, dit-il en s’arrêtant et en la regardant
431  III,     118|            maréchal.~ ~ ~– Il paraît, dit-il, que nous lui donnons des
432  III,     118|        regarda Nicole.~ ~ ~– Tudieu ! dit-il, la petite masque, est-elle
433  III,     118|            expressif.~ ~ ~– Parbleu ! dit-il, c’est entendu, je pourvoirai
434  III,     118|              quoi tu penses, Nicole ? dit-il.~ ~ ~– Ma foi, non, répondit
435  III,     118|           avez deviné ?~ ~ ~– Nicole, dit-il, tu songes que, si tu fuis,
436  III,     118|                   Tu ne réponds pas ? dit-il.~ ~ ~– Je pense que mademoiselle
437  III,     118|                     Voici un acompte, dit-il, et dans cette bourse il
438  III,     118|              en demi-louis.~ ~ ~– Là, dit-il, est-ce bien cela ?~ ~ ~–
439  III,     119|     phosphorescents.~ ~ ~– Pour vous, dit-il, je me jetterais dans un
440  III,     120|             corps.~ ~ ~– Voyez-vous ? dit-il.~ ~ ~– Oui, répondit Andrée ;
441  III,     122|                     Retourne à Paris, dit-il, et remets, quelque part
442  III,     122|                    Mon Dieu ! madame, dit-il, vous ne sauriez aller loin
443  III,     123|              homme que vous cherchez, dit-il, si je vous envoie en prison ?~ ~ ~ ~
444  III,     123|          Sartine.~ ~ ~– Asseyez-vous, dit-il brusquement.~ ~ ~ ~Lorenza
445  III,     123|             sur le bureau.~ ~ ~– Non, dit-il avec défiance, ouvrez le
446  III,     123|           main de marbre.~ ~ ~– Mais, dit-il, pourquoi n’avez-vous pas
447   IV,     124|              aide de la chancellerie, dit-il, tout de suite. Faites passer
448   IV,     124|                  Déchiffrez-moi cela, dit-il.~ ~ ~– Oui, monseigneur,
449   IV,     124|             avais deviné, vous voyez, dit-il. Je vous connaissais, je
450   IV,     125|             se remit.~ ~ ~– Monsieur, dit-il, j’ai sur vous un avantage ;
451   IV,     125|            que l’affaire des grains ? dit-il en affectant autant d’assurance
452   IV,     125|              en proie.~ ~ ~– Eh bien, dit-il, vous m’accuserez si vous
453   IV,     125|           sueur.~ ~ ~– Eh bien, soit, dit-il. mais tout cela n’empêchera
454   IV,     126|               Je crée des sympathies, dit-il.~ ~ ~– Oui, je sais cela.~ ~ ~–
455   IV,     127|                      Ce que je veux…, dit-il en regardant fixement Balsamo.~ ~ ~–
456   IV,     127|            debout.~ ~ ~– Oui ou non ! dit-il.~ ~ ~– Maître, oui, si je
457   IV,     128|          Lorenza :~ ~ ~– Me voici, se dit-il, triste mais résolu et envisageant
458   IV,     128|               l’enveloppa.~ ~ ~– Oh ! dit-il, c’en est trop ; aussi longtemps
459   IV,     128|           front.~ ~ ~– Eh bien, soit, dit-il. D’ailleurs…~ ~ ~ ~Il resta
460   IV,     129|          demeura pensif.~ ~ ~– Ainsi, dit-il, la transmutation des métaux
461   IV,     129|          flamme.~ ~ ~– Oh ! mon Dieu, dit-il, mon Dieu, tu fais trop
462   IV,     129|              la terre.~ ~ ~– Eh bien, dit-il, non, tu ne me quitteras
463   IV,     129|         visite importante.~ ~ ~– Oh ! dit-il, c’est donc vrai !~ ~ ~–
464   IV,     130|              sur le roi.~ ~ ~– Alors, dit-il, vous êtes contente de moi,
465   IV,     130|         comtesse, ne vous fâchez pas, dit-il.~ ~ – Alors, chassez ce
466   IV,     130|             main.~ ~ – Eh bien, soit, dit-il, n’en parlons plus, belle
467   IV,     130|            sang.~ ~ ~– Tenez, madame, dit-il, pour cette liberté que
468   IV,     130|          étaient sauvés peut-être, se dit-il, sans la coquetterie d’une
469   IV,     131|            dérobé.~ ~ ~– La signora ? dit-il.~ ~ ~– Eh bien, maître ?
470   IV,     131|                   Voyons, raisonnons, dit-il ; Lorenza n’y est plus ;
471   IV,     131|               il s’arrêta.~ ~ ~– Oh ! dit-il, avant toute chose… Mon
472   IV,     131|              à la fois.~ ~ ~– Maître, dit-il en cherchant un point solide
473   IV,     131|                     C’est bien à toi, dit-il, Acharat, tu as été sage
474   IV,     132|               Oh ! voyez, Excellence, dit-il en lui indiquant sa propre
475   IV,     132|                      Oui, Fritz, oui, dit-il, tu as raison.~ ~ ~ ~Puis,
476   IV,     132|              des ordres à me donner ? dit-il.~ ~ ~– Aucun ordre, Fritz.~ ~ ~–
477   IV,     133|                  Je ne comprends pas, dit-il.~ ~ ~– Nous allons te faire
478   IV,     133|                   Il y a trois jours, dit-il, cinq lettres de cachet
479   IV,     133|            accusez-vous cette femme ? dit-il.~ ~ ~– Ah ! nous savons
480   IV,     134|              le désespoir.~ ~ ~– Ah ! dit-il, ah ! tu trouves que je
481   IV,     134|         espoir.~ ~ ~– Allons, allons, dit-il, je meurs sans regret ;
482   IV,     134|                    Oui, tu as raison, dit-il, il y a une chose que je
483   IV,     135|              hôte :~ ~ ~– Eh ! baron, dit-il, qu’y a-t-il donc de nouveau ?
484   IV,     135|                Je n’y comprends rien, dit-il enfin.~ ~ ~– Ni moi, baron.~ ~ ~–
485   IV,     135|             Eh bien, ne te fâche pas, dit-il ; je tenterai encore une
486   IV,     135|            Non, mon cher, impossible, dit-il ; j’ai une course à faire
487   IV,     136|               monsieur de Richelieu ? dit-il.~ ~ ~– Aux ordres de Sa
488   IV,     136|               maréchal.~ ~ ~– Voyons, dit-il, vous me voulez quelque
489   IV,     136|             indifférence.~ ~ ~– Sire, dit-il, j’ai toujours eu le bonheur
490   IV,     136|          mains.~ ~ ~– Oh ! mon Dieu ! dit-il, les dehors devenus… Si
491   IV,     138|                       Il faut avouer, dit-il, que le roi, qui nous avait
492   IV,     138|       impénétrable.~ ~ ~– Voyons, lui dit-il en se rapprochant d’elle,
493   IV,     138|              dédaigneux.~ ~ ~– Ainsi, dit-il, vous trouvez que c’est
494   IV,     138|               tant qu’il vous plaira, dit-il ; vous voulez faire la réservée,
495   IV,     138|             en silence.~ ~ ~– Madame, dit-il, la maladie de mademoiselle
496   IV,     139|            son neveu.~ ~ ~– Pardieu ! dit-il, il serait drôle que madame
497   IV,     139|                  Vous êtes un oiseau, dit-il.~ ~ ~– Et vous, un serpent.~ ~ ~–
498   IV,     140|              nous aimes pas, Gilbert, dit-il.~ ~ ~ ~Le jeune homme tressaillit
499   IV,     141|        colères. Le duc le fait aller, dit-il, le duc trahit. Qui le duc
500   IV,     142|        signification.~ ~ ~– Ah ! ah ! dit-il, c’est donc vous… ?~ ~ ~
501   IV,     142|              la mort.~ ~ ~– Monsieur, dit-il, prenez garde ! vous insultez
502   IV,     142|               arrêta.~ ~ ~– Monsieur, dit-il, tout à l’heure, et cela
503   IV,     142|              suprême grâce, monsieur, dit-il ; vous voyez dans quel désordre
504   IV,     143|            tendrement :~ ~ ~– Andrée, dit-il, ne croyez point que je
505   IV,     143|               rien vu.~ ~ ~– Docteur, dit-il, soyez le bienvenu et pardonnez-moi
506   IV,     143|                   Eh bien, monsieur ? dit-il d’un air de triomphe.~ ~ ~–
507   IV,     143|          homme.~ ~ ~– Quoi ! encore ? dit-il.~ ~ ~ ~Le docteur fit un
508   IV,     144|          sourcil.~ ~ ~– Mademoiselle, dit-il, je vous en supplie, arrêtez-vous
509   IV,     144|        tremblantes.~ ~ ~– Misérable ! dit-il au docteur, vous mentez.~ ~ ~ ~
510   IV,     144|      lâchement et stupidement trompé, dit-il en se croisant les bras ;
511   IV,     145|           Taverney et la dauphine, se dit-il, que l’explication aura
512   IV,     145|               sera toujours temps, se dit-il, de songer à la mort lorsque
513   IV,     145|                   Où sont les traces, dit-il, si mademoiselle de Taverney
514   IV,     146|             serviteur.~ ~ ~– Je veux, dit-il, parler au maître du logis,
515   IV,     146|              irriter.~ ~ ~– Au reste, dit-il, que M. le comte y soit
516   IV,     146|         lèvres pâles.~ ~ ~– Monsieur, dit-il, je vous fais mes excuses
517   IV,     146|              Serait-il donc possible, dit-il, que vous fussiez de bonne
518   IV,     146|               tour.~ ~ ~– C’est vrai, dit-il, je l’ai revue.~ ~ ~ ~Et
519   IV,     146|               c’est vrai, c’est vrai, dit-il, je me rappelle ; je suis
520   IV,     146|                  Fritz, un carrosse ! dit-il en voyant apparaître l’Allemand.~ ~ ~ ~
521   IV,     147|         silence :~ ~ ~– Monsieur, lui dit-il, force nous sera, j’en ai
522   IV,     147|             il vous plaira, monsieur, dit-il ; parlez, je vous écoute.~ ~ ~–
523   IV,     147|                  En vérité, monsieur, dit-il, vous n’eussiez pas  revenir
524   IV,     147|                       Avec cet homme, dit-il, il faut persuader ou dominer
525   IV,     147|        carrosse.~ ~ ~– Oui, monsieur, dit-il, vous aviez raison, il est
526   IV,     147|      diagonales.~ ~ ~– Marchons vite, dit-il à Balsamo.~ ~ ~ ~Et son
527   IV,     147|             fois.~ ~ ~– Monsieur, lui dit-il, un dernier mot… Nous voici
528   IV,     147|          physionomie.~ ~ ~– Et tenez, dit-il en laissant retomber ses
529   IV,     148|         action :~ ~ ~– Souvenez-vous, dit-il, je le veux.~ ~ ~– Je me
530   IV,     148|              Prenez garde, monsieur ! dit-il ; ce qui est secret deviendrait
531   IV,     148|       héroïsme :~ ~ ~– Rien, ma sœur, dit-il.~ ~ ~– Rien ?~ ~ ~– Non.~ ~ ~–
532   IV,     149|              la tête.~ ~ ~– Ah ! ah ! dit-il, c’est vous ?~ ~ ~– Pardonnez-moi,
533   IV,     149|               la veille.~ ~ ~– Alors, dit-il, elle a donc été victime
534   IV,     149|           yeux au ciel.~ ~ ~– Hélas ! dit-il, nous vivons, sous ce rapport
535   IV,     149|          docteur.~ ~ ~– Monsieur, lui dit-il, vous vous trompez étrangement
536   IV,     149|                 Docteur, écoutez-moi, dit-il, il ne s’agit point ici
537   IV,     150|         propre fureur :~ ~ ~– Andrée, dit-il, je ne puis vous apprendre
538   IV,     150|               indignation :~ ~ ~– Va, dit-il, tous ceux que tu nommes
539   IV,     150|               quoi me plaindrais-je ? dit-il avec un sourire. Ma sœur
540   IV,     150|            très précieuses, en effet, dit-il.~ ~ ~ ~Et, reprenant l’écrin
541   IV,     150|      apprêtait à ouvrir.~ ~ ~– Vous ! dit-il seulement, et par quel hasard ?~ ~ ~–
542   IV,     150|              à coup :~ ~ ~– Monsieur, dit-il, mademoiselle de Taverney
543   IV,     150|              et humides.~ ~ ~– Soit ! dit-il.~ ~ ~ ~Puis, haussant les
544   IV,     150|            chiffonnier.~ ~ ~– Après ? dit-il.~ ~ ~– Ensuite, monsieur,
545   IV,     150|             sourire :~ ~ ~– Philippe, dit-il, je vous permets de signer
546   IV,     151|             Tout ce que vous voudrez, dit-il, pourvu qu’il y ait des
547   IV,     151|        somnolence.~ ~ ~– Eh quoi ! se dit-il, déjà de retour !… me serais-je
548   IV,     151|             vivement.~ ~ ~– Gilbert ! dit-il.~ ~ ~– Oui, Gilbert ; encore
549   IV,     151|            arrêta la main.~ ~ ~– Oh ! dit-il avec une douleur poignante,
550   IV,     151|               je vous reconnaissais ? dit-il.~ ~ ~– Oui, monsieur le
551   IV,     151|                  Oui, je me souviens, dit-il ; m’auriez-vous vu, par
552   IV,     151|                 Tu as raison, enfant, dit-il, c’est moi qui ai causé
553   IV,     151|              Tu es un homme d’esprit, dit-il, et l’on dirait encore que
554   IV,     151|           tremblante.~ ~ ~– Monsieur, dit-il, si je vous dois un pareil
555   IV,     152|               au front.~ ~ ~– Voyons, dit-il en regardant les billets,
556   IV,     153|               jeune homme.~ ~ ~– Oh ! dit-il d’une voix émue, ne m’accablez
557   IV,     153|                 Vous voilà en colère, dit-il ; mais je n’ai point à me
558   IV,     153|              que je vous crains trop, dit-il, et cependant, je le sais
559   IV,     153|               ne vous courroucez pas, dit-il ; certes, c’est une grande
560   IV,     153|            nacre.~ ~ ~– Mademoiselle, dit-il tout frémissant, je ne suis
561   IV,     154|              craindre.~ ~ ~– Mais, se dit-il, à quoi bon être soutenu
562   IV,     154|               la matière :~ ~ ~– Non, dit-il, non, tu n’iras pas regarder
563   IV,     154|             se ravisant :~ ~ ~– Fou ! dit-il, misérable écervelé que
564   IV,     154|             qui peut plaire à Andrée, dit-il, c’est ce que je déteste.
565   IV,     154|            sauvage.~ ~ ~– C’est cela, dit-il en étendant le poing vers
566   IV,     154|        ivresse de joie.~ ~ ~– Allons, dit-il, il ne s’agit plus de dépits
567   IV,     154|                Je veillerai, Andrée ! dit-il solennellement en s’approchant
568   IV,     155|              le lire.~ ~ ~– Oh ! oh ! dit-il, voici un garçon qui se
569   IV,     155|            une révélation.~ ~ ~– Non, dit-il, vous vous trompez, monsieur,
570   IV,     155|         choses que tu ne connais pas, dit-il ; chez les hommes faits,
571   IV,     155|             eussiez-vous fait, vous ? dit-il.~ ~ ~– Je ne sais pas encore ;
572   IV,     155|         récria.~ ~ ~– Maître Gilbert, dit-il de sa voix à la fois aigre
573   IV,     155|                   Dans quelques mois, dit-il, je ne répondrais pas non ;
574   IV,     155|           Vous obligez comme un roi ! dit-il.~ ~ ~– Oh ! mieux, j’espère,
575   IV,     155|     réfléchissant.~ ~ ~– Précisément, dit-il.~ ~ ~ ~Balsamo prit une
576   IV,     156|                 Je répondrai, madame, dit-il.~ ~ ~– Eh bien, est-ce par
577   IV,     156|              un ange du ciel, madame, dit-il, et je regrette bien de
578   IV,     156|                Veuillez me pardonner, dit-il, madame.~ ~ ~ ~Marie-Antoinette
579   IV,     156|               pour quitter la France, dit-il, le jour où ma sœur entrera
580   IV,     157|         préambule :~ ~ ~– Chère sœur, dit-il, avez-vous enfin pris votre
581   IV,     157|               la scène.~ ~ ~– Madame, dit-il avec ce calme du médecin
582   IV,     157|             qui ne peut tarder… Vous, dit-il à la servante, préparez
583   IV,     157|           vous ai dit en route. Vous, dit-il à Philippe, soyez plus raisonnable
584   IV,     157|              donné le jour à un fils, dit-il.~ ~ ~ ~Philippe joignit
585   IV,     159|               Un demi-louis pour toi, dit-il, si dans un quart d’heure
586   IV,     160|                 Bonne dame Madeleine, dit-il, je vous salue.~ ~ ~ ~La
587   IV,     160|             On ne m’avait pas trompé, dit-il ; vous êtes une brave femme.
588   IV,     160|             Gilbert pâlit.~ ~ ~– Oui, dit-il d’une voix étouffée.~ ~ ~–
589   IV,     160|               la tête.~ ~ ~– Partons, dit-il à Pitou.~ ~ ~– À vos souhaits,
590   IV,     161|                   Fou que je suis, se dit-il, où vais-je ? Dieu ne se
591   IV,     161|      haineuses passions.~ ~ ~– Soit ! dit-il, je serai malheureux ; soit !
592   IV,     161|                Un mets des riches, se dit-il, pour le plus pauvre des
593   IV,     161|                   Que veut monsieur ? dit-il à Gilbert.~ ~ ~ ~Gilbert
594   IV,     161|         incliner.~ ~ ~– Vous allez ?… dit-il.~ ~ ~– En Amérique.~ ~ ~–
595   IV,     162|              baron m’est assez connu, dit-il, pour que je le crois capable
596   IV,     162|           exagération, de la démence, dit-il.~ ~ ~– Ah ! docteur, que
597   IV,     162|       rugissement de rage.~ ~ ~– Oh ! dit-il en grinçant des dents, j’
598   IV,     163|          prenez le frais, capitaine ? dit-il.~ ~ ~– Monsieur, je me lève.~ ~ ~–
599   IV,     164|                 Mais vous, capitaine, dit-il, vous restez à bord ? Pourquoi
600   IV,     164|              ténèbres.~ ~ ~– Par ici, dit-il avec affabilité ; monsieur,
601   IV,     164|               bras.~ ~ ~– Vous voyez, dit-il, que je pourrais me défendre
602   IV,     164|                 J’ai repris l’enfant, dit-il, pour que personne ne lui
603   IV,     164|                   Si cela était vrai, dit-il, si je pouvais le croire,
604   IV,     164|               Vous ne m’avez pas cru, dit-il, je ne vous crois pas ;
605   IV,     164|              immobile.~ ~ ~– Un duel, dit-il, c’est justement ce que
606   IV,     Epi|         frappé.~ ~ ~– Je ne veux pas, dit-il, que les scènes de Metz
607   IV,     Epi|             Monsieur prend le frais ? dit-il en se rapprochant par un
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