Tome,  Chap.

  1    I,   IntII|           père, mère, frères, sœurs, femme, parents, amis, maîtresses,
  2    I,  IntIII|             lutte et périra comme sa femme et avec sa femme ; seulement
  3    I,  IntIII|            comme sa femme et avec sa femme ; seulement ils périront
  4    I,       1|          cria à son tour une voix de femme qui se faisait entendre
  5    I,       1|            déchirants poussés par la femme de la voiture.~ ~ ~ ~Il
  6    I,       1|          était sain et sauf, mais sa femme était évanouie.~ ~ ~ ~Quoique
  7    I,       1|      cabriolet, ce ne fut point à la femme éplorée qu’il porta ses
  8    I,       3|      derrière, nous avons dit que la femme du cabriolet s’était évanouie.~ ~ ~ ~
  9    I,       3|              à son oreille, la jeune femme se redressa, et, passant
 10    I,       3|     emportant le postillon.~ ~ ~ ~La femme regarda autour d’elle avec
 11    I,       3|             loué !~ ~ ~ ~Et la jeune femme respira plus librement.~ ~ ~–
 12    I,       3|             il y est.~ ~ ~ ~La jeune femme fit un signe de tête qui
 13    I,       3|                    C’était une jeune femme de vingt-trois à vingt-quatre
 14    I,       3|        instant pour voir si la jeune femme l’interrogerait encore ;
 15    I,       3|                 Ah ! oui, s’écria la femme, faites cela, je vous prie,
 16    I,       3|             craignez rien, reprit la femme du cabriolet ; il est doux
 17    I,       3|                   Djérid ! répéta la femme de sa voix la plus caressante,
 18    I,       3|     rapprocha du cabriolet.~ ~ ~ ~La femme sortit à moitié son corps
 19    I,       3|       tablier du cabriolet, la jeune femme sauta en selle avec la légèreté
 20    I,       4|              La Brie.~ ~ ~– C’est la femme de chambre de mademoiselle
 21    I,       5|              la première force de la femme.~ ~ ~ ~Andrée baissa les
 22    I,       5|              à Nicole Legay, à votre femme de chambre ? Votre femme
 23    I,       5|             femme de chambre ? Votre femme de chambre fait la cuisine ?
 24    I,       6|            sur les mains de la jeune femme de chambre.~ ~ ~ ~Le baron
 25    I,       6|              était le portrait d’une femme ?~ ~ ~– Justement. Je la
 26    I,       9|           libre de son père et de sa femme de chambre elle n’a plus
 27    I,       9|           carrosse ?~ ~ ~– Une jeune femme… Oh ! qu’elle est majestueuse !
 28    I,       9|              ressemble à cette jeune femme, si fière, si majestueuse,
 29    I,       9|              moment ?~ ~ ~– La jeune femme se penche vers la portière
 30    I,       9|                     Que dit la jeune femme ?~ ~ ~– Elle lui ordonne,
 31    I,       9|           doit tout sacrifier. Cette femme est bien belle, ô mon Dieu !
 32    I,       9|           Que voyez-vous ?~ ~ ~– Une femme.~ ~ ~– Ah ! murmura Balsamo
 33    I,       9|          Voyons, dépeignez moi cette femme, afin que je sache si vous
 34    I,      10|           lui avait dit en fuyant la femme de Balsamo lui revint à
 35    I,      10|             robe et la main de cette femme sans qu’elle se fâchât ;
 36    I,      10|              On est toujours honnête femme, avez-vous dit pour me consoler,
 37    I,      10|           trop peu que de devenir la femme d’un savant ou d’un philosophe.
 38    I,      11|      mesquine lorsqu’elle se faisait femme pour un Pygmalion de village
 39    I,      11|        doucereux ; ne suis-je pas la femme de chambre de mademoiselle ?~ ~ ~–
 40    I,      12|          est-ce un homme, est-ce une femme ?~ ~ ~– C’est une dame,
 41    I,      13|            qu’elle était belle comme femme. En effet, des yeux d’une
 42    I,      13|         admirables mains, un pied de femme et la taille la mieux prise
 43    I,      13|        encore bien gouvernée par une femme qui a de ces fantaisies-là.
 44    I,      14|              dire caressante. Jamais femme n’a fait la révérence avec
 45    I,      14| Marie-Antoinette avait son regard de femme, son sourire de femme, et
 46    I,      14|             de femme, son sourire de femme, et même de femme heureuse ;
 47    I,      14|         sourire de femme, et même de femme heureuse ; elle était décidée,
 48    I,      15|         fussiez pas !~ ~ ~ ~La jeune femme sourit dédaigneusement.~ ~ ~–
 49    I,      15|              de Marie-Thérèse, d’une femme… qui tient dans ses mains
 50    I,      16|             la dauphine du ton d’une femme qui va défaillir ; tout
 51    I,      16|           réjouit la vue d’une autre femme.~ ~ ~ ~Chacun voulut alors
 52    I,      17|              pas être servie par une femme mariée, je déteste les secrets
 53    I,      19|          petit Artaban, dit la bonne femme, et que Dieu vous accompagne.~ ~ ~–
 54    I,      19|             mendiant non plus, bonne femme, dit Gilbert humilié. J’
 55    I,      19|             Gilbert émurent la bonne femme. Assez d’autres eussent
 56    I,      19|             main que le premier. Une femme sortit à moitié de la chaise.~ ~ ~–
 57    I,      20|            sur les pieds d’une jeune femme qui le regardait attentivement.~ ~ ~ ~
 58    I,      20|                    C’était une jeune femme de vingt-quatre à vingt-cinq
 59    I,      20|               Ah ! ah ! fit la jeune femme de plus en plus étonnée.~ ~ ~ ~
 60    I,      20|         était intéressante, pour une femme surtout.~ ~ ~– J’étais en
 61    I,      20|             En vérité ! dit la jeune femme en souriant ; mais c’est
 62    I,      20|        dites-vous ? s’écria la jeune femme ; la dauphine est donc devant
 63    I,      20|            dit en elle-même la jeune femme, il n’est pas trop laid
 64    I,      20|           près. Tout à coup la jeune femme poussa un cri de joie, se
 65    I,      20|           dit vrai, s’écria la jeune femme. Postillon, n’y a-t-il pas
 66    I,      20|             Bravo ! s’écria la jeune femme ; c’est cela !~ ~ ~– Mais,
 67    I,      20|        cependant disaient à la jeune femme qu’elle était bien belle.~ ~ ~ ~
 68    I,      20|            et, de son côté, la jeune femme eût juré qu’elle connaissait
 69    I,      21|               Est-ce un homme ou une femme ?~ ~ ~– C’est une femme.~ ~ ~–
 70    I,      21|              femme ?~ ~ ~– C’est une femme.~ ~ ~– Eh bien ! dis à cette
 71    I,      21|                Eh bien ! dis à cette femme que si elle a besoin de
 72    I,      21|       portière, enveloppant la jeune femme de ses longs bras, il la
 73    I,      21|               vicomte ! dit la jeune femme.~ ~ ~– Oui, oui, Chon, dit
 74    I,      21|             et une admirable tête de femme s’y montra, tout effarée
 75    I,      21|          Comment, moi ? dit la jeune femme en mauvais français.~ ~ ~–
 76    I,      21|               monsieur, dit la jeune femme en refermant la fenêtre.~ ~ ~–
 77    I,      22|           recommandation de la jeune femme ; conseillez donc vous-même
 78    I,      22|              tirer l’épée devant une femme.~ ~ ~ ~Et, saluant, il se
 79    I,      22|           Chon, il est monté par une femme. Oh ! la magnifique créature !~ ~ ~–
 80    I,      22|             qui parlez-vous ?… De la femme ou du cheval ?~ ~ ~– De
 81    I,      22|              du cheval ?~ ~ ~– De la femme.~ ~ ~– Appelez-la donc,
 82    I,      22|            du cheval.~ ~ ~– Et de la femme ? demanda Chon en riant.~ ~ ~–
 83    I,      22|         madame !~ ~ ~ ~Mais la jeune femme aux grands yeux noirs, enveloppée
 84    I,      22|         vicomte ; mordieu ! la belle femme ! Si je ne souffrais pas
 85    I,      22|            est-elle ?~ ~ ~– C’est la femme du sorcier.~ ~ ~– De quel
 86    I,      23|             heures, moi qui suis une femme !~ ~ ~– Vous êtes une reine.~ ~ ~–
 87    I,      24|               qui s’adressaient à la femme de chambre rangeant dans
 88    I,      25|               au contraire, pour une femme, et en raison de toutes
 89    I,      26|            dans quinze jours sera ma femme.~ ~ ~– Exposé sa vie, exposé
 90    I,      29|              mais, comme c’était une femme d’un grand sens, elle sentait
 91    I,      29|             les temps on appelle une femme du vieux temps, c’est-à-dire
 92    I,      29|   naturellement au récit de la jeune femme.~ ~ ~ ~Il y avait bien cependant
 93    I,      29|              été riche, si, comme la femme d’un banquier, d’un fermier
 94    I,      29|             surveillât.~ ~ ~– Pauvre femme, pensa-t-il, la tête lui
 95    I,      29|            que vous a donc dit cette femme, madame ?~ ~ ~– D’abord,
 96    I,      29|        prévaricateurs le front d’une femme de qualité comme il n’en
 97    I,      30|            harangues que, moi, jeune femme à cette époque, j’allais
 98    I,      31|            vous me présenterez cette femme, n’est-ce pas ? A-t-elle
 99    I,      31|             grand nom et qui est une femme d’esprit, s’offrait à la
100    I,      31|            ma sœur. De la part d’une femme de votre rang, la chose
101    I,      31|      pareille charge. Mais vous êtes femme d’esprit, vous lui direz
102    I,      31|            serait honorable pour une femme du nom de madame que le
103    I,      31|           dans la cour, et une jeune femme s’élançait par la portière.~ ~ ~–
104    I,      33|                Moi, lui dit la jeune femme assise de l’autre côté de
105    I,      35|              parce que vous êtes une femme, et que vous ferez lever
106    I,      35|                 Ne parlons que de ma femme, vicomte.~ ~ ~– Je n’ai
107    I,      35|              souviens pas.~ ~ ~– Une femme… Ah ! vous y êtes maintenant.~ ~ ~–
108    I,      35|          serviriez.~ ~ ~ ~La vieille femme fronça son épais sourcil
109    I,      35|                    J’ai, comme toute femme qui a tenu maison, des recettes
110    I,      35|             comme il convenait à une femme de votre valeur. Faites
111    I,      35|        double.~ ~ ~– Tudieu ! quelle femme !~ ~ ~– C’est une Romaine.~ ~ ~–
112    I,      36|       marraine, bon Dieu ! Une bonne femme de campagne, toute naïve,
113    I,      36|         madame de Guéménée, si cette femme allait trouver une autre
114    I,      37|            cette épaisse étoffe, une femme ne peut pas coudre plus
115    I,      37|           évidemment une écriture de femme.~ ~ ~« Madame, disait la
116    I,      37|            Jean au suisse.~ ~ ~– Une femme, monsieur.~ ~ ~– Mais quelle
117    I,      37|          monsieur.~ ~ ~– Mais quelle femme ?~ ~ ~– Je ne la connais
118    I,      38|                     Ce n’est pas une femme, dit le duc de Richelieu,
119   II,      40|            adressant à une espèce de femme de chambre qui venait de
120   II,      40|            en plus étonné, suivit la femme de chambre, tandis que Chon,
121   II,      40|             grande dame que pour une femme de chambre. En effet, elle
122   II,      40|     courroucé lorsqu’il vit la jeune femme éclater de rire malgré les
123   II,      41|             garçon, demanda la jeune femme d’un ton de voix assez dur,
124   II,      41|         Allons, allons, dit la jeune femme, qui vit au froncement de
125   II,      41|             beaucoup de choses d’une femme ; et d’abord, premier axiome :
126   II,      41|            Zamore ? demanda la jeune femme évitant de répondre directement
127   II,      42|             réclames est celle de ma femme et de mes enfants » ; ou
128   II,      43|             NicoleNicole était la femme de chambre de mademoiselle
129   II,      44|        Gilbert.~ ~ ~– Oui, et que ma femme, en véritable Parisienne,
130   II,      44|            porte s’ouvrit.~ ~ ~ ~Une femme de cinquante à cinquante-cinq
131   II,      44|           autre était celle de cette femme qui venait d’ouvrir la porte.~ ~ ~ ~
132   II,      44|           pas ? demanda Jacques à sa femme.~ ~ ~– C’est inutile, fit-elle
133   II,      44|            pur.~ ~ ~– Maintenant, ma femme, dit-il en reposant la bouteille
134   II,      45|              à de vieilles hardes de femme.~ ~ ~– Ce n’est pas beau,
135   II,      45|               Cette possession de la femme qu’il aimait, possession
136   II,      45|            dirais qu’il n’y a pas de femme, si grande dame qu’elle
137   II,      45|        Jacques tressaillit.~ ~ ~– Ma femme doit être réveillée, dit-il
138   II,      47|                   Chapitre XLVII~ La femme du sorcier~ ~Au moment où
139   II,      47|             moment, disons-nous, une femme vêtue avec une élégance
140   II,      47|          vous votre cheval.~ ~ ~ ~La femme, pressée d’échapper aux
141   II,      47|             d’un œil stupéfait cette femme couverte de pierreries et
142   II,      47|             mes habits, dit la jeune femme ; non, ce n’est point la
143   II,      47|        poursuivent, s’écria la jeune femme en disparaissant par la
144   II,      47|            vit au pied de l’autel la femme inconnue priant et sanglotant
145   II,      48|             grosse, petite et rieuse femme, aux dents blanches et au
146   II,      48|           préoccupait plus que de sa femme et de sa fille, certain
147   II,      48|              tout ce que désirait sa femme, monsieur peut bien venir
148   II,      48|           Bah ! au contraire, dit la femme, vous nous aiderez à parvenir
149   II,      48|            pas de lui le neveu de sa femme qui se tortillait la moustache.~ ~ ~ ~
150   II,      50|             à personne.~ ~ ~– Quelle femme est-ce ?~ ~ ~– Belle et
151   II,      50|             un ennemi.~ ~ ~– Quelque femme de ce pauvre monde où j’
152   II,      50|           importe, introduisez cette femme.~ ~ ~ ~La supérieure s’assit
153   II,      50|          elle reconnut dans la jeune femme tant d’humilité, tant de
154   II,      50|            et parlez.~ ~ ~ ~La jeune femme fit un pas en tremblant
155   II,      50|            et d’ailleurs c’est à une femme seulement que j’oserais
156   II,      50|         princesse en regardant cette femme pour bien s’assurer qu’elle
157   II,      50|           parents ! s’écria la jeune femme en croisant les mains avec
158   II,      50|        Madame Louise.~ ~ ~ ~La jeune femme continua :~ ~ ~– Nous arrivâmes
159   II,      50|             celui qui n’inspire à la femme qu’il possède que de semblables
160   II,      50|              Frattina, à Rome, jeune femme qui me regrettait beaucoup,
161   II,      50|             voisine était une sainte femme ; elle vit dans un coin
162   II,      50|     compassion, prenez garde, pauvre femme, je crois que vous avez
163   II,      51|            non, Madame, dit la jeune femme avec une douloureuse volonté,
164   II,      51|        Madame Louise saisit la jeune femme par le bras.~ ~ ~– Mais
165   II,      51|          votre sœur ?~ ~ ~– C’est ma femme.~ ~ ~– Votre femme ? dit
166   II,      51|            est ma femme.~ ~ ~– Votre femme ? dit la princesse en élevant
167   II,      51|     tendrement attaché à cette jeune femme, et elle-même regrette,
168   II,      51|            point à vous remettre une femme qui n’est point ici. Je
169   II,      51|           désire me suivre, étant ma femme.~ ~ ~ ~Ce dernier mot rassura
170   II,      51|              de Lorenza.~ ~ ~– Votre femme ! dit-elle, en êtes-vous
171   II,      51|             épousée, il redemande sa femme.~ ~ ~– Sa femme, encore !
172   II,      51|         redemande sa femme.~ ~ ~– Sa femme, encore ! s’écria Madame
173   II,      51|          Lorenza Feliciani est votre femme ?~ ~ ~– Oui, Madame, répondit
174   II,      51|           que j’ai de réclamer cette femme ; la signature fait foi…
175   II,      51|          effroi, vit entrer la jeune femme, dont les yeux étaient fixés
176   II,      51|             retournant vers la jeune femme :~ ~ ~– N’est-ce pas, Lorenza,
177   II,      51|            Jamais, répondit la jeune femme d’une voix claire et précise,
178   II,      52|             retournant vers la jeune femme :~ ~ ~– Vous souvient-il,
179   II,      52|                    Oui, dit la jeune femme avec son même accent monotone,
180   II,      52|             l’interprète de la jeune femme. Votre Altesse doute et
181   II,      52|            le mit dans la main de sa femme, qui appliqua aussitôt cette
182   II,      52|             elle n’était point votre femme.~ ~ ~ ~Le comte, sans répondre
183   II,      52|                 Le corps de la jeune femme frissonna tout entier de
184   II,      52|               Et depuis que tu es ma femme, dis, Lorenza, ai-je jamais
185   II,      52|            dernier mot à cette jeune femme.~ ~ ~ ~Le comte s’inclina
186   II,      52|                    Oui, dit la jeune femme, c’est de ma propre volonté.~ ~ ~–
187   II,      52|               Oh ! oui, dit la jeune femme.~ ~ ~– En ce cas, dit la
188   II,      53|          folle ! être insensé ! Oh ! femme, femme ! c’est-à-dire imperfection.~ ~ ~«
189   II,      53|           être insensé ! Oh ! femme, femme ! c’est-à-dire imperfection.~ ~ ~«
190   II,      53|           Taverney, c’est-à-dire une femme que sa beauté fait digne
191   II,      54|            de la robe empruntée à sa femme.~ ~ ~ ~Gilbert s’efforça
192   II,      55|             qui enveloppait la jeune femme.~ ~ ~ ~Puis il sortit pour
193   II,      55|               dit-il.~ ~ ~ ~La jeune femme, à cet appel, se souleva
194   II,      55|            de moi ? demanda la jeune femme.~ ~ ~– Oui, chère Lorenza !~ ~ ~–
195   II,      55|             aime !~ ~ ~ ~Et la jeune femme étendit ses deux bras pour
196   II,      56|             superstitieuse, elle est femme, Alors elle voit dans le
197   II,      56|             passion ?~ ~ ~ ~La jeune femme ramena contre elle ses deux
198   II,      56|                  Le cœur de la jeune femme s’oppressa, des larmes silencieuses
199   II,      56|            les embrasse ; je suis ta femme, enfin !~ ~ ~– Oui, oui,
200   II,      56|        Lorenza chérie, oui, tu es ma femme bien-aimée.~ ~ ~– Et tu
201   II,      56|              pitié !…~ ~– Je suis ta femme, s’écria-t-elle, et non
202   II,      56|      Aime-moi comme un époux aime sa femme, et non comme mon père m’
203   II,      56|               Mais, s’écria la jeune femme en levant ses deux bras
204   II,      56|           une vierge.~ ~ ~ ~La jeune femme fit un brusque mouvement
205   II,      56|             immense douleur de cette femme au cœur brisé.~ ~ ~– Hélas !
206   II,      56|             es voyante, ma Lorenza ; femme, tu ne serais plus que matière.~ ~ ~–
207   II,      56|            Balsamo, murmura la jeune femme, ton ambition te donnera-t-elle
208   II,      56|           voudras, dit-elle, sœur ou femme, vierge ou épouse, mais
209   II,      56|       toucher les lèvres de la jeune femme !~ ~ ~ ~Soudain la raison
210   II,      57|             sa physionomie, la jeune femme arrêta ses yeux sur Balsamo
211   II,      57|       Balsamo s’approcha de la jeune femme, et avec un geste amical
212   II,      57|          Jamais !~ ~ ~– Vous êtes ma femme, cependant.~ ~ ~– Oh ! voilà
213   II,      57|         ferai comme je le dis.~ ~ ~– Femme chrétienne, que dites-vous ?
214   II,      57|             tolère, murmura la jeune femme ; il attend que vous vous
215   II,      57|         assassinera ! hurla la jeune femme arrivée au dernier paroxysme
216   II,      57|            le côté matériel de cette femme, mais qui luttait en vain
217   II,      59|            blanche comme celle d’une femme, à l’annulaire duquel brillait
218   II,      61|      propriétaire. Ah ! pauvre jeune femme, veuve à votre âge !~ ~ ~–
219   II,      64|          influence que peut-être une femme allait conquérir.~ ~ ~ ~
220   II,      64|              de cinq j’étais chez ma femme. Hélas ! dirait-on de M.
221   II,      65|             présage ?~ ~ ~– Pour une femme de l’Antiquité peut-être,
222   II,      65|              en se rapprochant de sa femme ; il y a près de vous, à
223   II,      66|           voiture.~ ~ ~ ~Une tête de femme, vêtue de blanc et coiffée
224   II,      66|            de pierre, fit écarter sa femme et sa fille pour qu’Andrée
225   II,      67|              était étendue une jeune femme vêtue d’une robe blanche ;
226   II,      68|              lui apporter une pauvre femme dont un carrosse avait broyé
227   II,      68|           est vrai ; mais une pauvre femme qui a la tête perdue ne
228   II,      68|          était onze heures déjà ; ma femme apprit d’une voisine les
229   II,      68|            est un morceau de robe de femme que tient la main d’un jeune
230   II,      69|         foule, comment retrouver une femme parmi ces cent mille femmes ?
231   II,      69|             hôtel.~ ~ ~ ~Une tête de femme apparaissait à travers la
232   II,      72|       irréparable dans le cœur de la femme qu’il abandonnait, et qui,
233   II,      73|          salon richement meublé. Une femme de chambre et une dame étaient
234   II,      73|         avait eue à Taverney avec sa femme de chambre, à propos de
235   II,      74|             donc ; et, pareille à la femme de Loth, dont je vous ai
236   II,      76|               monsieur, dit la jeune femme avec toute sa grâce ; moi,
237   II,      77|          minaudant comme une vieille femme, vous allez vous décoiffer ;
238   II,      77|      effleura les lèvres de la jeune femme ; mais Zamore, qui se sentait
239   II,      77|             honneur, un homme qu’une femme d’esprit devrait s’attacher.~ ~ ~–
240   II,      77|            sur le visage de la jeune femme l’effet des dernières paroles
241   II,      78|            voulez-vous ! je suis une femme mal élevée, moi. Je suis
242   II,      78|           seulement la plus heureuse femme du monde, mais encore la
243   II,      78|         commander ? demanda la jeune femme à sa sœur.~ ~ ~– Au contraire,
244   II,      78|                  Comtesse, vous êtes femme.~ ~ ~– Heureusement.~ ~ ~–
245   II,      78|     raisonnez politique en véritable femme mutine et colère. Je n’ai
246   II,      79|        Madame de Pompadour était une femme bien jalouse de la gloire
247   II,      79|           Barry que je la trouve une femme charmante et digne de tout
248   II,      80|              tête à des sciences, sa femme en souffrira.~ ~ ~– Non
249   II,      80|           répliqua une douce voix de femme sortie d’un buisson.~ ~ ~ ~
250   II,      80|              de garde-vue.~ ~ ~– Une femme, sire, dit M. de Choiseul.~ ~ ~–
251  III,      82|               Est-ce un homme ou une femme ?~ ~ ~– Je ne sais trop.
252  III,      83|         prières.~ ~ ~ ~Mais la jeune femme le regardait de travers,
253  III,      83|              répondit la fière jeune femme.~ ~ ~ ~Balsamo attacha sur
254  III,      83|              main froide de la jeune femme.~ ~ ~– Encore une fois,
255  III,      83|              même main vers la jeune femme, et d’un ton impératif,
256  III,      83|           voilà que le souffle d’une femme l’écrase en le caressant.
257  III,      83|           chambre, laissant la jeune femme toujours endormie.~ ~ ~ ~
258  III,      83|              demanda-t-il.~ ~ ~– Une femme et un homme.~ ~ ~– Sont-ils
259  III,      83|     connais-tu ?~ ~ ~– Non.~ ~ ~– La femme est-elle jeune ?~ ~ ~– Jeune
260  III,      84|              madame de Grammont, une femme de tête, ait compromis toute
261  III,      85|                      Un homme et une femme.~ ~ ~– Lisez dans ma pensée
262  III,      85|      Richelieu.~ ~ ~– Et celui de la femme ?~ ~ ~– Madame la comtesse
263  III,      86|             moins respectable que la femme d’un charbonnier, avait
264  III,      87|          saluer entre la reine et la femme de cour ordinaire, il subjugua
265  III,      87|        double appât auquel une jolie femme, et surtout une femme de
266  III,      87|          jolie femme, et surtout une femme de cour, ne résiste presque
267  III,      87|            faveur de cette charmante femme qu’on regarde ici comme
268  III,      87|             savoir, j’aimerais cette femme par-dessus tout… mais…~ ~ ~ ~
269  III,      87|                la belle affaire… une femme accomplie.~ ~ ~ ~Et Richelieu
270  III,      88|             gens sans cervelle… Oh ! femme que vous êtes ! Avant de
271  III,      88|             cajolant, dit la folâtre femme, qui tout doucement poussait
272  III,      88|                  Vous n’êtes pas une femme, dit-il, vous êtes…~ ~ ~–
273  III,      91|             se retourner. Elle était femme.~ ~ ~ ~Gilbert se contenta
274  III,      91|             sa mante aux mains d’une femme de chambre, alla prendre
275  III,      92|          Andrée appeler à l’aide une femme de chambre de madame de
276  III,      92|             montait en carrosse, une femme de chambre de la dauphine
277  III,      92|        mettant dans la main de cette femme une bourse lourde, et qui,
278  III,      92|           endormit Lorenza. La jeune femme le reçut donc avec un tendre
279  III,      92|          deux beaux bras de la jeune femme avaient jetée à son cou :~ ~ ~–
280  III,      92|             Balsamo, ajouta la jeune femme, et cependant…~ ~ ~– Et
281  III,      92|        malgré le sommeil de la jeune femme, une pudibonde rougeur s’
282  III,      92|             dit-elle.~ ~ ~– Et cette femme, cette princesse, cette
283  III,      92|             qu’elle est ?…~ ~– Cette femme, cette princesse, cette
284  III,      92|          marchant, réveilla la jeune femme.~ ~ ~ ~Le prélat, tout ému
285  III,      92|           oracle ayant dit que cette femme n’aimait pas son mari.~ ~ ~–
286  III,      93|               Eh ! monsieur, je suis femme et j’en vaux une autre.~ ~ ~–
287  III,      93|             à la Pompadour, fille et femme de traitant, puis de la
288  III,      93|              bien beau rôle pour une femme d’esprit qui voudrait régner
289  III,      93|            est prise.~ ~ ~– Pour une femme, continua le maréchal, qui
290  III,      93|        calcul et les vues ; pour une femme qui pousserait si haut sa
291  III,      93|        rentrée seule chez elle, sans femme, sans chasseur, avec un
292  III,      93|           cher, il faut au moins une femme de chambre à ta fille.~ ~ ~ ~
293  III,      93|            vous presse d’envoyer une femme de chambre à votre fille,
294  III,      93|        attaches à ce qu’elle ait une femme de chambre auprès d’elle,
295  III,      93|              elle, et à ce que cette femme de chambre s’appelle Nicole.~ ~ ~–
296  III,      94|            réputation de la nouvelle femme de chambre était faite le
297  III,      95|             de vous laisser ici sans femme de chambre, il lui a conté
298  III,      95|              petite villageoise pour femme de chambre, que je ne l’
299  III,      95|                    Comme vous voyez, femme de chambre de mademoiselle.~ ~ ~–
300  III,      99|              aperçut une coiffure de femme qui descendait de cette
301  III,      99|       marchepied, trahit une vieille femme. Un visage ridé, tanné sous
302  III,      99|             de lui prouver que cette femme était non seulement vieille,
303  III,      99|             la plaideuse, car quelle femme à voiture fût venue en cette
304  III,      99|              Il faudrait ne pas être femme.~ ~ ~– Cette guenon croit
305  III,      99|           croit donc qu’elle est une femme ? murmura le vainqueur de
306  III,      99|              n’outrage pas ainsi une femme de qualité.~ ~ ~– Madame,
307  III,     101|                Madame du Barry était femme et nullement politique.
308  III,     102|             que lui prodiguait cette femme.~ ~ ~– Le bonheur se compose
309  III,     102|            les plus friands pour une femme que la torture par la jalousie,
310  III,     105|            le chiffon de laine d’une femme de ménage, qui s’escrimait
311  III,     105|              une aide active à cette femme et rafraîchissait dans un
312  III,     105|              et j’aide à cette bonne femme. Je choisis l’ouvrage, par
313  III,     105|            cadavres étendus, l’un de femme l’autre d’homme.~ ~ ~ ~La
314  III,     105|              autre d’homme.~ ~ ~ ~La femme était morte jeune. L’homme
315  III,     105|             Balsamo rêveur, et cette femme était bien belle.~ ~ ~–
316  III,     105|        soulevant la tête de la jeune femme et en la laissant retomber
317  III,     105|        enveloppa la tête de la jeune femme dans son mouchoir de poche,
318  III,     105|        sarrasin de miel ;~ ~ ~ ~À ma femme, à mon vieux père,~ ~À mes
319  III,     106|              pauvre Havard, il a une femme et des enfants !~ ~ ~ ~Et
320  III,     106|       remplirent de larmes.~ ~ ~– Sa femme doit-elle donc être veuve,
321  III,     106|           foi sublime.~ ~ ~– Non, sa femme et ses enfants ont tant
322  III,     106|            conséquent, de nourrir sa femme et ses enfants.~ ~ ~– Oh !
323  III,     106|         enverrait de quoi nourrir sa femme et ses enfants.~ ~ ~– Eh
324  III,     106|            quand vous enlevâtes à la femme morte cette tête que vous
325  III,     106|    timidement à la porte. C’était la femme de ménage de Marat qui était
326  III,     107|           dame Grivette.~ ~ ~ ~Cette femme, que nous n’avons pas pris
327  III,     107|           pas besoin d’elles ; cette femme s’avance maintenant dans
328  III,     107|              Marat eût été une belle femme, si, depuis l’âge de quinze
329  III,     107|         profession.~ ~ ~ ~Dans cette femme, l’esprit, supérieur au
330  III,     107|              regarda longtemps cette femme, ou plutôt cette nature
331  III,     107|    doucereuse, d’une voix de vieille femme, car les femmes condamnées
332  III,     107|        Monsieur, je suis une honnête femme !~ ~ ~– Une honnête femme
333  III,     107|            femme !~ ~ ~– Une honnête femme que je livrerai au commissaire
334  III,     107|   commissaire de police, une honnête femme comme moi ?~ ~ ~– Une honnête
335  III,     107|              moi ?~ ~ ~– Une honnête femme, une honnête femme !…~ ~–
336  III,     107|           honnête femme, une honnête femme !…~ ~– Oui, et sur laquelle
337  III,     107|             fille de cuisine chez sa femme.~ ~ ~ ~Or, Marat, ayant
338  III,     107|              Il en résulta que cette femme nerveuse et hystérique s’
339  III,     107|             il fit un pas vers cette femme, debout et menaçante au
340  III,     107|             que vous apportait cette femme et qu’elle a laissé échapper
341  III,     107|         lettre toute fermée de cette femme.~ ~ ~– Lisez-la pour M.
342  III,     107|              volonté, la malheureuse femme commença, comme une folle,
343  III,     107|            Puis, se tournant vers la femme en lui jetant à la face
344  III,     107|        continuant de s’adresser à la femme toute tremblante et tout
345  III,     107|         mensonges qui est dans cette femme.~ ~ ~ ~Et il partit sur
346  III,     107|             moindres gestes de cette femme qu’il croyait folle.~ ~ ~ ~
347  III,     108|      remercier une jeune et adorable femme qui veut bien faire des
348  III,     109|                  Rousseau regarda sa femme avec un œil irrité.~ ~ ~–
349  III,     109|                  Thérèse n’était pas femme à se laisser battre ainsi.~ ~ ~–
350  III,     109|          rend au maître ? Eh ! bonne femme, qui jugez tout à tort et
351  III,     110|             disant qu’il saluait une femme et non une princesse.~ ~ ~ ~
352  III,     110|       tendrement le bras de la jeune femme.~ ~ ~ ~La jeune femme, avec
353  III,     110|          jeune femme.~ ~ ~ ~La jeune femme, avec ses dentelles frissonnantes,
354  III,     110|             fuir une aussi charmante femme, dit le comte d’Artois.~ ~ ~ ~
355  III,     111|           compliment, car elle était femme, elle se pencha vers le
356  III,     111|       Richelieu, plus méchant qu’une femme, savoura sa vengeance. Il
357  III,     112|            roi fait un présent à une femme, et qu’il charge M. de Richelieu
358  III,     113|                    Eh bien, c’est la femme qui fait son calcul.~ ~ ~ ~
359  III,     115|       impossible de voir pleurer une femme, dit Gilbert d’un ton qui
360  III,     115|            par hasard, je serais une femme pour M. Gilbert ? répliqua
361  III,     115|             n’irrite pas une honnête femme en lui témoignant de la
362  III,     115|            près, tu n’es plus qu’une femme, et je suis un homme… Oh !
363  III,     116|        sujette respectueuse ni d’une femme reconnaissante de paraître
364  III,     117|          précédait celle de la jeune femme, et, se tournant les bras
365  III,     117|             temps, répondit la jeune femme.~ ~ ~ ~Balsamo, enchanté
366  III,     117|             trouverai-je en vous une femme dévouée et soumise, une
367  III,     117|              Lorenza.~ ~ ~ ~La jeune femme se tut.~ ~ ~– M’aimerez-vous
368  III,     117|           êtes libre.~ ~ ~ ~La jeune femme tressaillit, comme si un
369  III,     117|         indiqua tout ce que la jeune femme comprimait d’impatience
370  III,     117|             Dites, répondit la jeune femme avec un sourire amer. Voyons
371  III,     117|             accorder.~ ~ ~ ~La jeune femme fit un geste d’impatience
372  III,     117|        là-haut une folle, une pauvre femme malade et condamnée à mourir ;
373  III,     117|               vous lui direz à cette femme : « Veillez, la folle est
374  III,     117|         suite, Balsamo, dit la jeune femme avec une expression caressante
375  III,     117|              Acharat.~ ~ ~ ~La jeune femme frissonna.~ ~ ~– Parlez,
376  III,     117|              entre ses bras la jeune femme, qui, à ces derniers mots,
377  III,     117|            la vie ! s’écria la jeune femme, qui s’enivrait graduellement
378  III,     117|         toute sanglante sur la jeune femme et d’une voix irrésistible :~ ~ ~–
379  III,     118|             câline qu’y eût mise une femme de trente ans.~ ~ ~– Si,
380  III,     119|            exempt et mademoiselle la femme de chambre ont quelque chose
381  III,     120|          plus pour lui, mais pour sa femme et ses enfants destinés
382  III,     120|               Gilbert vit donc cette femme blanche et solennelle s’
383  III,     120|         dit-elle, j’ai déjà vu cette femme ; elle fuyait vers Paris.~ ~ ~–
384  III,     120|      barreaux. Descends, ah ! pauvre femme !~ ~ ~– Quoi ?~ ~ ~– Oh !
385  III,     120|           lui pardonner, à la pauvre femme ; elle était bien malheureuse.~ ~ ~–
386  III,     122|            peut-être. Oh ! misérable femme ! oh ! tous les supplices
387  III,     122|           rue Saint-Claude, la jeune femme avait gagné le boulevard,
388  III,     122|           habillait plutôt comme une femme d’Orient que comme une Européenne,
389  III,     122|           crut voir dans Lorenza une femme déguisée, soit pour quelque
390  III,     122|             à réfléchir.~ ~ ~ ~Cette femme, jeune et belle, qui sous
391  III,     123|            suisse, qui, voyant cette femme si belle, si étrange, si
392  III,     123|            dans les paroles de cette femme, comme son œil ferme et
393  III,     123|      attendît.~ ~ ~ ~Alors, la jeune femme se renferma dans un sombre
394  III,     123|          milieu du cabinet, la jeune femme s’arrêta. Ce costume, cette
395  III,     123|               Monsieur, dit la jeune femme, je viens me mettre sous
396  III,     123|           qualité. De nos jours, une femme se trouve assez noble du
397  III,     123|             de police ; vous êtes sa femme.~ ~ ~– Il le dit, du moins.~ ~ ~–
398  III,     123|            Sartine tendit à la jeune femme un trousseau de petites
399  III,     123|             releva lui-même la jeune femme qui, les yeux étonnés, les
400   IV,     125|               derrière le valet, une femme qui ne croyait pas avoir
401   IV,     125|               mais, moi, je tiens la femme !~ ~ ~ ~Et, pour se dédommager,
402   IV,     126|          demanda le magistrat, cette femme ?~ ~ ~– Quelle femme, monseigneur ?~ ~ ~–
403   IV,     126|           cette femme ?~ ~ ~– Quelle femme, monseigneur ?~ ~ ~– Cette
404   IV,     126|            monseigneur ?~ ~ ~– Cette femme qui s’est évanouie ici,
405   IV,     126|             avait ordonné à la jeune femme de se lever, de sortir,
406   IV,     126|         établi entre lui et la jeune femme, laquelle, obéissant à l’
407   IV,     126|                mais elle n’était pas femme à le quitter ainsi sans
408   IV,     126|               est-ce un homme ou une femme ?~ ~ ~– C’est une femme.~ ~ ~–
409   IV,     126|              femme ?~ ~ ~– C’est une femme.~ ~ ~– Ah ! ah ! comte :
410   IV,     126|            vous avez vus ; voilà une femme qui, n’osant me donner un
411   IV,     127|              sous la main : homme ou femme, peu importe ; cependant
412   IV,     127|              importe ; cependant une femme vaudrait mieux. J’ai découvert
413   IV,     128|            laissé aux mains de cette femme, qui le jette au vent ;
414   IV,     128|      rapprocha lentement de la jeune femme, dont les yeux, chargés
415   IV,     128|            Oui, la destinée de cette femme est écrite, il me semble
416   IV,     128|            de mon cœur. J’aime cette femme, je l’aime, et cet amour
417   IV,     128|        remonter aux cieux dès que la femme descendra dans mes bras.~ ~ ~«
418   IV,     128|              te suffira, une fois ma femme ? car je t’aime ardemment,
419   IV,     128|            avais en toi à la fois la femme aimée et le génie auxiliaire ;
420   IV,     129|         dehors de lui et de la jeune femme, de l’autre côté du cercle
421   IV,     129|       Acharat, tu penses à une autre femme que moi, à une femme du
422   IV,     129|           autre femme que moi, à une femme du Nord, aux cheveux blonds,
423   IV,     129|         Acharat, ah ! Acharat, cette femme marche toujours à côté de
424   IV,     129|           amour que je pense à cette femme, lui répondait Balsamo ;
425   IV,     129|           bras la taille de la jeune femme, la conduisit dans son laboratoire.~ ~ ~ ~
426   IV,     129|              Ainsi, demanda la jeune femme, tu es content de ta Lorenza,
427   IV,     129|         savais rien !~ ~ ~ ~La jeune femme souriait divinement.~ ~ ~–
428   IV,     129|         Créateur, qui fait naître la femme de la chair de l’homme,
429   IV,     129|                 Qui, elle ?~ ~ ~– La femme blonde : veux-tu que je
430   IV,     129|              Lorenza.~ ~ ~ ~La jeune femme saisit passionnément la
431   IV,     129|          montagne, répondit la jeune femme.~ ~ ~– Oui, c’est cela,
432   IV,     129|          vide aussi ?~ ~ ~– Non, une femme est couchée sur un sofa.~ ~ ~–
433   IV,     129|                     Quelle est cette femme ?~ ~ ~– Attends.~ ~ ~– Ne
434   IV,     129|          rendras fou. Que fait cette femme ?~ ~ ~– Elle pense à toi,
435   IV,     129|              sonne ; une autre jeune femme entre.~ ~ ~– Brune ? blonde ?~ ~ ~–
436   IV,     129|           sur les genoux de la jeune femme.~ ~ ~ ~Balsamo attendait
437   IV,     129|                 Tout à coup la jeune femme tressaillit ; elle tenait
438   IV,     129|             loin de ressembler à une femme, que Balsamo revint près
439   IV,     130|              de serrer la main de la femme qu’il aime, l’attirant au
440   IV,     130|             qui représente une belle femme se fardant et se mirant,
441   IV,     130|            sans la coquetterie d’une femme. Le petit pied de cette
442   IV,     131|              la crainte que la jeune femme ne fût fatiguée ; car, dans
443   IV,     131|             tapisserie d’orient, une femme pouvait facilement se cacher.~ ~ ~ ~
444   IV,     131|       Restait la chambre de la jeune femme, où sans doute elle était
445   IV,     131|             alors que la folle jeune femme, si différente dans le sommeil
446   IV,     131|        prévoyant en plaçant là cette femme sous mon plancher, presque
447   IV,     131|             maîtresse, mon amour, ma femme ! Tu l’as assassinée pour
448   IV,     132|             aussi vulgaire que cette femme morte ? N’est-ce pas un
449   IV,     132|             sa Lorenza ! Lorenza, sa femme, son idole, cette créature
450   IV,     133|            vrai ?~ ~ ~« Un jour, une femme est sortie de chez toi portant
451   IV,     133|           coffret, en arrêtant cette femme, tout devenait pour nous
452   IV,     133|              insensible.~ ~ ~– Cette femme parvint jusqu’au lieutenant
453   IV,     133|             dit le président ; cette femme donna le coffret, et tout
454   IV,     133|           leva.~ ~ ~– Qu’était cette femme ? s’écria-t-il. Belle, passionnée,
455   IV,     133|             Lorenza Feliciani est ta femme, Balsamo !~ ~ ~ ~Balsamo
456   IV,     133|             signalés à l’ordre : une femme, ta complice, qui, peut-être
457   IV,     133|             t’abriter derrière cette femme pour que l’on vît moins
458   IV,     133|          Pourquoi accusez-vous cette femme ? dit-il.~ ~ ~– Ah ! nous
459   IV,     133|           vers la terre.~ ~ ~– Cette femme que j’adorais, cette femme
460   IV,     133|           femme que j’adorais, cette femme qui était mon trésor, mon
461   IV,     133|           bien unique, ma vie, cette femme qui a trahi, comme vous
462   IV,     134|              objet qu’on appelle une femme à la perfection de l’humanité
463   IV,     137|            cela vous fait tort ; une femme ainsi mise n’a aucun succès
464   IV,     137|            épaules ; il n’y a qu’une femme comme celle-là au monde,
465   IV,     137|            cette indisposition d’une femme, il s’esquiva sur la pointe
466   IV,     137|                répéta Louis XV ; une femme ? Que lui arrive-t-il, à
467   IV,     137|             lui arrive-t-il, à cette femme ?~ ~ ~– Sire, un évanouissement.~ ~ ~–
468   IV,     138|            tour, regarda son père en femme qui demande une explication.~ ~ ~–
469   IV,     139|       spirituelle, la plus charmante femme de l’Europe ; on dit que,
470   IV,     144|            Andrée, des menaces à une femme !~ ~ ~ ~Et elle se leva
471   IV,     144|           des menaces, non pas à une femme, mais à une créature sans
472   IV,     145|            orgueil de plaindre cette femme si fière, si dédaigneuse
473   IV,     146|            monta chez la dame, et la femme de chambre lui donna aussitôt,
474   IV,     149|            coquetterie échappé à une femme, peuvent jeter le désir
475   IV,     150|             combattre et vaincre, la femme aussi doit attendre de pied
476   IV,     151|        faut-il que je crie, comme la femme de l’Écriture, en disant : «
477   IV,     153|             étonnement, et comme une femme qui ne comprenait rien à
478   IV,     153|           pitiéconsentez à être ma femme.~ ~ ~– Votre femme ? exclama
479   IV,     153|           être ma femme.~ ~ ~– Votre femme ? exclama Andrée croyant
480   IV,     153|         assassin ! vociféra la jeune femme.~ ~ ~– Mais vous ne voulez
481   IV,     153|             froid et incisif, qu’une femme, lorsqu’elle est devenue
482   IV,     154|            ne m’attache plus à cette femme ; elle-même a pris soin
483   IV,     154|        apitoyer sur le sort de cette femme, et d’affaiblir les ressorts
484   IV,     154|             exercerais-je ?… Tuer la femme ? Oh ! non, elle tomberait
485   IV,     154|           passer à deux pas de cette femme, alors que, souriant avec
486   IV,     155|          toucheras pas à cette jeune femme ? dit Balsamo croyant arrêter
487   IV,     155|           tout un, de poignarder une femme avec le fer, ou de la tuer
488   IV,     155|            bien et de mal, comme une femme ; tu es stoïque et probe
489   IV,     157|            se passer du médecin à la femme, de Dieu à tous les deux.~ ~ ~ ~
490   IV,     157|      Point-du-Jour, où demeure cette femme, prévenu pour qu’elle se
491   IV,     159|        accepter, chérir même, par la femme de Rousseau. Le moyen était
492   IV,     159|              mère.~ ~ ~ ~Cette brave femme s’appelait Madeleine Pitou,
493   IV,     160|         dit-il ; vous êtes une brave femme. Je vous confie donc cet
494   IV,     161|             ai volé l’enfant à cette femme, comme je lui ai volé son
495   IV,     162|         mettrai en nourrice chez une femme que vous me recommanderez…
496   IV,     162|             est pas là un caprice de femme faible et vaine ; je ne
497   IV,     164|              avérés. Tu as avili une femme par la honte et tu l’as
498  Bib         |             vol. in-8.~ ~ ~ ~102. La Femme au collier de velours.~ ~
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