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Tome, Chap.
1 I, IntII| père, mère, frères, sœurs, femme, parents, amis, maîtresses, 2 I, IntIII| lutte et périra comme sa femme et avec sa femme ; seulement 3 I, IntIII| comme sa femme et avec sa femme ; seulement ils périront 4 I, 1| cria à son tour une voix de femme qui se faisait entendre 5 I, 1| déchirants poussés par la femme de la voiture.~ ~ ~ ~Il 6 I, 1| était sain et sauf, mais sa femme était évanouie.~ ~ ~ ~Quoique 7 I, 1| cabriolet, ce ne fut point à la femme éplorée qu’il porta ses 8 I, 3| derrière, nous avons dit que la femme du cabriolet s’était évanouie.~ ~ ~ ~ 9 I, 3| à son oreille, la jeune femme se redressa, et, passant 10 I, 3| emportant le postillon.~ ~ ~ ~La femme regarda autour d’elle avec 11 I, 3| loué !~ ~ ~ ~Et la jeune femme respira plus librement.~ ~ ~– 12 I, 3| il y est.~ ~ ~ ~La jeune femme fit un signe de tête qui 13 I, 3| C’était une jeune femme de vingt-trois à vingt-quatre 14 I, 3| instant pour voir si la jeune femme l’interrogerait encore ; 15 I, 3| Ah ! oui, s’écria la femme, faites cela, je vous prie, 16 I, 3| craignez rien, reprit la femme du cabriolet ; il est doux 17 I, 3| Djérid ! répéta la femme de sa voix la plus caressante, 18 I, 3| rapprocha du cabriolet.~ ~ ~ ~La femme sortit à moitié son corps 19 I, 3| tablier du cabriolet, la jeune femme sauta en selle avec la légèreté 20 I, 4| La Brie.~ ~ ~– C’est la femme de chambre de mademoiselle 21 I, 5| la première force de la femme.~ ~ ~ ~Andrée baissa les 22 I, 5| à Nicole Legay, à votre femme de chambre ? Votre femme 23 I, 5| femme de chambre ? Votre femme de chambre fait la cuisine ? 24 I, 6| sur les mains de la jeune femme de chambre.~ ~ ~ ~Le baron 25 I, 6| était le portrait d’une femme ?~ ~ ~– Justement. Je la 26 I, 9| libre de son père et de sa femme de chambre elle n’a plus 27 I, 9| carrosse ?~ ~ ~– Une jeune femme… Oh ! qu’elle est majestueuse ! 28 I, 9| ressemble à cette jeune femme, si fière, si majestueuse, 29 I, 9| moment ?~ ~ ~– La jeune femme se penche vers la portière 30 I, 9| Que dit la jeune femme ?~ ~ ~– Elle lui ordonne, 31 I, 9| doit tout sacrifier. Cette femme est bien belle, ô mon Dieu ! 32 I, 9| Que voyez-vous ?~ ~ ~– Une femme.~ ~ ~– Ah ! murmura Balsamo 33 I, 9| Voyons, dépeignez moi cette femme, afin que je sache si vous 34 I, 10| lui avait dit en fuyant la femme de Balsamo lui revint à 35 I, 10| robe et la main de cette femme sans qu’elle se fâchât ; 36 I, 10| On est toujours honnête femme, avez-vous dit pour me consoler, 37 I, 10| trop peu que de devenir la femme d’un savant ou d’un philosophe. 38 I, 11| mesquine lorsqu’elle se faisait femme pour un Pygmalion de village 39 I, 11| doucereux ; ne suis-je pas la femme de chambre de mademoiselle ?~ ~ ~– 40 I, 12| est-ce un homme, est-ce une femme ?~ ~ ~– C’est une dame, 41 I, 13| qu’elle était belle comme femme. En effet, des yeux d’une 42 I, 13| admirables mains, un pied de femme et la taille la mieux prise 43 I, 13| encore bien gouvernée par une femme qui a de ces fantaisies-là. 44 I, 14| dire caressante. Jamais femme n’a fait la révérence avec 45 I, 14| Marie-Antoinette avait son regard de femme, son sourire de femme, et 46 I, 14| de femme, son sourire de femme, et même de femme heureuse ; 47 I, 14| sourire de femme, et même de femme heureuse ; elle était décidée, 48 I, 15| fussiez pas !~ ~ ~ ~La jeune femme sourit dédaigneusement.~ ~ ~– 49 I, 15| de Marie-Thérèse, d’une femme… qui tient dans ses mains 50 I, 16| la dauphine du ton d’une femme qui va défaillir ; tout 51 I, 16| réjouit la vue d’une autre femme.~ ~ ~ ~Chacun voulut alors 52 I, 17| pas être servie par une femme mariée, je déteste les secrets 53 I, 19| petit Artaban, dit la bonne femme, et que Dieu vous accompagne.~ ~ ~– 54 I, 19| mendiant non plus, bonne femme, dit Gilbert humilié. J’ 55 I, 19| Gilbert émurent la bonne femme. Assez d’autres eussent 56 I, 19| main que le premier. Une femme sortit à moitié de la chaise.~ ~ ~– 57 I, 20| sur les pieds d’une jeune femme qui le regardait attentivement.~ ~ ~ ~ 58 I, 20| C’était une jeune femme de vingt-quatre à vingt-cinq 59 I, 20| Ah ! ah ! fit la jeune femme de plus en plus étonnée.~ ~ ~ ~ 60 I, 20| était intéressante, pour une femme surtout.~ ~ ~– J’étais en 61 I, 20| En vérité ! dit la jeune femme en souriant ; mais c’est 62 I, 20| dites-vous ? s’écria la jeune femme ; la dauphine est donc devant 63 I, 20| dit en elle-même la jeune femme, il n’est pas trop laid 64 I, 20| près. Tout à coup la jeune femme poussa un cri de joie, se 65 I, 20| dit vrai, s’écria la jeune femme. Postillon, n’y a-t-il pas 66 I, 20| Bravo ! s’écria la jeune femme ; c’est cela !~ ~ ~– Mais, 67 I, 20| cependant disaient à la jeune femme qu’elle était bien belle.~ ~ ~ ~ 68 I, 20| et, de son côté, la jeune femme eût juré qu’elle connaissait 69 I, 21| Est-ce un homme ou une femme ?~ ~ ~– C’est une femme.~ ~ ~– 70 I, 21| femme ?~ ~ ~– C’est une femme.~ ~ ~– Eh bien ! dis à cette 71 I, 21| Eh bien ! dis à cette femme que si elle a besoin de 72 I, 21| portière, enveloppant la jeune femme de ses longs bras, il la 73 I, 21| vicomte ! dit la jeune femme.~ ~ ~– Oui, oui, Chon, dit 74 I, 21| et une admirable tête de femme s’y montra, tout effarée 75 I, 21| Comment, moi ? dit la jeune femme en mauvais français.~ ~ ~– 76 I, 21| monsieur, dit la jeune femme en refermant la fenêtre.~ ~ ~– 77 I, 22| recommandation de la jeune femme ; conseillez donc vous-même 78 I, 22| tirer l’épée devant une femme.~ ~ ~ ~Et, saluant, il se 79 I, 22| Chon, il est monté par une femme. Oh ! la magnifique créature !~ ~ ~– 80 I, 22| qui parlez-vous ?… De la femme ou du cheval ?~ ~ ~– De 81 I, 22| du cheval ?~ ~ ~– De la femme.~ ~ ~– Appelez-la donc, 82 I, 22| du cheval.~ ~ ~– Et de la femme ? demanda Chon en riant.~ ~ ~– 83 I, 22| madame !~ ~ ~ ~Mais la jeune femme aux grands yeux noirs, enveloppée 84 I, 22| vicomte ; mordieu ! la belle femme ! Si je ne souffrais pas 85 I, 22| est-elle ?~ ~ ~– C’est la femme du sorcier.~ ~ ~– De quel 86 I, 23| heures, moi qui suis une femme !~ ~ ~– Vous êtes une reine.~ ~ ~– 87 I, 24| qui s’adressaient à la femme de chambre rangeant dans 88 I, 25| au contraire, pour une femme, et en raison de toutes 89 I, 26| dans quinze jours sera ma femme.~ ~ ~– Exposé sa vie, exposé 90 I, 29| mais, comme c’était une femme d’un grand sens, elle sentait 91 I, 29| les temps on appelle une femme du vieux temps, c’est-à-dire 92 I, 29| naturellement au récit de la jeune femme.~ ~ ~ ~Il y avait bien cependant 93 I, 29| été riche, si, comme la femme d’un banquier, d’un fermier 94 I, 29| surveillât.~ ~ ~– Pauvre femme, pensa-t-il, la tête lui 95 I, 29| que vous a donc dit cette femme, madame ?~ ~ ~– D’abord, 96 I, 29| prévaricateurs le front d’une femme de qualité comme il n’en 97 I, 30| harangues que, moi, jeune femme à cette époque, j’allais 98 I, 31| vous me présenterez cette femme, n’est-ce pas ? A-t-elle 99 I, 31| grand nom et qui est une femme d’esprit, s’offrait à la 100 I, 31| ma sœur. De la part d’une femme de votre rang, la chose 101 I, 31| pareille charge. Mais vous êtes femme d’esprit, vous lui direz 102 I, 31| serait honorable pour une femme du nom de madame que le 103 I, 31| dans la cour, et une jeune femme s’élançait par la portière.~ ~ ~– 104 I, 33| Moi, lui dit la jeune femme assise de l’autre côté de 105 I, 35| parce que vous êtes une femme, et que vous ferez lever 106 I, 35| Ne parlons que de ma femme, vicomte.~ ~ ~– Je n’ai 107 I, 35| souviens pas.~ ~ ~– Une femme… Ah ! vous y êtes maintenant.~ ~ ~– 108 I, 35| serviriez.~ ~ ~ ~La vieille femme fronça son épais sourcil 109 I, 35| J’ai, comme toute femme qui a tenu maison, des recettes 110 I, 35| comme il convenait à une femme de votre valeur. Faites 111 I, 35| double.~ ~ ~– Tudieu ! quelle femme !~ ~ ~– C’est une Romaine.~ ~ ~– 112 I, 36| marraine, bon Dieu ! Une bonne femme de campagne, toute naïve, 113 I, 36| madame de Guéménée, si cette femme allait trouver une autre 114 I, 37| cette épaisse étoffe, une femme ne peut pas coudre plus 115 I, 37| évidemment une écriture de femme.~ ~ ~« Madame, disait la 116 I, 37| Jean au suisse.~ ~ ~– Une femme, monsieur.~ ~ ~– Mais quelle 117 I, 37| monsieur.~ ~ ~– Mais quelle femme ?~ ~ ~– Je ne la connais 118 I, 38| Ce n’est pas une femme, dit le duc de Richelieu, 119 II, 40| adressant à une espèce de femme de chambre qui venait de 120 II, 40| en plus étonné, suivit la femme de chambre, tandis que Chon, 121 II, 40| grande dame que pour une femme de chambre. En effet, elle 122 II, 40| courroucé lorsqu’il vit la jeune femme éclater de rire malgré les 123 II, 41| garçon, demanda la jeune femme d’un ton de voix assez dur, 124 II, 41| Allons, allons, dit la jeune femme, qui vit au froncement de 125 II, 41| beaucoup de choses d’une femme ; et d’abord, premier axiome : 126 II, 41| Zamore ? demanda la jeune femme évitant de répondre directement 127 II, 42| réclames est celle de ma femme et de mes enfants » ; ou 128 II, 43| Nicole – Nicole était la femme de chambre de mademoiselle 129 II, 44| Gilbert.~ ~ ~– Oui, et que ma femme, en véritable Parisienne, 130 II, 44| porte s’ouvrit.~ ~ ~ ~Une femme de cinquante à cinquante-cinq 131 II, 44| autre était celle de cette femme qui venait d’ouvrir la porte.~ ~ ~ ~ 132 II, 44| pas ? demanda Jacques à sa femme.~ ~ ~– C’est inutile, fit-elle 133 II, 44| pur.~ ~ ~– Maintenant, ma femme, dit-il en reposant la bouteille 134 II, 45| à de vieilles hardes de femme.~ ~ ~– Ce n’est pas beau, 135 II, 45| Cette possession de la femme qu’il aimait, possession 136 II, 45| dirais qu’il n’y a pas de femme, si grande dame qu’elle 137 II, 45| Jacques tressaillit.~ ~ ~– Ma femme doit être réveillée, dit-il 138 II, 47| Chapitre XLVII~ La femme du sorcier~ ~Au moment où 139 II, 47| moment, disons-nous, une femme vêtue avec une élégance 140 II, 47| vous votre cheval.~ ~ ~ ~La femme, pressée d’échapper aux 141 II, 47| d’un œil stupéfait cette femme couverte de pierreries et 142 II, 47| mes habits, dit la jeune femme ; non, ce n’est point la 143 II, 47| poursuivent, s’écria la jeune femme en disparaissant par la 144 II, 47| vit au pied de l’autel la femme inconnue priant et sanglotant 145 II, 48| grosse, petite et rieuse femme, aux dents blanches et au 146 II, 48| préoccupait plus que de sa femme et de sa fille, certain 147 II, 48| tout ce que désirait sa femme, monsieur peut bien venir 148 II, 48| Bah ! au contraire, dit la femme, vous nous aiderez à parvenir 149 II, 48| pas de lui le neveu de sa femme qui se tortillait la moustache.~ ~ ~ ~ 150 II, 50| à personne.~ ~ ~– Quelle femme est-ce ?~ ~ ~– Belle et 151 II, 50| un ennemi.~ ~ ~– Quelque femme de ce pauvre monde où j’ 152 II, 50| importe, introduisez cette femme.~ ~ ~ ~La supérieure s’assit 153 II, 50| elle reconnut dans la jeune femme tant d’humilité, tant de 154 II, 50| et parlez.~ ~ ~ ~La jeune femme fit un pas en tremblant 155 II, 50| et d’ailleurs c’est à une femme seulement que j’oserais 156 II, 50| princesse en regardant cette femme pour bien s’assurer qu’elle 157 II, 50| parents ! s’écria la jeune femme en croisant les mains avec 158 II, 50| Madame Louise.~ ~ ~ ~La jeune femme continua :~ ~ ~– Nous arrivâmes 159 II, 50| celui qui n’inspire à la femme qu’il possède que de semblables 160 II, 50| Frattina, à Rome, jeune femme qui me regrettait beaucoup, 161 II, 50| voisine était une sainte femme ; elle vit dans un coin 162 II, 50| compassion, prenez garde, pauvre femme, je crois que vous avez 163 II, 51| non, Madame, dit la jeune femme avec une douloureuse volonté, 164 II, 51| Madame Louise saisit la jeune femme par le bras.~ ~ ~– Mais 165 II, 51| votre sœur ?~ ~ ~– C’est ma femme.~ ~ ~– Votre femme ? dit 166 II, 51| est ma femme.~ ~ ~– Votre femme ? dit la princesse en élevant 167 II, 51| tendrement attaché à cette jeune femme, et elle-même regrette, 168 II, 51| point à vous remettre une femme qui n’est point ici. Je 169 II, 51| désire me suivre, étant ma femme.~ ~ ~ ~Ce dernier mot rassura 170 II, 51| de Lorenza.~ ~ ~– Votre femme ! dit-elle, en êtes-vous 171 II, 51| épousée, il redemande sa femme.~ ~ ~– Sa femme, encore ! 172 II, 51| redemande sa femme.~ ~ ~– Sa femme, encore ! s’écria Madame 173 II, 51| Lorenza Feliciani est votre femme ?~ ~ ~– Oui, Madame, répondit 174 II, 51| que j’ai de réclamer cette femme ; la signature fait foi… 175 II, 51| effroi, vit entrer la jeune femme, dont les yeux étaient fixés 176 II, 51| retournant vers la jeune femme :~ ~ ~– N’est-ce pas, Lorenza, 177 II, 51| Jamais, répondit la jeune femme d’une voix claire et précise, 178 II, 52| retournant vers la jeune femme :~ ~ ~– Vous souvient-il, 179 II, 52| Oui, dit la jeune femme avec son même accent monotone, 180 II, 52| l’interprète de la jeune femme. Votre Altesse doute et 181 II, 52| le mit dans la main de sa femme, qui appliqua aussitôt cette 182 II, 52| elle n’était point votre femme.~ ~ ~ ~Le comte, sans répondre 183 II, 52| Le corps de la jeune femme frissonna tout entier de 184 II, 52| Et depuis que tu es ma femme, dis, Lorenza, ai-je jamais 185 II, 52| dernier mot à cette jeune femme.~ ~ ~ ~Le comte s’inclina 186 II, 52| Oui, dit la jeune femme, c’est de ma propre volonté.~ ~ ~– 187 II, 52| Oh ! oui, dit la jeune femme.~ ~ ~– En ce cas, dit la 188 II, 53| folle ! être insensé ! Oh ! femme, femme ! c’est-à-dire imperfection.~ ~ ~« 189 II, 53| être insensé ! Oh ! femme, femme ! c’est-à-dire imperfection.~ ~ ~« 190 II, 53| Taverney, c’est-à-dire une femme que sa beauté fait digne 191 II, 54| de la robe empruntée à sa femme.~ ~ ~ ~Gilbert s’efforça 192 II, 55| qui enveloppait la jeune femme.~ ~ ~ ~Puis il sortit pour 193 II, 55| dit-il.~ ~ ~ ~La jeune femme, à cet appel, se souleva 194 II, 55| de moi ? demanda la jeune femme.~ ~ ~– Oui, chère Lorenza !~ ~ ~– 195 II, 55| aime !~ ~ ~ ~Et la jeune femme étendit ses deux bras pour 196 II, 56| superstitieuse, elle est femme, Alors elle voit dans le 197 II, 56| passion ?~ ~ ~ ~La jeune femme ramena contre elle ses deux 198 II, 56| Le cœur de la jeune femme s’oppressa, des larmes silencieuses 199 II, 56| les embrasse ; je suis ta femme, enfin !~ ~ ~– Oui, oui, 200 II, 56| Lorenza chérie, oui, tu es ma femme bien-aimée.~ ~ ~– Et tu 201 II, 56| pitié !…~ ~– Je suis ta femme, s’écria-t-elle, et non 202 II, 56| Aime-moi comme un époux aime sa femme, et non comme mon père m’ 203 II, 56| Mais, s’écria la jeune femme en levant ses deux bras 204 II, 56| une vierge.~ ~ ~ ~La jeune femme fit un brusque mouvement 205 II, 56| immense douleur de cette femme au cœur brisé.~ ~ ~– Hélas ! 206 II, 56| es voyante, ma Lorenza ; femme, tu ne serais plus que matière.~ ~ ~– 207 II, 56| Balsamo, murmura la jeune femme, ton ambition te donnera-t-elle 208 II, 56| voudras, dit-elle, sœur ou femme, vierge ou épouse, mais 209 II, 56| toucher les lèvres de la jeune femme !~ ~ ~ ~Soudain la raison 210 II, 57| sa physionomie, la jeune femme arrêta ses yeux sur Balsamo 211 II, 57| Balsamo s’approcha de la jeune femme, et avec un geste amical 212 II, 57| Jamais !~ ~ ~– Vous êtes ma femme, cependant.~ ~ ~– Oh ! voilà 213 II, 57| ferai comme je le dis.~ ~ ~– Femme chrétienne, que dites-vous ? 214 II, 57| tolère, murmura la jeune femme ; il attend que vous vous 215 II, 57| assassinera ! hurla la jeune femme arrivée au dernier paroxysme 216 II, 57| le côté matériel de cette femme, mais qui luttait en vain 217 II, 59| blanche comme celle d’une femme, à l’annulaire duquel brillait 218 II, 61| propriétaire. Ah ! pauvre jeune femme, veuve à votre âge !~ ~ ~– 219 II, 64| influence que peut-être une femme allait conquérir.~ ~ ~ ~ 220 II, 64| de cinq j’étais chez ma femme. Hélas ! dirait-on de M. 221 II, 65| présage ?~ ~ ~– Pour une femme de l’Antiquité peut-être, 222 II, 65| en se rapprochant de sa femme ; il y a près de vous, à 223 II, 66| voiture.~ ~ ~ ~Une tête de femme, vêtue de blanc et coiffée 224 II, 66| de pierre, fit écarter sa femme et sa fille pour qu’Andrée 225 II, 67| était étendue une jeune femme vêtue d’une robe blanche ; 226 II, 68| lui apporter une pauvre femme dont un carrosse avait broyé 227 II, 68| est vrai ; mais une pauvre femme qui a la tête perdue ne 228 II, 68| était onze heures déjà ; ma femme apprit d’une voisine les 229 II, 68| est un morceau de robe de femme que tient la main d’un jeune 230 II, 69| foule, comment retrouver une femme parmi ces cent mille femmes ? 231 II, 69| hôtel.~ ~ ~ ~Une tête de femme apparaissait à travers la 232 II, 72| irréparable dans le cœur de la femme qu’il abandonnait, et qui, 233 II, 73| salon richement meublé. Une femme de chambre et une dame étaient 234 II, 73| avait eue à Taverney avec sa femme de chambre, à propos de 235 II, 74| donc ; et, pareille à la femme de Loth, dont je vous ai 236 II, 76| monsieur, dit la jeune femme avec toute sa grâce ; moi, 237 II, 77| minaudant comme une vieille femme, vous allez vous décoiffer ; 238 II, 77| effleura les lèvres de la jeune femme ; mais Zamore, qui se sentait 239 II, 77| honneur, un homme qu’une femme d’esprit devrait s’attacher.~ ~ ~– 240 II, 77| sur le visage de la jeune femme l’effet des dernières paroles 241 II, 78| voulez-vous ! je suis une femme mal élevée, moi. Je suis 242 II, 78| seulement la plus heureuse femme du monde, mais encore la 243 II, 78| commander ? demanda la jeune femme à sa sœur.~ ~ ~– Au contraire, 244 II, 78| Comtesse, vous êtes femme.~ ~ ~– Heureusement.~ ~ ~– 245 II, 78| raisonnez politique en véritable femme mutine et colère. Je n’ai 246 II, 79| Madame de Pompadour était une femme bien jalouse de la gloire 247 II, 79| Barry que je la trouve une femme charmante et digne de tout 248 II, 80| tête à des sciences, sa femme en souffrira.~ ~ ~– Non 249 II, 80| répliqua une douce voix de femme sortie d’un buisson.~ ~ ~ ~ 250 II, 80| de garde-vue.~ ~ ~– Une femme, sire, dit M. de Choiseul.~ ~ ~– 251 III, 82| Est-ce un homme ou une femme ?~ ~ ~– Je ne sais trop. 252 III, 83| prières.~ ~ ~ ~Mais la jeune femme le regardait de travers, 253 III, 83| répondit la fière jeune femme.~ ~ ~ ~Balsamo attacha sur 254 III, 83| main froide de la jeune femme.~ ~ ~– Encore une fois, 255 III, 83| même main vers la jeune femme, et d’un ton impératif, 256 III, 83| voilà que le souffle d’une femme l’écrase en le caressant. 257 III, 83| chambre, laissant la jeune femme toujours endormie.~ ~ ~ ~ 258 III, 83| demanda-t-il.~ ~ ~– Une femme et un homme.~ ~ ~– Sont-ils 259 III, 83| connais-tu ?~ ~ ~– Non.~ ~ ~– La femme est-elle jeune ?~ ~ ~– Jeune 260 III, 84| madame de Grammont, une femme de tête, ait compromis toute 261 III, 85| Un homme et une femme.~ ~ ~– Lisez dans ma pensée 262 III, 85| Richelieu.~ ~ ~– Et celui de la femme ?~ ~ ~– Madame la comtesse 263 III, 86| moins respectable que la femme d’un charbonnier, avait 264 III, 87| saluer entre la reine et la femme de cour ordinaire, il subjugua 265 III, 87| double appât auquel une jolie femme, et surtout une femme de 266 III, 87| jolie femme, et surtout une femme de cour, ne résiste presque 267 III, 87| faveur de cette charmante femme qu’on regarde ici comme 268 III, 87| savoir, j’aimerais cette femme par-dessus tout… mais…~ ~ ~ ~ 269 III, 87| la belle affaire… une femme accomplie.~ ~ ~ ~Et Richelieu 270 III, 88| gens sans cervelle… Oh ! femme que vous êtes ! Avant de 271 III, 88| cajolant, dit la folâtre femme, qui tout doucement poussait 272 III, 88| Vous n’êtes pas une femme, dit-il, vous êtes…~ ~ ~– 273 III, 91| se retourner. Elle était femme.~ ~ ~ ~Gilbert se contenta 274 III, 91| sa mante aux mains d’une femme de chambre, alla prendre 275 III, 92| Andrée appeler à l’aide une femme de chambre de madame de 276 III, 92| montait en carrosse, une femme de chambre de la dauphine 277 III, 92| mettant dans la main de cette femme une bourse lourde, et qui, 278 III, 92| endormit Lorenza. La jeune femme le reçut donc avec un tendre 279 III, 92| deux beaux bras de la jeune femme avaient jetée à son cou :~ ~ ~– 280 III, 92| Balsamo, ajouta la jeune femme, et cependant…~ ~ ~– Et 281 III, 92| malgré le sommeil de la jeune femme, une pudibonde rougeur s’ 282 III, 92| dit-elle.~ ~ ~– Et cette femme, cette princesse, cette 283 III, 92| qu’elle est ?…~ ~– Cette femme, cette princesse, cette 284 III, 92| marchant, réveilla la jeune femme.~ ~ ~ ~Le prélat, tout ému 285 III, 92| oracle ayant dit que cette femme n’aimait pas son mari.~ ~ ~– 286 III, 93| Eh ! monsieur, je suis femme et j’en vaux une autre.~ ~ ~– 287 III, 93| à la Pompadour, fille et femme de traitant, puis de la 288 III, 93| bien beau rôle pour une femme d’esprit qui voudrait régner 289 III, 93| est prise.~ ~ ~– Pour une femme, continua le maréchal, qui 290 III, 93| calcul et les vues ; pour une femme qui pousserait si haut sa 291 III, 93| rentrée seule chez elle, sans femme, sans chasseur, avec un 292 III, 93| cher, il faut au moins une femme de chambre à ta fille.~ ~ ~ ~ 293 III, 93| vous presse d’envoyer une femme de chambre à votre fille, 294 III, 93| attaches à ce qu’elle ait une femme de chambre auprès d’elle, 295 III, 93| elle, et à ce que cette femme de chambre s’appelle Nicole.~ ~ ~– 296 III, 94| réputation de la nouvelle femme de chambre était faite le 297 III, 95| de vous laisser ici sans femme de chambre, il lui a conté 298 III, 95| petite villageoise pour femme de chambre, que je ne l’ 299 III, 95| Comme vous voyez, femme de chambre de mademoiselle.~ ~ ~– 300 III, 99| aperçut une coiffure de femme qui descendait de cette 301 III, 99| marchepied, trahit une vieille femme. Un visage ridé, tanné sous 302 III, 99| de lui prouver que cette femme était non seulement vieille, 303 III, 99| la plaideuse, car quelle femme à voiture fût venue en cette 304 III, 99| Il faudrait ne pas être femme.~ ~ ~– Cette guenon croit 305 III, 99| croit donc qu’elle est une femme ? murmura le vainqueur de 306 III, 99| n’outrage pas ainsi une femme de qualité.~ ~ ~– Madame, 307 III, 101| Madame du Barry était femme et nullement politique. 308 III, 102| que lui prodiguait cette femme.~ ~ ~– Le bonheur se compose 309 III, 102| les plus friands pour une femme que la torture par la jalousie, 310 III, 105| le chiffon de laine d’une femme de ménage, qui s’escrimait 311 III, 105| une aide active à cette femme et rafraîchissait dans un 312 III, 105| et j’aide à cette bonne femme. Je choisis l’ouvrage, par 313 III, 105| cadavres étendus, l’un de femme l’autre d’homme.~ ~ ~ ~La 314 III, 105| autre d’homme.~ ~ ~ ~La femme était morte jeune. L’homme 315 III, 105| Balsamo rêveur, et cette femme était bien belle.~ ~ ~– 316 III, 105| soulevant la tête de la jeune femme et en la laissant retomber 317 III, 105| enveloppa la tête de la jeune femme dans son mouchoir de poche, 318 III, 105| sarrasin de miel ;~ ~ ~ ~À ma femme, à mon vieux père,~ ~À mes 319 III, 106| pauvre Havard, il a une femme et des enfants !~ ~ ~ ~Et 320 III, 106| remplirent de larmes.~ ~ ~– Sa femme doit-elle donc être veuve, 321 III, 106| foi sublime.~ ~ ~– Non, sa femme et ses enfants ont tant 322 III, 106| conséquent, de nourrir sa femme et ses enfants.~ ~ ~– Oh ! 323 III, 106| enverrait de quoi nourrir sa femme et ses enfants.~ ~ ~– Eh 324 III, 106| quand vous enlevâtes à la femme morte cette tête que vous 325 III, 106| timidement à la porte. C’était la femme de ménage de Marat qui était 326 III, 107| dame Grivette.~ ~ ~ ~Cette femme, que nous n’avons pas pris 327 III, 107| pas besoin d’elles ; cette femme s’avance maintenant dans 328 III, 107| Marat eût été une belle femme, si, depuis l’âge de quinze 329 III, 107| profession.~ ~ ~ ~Dans cette femme, l’esprit, supérieur au 330 III, 107| regarda longtemps cette femme, ou plutôt cette nature 331 III, 107| doucereuse, d’une voix de vieille femme, car les femmes condamnées 332 III, 107| Monsieur, je suis une honnête femme !~ ~ ~– Une honnête femme 333 III, 107| femme !~ ~ ~– Une honnête femme que je livrerai au commissaire 334 III, 107| commissaire de police, une honnête femme comme moi ?~ ~ ~– Une honnête 335 III, 107| moi ?~ ~ ~– Une honnête femme, une honnête femme !…~ ~– 336 III, 107| honnête femme, une honnête femme !…~ ~– Oui, et sur laquelle 337 III, 107| fille de cuisine chez sa femme.~ ~ ~ ~Or, Marat, ayant 338 III, 107| Il en résulta que cette femme nerveuse et hystérique s’ 339 III, 107| il fit un pas vers cette femme, debout et menaçante au 340 III, 107| que vous apportait cette femme et qu’elle a laissé échapper 341 III, 107| lettre toute fermée de cette femme.~ ~ ~– Lisez-la pour M. 342 III, 107| volonté, la malheureuse femme commença, comme une folle, 343 III, 107| Puis, se tournant vers la femme en lui jetant à la face 344 III, 107| continuant de s’adresser à la femme toute tremblante et tout 345 III, 107| mensonges qui est dans cette femme.~ ~ ~ ~Et il partit sur 346 III, 107| moindres gestes de cette femme qu’il croyait folle.~ ~ ~ ~ 347 III, 108| remercier une jeune et adorable femme qui veut bien faire des 348 III, 109| Rousseau regarda sa femme avec un œil irrité.~ ~ ~– 349 III, 109| Thérèse n’était pas femme à se laisser battre ainsi.~ ~ ~– 350 III, 109| rend au maître ? Eh ! bonne femme, qui jugez tout à tort et 351 III, 110| disant qu’il saluait une femme et non une princesse.~ ~ ~ ~ 352 III, 110| tendrement le bras de la jeune femme.~ ~ ~ ~La jeune femme, avec 353 III, 110| jeune femme.~ ~ ~ ~La jeune femme, avec ses dentelles frissonnantes, 354 III, 110| fuir une aussi charmante femme, dit le comte d’Artois.~ ~ ~ ~ 355 III, 111| compliment, car elle était femme, elle se pencha vers le 356 III, 111| Richelieu, plus méchant qu’une femme, savoura sa vengeance. Il 357 III, 112| roi fait un présent à une femme, et qu’il charge M. de Richelieu 358 III, 113| Eh bien, c’est la femme qui fait son calcul.~ ~ ~ ~ 359 III, 115| impossible de voir pleurer une femme, dit Gilbert d’un ton qui 360 III, 115| par hasard, je serais une femme pour M. Gilbert ? répliqua 361 III, 115| n’irrite pas une honnête femme en lui témoignant de la 362 III, 115| près, tu n’es plus qu’une femme, et je suis un homme… Oh ! 363 III, 116| sujette respectueuse ni d’une femme reconnaissante de paraître 364 III, 117| précédait celle de la jeune femme, et, se tournant les bras 365 III, 117| temps, répondit la jeune femme.~ ~ ~ ~Balsamo, enchanté 366 III, 117| trouverai-je en vous une femme dévouée et soumise, une 367 III, 117| Lorenza.~ ~ ~ ~La jeune femme se tut.~ ~ ~– M’aimerez-vous 368 III, 117| êtes libre.~ ~ ~ ~La jeune femme tressaillit, comme si un 369 III, 117| indiqua tout ce que la jeune femme comprimait d’impatience 370 III, 117| Dites, répondit la jeune femme avec un sourire amer. Voyons 371 III, 117| accorder.~ ~ ~ ~La jeune femme fit un geste d’impatience 372 III, 117| là-haut une folle, une pauvre femme malade et condamnée à mourir ; 373 III, 117| vous lui direz à cette femme : « Veillez, la folle est 374 III, 117| suite, Balsamo, dit la jeune femme avec une expression caressante 375 III, 117| Acharat.~ ~ ~ ~La jeune femme frissonna.~ ~ ~– Parlez, 376 III, 117| entre ses bras la jeune femme, qui, à ces derniers mots, 377 III, 117| la vie ! s’écria la jeune femme, qui s’enivrait graduellement 378 III, 117| toute sanglante sur la jeune femme et d’une voix irrésistible :~ ~ ~– 379 III, 118| câline qu’y eût mise une femme de trente ans.~ ~ ~– Si, 380 III, 119| exempt et mademoiselle la femme de chambre ont quelque chose 381 III, 120| plus pour lui, mais pour sa femme et ses enfants destinés 382 III, 120| Gilbert vit donc cette femme blanche et solennelle s’ 383 III, 120| dit-elle, j’ai déjà vu cette femme ; elle fuyait vers Paris.~ ~ ~– 384 III, 120| barreaux. Descends, ah ! pauvre femme !~ ~ ~– Quoi ?~ ~ ~– Oh ! 385 III, 120| lui pardonner, à la pauvre femme ; elle était bien malheureuse.~ ~ ~– 386 III, 122| peut-être. Oh ! misérable femme ! oh ! tous les supplices 387 III, 122| rue Saint-Claude, la jeune femme avait gagné le boulevard, 388 III, 122| habillait plutôt comme une femme d’Orient que comme une Européenne, 389 III, 122| crut voir dans Lorenza une femme déguisée, soit pour quelque 390 III, 122| à réfléchir.~ ~ ~ ~Cette femme, jeune et belle, qui sous 391 III, 123| suisse, qui, voyant cette femme si belle, si étrange, si 392 III, 123| dans les paroles de cette femme, comme son œil ferme et 393 III, 123| attendît.~ ~ ~ ~Alors, la jeune femme se renferma dans un sombre 394 III, 123| milieu du cabinet, la jeune femme s’arrêta. Ce costume, cette 395 III, 123| Monsieur, dit la jeune femme, je viens me mettre sous 396 III, 123| qualité. De nos jours, une femme se trouve assez noble du 397 III, 123| de police ; vous êtes sa femme.~ ~ ~– Il le dit, du moins.~ ~ ~– 398 III, 123| Sartine tendit à la jeune femme un trousseau de petites 399 III, 123| releva lui-même la jeune femme qui, les yeux étonnés, les 400 IV, 125| derrière le valet, une femme qui ne croyait pas avoir 401 IV, 125| mais, moi, je tiens la femme !~ ~ ~ ~Et, pour se dédommager, 402 IV, 126| demanda le magistrat, cette femme ?~ ~ ~– Quelle femme, monseigneur ?~ ~ ~– 403 IV, 126| cette femme ?~ ~ ~– Quelle femme, monseigneur ?~ ~ ~– Cette 404 IV, 126| monseigneur ?~ ~ ~– Cette femme qui s’est évanouie ici, 405 IV, 126| avait ordonné à la jeune femme de se lever, de sortir, 406 IV, 126| établi entre lui et la jeune femme, laquelle, obéissant à l’ 407 IV, 126| mais elle n’était pas femme à le quitter ainsi sans 408 IV, 126| est-ce un homme ou une femme ?~ ~ ~– C’est une femme.~ ~ ~– 409 IV, 126| femme ?~ ~ ~– C’est une femme.~ ~ ~– Ah ! ah ! comte : 410 IV, 126| vous avez vus ; voilà une femme qui, n’osant me donner un 411 IV, 127| sous la main : homme ou femme, peu importe ; cependant 412 IV, 127| importe ; cependant une femme vaudrait mieux. J’ai découvert 413 IV, 128| laissé aux mains de cette femme, qui le jette au vent ; 414 IV, 128| rapprocha lentement de la jeune femme, dont les yeux, chargés 415 IV, 128| Oui, la destinée de cette femme est écrite, il me semble 416 IV, 128| de mon cœur. J’aime cette femme, je l’aime, et cet amour 417 IV, 128| remonter aux cieux dès que la femme descendra dans mes bras.~ ~ ~« 418 IV, 128| te suffira, une fois ma femme ? car je t’aime ardemment, 419 IV, 128| avais en toi à la fois la femme aimée et le génie auxiliaire ; 420 IV, 129| dehors de lui et de la jeune femme, de l’autre côté du cercle 421 IV, 129| Acharat, tu penses à une autre femme que moi, à une femme du 422 IV, 129| autre femme que moi, à une femme du Nord, aux cheveux blonds, 423 IV, 129| Acharat, ah ! Acharat, cette femme marche toujours à côté de 424 IV, 129| amour que je pense à cette femme, lui répondait Balsamo ; 425 IV, 129| bras la taille de la jeune femme, la conduisit dans son laboratoire.~ ~ ~ ~ 426 IV, 129| Ainsi, demanda la jeune femme, tu es content de ta Lorenza, 427 IV, 129| savais rien !~ ~ ~ ~La jeune femme souriait divinement.~ ~ ~– 428 IV, 129| Créateur, qui fait naître la femme de la chair de l’homme, 429 IV, 129| Qui, elle ?~ ~ ~– La femme blonde : veux-tu que je 430 IV, 129| Lorenza.~ ~ ~ ~La jeune femme saisit passionnément la 431 IV, 129| montagne, répondit la jeune femme.~ ~ ~– Oui, c’est cela, 432 IV, 129| vide aussi ?~ ~ ~– Non, une femme est couchée sur un sofa.~ ~ ~– 433 IV, 129| Quelle est cette femme ?~ ~ ~– Attends.~ ~ ~– Ne 434 IV, 129| rendras fou. Que fait cette femme ?~ ~ ~– Elle pense à toi, 435 IV, 129| sonne ; une autre jeune femme entre.~ ~ ~– Brune ? blonde ?~ ~ ~– 436 IV, 129| sur les genoux de la jeune femme.~ ~ ~ ~Balsamo attendait 437 IV, 129| Tout à coup la jeune femme tressaillit ; elle tenait 438 IV, 129| loin de ressembler à une femme, que Balsamo revint près 439 IV, 130| de serrer la main de la femme qu’il aime, l’attirant au 440 IV, 130| qui représente une belle femme se fardant et se mirant, 441 IV, 130| sans la coquetterie d’une femme. Le petit pied de cette 442 IV, 131| la crainte que la jeune femme ne fût fatiguée ; car, dans 443 IV, 131| tapisserie d’orient, une femme pouvait facilement se cacher.~ ~ ~ ~ 444 IV, 131| Restait la chambre de la jeune femme, où sans doute elle était 445 IV, 131| alors que la folle jeune femme, si différente dans le sommeil 446 IV, 131| prévoyant en plaçant là cette femme sous mon plancher, presque 447 IV, 131| maîtresse, mon amour, ma femme ! Tu l’as assassinée pour 448 IV, 132| aussi vulgaire que cette femme morte ? N’est-ce pas un 449 IV, 132| sa Lorenza ! Lorenza, sa femme, son idole, cette créature 450 IV, 133| vrai ?~ ~ ~« Un jour, une femme est sortie de chez toi portant 451 IV, 133| coffret, en arrêtant cette femme, tout devenait pour nous 452 IV, 133| insensible.~ ~ ~– Cette femme parvint jusqu’au lieutenant 453 IV, 133| dit le président ; cette femme donna le coffret, et tout 454 IV, 133| leva.~ ~ ~– Qu’était cette femme ? s’écria-t-il. Belle, passionnée, 455 IV, 133| Lorenza Feliciani est ta femme, Balsamo !~ ~ ~ ~Balsamo 456 IV, 133| signalés à l’ordre : une femme, ta complice, qui, peut-être 457 IV, 133| t’abriter derrière cette femme pour que l’on vît moins 458 IV, 133| Pourquoi accusez-vous cette femme ? dit-il.~ ~ ~– Ah ! nous 459 IV, 133| vers la terre.~ ~ ~– Cette femme que j’adorais, cette femme 460 IV, 133| femme que j’adorais, cette femme qui était mon trésor, mon 461 IV, 133| bien unique, ma vie, cette femme qui a trahi, comme vous 462 IV, 134| objet qu’on appelle une femme à la perfection de l’humanité 463 IV, 137| cela vous fait tort ; une femme ainsi mise n’a aucun succès 464 IV, 137| épaules ; il n’y a qu’une femme comme celle-là au monde, 465 IV, 137| cette indisposition d’une femme, il s’esquiva sur la pointe 466 IV, 137| répéta Louis XV ; une femme ? Que lui arrive-t-il, à 467 IV, 137| lui arrive-t-il, à cette femme ?~ ~ ~– Sire, un évanouissement.~ ~ ~– 468 IV, 138| tour, regarda son père en femme qui demande une explication.~ ~ ~– 469 IV, 139| spirituelle, la plus charmante femme de l’Europe ; on dit que, 470 IV, 144| Andrée, des menaces à une femme !~ ~ ~ ~Et elle se leva 471 IV, 144| des menaces, non pas à une femme, mais à une créature sans 472 IV, 145| orgueil de plaindre cette femme si fière, si dédaigneuse 473 IV, 146| monta chez la dame, et la femme de chambre lui donna aussitôt, 474 IV, 149| coquetterie échappé à une femme, peuvent jeter le désir 475 IV, 150| combattre et vaincre, la femme aussi doit attendre de pied 476 IV, 151| faut-il que je crie, comme la femme de l’Écriture, en disant : « 477 IV, 153| étonnement, et comme une femme qui ne comprenait rien à 478 IV, 153| pitié… consentez à être ma femme.~ ~ ~– Votre femme ? exclama 479 IV, 153| être ma femme.~ ~ ~– Votre femme ? exclama Andrée croyant 480 IV, 153| assassin ! vociféra la jeune femme.~ ~ ~– Mais vous ne voulez 481 IV, 153| froid et incisif, qu’une femme, lorsqu’elle est devenue 482 IV, 154| ne m’attache plus à cette femme ; elle-même a pris soin 483 IV, 154| apitoyer sur le sort de cette femme, et d’affaiblir les ressorts 484 IV, 154| exercerais-je ?… Tuer la femme ? Oh ! non, elle tomberait 485 IV, 154| passer à deux pas de cette femme, alors que, souriant avec 486 IV, 155| toucheras pas à cette jeune femme ? dit Balsamo croyant arrêter 487 IV, 155| tout un, de poignarder une femme avec le fer, ou de la tuer 488 IV, 155| bien et de mal, comme une femme ; tu es stoïque et probe 489 IV, 157| se passer du médecin à la femme, de Dieu à tous les deux.~ ~ ~ ~ 490 IV, 157| Point-du-Jour, où demeure cette femme, prévenu pour qu’elle se 491 IV, 159| accepter, chérir même, par la femme de Rousseau. Le moyen était 492 IV, 159| mère.~ ~ ~ ~Cette brave femme s’appelait Madeleine Pitou, 493 IV, 160| dit-il ; vous êtes une brave femme. Je vous confie donc cet 494 IV, 161| ai volé l’enfant à cette femme, comme je lui ai volé son 495 IV, 162| mettrai en nourrice chez une femme que vous me recommanderez… 496 IV, 162| est pas là un caprice de femme faible et vaine ; je ne 497 IV, 164| avérés. Tu as avili une femme par la honte et tu l’as 498 Bib | vol. in-8.~ ~ ~ ~102. La Femme au collier de velours.~ ~