Tome,  Chap.

  1    I,   IntII|      président, toi qui te crois un dieu et qui n’es qu’un précurseur,
  2    I,   IntII|         parles avec l’autorité d’un dieuRéfléchis bien, à ton tour :
  3    I,   IntII|           Oui, dit le président, et Dieu a daigné me le dévoiler
  4    I,  IntIII|           les anges pour comprendre Dieu, s’appelle Althotas ; il
  5    I,  IntIII|             jamais atteints, et que Dieu doit avoir oubliés depuis
  6    I,  IntIII|      lucidité qui le fera l’égal de Dieu, puisque, du jour où il
  7    I,  IntIII|           se sentira immortel comme Dieu. Eh bien ! j’ai trouvé le
  8    I,  IntIII|         échappent de la poitrine de Dieu, les âmes remplissent l’
  9    I,  IntIII|      compris que j’étais presque un dieu.~ ~ ~« Alors je résolus
 10    I,  IntIII|         avait jamais parlé que d’un Dieu puissant, universel, ayant,
 11    I,  IntIII|           bon. Nous autres, élus de Dieu, nous ne repoussons personne
 12    I,  IntIII|   reconnaissez serviable et amical. Dieu a écrit sur les faces de
 13    I,  IntIII|          naguère encore offraient à Dieu la vie de leurs enfants
 14    I,  IntIII|            la France vous y aidera. Dieu a dit dans toutes les langues : «
 15    I,  IntIII|  véritablement un homme inspiré, et Dieu te remercie par ma voix.
 16    I,  IntIII|          comme sous le souffle d’un dieu, se retira à son tour.~ ~ ~–
 17    I,  IntIII|            dévorante comme celle de Dieu !~ ~ ~ ~Le député suisse
 18    I,       1|             nous ne voudrons. Jésus Dieu ! voilà que nous roulons
 19    I,       1|             invocation à la Mère de Dieu. La voiture, toujours entraînée
 20    I,       1|               car personne, excepté Dieu, n’était là pour le surprendre.
 21    I,       2|            feu. Acharat ! au nom de Dieu, abandonnez moi cette bête-là
 22    I,       2|             du temps à perdre ! Mon Dieu ! mon Dieu ! s’écria le
 23    I,       2|             perdre ! Mon Dieu ! mon Dieu ! s’écria le vieux savant
 24    I,       2|         vous pensé ?~ ~ ~– Oh ! mon Dieu, oui, et si j’étais aussi
 25    I,       2|       chènevis un pois ; mais, pour Dieu ! mon cher Acharat, en échange
 26    I,       3|       revint à elle.~ ~ ~– Oh ! mon Dieu, dit-elle, suis-je abandonnée
 27    I,       3|            sain et sauf.~ ~ ~– Ah ! Dieu soit loué !~ ~ ~ ~Et la
 28    I,       3|             et un nécromancien, que Dieu vient d’avertir par la voix
 29    I,       4|         athée et un mécréant, à qui Dieu avait bien voulu donner
 30    I,       4|          elle, cet avertissement de Dieu, et qu’elle vous invitait
 31    I,       5|          ciel de l’aubaine.~ ~ ~– À Dieu ne plaise que je pense de
 32    I,       5|             mangé, digéré. Oh ! mon Dieu ! non, grâce au ciel, je
 33    I,       5|      faisait les omelettesJour de Dieu ! que je voie les femmes
 34    I,       6|          autorité des rois vient de Dieu, c’est comme les maladies
 35    I,       6|             Balsamo.~ ~ ~– Oh ! mon Dieu, oui, j’ai ce malheur :
 36    I,       6|         cependant bien commode, mon Dieu, d’avoir de la religion :
 37    I,       6|            religion : on croyait en Dieu et au roi, tout était dit.
 38    I,       6|                   Philosophe ? Non, Dieu merci !~ ~ ~– Ce ne sont
 39    I,       6|           me trompe.~ ~ ~– Eh ! mon Dieu, qui n’a pas trente ans ?
 40    I,       6|             mon cher hôte. Eh ! mon Dieu ! il me semble qu’on sent
 41    I,       8|            cœur. – Elle dort, ô mon Dieu ! mon Dieu !~ ~ ~ ~Mais,
 42    I,       8|         Elle dort, ô mon Dieu ! mon Dieu !~ ~ ~ ~Mais, au milieu
 43    I,       8|             seconde.~ ~ ~– Oh ! mon Dieu ! mon Dieu ! murmura Gilbert ;
 44    I,       8|                 Oh ! mon Dieu ! mon Dieu ! murmura Gilbert ; où peut-elle
 45    I,       9|         demande mon frère… Oh ! mon Dieu ! c’est à Taverney qu’elle
 46    I,       9|         femme est bien belle, ô mon Dieu ! Cet ange est bien pur !
 47    I,       9|           je souffre trop… Oh ! mon Dieu ! mon Dieu ! tout à l’heure
 48    I,       9|           trop… Oh ! mon Dieu ! mon Dieu ! tout à l’heure je me sentais
 49    I,      10|            Rousseau.~ ~ ~– Oh ! mon Dieu, mon Dieu ! dit Nicole,
 50    I,      10|                  Oh ! mon Dieu, mon Dieu ! dit Nicole, comment ai-je
 51    I,      11|     poussant un cri.~ ~ ~– Eh ! mon Dieu ! dit Nicole, qu’avez-vous
 52    I,      11|            Pour lui dire quoi ? Bon Dieu ! Comme tu as l’air effaré,
 53    I,      11|    malheureuse fait de la jalousie, Dieu me pardonne ! s’écria-t-elle
 54    I,      12|           que fut porté l’esprit de Dieu avant la création du monde.
 55    I,      12|       encore temps ?~ ~ ~– Oh ! mon Dieu, oui ! ordonnez à ce brave
 56    I,      12|                Par quel hasard, mon Dieu ! et quelle espèce de visite ?
 57    I,      13|          histoire, qui ferait bénir Dieu à ceux qui oublieraient
 58    I,      13|           sont les représentants de Dieu sur la terre. Et quelle
 59    I,      13|                 Pourquoi faire, mon Dieu ? m’écriai-je.~ ~ – Pour
 60    I,      14|             que cela veut dire, mon Dieu ? »~ ~ ~La jeune dauphine
 61    I,      15|            ma bonne aventure.~ ~ ~– Dieu me préserve, au contraire,
 62    I,      15|          abandonner.~ ~ ~– Oh ! mon Dieu, madame, dit le baron, de
 63    I,      15|          suis qu’un instrument dont Dieu se sert pour vous éclairer.
 64    I,      15|             creuse est grand.~ ~ ~– Dieu me restera.~ ~ ~– Dieu ne
 65    I,      15|              Dieu me restera.~ ~ ~– Dieu ne défend pas les têtes
 66    I,      15|           serez en posture de prier Dieu qu’il vous épargne le terrible
 67    I,      17|            déchireriez l’âme. Mais, Dieu merci ! j’ai voulu qu’il
 68    I,      17|            j’y tombe, je m’y perds. Dieu vous tiendra compte de ce
 69    I,      18|              ce n’est plus le mien, Dieu merci !~ ~ ~– Allons, allons,
 70    I,      19|    spectacle, un spectacle digne de Dieu, père des créatures énergiques
 71    I,      19|          dit la bonne femme, et que Dieu vous accompagne.~ ~ ~– Je
 72    I,      19|          les chevaux, les hommes et Dieu même étaient ligués contre
 73    I,      19|           la chaise.~ ~ ~– Oh ! mon Dieu ! s’écria-t-elle avec angoisse,
 74    I,      20|           jours ! Et le chemin, bon Dieu ! quel chemin ! de Bar-le-Duc
 75    I,      22|         serai un jour, s’il plaît à Dieu, répondit Gilbert ; mais
 76    I,      23|          vaudeville.~ ~ ~– Ah ! mon Dieu !~ ~ ~– Effroyables tous
 77    I,      23|           un soupir.~ ~ ~– Eh ! mon Dieu ! je n’ai pas besoin de
 78    I,      23|          est vrai surtout. Eh ! mon Dieu ! il n’y aurait pas moyen
 79    I,      24|            main de madame du Barry. Dieu merci, sommes-nous fraîche
 80    I,      24|           qu’on travaille ici ? Bon Dieu ! que de papiers ! Cachez-moi
 81    I,      24|           en a plus.~ ~ ~– Oh ! mon Dieu ! comtesse, deviendriez-vous
 82    I,      24|             arrêta ?~ ~ ~– Ah ! bon Dieu ! que vous avez mauvaise
 83    I,      24|           un charmant sourire.~ ~ – Dieu m’est témoin que ce n’est
 84    I,      24|           ce moment.~ ~ ~– Oh ! mon Dieu ! s’écria-t-elle avec un
 85    I,      24|            au bras ?~ ~ ~– Oh ! mon Dieu, oui, sire.~ ~ ~– Au milieu
 86    I,      24|           qui reviennent.~ ~ ~– Mon Dieu ! mon Dieu ! voyez donc
 87    I,      24|    reviennent.~ ~ ~– Mon Dieu ! mon Dieu ! voyez donc si ce n’est
 88    I,      24|          distinguer.~ ~ ~– Eh ! mon Dieu ! c’est tout ce que je demande,
 89    I,      26|         déjà bien assez comme cela, Dieu merci !~ ~ ~– Il le faut,
 90    I,      26|             on me trahit ? Eh ! mon Dieu, non. Je le laisse dire
 91    I,      27|         davantage. Dans le silence, Dieu parle au cœur de l’homme ;
 92    I,      27|            l’homme parle au cœur de Dieu.~ ~ ~– Mais vous faites
 93    I,      27|           défendre.~ ~ ~– Sire, que Dieu défende d’abord le roi !~ ~ ~–
 94    I,      27|           sur nous. Cette bonté que Dieu m’a donnée, cette pureté
 95    I,      27|           longtemps à ne plus prier Dieu, mais il sent que les terres
 96    I,      27|              et il se remet à prier Dieu pour ce qu’il appelle le
 97    I,      27|             dans la pauvreté, prier Dieu pour qu’il détourne de votre
 98    I,      27|          donc mon ouvrage ?~ ~ ~– À Dieu ne plaise que je le pense !
 99    I,      28|            m’en porte pas plus mal, Dieu merci !~ ~ ~ ~Et Louis XV
100    I,      29|                   Non, madame ! mon Dieu, non !~ ~ ~– Alors, s’écria
101    I,      29|         vous auriez tort.~ ~ ~– Mon Dieu ! mon Dieu ! dit la pauvre
102    I,      29|          tort.~ ~ ~– Mon Dieu ! mon Dieu ! dit la pauvre comtesse,
103    I,      29|              dit-il.~ ~ ~– Ah ! mon Dieu !~ ~ ~– Il m’invite, continua
104    I,      29|          pas l’aller voir ?~ ~ ~– À Dieu ne plaise, madame, de vous
105    I,      29|              je persévérerai.~ ~ ~– Dieu vous assiste, madame, dit
106    I,      30|         connaissez-vous ?~ ~ ~– Mon Dieu, non.~ ~ ~– Ah ! voilà le
107    I,      30|    pareilles choses…~ ~ ~– Eh ! mon Dieu, ce n’est pas seulement
108    I,      30|             Quelle dégradation, mon Dieu ! s’écria la vieille comtesse ;
109    I,      30|            comtesse.~ ~ ~– Oh ! mon Dieu, non. Deux mots seulement
110    I,      30|            bientôt fait ; mais, mon Dieu, j’interromps l’audience
111    I,      30|             comtesse, vous êtes mon dieu tutélaire. Monsieur le vicomte,
112    I,      31|             Saluces.~ ~ ~– Oh ! mon Dieu, mon Dieu, madame, si Sa
113    I,      31|                  Oh ! mon Dieu, mon Dieu, madame, si Sa Majesté était
114    I,      31|           et prêt à paraître devant Dieu… »~ ~– Eh bien ? dit la
115    I,      31|        tribunaux, et le jugement de Dieu eût vidé l’affaire. Quant
116    I,      31|           plaideuse.~ ~ ~– Oh ! mon Dieu, oui, décidé, dit Jean.~ ~ ~–
117    I,      31|   timidement la comtesse.~ ~ ~– Mon Dieu, oui. Madame la baronne
118    I,      31|            peu près.~ ~ ~– Ah ! mon Dieu ! s’écria tout à coup Jean
119    I,      34|            renvoyer à jeun.~ ~ ~– À Dieu ne plaise, sire ! répondit
120    I,      34|          dit le roi.~ ~ ~– Oh ! mon Dieu, oui, sire.~ ~ ~– Et de
121    I,      34|         Laissez-les faire. Eh ! mon Dieu, il sera encore plus laid
122    I,      34|         esprit philosophique, comme Dieu à l’océan : « Tu n’iras
123    I,      34|           monde physique et moral ; Dieu et les hommes, discours
124    I,      34|         haut en bas.~ ~ ~– Eh ! mon Dieu ! oui, je ne leur demande
125    I,      35|           orientaux.~ ~ ~– Ah ! mon Dieu ! s’écria la comtesse, vous
126    I,      35|            À la jambe droite ? Oh ! Dieu ! mais comment avez-vous
127    I,      35|           eau bénite.~ ~ ~– Madame, Dieu dispose quand l’homme propose.~ ~ ~–
128    I,      35|            comtesse.~ ~ ~– Oh ! mon Dieu ! que vous devez souffrir !
129    I,      36|             quelqu’un de mes amis ? Dieu m’en préserve ! j’écoute
130    I,      36|           mais quelle marraine, bon Dieu ! Une bonne femme de campagne,
131    I,      37|                 C’est la robe ! mon Dieu ! c’est la robe ! s’écria
132    I,      37|             été faite pour moi. Mon Dieu ! mon Dieu ! quel malheur !
133    I,      37|            pour moi. Mon Dieu ! mon Dieu ! quel malheur ! car enfin
134    I,      37|          aura cinquante de denier à Dieu.~ ~ ~– Je vous le disais
135    I,      37|           allons-nous, Seigneur mon Dieu ! où allons-nous ? Eh bien !
136    I,      38|            droit de venir adorer le dieu couronné à une place plus
137    I,      38|         viendra pas.~ ~ ~– Ah ! mon Dieu, maréchale ! mais ce sera
138    I,      38|                De pièges ? Ah ! bon Dieu ! que me dites-vous là,
139    I,      39|            main sur l’épaule.~ ~ ~– Dieu me damne ! s’écria le duc,
140   II,      41|          fronçant le sourcil.~ ~ ~– Dieu m’en garde ! Savez-vous,
141   II,      41|        Êtes-vous fou, mon ami ? Bon Dieu ! qui songe donc à vous
142   II,      42|           aux hommes sur la terre ? Dieu, cette source éternelle
143   II,      42|            a, n’est que celui à qui Dieu a prêté.~ ~ ~ ~Et Gilbert
144   II,      43|            s’il n’était pas dit que Dieu les nourrit.~ ~ ~– Il les
145   II,      43|            Comment ?~ ~ ~– Eh ! mon Dieu, oui ! vieux ou jeunes,
146   II,      43|             ses frères. Je sais que Dieu a mis en moi une valeur
147   II,      43|             pierres.~ ~ ~– Ah ! mon Dieu ! fit Gilbert avec une douloureuse
148   II,      43|            vous appelez rien ce que Dieu a donné de plus précieux
149   II,      43|           face de ces merveilles de Dieu qu’on appelle les plantes
150   II,      43|            même Gilbert.~ ~ ~– Ah ! Dieu m’en garde ! s’écria ce
151   II,      43|              en disant : « Ah ! mon Dieu ! comme c’est étrange, cette
152   II,      43|         court chemin à la médecine. Dieu n’a rien fait d’inutile,
153   II,      44|              s’écria-t-il. Oh ! mon Dieu ! mon Dieu ! venez vite,
154   II,      44|     écria-t-il. Oh ! mon Dieu ! mon Dieu ! venez vite, jeune homme,
155   II,      45|            à ses semblables tel que Dieu a fait l’homme.~ ~ ~– Connaissez-vous
156   II,      45|            la gloire, et presque de Dieu ; l’autre… l’autre Rousseau…
157   II,      45|          une grande dame ! Oh ! mon Dieu ! savez-vous que c’est à
158   II,      46|         prince qui nous arrive. Mon Dieu ! quand donc cette procession
159   II,      46|     attendant mieux.~ ~ ~– Oh ! mon Dieu ! mon Dieu ! dit Gilbert,
160   II,      46|                 Oh ! mon Dieu ! mon Dieu ! dit Gilbert, je suis tout
161   II,      47|           pas dans la maison du bon Dieu ? s’écria l’étrangère avec
162   II,      47|             obtenait cet ordre, mon Dieu, mon Dieu, dit l’étrangère,
163   II,      47|            cet ordre, mon Dieu, mon Dieu, dit l’étrangère, lui qui
164   II,      47|              je veux prier afin que Dieu écarte de moi ceux qui me
165   II,      50|         congé.~ ~ ~ ~Madame Louise, Dieu seul sait à quoi songeait
166   II,      50|             faut presque le bras de Dieu pour me détendre.~ ~ ~–
167   II,      50|             simplement la maison de Dieu.~ ~ ~– Oh ! voilà, voilà
168   II,      50|             Oui, c’est la maison de Dieu, car dans la maison de Dieu
169   II,      50|         Dieu, car dans la maison de Dieu seulement je puis vivre
170   II,      50|          vivre en repos.~ ~ ~– Mais Dieu n’admet pas les vengeances ;
171   II,      50|    créatures les plus favorisées de Dieu ; vous paraissez riche,
172   II,      50|               la mort, la mort, mon Dieu ! m’écriai-je.~ ~ ~« Ma
173   II,      50|        cette idée m’était venue que Dieu tenait à me posséder pure,
174   II,      50|            couronne d’innocence que Dieu seul devait détacher de
175   II,      50|             un prêtre de confisquer Dieu en quelque endroit qu’il
176   II,      50|           comme on les joint devant Dieu, et des lèvres et du cœur
177   II,      50|         cœur en invoquant le nom de Dieu. Le directeur était habitué
178   II,      50|           complète, car je mentis à Dieu, en ne lui avouant pas que
179   II,      50|        sentais bien, me disputait à Dieu.~ ~ ~« D’abord, je n’avais
180   II,      50|            donnerait tout entière à Dieu, et sentant bien que, si
181   II,      50|          mes vœux. Quand je serai à Dieu, me disais-je, Dieu saura
182   II,      50|         serai à Dieu, me disais-je, Dieu saura bien me défendre,
183   II,      50|           de l’attaque des bandits, Dieu ne m’avait défendue que
184   II,      50|         intervention de l’ennemi de Dieu et des hommes ?~ ~ ~– Prenez
185   II,      51|             pas plus de respect, un dieu plus d’adorations que n’
186   II,      51|           âges ; il parle… oh ! mon Dieu ! pardonnez-lui de pareils
187   II,      51|           donnés, et je les rends à Dieu. Je ne désire qu’une chose.~ ~ ~–
188   II,      51|             trembla.~ ~ ~– Oh ! mon Dieu ! dit-elle, mon Dieu ! mon
189   II,      51|            mon Dieu ! dit-elle, mon Dieu ! mon Dieu !~ ~ ~– Quoi ?
190   II,      51|            dit-elle, mon Dieu ! mon Dieu !~ ~ ~– Quoi ? demanda Madame
191   II,      51|          dit-elle ; fût-ce lui, mon Dieu, vous êtes ici en sûreté.~ ~ ~–
192   II,      51|            était se révolter contre Dieu que de vouloir retenir mon
193   II,      51|            au fond de mon cercueil, Dieu seul le sait ; mais il le
194   II,      51|           couvent, choisissez entre Dieu et moi. Voulez-vous être
195   II,      52|            quand tu me quittes. Mon Dieu ! quand donc serai-je à
196   II,      52|            quand tu me quittes. Mon Dieu ! quand donc serai-je à
197   II,      52|            l’ai retrouvée. Oh ! mon Dieu ! par hasard, en passant
198   II,      52|                 Oui, vous. Eh ! mon Dieu, pourquoi vouloir me cacher
199   II,      52|           sera deux fois agréable à Dieu. Je ne redemande que mon
200   II,      54|          engager une lutte avec son dieu ; le respect le retenait.~ ~ ~–
201   II,      55|              à côté d’une statue du dieu Harpocrate qui, les doigts
202   II,      56|           ma gloire.~ ~ ~– Oh ! mon Dieu ! mon Dieu !~ ~ ~ ~Le cœur
203   II,      56|                 Oh ! mon Dieu ! mon Dieu !~ ~ ~ ~Le cœur de la jeune
204   II,      56|           que tu as les pouvoirs de Dieu, tu commandes, et l’on obéit.~ ~ ~–
205   II,      56|          famille, tout, jusqu’à mon Dieu ? Car ton Dieu ne ressemble
206   II,      56|          jusqu’à mon Dieu ? Car ton Dieu ne ressemble pas au mien.
207   II,      56|        faute, ou plutôt la faute de Dieu. Pourquoi Dieu a-t-il fait
208   II,      56|             faute de Dieu. Pourquoi Dieu a-t-il fait de toi cet ange
209   II,      56|           en ton esprit ; c’est que Dieu, voyant cette forme immaculée,
210   II,      57|           que j’avais choisie entre Dieu et moi.~ ~ ~– Alors vous
211   II,      57|        joignant les mains. Oh ! mon Dieu ! mon Dieu ! délivrez-moi
212   II,      57|          mains. Oh ! mon Dieu ! mon Dieu ! délivrez-moi de ce démon !~ ~ ~–
213   II,      57|             vous avez choisi devant Dieu.~ ~ ~– Moi, vous avoir choisi ?
214   II,      57|        société que j’offense, c’est Dieu que je brave. Pourquoi alors,
215   II,      57|         Pourquoi alors, si je brave Dieu, Dieu, qui n’a qu’un signe
216   II,      57|            alors, si je brave Dieu, Dieu, qui n’a qu’un signe à faire
217   II,      57|                    Mon époux ? Ah ! Dieu merci, jamais votre main
218   II,      57|       menaçante tranquillité.~ ~ ~– Dieu m’enverra quelque orage
219   II,      57|                   Croyez-moi, priez Dieu de n’en rien faire ; croyez-moi,
220   II,      57|          rendez-moi donc au moins à Dieu, si vous ne voulez pas me
221   II,      57|            de vos veines.~ ~ ~– Mon Dieu ! mon Dieu ! il m’assassinera !
222   II,      57|        veines.~ ~ ~– Mon Dieu ! mon Dieu ! il m’assassinera ! hurla
223   II,      59|             service. Il y a encore, Dieu merci, dans Paris assez
224   II,      60|    existence ou la non-existence de Dieu, au lieu d’essayer comme
225   II,      60|           ne le trouvera. Confessez Dieu.~ ~ ~– Niais ! personne
226   II,      60|               tu es puissante comme Dieu ! Tu règnes souverainement,
227   II,      60|                    Nul, si ce n’est Dieu !~ ~ ~– Oui, mais Dieu ne
228   II,      60|          est Dieu !~ ~ ~– Oui, mais Dieu ne sera pas assez inconséquent
229   II,      60|   inconséquent pour le faire. Quand Dieu tue, comme il est la suprême
230   II,      60|            abondamment.~ ~ ~– Grand Dieu ! s’écria Balsamo.~ ~ ~–
231   II,      61|         Chon en pâlissant. Oh ! mon Dieu, mon Dieu ! que me dis-tu
232   II,      61|       pâlissant. Oh ! mon Dieu, mon Dieu ! que me dis-tu là ?~ ~ ~–
233   II,      62|                     C’est vrai, mon Dieu ! c’était impossible, je
234   II,      62|            mon trempeur de croûtes, Dieu me pardonne !~ ~ ~– Il va
235   II,      63|            ce que vous voudrez, mon Dieu ; ne vous gênez pas.~ ~ ~–
236   II,      63|           cou une bonne fois.~ ~ ~– Dieu nous en garde !~ ~ ~– Permettez-moi
237   II,      63|         est-ce pas ?~ ~ ~– Oh ! mon Dieu ! que dira ma sœur Jeanne ?~ ~ ~–
238   II,      63|         philosophes.~ ~ ~– Eh ! mon Dieu ! comment cela se bâtit-il ?~ ~ ~–
239   II,      64|           avec un soupir.~ ~ ~– Mon Dieu, sire…~ ~ ~– Vous savez
240   II,      64|            sais pas.~ ~ ~– Ah ! mon Dieu ! mais vous ne savez donc
241   II,      65|            homme que de lutter avec Dieu.~ ~ ~ ~Ces fusées d’annonce
242   II,      65|       commis une impiété envers son Dieu, l’orage, irrité, couvrit
243   II,      65|          épouvantée.~ ~ ~– Oh ! mon Dieu ! dites-moi qu’il n’y a
244   II,      66|            préoccupa pas plus qu’un dieu de l’Inde ne se préoccupe
245   II,      67|          beau ! dit-elle.~ ~ ~– Mon Dieu ! s’écria le jeune homme
246   II,      67|             son front, cria : « Mon Dieu ! » et tomba.~ ~ ~ ~Lorsqu’
247   II,      68|       bonheur qui finira par lasser Dieu lui-même, les nobles et
248   II,      68|        souffrances !~ ~ ~– Ah ! mon Dieu !~ ~ ~– Quoi ?~ ~ ~– Un
249   II,      69|         tout cet effroyable voyage, Dieu lui pardonne, mais M. de
250   II,      69|             terreur.~ ~ ~– Oh ! mon Dieu ! s’écria le baron un peu
251   II,      69|             l’hôtel.~ ~ ~– Oh ! mon Dieu ! fit le baron pâle et trébuchant.~ ~ ~–
252   II,      69|         monsieur Philippe. Oh ! mon Dieu ! mon Dieu ! chère demoiselle !
253   II,      69|       Philippe. Oh ! mon Dieu ! mon Dieu ! chère demoiselle ! cria
254   II,      69|          regards effarés.~ ~ ~– Mon Dieu ! mon Dieu ! murmura Philippe.
255   II,      69|       effarés.~ ~ ~– Mon Dieu ! mon Dieu ! murmura Philippe. Dieu
256   II,      69|            Dieu ! murmura Philippe. Dieu ne nous l’aurait-il rendue
257   II,      69|            s’est-il donc passé, mon Dieu ?~ ~ ~ ~Et Andrée referma
258   II,      70|            du côté du lit… Ah ! mon Dieu ! où est-il ? Il s’est levé,
259   II,      72|          Andrée est donc seule, mon Dieu ! seule…~ ~ ~ ~On n’entendait,
260   II,      73|           tu te souviens.~ ~ ~– Mon Dieu ! vous le savez, mon frère,
261   II,      73|     expliquez-vous cela ?~ ~ ~– Mon Dieu, rien de plus facile, dit
262   II,      73|             derrière lui.~ ~ ~– Mon Dieu ! murmura-t-il, quelqu’un
263   II,      74|       Gilbert ! s’écria-t-elle, mon Dieu !~ ~ ~– Je vous avais priée
264   II,      74|           on me chassera – je suis, Dieu merci, tout chassé – mais
265   II,      76|      voudrez !~ ~ ~– Mais où, grand Dieu ? s’écria Gilbert abîmé
266   II,      76|            personne.~ ~ ~– Oh ! mon Dieu ! mon Dieu ! s’écria Gilbert
267   II,      76|                 Oh ! mon Dieu ! mon Dieu ! s’écria Gilbert roulant
268   II,      77|           dire ?~ ~ ~– Eh bien, mon Dieu, oui.~ ~ ~– C’est tout simple,
269   II,      77|         certaine terreur.~ ~ ~– Mon Dieu ! oui ; c’est incroyable,
270   II,      77|           dans les apologues.~ ~ ~– Dieu ! que vous êtes ennuyeux,
271   II,      77|          vous et aux fleurs : « Mon Dieu ! mon Dieu ! que je voudrais
272   II,      77|           fleurs : « Mon Dieu ! mon Dieu ! que je voudrais bien voir
273   II,      78|        pis-aller.~ ~ ~– Vous, grand Dieu ?~ ~ ~– Moi, oui, moi !
274   II,      78|               qu’y a-t-il donc, bon Dieu ?~ ~ ~– Il y a, ma chère,
275   II,      78|             moitié alors.~ ~ ~– Mon Dieu ! s’écria Louis XV dépité.~ ~ ~–
276   II,      80|        avaient fait, le séjour d’un dieu, mais non pas l’habitation
277   II,      80|           Choiseul très vite.~ ~ ~– Dieu merci, monsieur le duc.~ ~ ~–
278   II,      81|            est-ce pas ?~ ~ ~– Moi ! Dieu m’en préserve !~ ~ ~– Faites-y
279  III,      82|     Savez-vous, dit-elle, que c’est Dieu qui nous l’a envoyé, ce
280  III,      82|                 C’est un miracle de Dieu, duc.~ ~ ~– Voilà justement
281  III,      82|              C’est juste, maréchal. Dieu n’aurait pas sauvé un garnement
282  III,      84|          Versailles.~ ~ ~– Oh ! mon Dieu ! s’écria le maréchal, dites-vous
283  III,      86|             le bras.~ ~ ~– Ah ! mon Dieu ! murmura Richelieu, est-ce
284  III,      87|          fauteuil du boudoir.~ ~ ~ ~Dieu sait la joie et comme on
285  III,      87|              Restereste… et, pour Dieu, ne jette pas le manche
286  III,      88|             Mais à la Guerre, grand Dieu ?~ ~ ~– Tranquillisez-vous,
287  III,      88|            Un Caton.~ ~ ~– Ah ! mon Dieu ! vous m’épouvantez.~ ~ ~–
288  III,      89|       Guerre ? fit Rafté.~ ~ ~– Mon Dieu oui, il paraît que nous
289  III,      89|                   Oh ! monseigneur, Dieu m’en préserve ! c’est que…~ ~ ~–
290  III,      90|           un mouton.~ ~ ~– Eh ! mon Dieu, dit Jean, c’est plutôt
291  III,      92|           princes sont malheureux ! Dieu, quand il leur donne la
292  III,      92|          savoir le dessein caché de Dieu.~ ~ ~ ~Et, de l’autre côté
293  III,      93|            que tu veux dire ?~ ~ ~– Dieu me préserve de parler mal
294  III,      97|          Barry me défendra. Grâce à Dieu, elle m’aime, elle est brave,
295  III,      98|           le plaisant.~ ~ ~– Plût à Dieu !… Si je faisais le plaisant,
296  III,      99|             ils ne respectent rien. Dieu ! que cette corde est grasse !
297  III,      99|            premier clerc.~ ~ ~– Mon Dieu, maître Flageot, qu’y a-t-il
298  III,      99|             martyr qui confesse son Dieu :~ ~ ~– Soit ! dit-il ;
299  III,      99|          vont faire une révolution. Dieu merci, me voici étayé des
300  III,     100|       demanda la comtesse. Ah ! mon Dieu ! dit-elle tout à coup.~ ~ ~–
301  III,     102|            avoir peur de rien ; que Dieu et les hommes leur sont
302  III,     102|          fièvre, ils crient : « Mon Dieu ! je suis mort. »~ ~ ~C’
303  III,     103|           science ; l’avenir, c’est Dieu qui doit donner sa lumière
304  III,     103|             qu’il la donnerait. Or, Dieu ne saurait mentir.~ ~ ~ ~
305  III,     103|           jure en présence du grand Dieu éternel, architecte de l’
306  III,     104|           lèvent vers le Ciel quand Dieu a pris leur père.~ ~ ~«
307  III,     104|          hâtaient.~ ~ ~« Est-ce que Dieu, qui préside aux révolutions
308  III,     104|        obtiendrez pas de moi. Comme Dieu, j’ai su vivre, vingt, trente,
309  III,     104|        quarante âges d’homme. Comme Dieu, je suis éternel. Comme
310  III,     104|              je suis éternel. Comme Dieu, je serai patient. Je porte
311  III,     104|           droite toute-puissante de Dieu.~ ~ ~« Messieurs, messieurs,
312  III,     104|    autorisée depuis des siècles par Dieu et par les peuples, s’en
313  III,     104|    stérilité eût été un bienfait de Dieu. Voilà pourquoi je m’abstiens,
314  III,     104|         rien enfin près de ceux que Dieu a marqués d’un sceau particulier
315  III,     105|          Marat, mais vous n’êtes ni Dieu le père, ni Dieu le fils,
316  III,     105|            êtes ni Dieu le père, ni Dieu le fils, et vous n’empêcherez
317  III,     106|        obtenu grâce pour lui devant Dieu.~ ~ ~– Alors il guérira ?~ ~ ~–
318  III,     106|             ses enfants.~ ~ ~– Oh ! Dieu est bon, et Dieu y pourvoira.~ ~ ~–
319  III,     106|               Oh ! Dieu est bon, et Dieu y pourvoira.~ ~ ~– Et comment
320  III,     106|         pourvoira.~ ~ ~– Et comment Dieu y pourvoira-t-il ? demanda
321  III,     106|          bien apprendre cela.~ ~ ~– Dieu a envoyé près de son lit
322  III,     106|          autre chose : il a dit que Dieu le prendrait en pitié, et
323  III,     106|       charité entre votre malade et Dieu : voici un diamant qui vaut
324  III,     106|       confidence de la nature et de Dieu, répondit Balsamo.~ ~ ~–
325  III,     106|         âmes des hommes ; au nom de Dieu.~ ~ ~– Alors, dit Marat,
326  III,     106|           mourant, moi, l’envoyé de Dieu, moi, le prophète, moi,
327  III,     106|            dit, c’est votre défaut. Dieu prête l’âme au corps, il
328  III,     106|            qui nous sont inconnues, Dieu a permis que le corps fût
329  III,     106|            vous ne volez pas devant Dieu. Tout à l’heure, ce pauvre
330  III,     106|            du progrès. Je crois que Dieu n’a rien créé que dans un
331  III,     106|            pure, fille immaculée de Dieu, me dira toutes les turpitudes
332  III,     106|            importe ! la grandeur de Dieu est aussi bien prouvée par
333  III,     107|         Ariel, depuis Ariel jusqu’à Dieu.~ ~ ~ ~Nous allons donc
334  III,     107|           morale, ces créatures que Dieu a faites belles, et qui
335  III,     107| inexpugnable ? Voyez-vous enfin que Dieu n’a rien oublié dans ce
336  III,     108|            par cœur.~ ~ ~– Ah ! bon Dieu ! dit-il en lisant un paragraphe
337  III,     108|          Pas de révolutions ! grand Dieu ! ma bonne Thérèse, pas
338  III,     108|         quinze sous.~ ~ ~– Ah ! mon Dieu ! la patache ! vous me donnez
339  III,     109|        indifférence.~ ~ ~– Ah ! mon Dieu ! répliqua, en haussant
340  III,     110|            à crier :~ ~ ~– Ah ! mon Dieu !~ ~ ~– Eh quoi ! fit le
341  III,     112|           qui ne se fût pas livré à Dieu et, par conséquent, se gardait
342  III,     112|                    Mais à quoi, bon Dieu ? s’écria Taverney tout
343  III,     112|       oserais, n’est-ce pas ?~ ~ ~– Dieu m’en préserve ! Mais le
344  III,     114|             de son frère.~ ~ ~– Mon Dieu ! demanda Philippe étonné,
345  III,     114|         croire que les créatures de Dieu n’avaient pas été jetées
346  III,     114|         brise. – Mon père… Eh ! mon Dieu, mon père ! je ne vous apprends
347  III,     114|            n’en sais rien. Eh ! mon Dieu, les oiseaux qui fuient,
348  III,     114|             de l’ingratitude envers Dieu, ma sœur.~ ~ ~– Oh ! non,
349  III,     114|     déchirant sanglot :~ ~ ~– O mon Dieu ! mon Dieu ! s’écria-t-elle
350  III,     114|                    O mon Dieu ! mon Dieu ! s’écria-t-elle pourquoi
351  III,     115|       ingratitude mademoiselle ; et Dieu, qui vous a faite si belle,
352  III,     116|          respirable, se fût dit que Dieu avait pétri du même limon
353  III,     116|            écus au moins.~ ~ ~– Mon Dieu, mon père ! s’écria Andrée.~ ~ ~–
354  III,     117|             je sais qu’un décret de Dieu ou plutôt votre volonté,
355  III,     117|     dépendent de nous. J’espère que Dieu, en échange de ces bons
356  III,     117|             en adjurant le Seigneur Dieu, vous que vous ne me trahirez
357  III,     117|        faites si fort valoir.~ ~ ~– Dieu, le hasard ou la fatalité,
358  III,     117|          mère, par le sang de notre Dieu, par tout ce qu’il y a de
359  III,     117|          mon amie, dit Balsamo, mon Dieu ! ne voyez-vous donc point
360  III,     118|          Madame de Noailles ! grand Dieu !~ ~ ~– Oui, tu vois que
361  III,     120|       absorbée dans sa confiance en Dieu.~ ~ ~ ~Les prières d’Andrée
362  III,     120|             de sa fenêtre. Oh ! mon Dieu !~ ~ ~– Elle veut donc mourir
363  III,     120|            le front.~ ~ ~– Oh ! mon Dieu ! mon Dieu ! murmura Balsamo.~ ~ ~–
364  III,     120|                 Oh ! mon Dieu ! mon Dieu ! murmura Balsamo.~ ~ ~–
365  III,     120|            l’œil du lion.~ ~ ~– Mon Dieu ! mon Dieu ! murmura Balsamo.~ ~ ~–
366  III,     120|          lion.~ ~ ~– Mon Dieu ! mon Dieu ! murmura Balsamo.~ ~ ~–
367  III,     122|            divins atomes animés par Dieu, maître et seigneur de toutes
368  III,     122|       chapeau à la main :~ ~ ~– Mon Dieu ! madame, dit-il, vous ne
369  III,     123|      accomplit, nul ne les voit que Dieu.~ ~ ~– Mais son nom, son
370   IV,     125|            Comment cela ?~ ~ ~– Mon Dieu, que vous me jugez mal et
371   IV,     125|         avait fait construire ; et, Dieu merci ! ce n’est pas faute
372   IV,     125|        Caron de Beaumarchais, à qui Dieu vous préserve de marcher
373   IV,     125|         ambassadeur.~ ~ ~– Eh ! mon Dieu ! il ne s’agit pas de pistolet
374   IV,     125|    comprenez-vous ?~ ~ ~– Au nom du Dieu vivant, au nom de l’intérêt
375   IV,     127|             comme la sainte Mère de Dieu ; je vous jure qu’amour,
376   IV,     128|        apprêterai à paraître devant Dieu ; moi, le trompeur, moi,
377   IV,     128|         devant les hommes ni devant Dieu, d’avoir surpris ta volonté,
378   IV,     128|           devant les hommes, devant Dieu, au contraire, je te remercierai
379   IV,     129|           une fois il se demanda si Dieu ne s’était point irrité
380   IV,     129|             Lorenza n’a pas étudié. Dieu donne la beauté et l’amour,
381   IV,     129|        cette flamme.~ ~ ~– Oh ! mon Dieu, dit-il, mon Dieu, tu fais
382   IV,     129|               mon Dieu, dit-il, mon Dieu, tu fais trop pour moi ;
383   IV,     129|       quelque danger me menace. Mon Dieu, quel est l’anneau précieux
384   IV,     129|             tiens ! C’est trop, mon Dieu, pour une seule créature,
385   IV,     129|             parcelle de sa création Dieu l’a caché ; c’est toi qui
386   IV,     129|           moi. Je serai grand comme Dieu et plus heureux que Dieu,
387   IV,     129|            Dieu et plus heureux que Dieu, ma Lorenza ; car Dieu n’
388   IV,     129|          que Dieu, ma Lorenza ; car Dieu n’a pas au ciel son égal
389   IV,     129|            égal et sa compagne, car Dieu est tout-puissant, mais
390   IV,     129|         toute-puissance qui le fait Dieu.~ ~ ~ ~Et Lorenza souriait
391   IV,     129|           rien à vous demander, mon Dieu, que d’avoir pitié de mon
392   IV,     129|             généreuse, rapproche de Dieu, et de Dieu vient toute
393   IV,     129|            rapproche de Dieu, et de Dieu vient toute lumière.~ ~ ~–
394   IV,     130|          comte de Fœnix, croyez que Dieu vous a doué d’assez d’avantages
395   IV,     130|             de l’abîme. Décidément, Dieu est avec nous !~ ~ ~ ~
396   IV,     131|              avant toute chose… Mon Dieu ! pauvre vieillard, je l’
397   IV,     132|         Chapitre CXXXII~ L’homme et Dieu~ ~Les heures, ces étranges
398   IV,     132|    violemment dans la vie telle que Dieu l’a faite aux hommes, il
399   IV,     133|            avons vu ! la lumière de Dieu ne nous manque pas dans
400   IV,     133|   écria-t-il, la voici, prenez-la ! Dieu ne vous a pas attendus pour
401   IV,     134|         Chapitre CXXXIV~ L’homme et Dieu~ ~Tandis que la scène terrible
402   IV,     134|           ministres de la colère de Dieu, sur cette même montagne
403   IV,     134|       prévue : je n’avais pas prévu Dieu.~ ~ ~ ~Et, comme si ce mot
404   IV,     134|         fauteuil ; il avait rendu à Dieu ce dernier soupir qu’il
405   IV,     134|           avait espéré soustraire à Dieu.~ ~ ~ ~Balsamo poussa un
406   IV,     136|          deux mains.~ ~ ~– Oh ! mon Dieu ! dit-il, les dehors devenus…
407   IV,     136|         guet-apens, duc. Mais, pour Dieu, plus un mot sur elle, vous
408   IV,     137|             du bien.~ ~ ~– Oh ! mon Dieu, madame, que de grâces !
409   IV,     137|         homogénéité.~ ~ ~– Oh ! mon Dieu ! s’écria Gilbert en étendant
410   IV,     138|        ai-je donc à dissimuler, mon Dieu ? demanda Andrée.~ ~ ~–
411   IV,     140|             à tout, attribuaient au dieu Pan, allait s’emparer de
412   IV,     140|                    Qu’a-t-elle, mon Dieu ? demanda-t-il.~ ~ ~– Dame !
413   IV,     141|             a si mal renseigné, mon Dieu ? Qui donc a eu la sottise
414   IV,     141|          jamais été.~ ~ ~– Ah ! mon Dieu ! dit-elle, vous le voyez
415   IV,     141|             eh bien, hier… Oh ! mon Dieu ! tenez, Philippe, je n’
416   IV,     141|                  Oh ! oui, oui, mon Dieu !… Mais c’est qu’aussi…~ ~ ~ ~
417   IV,     141|           vue à l’œuvre !… Oh ! mon Dieu, mon Dieu, Andrée, qu’as-tu
418   IV,     141|         œuvre !… Oh ! mon Dieu, mon Dieu, Andrée, qu’as-tu encore ?~ ~ ~ ~
419   IV,     142|           cet état ?~ ~ ~– Eh ! mon Dieu, ce que j’ai vu.~ ~ ~– Vous
420   IV,     142|       possédez plus.~ ~ ~– Oh ! mon Dieu, vous ne comprenez donc
421   IV,     142|      déshonneur peut-être… Oh ! mon Dieu ! vous ne m’interrompez
422   IV,     142|       accuser un ange, c’est tenter Dieu, docteur ; si vous exigez
423   IV,     142|       Monsieur, promettez-moi – mon Dieu ! c’est une grâce que le
424   IV,     143|             sur Philippe.~ ~ ~– Mon Dieu ! mon frère, demanda Andrée,
425   IV,     143|          époux, Philippe ? Eh ! mon Dieu, il est encore à naître,
426   IV,     144|    voulez-vous, qu’exigez-vous, mon Dieu ?~ ~ ~– Avouez, ou, sur
427   IV,     144|             meurs à l’instant même. Dieu te juge, et je vais te frapper.~ ~ ~ ~
428   IV,     144|           te jure, Philippe, par le Dieu qui m’entend, par l’âme
429   IV,     144|    Maintenant, Philippe, maintenant Dieu ait mon âme, tu tiens mon
430   IV,     144|        cette fille ?~ ~ ~– Oh ! mon Dieu, vers neuf heures, elle
431   IV,     144|            ai succombé.~ ~ ~– Grand Dieu ! s’écria Philippe, continue,
432   IV,     145|          mais il reconnaissait pour dieu la science et proclamait
433   IV,     145|            ne songe pas même à moi. Dieu seul m’a vu…, ajouta-t-il
434   IV,     145|        riant avec amertume. Mais ce Dieu qui tant de fois vit mes
435   IV,     146|             épaules.~ ~ ~– Eh ! bon Dieu ! murmura-t-il, que de détours
436   IV,     148|           quel étrange sommeil, mon Dieu !~ ~ ~– Eh bien, je vais
437   IV,     148|        préparé par Nicole… Oh ! mon Dieu !~ ~ ~– Quoi ? Qu’y a-t-il ?~ ~ ~–
438   IV,     148|           le cabinet de Nicole… Mon Dieu ! mon Dieu !~ ~ ~– Quoi !~ ~ ~–
439   IV,     148|           de Nicole… Mon Dieu ! mon Dieu !~ ~ ~– Quoi !~ ~ ~– Un
440   IV,     148|       retomba sans force.~ ~ ~– Mon Dieu ! dit Philippe n’osant interrompre.~ ~ ~–
441   IV,     148|           souffre, Philippe !~ ~ ~– Dieu est au bout de tout, Andrée,
442   IV,     149|             drame.~ ~ ~– Fort bien, Dieu merci, docteur, et ma sœur
443   IV,     149|           jeune fille, qu’en vérité Dieu ne serait pas juste s’il
444   IV,     149|      sourire amer, oui, c’est vrai, Dieu a fait des hommes d’une
445   IV,     149|     reconnaissez partout la main de Dieu et n’en faussez jamais le
446   IV,     149|           vous souriez, ce que fait Dieu vous paraît faible ! le
447   IV,     149|         rencontrez, c’est-à-dire si Dieu vous le livre, eh bien,
448   IV,     149|                   Qui sait ? eh mon Dieu ! l’assassin fuit, l’assassin
449   IV,     149|   poursuivrai pas le coupable, mais Dieu sera juste ; oh ! oui, Dieu
450   IV,     149|         Dieu sera juste ; oh ! oui, Dieu emploie l’impunité comme
451   IV,     149|            l’impunité comme amorce, Dieu me renverra le criminel.~ ~ ~–
452   IV,     149|                    Alors, c’est que Dieu l’aura condamne. Donnez-moi
453   IV,     149|        merci, docteur, vous êtes un dieu pour moi !~ ~ ~– Eh bien,
454   IV,     150|         criminel toute la colère de Dieu… Le nom de cet homme, Philippe.~ ~ ~–
455   IV,     150|              une dernière faveur de Dieu le rend inviolable pour
456   IV,     150|             qui nous brave !… O mon Dieu ! pour un homme qui rit
457   IV,     150|      criminel. Mais espère, espèreDieu est au-dessus de tout, Dieu
458   IV,     150|         Dieu est au-dessus de tout, Dieu réserve aux malheureux opprimés
459   IV,     150|           de son enfance : « Crains Dieu !… » Oh ! oui, Dieu s’est
460   IV,     150|          Crains Dieu !… » Oh ! oui, Dieu s’est cruellement rappelé
461   IV,     150|           vous fais pas reproche, à Dieu ne plaise…~ ~ ~– Il vaudrait
462   IV,     150|            en murmurant :~ ~ ~– Mon Dieu ! donnez-moi la patience,
463   IV,     151|             à voir un peu de ce que Dieu jette à pleines mains dans
464   IV,     151|        félicités que j’ai reçues de Dieu.~ ~ ~– Je sais tout cela,
465   IV,     151|          grand air de la vertu, que Dieu donne pour dot à tout homme
466   IV,     151|     préceptes ? Tu ne réponds pas ; Dieu lui-même serait embarrassé ;
467   IV,     151|        lui-même serait embarrassé ; Dieu, qui tient en ses mains
468   IV,     151|      animaux, et je me suis dit : « Dieu a permis que la mère oublie,
469   IV,     151|       pareil bonheur, vous serez le dieu que j’adorerai sur la terre.~ ~ ~–
470   IV,     151|         terre.~ ~ ~– Il n’y a qu’un Dieu qu’il faille adorer, répondit
471   IV,     152|            et aux monologues.~ ~ ~ ~Dieu seul sait tout ce qu’il
472   IV,     152|            bien fini, murmura-t-il. Dieu ne veut pas que je la retrouve ;
473   IV,     152|            pas que je la retrouve ; Dieu veut que je meure de remords,
474   IV,     153|            que je prends en face de Dieu et des hommes : je veux
475   IV,     153|           était donc toi ? Oh ! mon Dieu ! mon Dieu !~ ~ ~ ~Et Andrée
476   IV,     153|           toi ? Oh ! mon Dieu ! mon Dieu !~ ~ ~ ~Et Andrée saisit
477   IV,     153|        malheur m’était réservé, mon Dieu ! continua la jeune fille,
478   IV,     153|           ne tente pas la colère de Dieu !~ ~ ~ ~Gilbert releva doucement
479   IV,     153|            donnais ma vie. Eh ! mon Dieu, vous n’eussiez jamais porté
480   IV,     154|           calculé l’intervention de Dieu ou du hasardSeul, moi
481   IV,     155|             Oh ! tu vivras ! Jamais Dieu n’a donné une volonté de
482   IV,     155|             prématurément la terre. Dieu habille chaudement les plantes
483   IV,     156|            elle commence à préférer Dieu à toutes les affections,
484   IV,     156|         monde ? Qu’elle parle ! Bon Dieu ! les princes sont malheureux !
485   IV,     156|           princes sont malheureux ! Dieu leur a donné un cœur pour
486   IV,     157|        continua Philippe.~ ~ ~– Mon Dieu !~ ~ ~– Et je ne serais
487   IV,     157|          suis mère, Philippe ; mais Dieu a voulu, je le crois du
488   IV,     157|          que je n’ai pas rêvé même, Dieu me l’envoie… lui qui n’a
489   IV,     157|   prononçant cet horrible mot ! Mon Dieu ! dit-elle en se jetant
490   IV,     157|             si vous êtes juste, mon Dieu, si vous avez souci des
491   IV,     157|          opprobre et de larmes, mon Dieu, reprenez cet enfant ! mon
492   IV,     157|           reprenez cet enfant ! mon Dieu, tuez cet enfant ! mon Dieu,
493   IV,     157|         Dieu, tuez cet enfant ! mon Dieu, délivrez moi ! vengez-moi !~ ~ ~ ~
494   IV,     157|           du médecin à la femme, de Dieu à tous les deux.~ ~ ~ ~À
495   IV,     158|            contre moi vers le ciel. Dieu a mis dans ces petites créatures,
496   IV,     158|             l’on en avait le droit, Dieu ne leur aurait pas permis
497   IV,     159|               être regardé comme un dieu tutélaire par ces pauvres
498   IV,     161|     pouvaient appeler un crime, que Dieu pouvait punir d’un châtiment
499   IV,     161|             se dit-il, où vais-je ? Dieu ne se détourne-t-il pas
500   IV,     161|         quoi ! un homme suscité par Dieu pour causer le mal que j’
501   IV,     161|        hommes, tant il est vrai que Dieu n’a jamais fait que le bien,
502   IV,     162|             est entré ?~ ~ ~– Grand Dieu ! la voici… Que lui dirai-je ?
503   IV,     162|           ton entrée à Saint-Denis. Dieu merci, maintenant tout est
504   IV,     162|  consacrerai uniquement au fils que Dieu m’a donné. Telle est ma
505   IV,     162|            appartiens à quelqu’un ; Dieu ne veut plus de moi !~ ~ ~ ~
506   IV,     162|       démence ! mais cette démence, Dieu me l’a envoyée. Tant que
507   IV,     162|            je crois me souvenir que Dieu défend les attachements
508   IV,     162|              ajouta Philippe.~ ~ ~– Dieu ne défend pas à une mère
509   IV,     162|           prescription qui vient de Dieu, cherchez la cause, non
510   IV,     162|      cherchez la raison matérielle. Dieu défend à une mère d’aimer
511   IV,     162|     doucement le docteur.~ ~ ~– Mon Dieu ! s’écria Andrée, qu’y a-t-il ?
512   IV,     162|            abondantes larmes.~ ~ ~– Dieu a voulu, dit Philippe, que
513   IV,     162|     subissions ce nouveau malheur ; Dieu, qui est si grand, si juste ;
514   IV,     162|            est si grand, si juste ; Dieu, qui avait sur toi d’autres
515   IV,     162|         autres desseins peut-être ; Dieu, enfin, qui jugeait, sans
516   IV,     162|            la pauvre mère, pourquoi Dieu a-t-il fait souffrir cette
517   IV,     162|          innocente créature ?~ ~ ~– Dieu ne l’a pas fait souffrir,
518   IV,     162|           se présentera devant moi. Dieu voudra que je le rencontre,
519   IV,     164|            enfin !… rugit Philippe. Dieu te livre à moi… Dieu est
520   IV,     164|      Philippe. Dieu te livre à moi… Dieu est juste !~ ~ ~ ~Gilbert
521   IV,     164|     répondit pas.~ ~ ~– Maintenant, Dieu m’éclaire. Dieu t’a jeté
522   IV,     164|         Maintenant, Dieu m’éclaire. Dieu t’a jeté sur mon chemin
523   IV,     164|           quand on est abandonné de Dieu… » Je ne te tuerai pas ;
524   IV,     164|            Je suis dans mon droit : Dieu doit m’absoudre.~ ~ ~– Je
525   IV,     Epi|         expulser la favorite. Quand Dieu entre par une porte, il
526   IV,     Epi|          vient…~ ~ ~– De la part de Dieu !~ ~ ~ ~Le roi se souleva,
527   IV,     Epi|                    Car vous oubliez Dieu, reprit Madame Louise.~ ~ ~–
528   IV,     Epi|           France. Approchez-vous de Dieu, sire, et passez en revue
529   IV,     Epi|        tranquillité d’esprit.~ ~ ~– Dieu donne la tranquillité de
530   IV,     Epi|              mourez en chrétien, si Dieu vous appelle à lui.~ ~ ~ ~
531   IV,     Epi|           parlez d’un homme sur qui Dieu étend son doigt en ce moment…~ ~ ~ ~
532   IV,     Epi|   philosophe comme moi du momentDieu souffle sur un siècle et
533  Bib         |             4 vol. in-8.~ ~ ~ ~108. Dieu dispose.~ ~Paris, A. Cadot,
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