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Tome, Chap.
1 I, 2| vous demandiez son nom à Lorenza pendant une de ses extases, 2 I, 3| Chapitre III~ Lorenza Feliciani~ ~Voici ce qui 3 I, 22| Chon.~ ~ ~– Elle s’appelle Lorenza.~ ~ ~– Et qu’est-elle ?~ ~ ~– 4 II, 50| demanda la princesse.~ ~ ~– Lorenza Feliciani.~ ~ ~– Je ne connais 5 II, 50| famille ; cet œil fut fixé sur Lorenza Feliciani du moment où elle 6 II, 50| dit-elle, qu’on appelle Lorenza Feliciani ?~ ~ ~– Oui, Madame.~ ~ ~– 7 II, 50| consolation, Madame, répondit Lorenza, et d’ailleurs c’est à une 8 II, 50| je cherche justement, dit Lorenza. Oui, c’est la maison de 9 II, 50| involontaire effroi.~ ~ ~ ~Lorenza se rapprocha de la princesse 10 II, 50| malheureuse que je suis ! s’écria Lorenza en tordant ses beaux bras, 11 II, 50| suis…~ ~ ~– Achevez.~ ~ ~ ~Lorenza se rapprocha encore de la 12 II, 50| bois jusqu’au dernier.~ ~ – Lorenza Feliciani, dit alors l’étranger 13 II, 50| encore m’écouter, Madame, dit Lorenza. Hélas ! tout n’est pas 14 II, 50| moment, Madame, s’écria Lorenza avec désespoir, depuis ce 15 II, 50| et plus qu’à lui. »~ ~ ~Lorenza, effrayée elle-même de ce 16 II, 50| regrets, Madame ? s’écria Lorenza. Quoi ! vous me voyez en 17 II, 50| attendez jusqu’au bout, fit Lorenza, et alors ne me jugez pas 18 II, 50| N’est-ce pas, dit Lorenza, que c’est là un terrible 19 II, 50| dites pas cela, s’écria Lorenza, ou, du moins, attendez, 20 II, 50| arrivée ?~ ~ ~– Madame, dit Lorenza d’une voix sourde et accélérée, 21 II, 50| princesse poussa un cri ; Lorenza laissa tomber sa tête dans 22 II, 50| continua en sanglotant Lorenza, le lendemain je vérifiai 23 II, 51| c’est possible.~ ~ ~ ~Et Lorenza déposa sur une table de 24 II, 51| veillera sur vous.~ ~ ~ ~Lorenza se précipita aux pieds de 25 II, 51| approche, vous dis-je ! s’écria Lorenza, terrifiée, anéantie, les 26 II, 51| comment il est entré, s’écria Lorenza en se renversant en arrière ; 27 II, 51| demanda la princesse à Lorenza, et connaissez-vous ce nom ?~ ~ ~– 28 II, 51| puis, se retournant vers Lorenza :~ ~ ~– Entrez dans ce cabinet, 29 II, 51| cabinet, dit-elle.~ ~ ~ ~Lorenza obéit.~ ~ ~– Et vous, ma 30 II, 51| personne, monsieur ?~ ~ ~– Lorenza Feliciani.~ ~ ~– Et que 31 II, 51| être entendue du cabinet ; Lorenza Feliciani est la comtesse 32 II, 51| comtesse de Fœnix ?~ ~ ~– Lorenza Feliciani est la comtesse 33 II, 51| bien persuadée encore que Lorenza Feliciani et la comtesse 34 II, 51| veut-elle donner l’ordre que Lorenza Feliciani soit amenée devant 35 II, 51| Oh ! pensa la princesse, Lorenza avait dit vrai, et cet homme 36 II, 51| était sur cette table que Lorenza avait placé ses bijoux, 37 II, 51| elle se rappellerait que Lorenza Feliciani était tout à l’ 38 II, 51| princesse se rappela que Lorenza s’était enfermée en dedans, 39 II, 51| rappelait les protestations de Lorenza.~ ~ ~– Votre femme ! dit-elle, 40 II, 51| comte de Fœnix ait épousé Lorenza Feliciani, et que, l’ayant 41 II, 51| impatience ; vous osez dire que Lorenza Feliciani est votre femme ?~ ~ ~– 42 II, 51| Je suis marié.~ ~ ~– Avec Lorenza ?~ ~ ~– Avec Lorenza.~ ~ ~– 43 II, 51| Avec Lorenza ?~ ~ ~– Avec Lorenza.~ ~ ~– Légitimement ?~ ~ ~– 44 II, 51| dit le comte, j’adjure Lorenza Feliciani de venir ici en 45 II, 51| Monsieur !~ ~ ~– Lorenza Feliciani, cria le comte 46 II, 51| volonté de la princesse ; Lorenza Feliciani, sortez de ce 47 II, 51| femme :~ ~ ~– N’est-ce pas, Lorenza, dit-il, que vous êtes en 48 II, 51| fauteuil.~ ~ ~– Maintenant, Lorenza, dit le comte d’une voix 49 II, 51| vous m’avez faite ?~ ~ ~ ~Lorenza demeura muette ; elle regardait 50 II, 51| êtes sortie du couvent, Lorenza. Racontez tout ce qui s’ 51 II, 51| la chaise de poste.~ ~ ~ ~Lorenza demeura silencieuse.~ ~ ~– 52 II, 51| omettre. Je le veux.~ ~ ~ ~Lorenza ne put comprimer un frémissement.~ ~ ~– 53 II, 51| oui, oui, en effet, dit Lorenza avec le même accent monotone, 54 II, 51| Chose étrange ! dit Lorenza, je voyais et j’entendais ; 55 II, 51| vivantes.~ ~ ~– Continuez, Lorenza.~ ~ ~– Ma mère se désespérait 56 II, 51| homme volontairement ?~ ~ ~ ~Lorenza resta muette.~ ~ ~– Son 57 II, 51| Altesse royale vous demande, Lorenza, si par quelque menace ou 58 II, 51| que je vous aimais, dit Lorenza.~ ~ ~ ~Le comte de Fœnix 59 II, 52| entendu de la bouche même de Lorenza qu’une partie de notre histoire ; 60 II, 52| Vous souvient-il, chère Lorenza, dit-il, de la suite de 61 II, 52| même accent monotone, oui, Lorenza a vu tout cela.~ ~ ~– Entraînée 62 II, 52| matériel, voici une lettre de Lorenza elle-même. J’avais été obligé 63 II, 52| pour l’éternité ?~ ~ ~« Lorenza »~ ~ ~ ~La princesse se 64 II, 52| front, et s’approcha de Lorenza le billet à la main.~ ~ ~ ~ 65 II, 52| éclaircie par elle même. Lorenza, répondez : qui a écrit 66 II, 52| sur son cœur.~ ~ ~– C’est Lorenza, dit-elle.~ ~ ~– Et Lorenza 67 II, 52| Lorenza, dit-elle.~ ~ ~– Et Lorenza sait-elle ce qu’il y a dans 68 II, 52| Dites-lui. Je le veux.~ ~ ~ ~Lorenza parut faire un effort ; 69 II, 52| pour l’éternité ?~ ~ ~« Lorenza »~ ~ ~– C’est à ne pas croire, 70 II, 52| presser notre union. J’aimais Lorenza autant qu’elle m’aimait. 71 II, 52| mes biens appartinssent à Lorenza : aussi, en arrivant à Strasbourg, 72 II, 52| le comte de Fœnix épousât Lorenza Feliciani ?~ ~ ~– Mais elle 73 II, 52| princesse, se retourna vers Lorenza :~ ~ ~– Vous rappelez-vous 74 II, 52| C’est que, vois-tu, Lorenza, continua le comte, la princesse 75 II, 52| le comte prit la main de Lorenza.~ ~ ~ ~Le corps de la jeune 76 II, 52| que tu es ma femme, dis, Lorenza, ai-je jamais abusé de mes 77 II, 52| laissant retomber la main de Lorenza.~ ~ ~– Monsieur, monsieur, 78 II, 52| inclina, dit quelques mots à Lorenza et attendit avec le calme 79 II, 52| Et le consentement de Lorenza aussi, n’est-ce pas ? dit 80 II, 52| crucifix, priait avec ferveur ; Lorenza, immobile, muette, les yeux 81 II, 52| demander un asile ? Répondez, Lorenza.~ ~ ~– Oui, dit la jeune 82 II, 52| comte de Fœnix ; allez, Lorenza Feliciani, je ne vous retiens 83 II, 52| princesse et présenta son bras à Lorenza, qui vint s’y appuyer et 84 II, 55| rideaux fermés reposait Lorenza, endormie sur des coussins.~ ~ ~ ~ 85 II, 55| chevaux, il tira du carrosse Lorenza endormie et la porta entre 86 II, 55| si court qu’il eût été, Lorenza avait disparu.~ ~ ~ ~En 87 II, 55| était entré ; il avait pris Lorenza entre ses bras à son tour ; 88 II, 55| lorsque, après avoir déposé Lorenza sur un sofa, le comte, mal 89 II, 55| Alors il revint vers Lorenza, et, mettant sur une pile 90 II, 55| terre devant elle :~ ~ ~– Lorenza ! dit-il.~ ~ ~ ~La jeune 91 II, 55| ne répondit point.~ ~ ~– Lorenza, répéta-t-il, dormez-vous 92 II, 55| sommeil magnétique, répondit Lorenza.~ ~ ~– Alors, si je vous 93 II, 55| J’y regarde, répondit Lorenza.~ ~ ~– Et y voyez-vous ?~ ~ ~– 94 II, 55| lui parler.~ ~ ~– Écoutez, Lorenza. Il est important que je 95 II, 55| le boulevard.~ ~ ~– Bien, Lorenza, merci.~ ~ ~ ~Le comte écrivit 96 II, 55| Puis, revenant à Lorenza :~ ~ ~– Merci, répéta-t-il.~ ~ ~– 97 II, 55| femme.~ ~ ~– Oui, chère Lorenza !~ ~ ~– Eh bien, ma récompense 98 II, 55| ses lèvres de celles de Lorenza, dont tout le corps frissonna 99 II, 56| vivement, les deux bras de Lorenza ne saisirent que l’air et 100 II, 56| croix sur sa poitrine.~ ~ ~– Lorenza, dit Balsamo, veux-tu causer 101 II, 56| aime tant ta voix !~ ~ ~– Lorenza, tu m’as dit souvent que 102 II, 56| bien, j’ai réalisé ton vœu, Lorenza. Dans cette chambre, nul 103 II, 56| je peux pour te plaire, Lorenza.~ ~ ~– Oh ! tu fais cent 104 II, 56| est qu’il y a en moi deux Lorenza bien distinctes : une qui 105 II, 56| Parle.~ ~ ~– Quand Lorenza veille, c’est la Romaine, 106 II, 56| du monde.~ ~ ~– Et quand Lorenza dort ?~ ~ ~– Oh ! c’est 107 II, 56| prononçât tout bas le nom de Lorenza, en même temps qu’il prononcera 108 II, 56| sous ce nom.~ ~ ~– Chère Lorenza ! tu aimeras donc ce nouveau 109 II, 56| chose que tu aimes plus que Lorenza.~ ~ ~– Et quoi donc ? demanda 110 II, 56| frissonna.~ ~ ~– Toi morte, ma Lorenza ? s’écria-t-il. Non, non, 111 II, 56| dans les délices.~ ~ ~– Lorenza ! Lorenza !~ ~ ~– Oh ! ne 112 II, 56| délices.~ ~ ~– Lorenza ! Lorenza !~ ~ ~– Oh ! ne me fuis 113 II, 56| enfin !~ ~ ~– Oui, oui, ma Lorenza chérie, oui, tu es ma femme 114 II, 56| es tout, au contraire, ma Lorenza, puisque c’est toi qui fais 115 II, 56| heureux.~ ~ ~– Heureux ! dit Lorenza d’un air de mépris ; tu 116 II, 56| c’est être grand.~ ~ ~ ~Lorenza poussa un long soupir.~ ~ ~– 117 II, 56| savais ce que c’est, ma douce Lorenza, que de lire à découvert 118 II, 56| fais malheureuse ! s’écria Lorenza tout éperdue d’amour.~ ~ ~ ~ 119 II, 56| qui l’enveloppait.~ ~ ~– Lorenza ! Lorenza ! dit-il, par 120 II, 56| enveloppait.~ ~ ~– Lorenza ! Lorenza ! dit-il, par pitié !…~ ~– 121 II, 56| mon père m’aimait.~ ~ ~– Lorenza, dit Balsamo tout frémissant 122 II, 56| pour m’appeler la vierge Lorenza ?~ ~ ~ ~Balsamo soupira 123 II, 56| tu es l’ange de pureté, Lorenza ! c’est parce que tu es 124 II, 56| Vierge, tu es voyante, ma Lorenza ; femme, tu ne serais plus 125 II, 56| mieux mon amour, s’écria Lorenza en frappant avec rage dans 126 II, 56| Ne blasphème pas, ma Lorenza, s’écria Balsamo ; car, 127 II, 56| tête sur la poitrine de Lorenza.~ ~ ~– Oh ! oui, oui, s’ 128 II, 56| dit-il, épargne-moi.~ ~ ~ ~Lorenza n’écoutait plus ; elle venait 129 II, 56| renversée, il s’approchait de Lorenza, aussi invinciblement attiré 130 II, 56| enivrantes vapeurs.~ ~ ~– Lorenza ! s’écria-t-il, réveillez-vous, 131 II, 56| les lèvres desséchées de Lorenza s’effaça languissant comme 132 II, 57| Aussitôt que le regard de Lorenza eut recouvré sa puissance, 133 II, 57| violence magique ! s’écria Lorenza en joignant les mains. Oh ! 134 II, 57| rendra mon couvent ? s’écria Lorenza en fondant en larmes.~ ~ ~– 135 II, 57| regrettable qu’un couvent !~ ~ ~ ~Lorenza s’élança vers une des fenêtres, 136 II, 57| étiez plus raisonnable, Lorenza, vous ne trouveriez à votre 137 II, 57| Son œuvre ! murmura Lorenza ; et quelle est son œuvre ? 138 II, 57| démons ! les démons ! dit Lorenza en levant les mains au ciel.~ ~ ~– 139 II, 57| chose que vous ignorez, Lorenza : c’est que votre vie est 140 II, 57| votre vie, entendez-vous, Lorenza ?~ ~ ~– Oh ! s’écria-t-elle, 141 II, 57| Vous me haïssez donc, Lorenza ?~ ~ ~– Demandez au patient 142 II, 57| hait son bourreau.~ ~ ~– Lorenza, Lorenza, c’est parce que 143 II, 57| bourreau.~ ~ ~– Lorenza, Lorenza, c’est parce que je ne veux 144 II, 57| et vous verrez !~ ~ ~– Lorenza, vous traitez mal l’époux 145 II, 57| je suis romaine, murmura Lorenza, et un jour, un jour je 146 II, 57| dites cela pour m’effrayer, Lorenza ? demanda-t-il en souriant.~ ~ ~– 147 II, 57| mal pour le bien ?~ ~ ~ ~Lorenza parut un instant frappée 148 II, 57| que répondre à celle de Lorenza.~ ~ ~– Terminons, dit Lorenza ; 149 II, 57| Lorenza.~ ~ ~– Terminons, dit Lorenza ; pourquoi me prenez-vous 150 II, 57| portée ?~ ~ ~– Oh ! dit Lorenza sans répondre à l’interrogation, 151 II, 57| heureusement pour vous, Lorenza ! dit Balsamo avec une menaçante 152 II, 57| exaltations romanesques, Lorenza ; je vous parle en ami, 153 II, 57| presque solennellement, que Lorenza, étourdie au plus fort de 154 II, 57| Non, non, s’écria Lorenza, qui ne pouvait comprendre 155 II, 57| pâlissant.~ ~ ~– Oui, oui, dit Lorenza, je les ai surpris, je les 156 II, 57| tout au contraire ! s’écria Lorenza, heureuse comme on l’est 157 II, 57| princesse.~ ~ ~– Eh bien ! Lorenza, écoutez bien ceci, dit 158 II, 57| ai dit, Balsamo, s’écria Lorenza, on sort de toute prison, 159 II, 57| merveille, sortez-en donc, Lorenza ; mais écoutez ceci : vous 160 II, 57| la colère.~ ~ ~– Voyons, Lorenza, dit-il, revenez à vous, 161 II, 57| Enfermée ! enfermée ! criait Lorenza sans écouter Balsamo.~ ~ ~– 162 II, 57| moi.~ ~ ~– Eh bien ! hurla Lorenza, la mort alors ! la mort 163 II, 57| pour l’arrêter en route : Lorenza, lancée, s’arrêta tout à 164 II, 57| contre le côté moral, souleva Lorenza entre ses bras et la porta 165 II, 57| et sortit.~ ~ ~ ~Quant à Lorenza, un sommeil doux et bienfaisant 166 II, 58| Chapitre LVIII~ La visite~ ~Lorenza ne s’était pas trompée : 167 II, 60| vint écouter à la porte de Lorenza.~ ~ ~ ~Elle dormait d’un 168 II, 60| séparait l’appartement de Lorenza du cabinet de physique, 169 III, 83| Balsamo était assis près de Lorenza éveillée, et essayait par 170 III, 83| sinon dans sa vie.~ ~ ~– Lorenza, lui disait-il, mon enfant 171 III, 83| voulez-vous pas de ce bonheur, Lorenza, qui, avec votre beauté, 172 III, 83| Balsamo attacha sur Lorenza un regard empreint à la 173 III, 83| lui-même.~ ~ ~– Allons, Lorenza, dit-il, de la douceur, 174 III, 83| malade.~ ~ ~– Oh ! s’écria Lorenza, vous ne me guérirez pas 175 III, 83| une sueur glacée, regarda Lorenza, et, d’une voix menaçante :~ ~ ~– 176 III, 83| menaçante :~ ~ ~– Non, dit-il, Lorenza, vous avez raison, ce jour-là, 177 III, 83| vous ressusciterai.~ ~ ~ ~Lorenza poussa un cri d’effroi. 178 III, 83| dit-il.~ ~ ~– Ah ! fit Lorenza, vous allez donc me quitter !~ ~ ~ ~ 179 III, 83| vivons fraternellement, Lorenza ; puisque la destinée nous 180 III, 83| et non un bourreau.~ ~ ~ ~Lorenza ne répondit rien. Son œil 181 III, 83| À l’instant même, Lorenza sortit de sa torpeur et 182 III, 83| était à peine prononcée, que Lorenza plia comme une fleur sur 183 III, 83| toute la physionomie de Lorenza s’éclaircit, comme si un 184 III, 83| remonta vers la chambre de Lorenza et ouvrit la porte de communication.~ ~ ~ ~ 185 III, 83| de communication.~ ~ ~ ~Lorenza dormait toujours, mais fatiguée, 186 III, 83| Oui, je vois, répondit Lorenza.~ ~ ~– Quel est l’objet 187 III, 83| donc, alors.~ ~ ~ ~Alors Lorenza, les yeux fermés, la poitrine 188 III, 83| Duchesse de Grammont. »~ ~ ~Lorenza s’arrêta après cette lecture.~ ~ ~– 189 III, 83| qu’elle lisait, reprit à Lorenza la lettre de la duchesse.~ ~ ~– 190 III, 83| une tendresse inexprimable Lorenza palpitante sous ce regard.~ ~ ~– 191 III, 83| se dégageant des bras de Lorenza, Balsamo sortit de la chambre, 192 III, 84| la maison où se trouvait Lorenza, et, en langue arabe, il 193 III, 85| Faites, monsieur.~ ~ ~– Lorenza, dit Balsamo en arabe, merci ; 194 III, 85| convainquit du départ de Lorenza, salua profondément, mais 195 III, 92| monta précipitamment chez Lorenza.~ ~ ~– Je vais donc savoir, 196 III, 92| mystérieuse, il endormit Lorenza. La jeune femme le reçut 197 III, 92| jetée à son cou :~ ~ ~– Ma Lorenza chérie, lui dit-il en lui 198 III, 92| sont ces cheveux ?~ ~ ~ ~Lorenza les prit et les appuya sur 199 III, 92| être.~ ~ ~– Cherche bien, Lorenza.~ ~ ~– Oui, elle peut l’ 200 III, 92| est mariée…~ ~ ~– Oh ! fit Lorenza avec un doux sourire.~ ~ ~– 201 III, 92| quoi ? et que veut dire ma Lorenza ?~ ~ ~– Elle est mariée, 202 III, 92| Et cependant…~ ~ ~ ~Lorenza sourit encore.~ ~ ~– Moi 203 III, 92| cependant…~ ~ ~ ~Balsamo regarda Lorenza avec un profond étonnement ; 204 III, 92| princesse, cette reine, répéta Lorenza, elle est aussi pure et 205 III, 92| murmura Balsamo. Merci, Lorenza, je sais tout ce que je 206 III, 92| sa poche, et, coupant à Lorenza une petite mèche de ses 207 III, 117| pas la peine de consulter Lorenza pour si peu ; d’ailleurs, 208 III, 117| fit Balsamo tressaillant. Lorenza m’appelle, Lorenza ! Elle 209 III, 117| tressaillant. Lorenza m’appelle, Lorenza ! Elle veut me voir. Lui 210 III, 117| sonnette pareil à la demande de Lorenza.~ ~ ~ ~Mais, selon son habitude, 211 III, 117| précautions, il regarda.~ ~ ~ ~Lorenza était endormie sur un canapé, 212 III, 117| Balsamo lui avait envoyé, Lorenza ressemblait à une de ces 213 III, 117| le sang-froid avec lequel Lorenza le recevait, au lieu de 214 III, 117| avait vu jusque-là.~ ~ ~ ~Lorenza se redressa donc et, secouant 215 III, 117| dit-il. Tu sais bien, ma Lorenza, que je n’ai qu’un désir, 216 III, 117| Monsieur, reprit Lorenza du même ton, je vous prie 217 III, 117| hui, comme toujours, ma Lorenza bien-aimée, dit Balsamo, 218 III, 117| dans un fauteuil auprès de Lorenza, assise elle-même sur un 219 III, 117| une grâce.~ ~ ~– Oh ! ma Lorenza, s’écria Balsamo de plus 220 III, 117| ardemment.~ ~ ~– Parlez, Lorenza, parlez, dût-il m’en coûter 221 III, 117| que pouvait avoir formés Lorenza et surtout de ceux qu’il 222 III, 117| isolement.~ ~ ~– Parlez vite, ma Lorenza, dit-il tout haut avec un 223 III, 117| Ma jeunesse, continua Lorenza, se consume ; mes jours 224 III, 117| celle que vous vous faites, Lorenza, dit Balsamo, et il n’a 225 III, 117| reviens à vous.~ ~ ~– Merci, Lorenza.~ ~ ~– Vous êtes bon chrétien, 226 III, 117| J’achève votre pensée Lorenza.~ ~ ~– Ne vous arrêtez qu’ 227 III, 117| J’avais prévu ce désir, Lorenza, dit Balsamo en lui prenant 228 III, 117| Alors !… s’écria Lorenza.~ ~ ~– Mais, reprit Balsamo, 229 III, 117| Or, vous m’avez menacé, Lorenza ; vous m’avez dit que vous 230 III, 117| Êtes-vous sage à cette heure, Lorenza, et pouvons nous causer ?~ ~ ~– 231 III, 117| voilà mon plus ardent désir, Lorenza.~ ~ ~ ~La jeune femme se 232 III, 117| ce que je puis tenir, dit Lorenza ; ni l’amour ni la haine 233 III, 117| d’une pareille promesse, Lorenza, pour que je me fie à vous. 234 III, 117| damnation dans celui là.~ ~ ~ ~Lorenza se tut.~ ~ ~– Ce serment, 235 III, 117| voulez-vous le faire ?~ ~ ~ ~Lorenza laissa tomber sa tête dans 236 III, 117| Faites-moi ce serment, Lorenza, tel que je le dicterai, 237 III, 117| et c’est là le principal, Lorenza, car aux autres serments 238 III, 117| ne vous séparerez de moi, Lorenza. Jurez, et vous êtes libre.~ ~ ~ ~ 239 III, 117| ensemble dans une église, Lorenza ; nous communierons ensemble 240 III, 117| heureuse.~ ~ ~– Non, dit Lorenza, un tel serment est un sacrilège.~ ~ ~– 241 III, 117| serment n’est un sacrilège, Lorenza, reprit tristement Balsamo, 242 III, 117| ferai point ce serment, dit Lorenza. J’aurais trop peur de perdre 243 III, 117| Alors prenez patience, Lorenza, dit Balsamo sans colère, 244 III, 117| profonde.~ ~ ~ ~Le front de Lorenza s’assombrit, comme on voit 245 III, 117| dit-elle.~ ~ ~– Non pas, Lorenza, c’est vous, au contraire.~ ~ ~ ~ 246 III, 117| paroles.~ ~ ~– Écoutez, Lorenza, dit Balsamo, voici ce que 247 III, 117| comme vous le voudrez, Lorenza, nous ont liés l’un à l’ 248 III, 117| Voyons, je sais cela, dit Lorenza avec impatience.~ ~ ~– Eh 249 III, 117| Eh bien, dans huit jours, Lorenza, quoi qu’il m’en coûte et 250 III, 117| que je vous demande.~ ~ ~– Lorenza, c’est cependant tout ce 251 III, 117| calmer.~ ~ ~– Voyons, dit-il, Lorenza, de la douceur, du calme ; 252 III, 117| douceur ; car vos colères, Lorenza, ne changent rien à notre 253 III, 117| Acceptez ce que je vous offre, Lorenza ; je vous donnerai une compagne, 254 III, 117| front. Voyons, ma bonne Lorenza, acceptez ce que je vous 255 III, 117| folle sera morte. »~ ~– Oh ! Lorenza, Lorenza ! murmura Balsamo.~ ~ ~– 256 III, 117| morte. »~ ~– Oh ! Lorenza, Lorenza ! murmura Balsamo.~ ~ ~– 257 III, 117| poursuivit ironiquement Lorenza, et je devine mal ; que 258 III, 117| vous, vous en faites.~ ~ ~– Lorenza, vous vous égarez ; au nom 259 III, 117| égarez ; au nom du Ciel, Lorenza, lisez mieux dans mon cœur. 260 III, 117| Des ennuis ! s’écria Lorenza en riant de ce rire sauvage 261 III, 117| oui, vous avez raison, Lorenza, ce sont de poignantes douleurs. 262 III, 117| poignantes douleurs. Oui, Lorenza ; eh bien, je te le répète, 263 III, 117| à mains jointes !~ ~ ~– Lorenza, Lorenza, nous ne pouvons 264 III, 117| jointes !~ ~ ~– Lorenza, Lorenza, nous ne pouvons nous séparer. 265 III, 117| dans son absolutisme, que Lorenza ne continua pas même d’insister.~ ~ ~– 266 III, 117| irrévocable ?~ ~ ~– Irrévocable, Lorenza.~ ~ ~– Eh bien, autre chose, 267 III, 117| sourire.~ ~ ~– Oh ! ma bonne Lorenza, souriez encore, encore 268 III, 117| que possible.~ ~ ~– Parle, Lorenza, parle.~ ~ ~– Tout à l’heure 269 III, 117| m’avez dit : « Un jour, Lorenza, tu ne souffriras plus ; 270 III, 117| pâlissant.~ ~ ~– Eh bien, Lorenza ? répéta Balsamo.~ ~ ~– 271 III, 117| tuez-moi, tuez-moi !~ ~ ~– Lorenza ! s’écria Balsamo en saisissant 272 III, 117| derniers mots, s’était levée, Lorenza, tu es en délire ; moi, 273 III, 117| amour, toi, ma vie !~ ~ ~ ~Lorenza se dégagea des bras de Balsamo 274 III, 117| est le désespoir.~ ~ ~– Lorenza, mon amie, dit Balsamo, 275 III, 117| malheureuse à ce point ? Voyons, Lorenza, remettez-vous, ne vous 276 III, 117| trop pour vous voir mourir. Lorenza, vous ne mourrez donc pas, 277 III, 117| celles que j’ai faites, ma Lorenza ; je vous ferai aimer la 278 III, 117| fait chérir la mort.~ ~ ~– Lorenza, par pitié, ma Lorenza, 279 III, 117| Lorenza, par pitié, ma Lorenza, je te promets qu’avant 280 III, 117| repos ?~ ~ ~– La vie, ma Lorenza, la vie.~ ~ ~– C’est la 281 III, 117| La vie et la patience, Lorenza.~ ~ ~ ~Lorenza poussa un 282 III, 117| patience, Lorenza.~ ~ ~ ~Lorenza poussa un éclat de rire 283 III, 117| retombée sur la poitrine de Lorenza. Balsamo avait été ébloui 284 III, 117| un cri terrible et saisit Lorenza à bras-le-corps, allant 285 III, 117| saisissant à pleine main.~ ~ ~ ~Lorenza retira le couteau par un 286 III, 117| irrésistible :~ ~ ~– Dormez, Lorenza, dit-il, dormez, je le veux !~ ~ ~ ~ 287 III, 117| Non, non, murmura Lorenza chancelante et cherchant 288 III, 117| toute réaction fut vaincue ; Lorenza poussa un soupir, laissa 289 III, 117| courut par tout son corps. Lorenza était endormie.~ ~ ~ ~Alors 290 III, 117| écarter les vêtements de Lorenza et sonda sa blessure, qui 291 III, 117| élança dans la chambre de Lorenza, où il était à peine rentré, 292 III, 120| empressement à poursuivre Lorenza, avait, en effet, oublié 293 III, 122| beau courir, s’écria-t-il, Lorenza est déjà arrivée : elle 294 III, 122| moi, je veux !… Essayons… Lorenza ! Lorenza ! je veux que 295 III, 122| veux !… Essayons… Lorenza ! Lorenza ! je veux que tu dormes ; 296 III, 122| je veux que tu dormes ; Lorenza, en quelque endroit que 297 III, 122| va ; frappe, anéantis ! Lorenza, Lorenza, je veux que tu 298 III, 122| frappe, anéantis ! Lorenza, Lorenza, je veux que tu dormes ! 299 III, 122| je veux que tu dormes ! Lorenza, je veux que tu sois muette ! »~ ~ ~ 300 III, 122| tu attendras la signora Lorenza, qui ne peut manquer de 301 III, 122| pouvait marcher aussi vite que Lorenza échappée de sa prison.~ ~ ~ ~ 302 III, 122| remparts de la Bastille ; mais Lorenza, toujours enfermée, ignorait 303 III, 122| étonnement.~ ~ ~ ~En effet, Lorenza, Italienne des environs 304 III, 122| les usages de l’époque, Lorenza s’habillait plutôt comme 305 III, 122| paraître immatérielles.~ ~ ~ ~Lorenza n’avait donc conservé ou 306 III, 122| cou ; il crut voir dans Lorenza une femme déguisée, soit 307 III, 122| et, se plaçant à côté de Lorenza le chapeau à la main :~ ~ ~– 308 III, 122| accompagner où vous allez.~ ~ ~ ~Lorenza tourna la tête avec brusquerie, 309 III, 122| Le jeune homme ramena Lorenza sur le boulevard, et, ayant 310 III, 122| ouvrant la portière, il salua Lorenza, et après l’avoir aidée 311 III, 122| Ce fut alors que Lorenza traversa la place Royale, 312 III, 122| En vingt minutes Lorenza fut à la porte de l’hôtel.~ ~ ~– 313 III, 122| répondit machinalement Lorenza.~ ~ ~ ~Et, légère, elle 314 III, 123| Une fois dans la cour, Lorenza se vit entourée de tout 315 III, 123| accueillies que la dernière.~ ~ ~ ~Lorenza, questionnée par un huissier, 316 III, 123| de lui bonne garde.~ ~ ~ ~Lorenza subit donc les investigations, 317 III, 123| rentré et qu’il fallait que Lorenza attendît.~ ~ ~ ~Alors, la 318 III, 123| huissier vint annoncer à Lorenza que M. de Sartine l’attendait.~ ~ ~ ~ 319 III, 123| Sartine l’attendait.~ ~ ~ ~Lorenza se leva et traversa deux 320 III, 123| pâle et sérieuse figure de Lorenza, qui s’avançait vers lui 321 III, 123| Suis-je, répondit Lorenza, devant M. de Sartine, lieutenant 322 III, 123| envoie en prison ?~ ~ ~ ~Lorenza ne répliqua point.~ ~ ~ ~ 323 III, 123| dit-il brusquement.~ ~ ~ ~Lorenza tira un fauteuil à elle 324 III, 123| Monsieur, continua Lorenza, j’ai été enlevée à ma famille 325 III, 123| vous appelez-vous ?~ ~ ~– Lorenza.~ ~ ~– Lorenza qui ?~ ~ ~– 326 III, 123| appelez-vous ?~ ~ ~– Lorenza.~ ~ ~– Lorenza qui ?~ ~ ~– Lorenza Feliciani.~ ~ ~– 327 III, 123| Lorenza qui ?~ ~ ~– Lorenza Feliciani.~ ~ ~– Je ne connais 328 III, 123| Je suis demoiselle, dit Lorenza.~ ~ ~– Après ? Vous demandez ?…~ ~– 329 III, 123| Allez-vous-en. »~ ~ ~Lorenza ne bougea point.~ ~ ~– Eh 330 III, 123| Non, monsieur, dit Lorenza, non, vous ne me ferez point 331 III, 123| semble.~ ~ ~– Alors, dit Lorenza, prenez ce coffret ; il 332 III, 123| le coffret des mains de Lorenza.~ ~ ~ ~Mais tout à coup, 333 III, 123| trousseau – il regarda fixement Lorenza – et vous ouvrirez vous-même, 334 III, 123| Donnez, dit simplement Lorenza.~ ~ ~ ~M. de Sartine tendit 335 III, 123| Saint…~ ~ ~ ~Tout à coup, Lorenza tressaillit, frissonna, 336 III, 123| valets obéissants emportèrent Lorenza.~ ~ ~ ~FIN DE LA TROISIÈME 337 IV, 124| clefs tombé des mains de Lorenza.~ ~ ~ ~Il les essaya toutes : 338 IV, 126| bien sûr de rencontrer Lorenza vers l’un d’eux, il avait 339 IV, 126| avait Balsamo de retrouver Lorenza au plus vite.~ ~ ~– Allons, 340 IV, 126| précipitamment et trouva, en effet, Lorenza qui se débattait sans force 341 IV, 127| rentrer dans la chambre de Lorenza.~ ~ ~ ~Il s’apprêtait donc 342 IV, 127| arrivé quelquefois, soit que Lorenza, réveillée par une influence 343 IV, 127| s’exprimer ainsi, chargé Lorenza d’une nouvelle couche de 344 IV, 127| Balsamo de la chambre de Lorenza.~ ~ ~ ~Ainsi accroupi, le 345 IV, 127| savez bien, maître, que Lorenza n’est point ma maîtresse, 346 IV, 127| Je vous jure, maître, que Lorenza est chaste comme la sainte 347 IV, 127| Balsamo se retrouva en face de Lorenza toujours endormie.~ ~ ~ ~ 348 IV, 128| canapé où était couchée Lorenza :~ ~ ~– Me voici, se dit-il, 349 IV, 128| nettement ma situation ; Lorenza me hait ; Lorenza m’a menacé 350 IV, 128| situation ; Lorenza me hait ; Lorenza m’a menacé de me trahir, 351 IV, 128| dépassée par celle du mal, et Lorenza m’est nuisible.~ ~ ~« O 352 IV, 128| pas pleins d’amour.~ ~ ~ ~Lorenza sourit doucement, et, en 353 IV, 128| regard le regard amoureux de Lorenza, tout en abaissant lentement 354 IV, 128| tête.~ ~ ~ ~En ce moment, Lorenza, qui semblait lire dans 355 IV, 128| Balsamo repoussa vivement Lorenza, qui se détacha de lui et, 356 IV, 128| de feu : mort ! amour !… Lorenza ! Lorenza ! tu es prédestinée 357 IV, 128| mort ! amour !… Lorenza ! Lorenza ! tu es prédestinée à aimer 358 IV, 128| prédestinée à aimer et à mourir. Lorenza ! Lorenza ! je tiens ta 359 IV, 128| aimer et à mourir. Lorenza ! Lorenza ! je tiens ta vie et ton 360 IV, 128| main sur ses yeux.~ ~ ~ ~Lorenza, haletante, le suivit sur 361 IV, 128| éternelles !~ ~ ~« Oh ! non, non, Lorenza, je sais bien qu’en t’aimant 362 IV, 128| Mais tu le veux, Lorenza, tu le veux !~ ~ ~– Mon 363 IV, 128| doutes, tu doutes ! s’écria Lorenza ; je vois le doute comme 364 IV, 128| Tu m’aimeras toujours, Lorenza ?~ ~ ~– Toujours, toujours !~ ~ ~ ~ 365 IV, 128| prends pour ma royauté. Lorenza, viens dans mes bras ; je 366 IV, 128| je suis puissant ; avec Lorenza je suis heureux. À partir 367 IV, 128| dieux !~ ~ ~ ~Et, relevant Lorenza, il ouvrit sa poitrine haletante 368 IV, 128| haletante contre laquelle Lorenza vint s’enlacer aussi étroitement 369 IV, 129| conspirateurs. Auprès de Lorenza, qu’il n’avait point quittée 370 IV, 129| il n’avait pas envoyé à Lorenza l’idée de l’abuser par un 371 IV, 129| le rassuraient.~ ~ ~– Si Lorenza avait dissimulé, se disait-il, 372 IV, 129| Jamais, relativement à lui, Lorenza n’avait été plus lucide, 373 IV, 129| faisaient tressaillir son cœur, Lorenza les reproduisait à l’instant 374 IV, 129| bonheur.~ ~ ~ ~Parfois, Lorenza lui disait avec une douce 375 IV, 129| Balsamo regardait tendrement Lorenza.~ ~ ~– Tu vois cela en moi ? 376 IV, 129| lis dans mon cœur, chère Lorenza !~ ~ ~– Non, disait celle-ci 377 IV, 129| deux, comme au temps où Lorenza Feliciani te tourmentait, 378 IV, 129| tourmentait, cette méchante Lorenza qui dort et que tu ne veux 379 IV, 129| Et tu as tort, dit Lorenza ; car, dans ces travaux, 380 IV, 129| heureux ?~ ~ ~– Parce que ma Lorenza est belle, c’est vrai, mais 381 IV, 129| c’est vrai, mais que ma Lorenza n’a pas étudié. Dieu donne 382 IV, 129| sur leurs réchauds.~ ~ ~ ~Lorenza regarda tous ces instruments 383 IV, 129| c’est autre chose, dit Lorenza.~ ~ ~– On peut donc faire 384 IV, 129| assez pour aujourd’hui, Lorenza, assez.~ ~ ~– Ne suis-je 385 IV, 129| Et Balsamo entraîna Lorenza hors du laboratoire, traversa 386 IV, 129| sa tête, il rentra avec Lorenza dans la chambre grillée.~ ~ ~– 387 IV, 129| femme, tu es content de ta Lorenza, mon Balsamo bien-aimé ?~ ~ ~– 388 IV, 129| joignit les mains et regarda Lorenza avec une expression de terreur 389 IV, 129| souriait divinement.~ ~ ~– Lorenza, Lorenza, continua Balsamo, 390 IV, 129| divinement.~ ~ ~– Lorenza, Lorenza, continua Balsamo, il est 391 IV, 129| plus heureux que Dieu, ma Lorenza ; car Dieu n’a pas au ciel 392 IV, 129| qui le fait Dieu.~ ~ ~ ~Et Lorenza souriait toujours ; et, 393 IV, 129| Donne-moi la main, Lorenza.~ ~ ~ ~La jeune femme saisit 394 IV, 129| Saint-Claude, entraîna la pensée de Lorenza avec lui.~ ~ ~– Où sommes-nous ? 395 IV, 129| sommes-nous ? demanda-t-il à Lorenza.~ ~ ~– Nous sommes sur une 396 IV, 129| château.~ ~ ~– C’est cela, Lorenza. Cette forêt, c’est celle 397 IV, 129| Barry.~ ~ ~– C’est cela, Lorenza, c’est cela ; tu me rendras 398 IV, 129| vient toute lumière.~ ~ ~– Lorenza, Lorenza, tu me rendras 399 IV, 129| lumière.~ ~ ~– Lorenza, Lorenza, tu me rendras fou de joie.~ ~ ~ ~ 400 IV, 129| Laisse-moi te reconduire, dit Lorenza, jusqu’à la porte de l’escalier.~ ~ ~– 401 IV, 129| sois tranquille, cette Lorenza qui t’aime n’est pas, tu 402 IV, 129| pas, tu le sais bien, la Lorenza que tu crains. D’ailleurs…~ ~ ~ ~ 403 IV, 129| Eh bien, soit, ma Lorenza chérie, dors et attends-moi.~ ~ ~ ~ 404 IV, 129| dors et attends-moi.~ ~ ~ ~Lorenza, luttant déjà contre le 405 IV, 129| Balsamo la salua de la main ; Lorenza dormait déjà.~ ~ ~ ~Mais 406 IV, 129| vit rien.~ ~ ~ ~Rien que Lorenza couchée et haletante sous 407 IV, 129| oppressait la poitrine de Lorenza et faisait son souffle haletant.~ ~ ~ ~ 408 IV, 129| voisine de la mort.~ ~ ~ ~Lorenza rêvait, et, dans le hideux 409 IV, 130| philtre~ ~Comme l’avait prédit Lorenza, c’était madame du Barry 410 IV, 130| y avait là un secret que Lorenza ne lui avait point encore 411 IV, 130| pas fraîche comme celle de Lorenza, mais dont la tiédeur avait 412 IV, 131| première, le désir de revoir Lorenza ; la seconde, la crainte 413 IV, 131| nerveuses qui brisaient Lorenza, si l’intervention du fluide 414 IV, 131| canapé où il avait laissé Lorenza.~ ~ ~ ~Elle n’y était plus.~ ~ ~ ~ 415 IV, 131| le sofa vide. Peut-être Lorenza s’était-elle trouvée incommodée 416 IV, 131| idée de Balsamo fut que Lorenza était rentrée dans le laboratoire 417 IV, 131| même la trace du passage de Lorenza.~ ~ ~ ~Restait la chambre 418 IV, 131| était point une preuve que Lorenza ne fût point rentrée chez 419 IV, 131| opposait, en effet, à ce que Lorenza, dans son sommeil si lucide, 420 IV, 131| vide comme le laboratoire : Lorenza ne paraissait pas même y 421 IV, 131| de l’amant heureux.~ ~ ~ ~Lorenza aurait joué un rôle ; elle 422 IV, 131| deux bras et pour crier : « Lorenza ! Lorenza ! » espérant que 423 IV, 131| pour crier : « Lorenza ! Lorenza ! » espérant que cette adorée 424 IV, 131| parler aux murs, appeler Lorenza, regarder sans voir, écouter 425 IV, 131| Voyons, raisonnons, dit-il ; Lorenza n’y est plus ; plus de faux-fuyants 426 IV, 131| faux-fuyants avec moi-même ; Lorenza n’y est plus ; donc elle 427 IV, 131| et il a été corrompu par Lorenza.~ ~ ~« Corrompu, Fritz ?~ ~ ~« 428 IV, 131| contre cette supposition. Si Lorenza, si l’amour, si la science, 429 IV, 131| par Andrée, la trahison de Lorenza ; et, cette fois… oh ! cette 430 IV, 131| songer à autre chose qu’à Lorenza.~ ~ ~ ~À peine toucha-t-il 431 IV, 131| apercevoir le cadavre de Lorenza, de Lorenza étendue sur 432 IV, 131| le cadavre de Lorenza, de Lorenza étendue sur cette table, 433 IV, 131| sanglot sur le corps de Lorenza et s’évanouit en baisant 434 IV, 132| regard passait au cadavre de Lorenza.~ ~ ~ ~Il ressemblait alors 435 IV, 132| vapeurs de son cerveau.~ ~ ~ ~Lorenza, sa Lorenza ! Lorenza, sa 436 IV, 132| cerveau.~ ~ ~ ~Lorenza, sa Lorenza ! Lorenza, sa femme, son 437 IV, 132| Lorenza, sa Lorenza ! Lorenza, sa femme, son idole, cette 438 IV, 132| titre d’ange et d’amante, Lorenza, c’est-à-dire le plaisir 439 IV, 132| avenir, la force et la foi ; Lorenza, c’est-à-dire tout ce qu’ 440 IV, 132| il ambitionnait au monde. Lorenza était perdue pour lui à 441 IV, 132| Pour lui, plus de Lorenza, c’est-à-dire plus de vie, 442 IV, 132| intelligence chez l’amant de Lorenza.~ ~ ~ ~Il détacha sa main 443 IV, 132| sans passer dans celui de Lorenza.~ ~ ~– Une grande nouvelle 444 IV, 132| était tombée des épaules de Lorenza lorsque l’impitoyable vieillard, 445 IV, 132| contact, plus vivant que Lorenza elle-même, imprima un frisson 446 IV, 132| passait dans la chambre de Lorenza.~ ~ ~– Oh ! voyez, Excellence, 447 IV, 133| à réussir dans le mal ; Lorenza Feliciani est ta femme, 448 IV, 133| dernier tour à l’œuvre infâme. Lorenza ressortit seule. Tu la reniais 449 IV, 133| de ses membres. Quant à Lorenza Feliciani, un châtiment 450 IV, 133| roidi, froid et décoloré de Lorenza, dont la blanche main pendait 451 IV, 134| et emporter le cadavre de Lorenza, et cette nouvelle démonstration 452 IV, 134| leur montrant le corps de Lorenza assassinée ; et les cris 453 IV, 134| dans ses bras le corps de Lorenza, remonta l’escalier, déposa 454 IV, 134| lesquels il avait emporté Lorenza comme un enfant, ses longs 455 IV, 134| il redescendit près de Lorenza et lâcha le ressort de la 456 IV, 134| près du corps insensible de Lorenza ; mais, contre son attente, 457 IV, 139| satin bleu où la pauvre Lorenza avait vu madame du Barry