Tome,  Chap.

  1    I,   IntII|             est une brave frégate, n’est-ce pas, que la Providence,
  2    I,  IntIII|         comprenez donc maintenant, n’est-ce pas, que ce n’est point
  3    I,  IntIII|             apprêtent à Versailles ; est-ce bien le moment de commencer
  4    I,       2|         êtes-vous pas aperçu ?~ ~ ~– Est-ce que je m’aperçois de quelque
  5    I,       2|        pendant une de ses extases, n’est-ce pas ?~ ~ ~– Oui, maître,
  6    I,       2|             viendrez me réveiller, n’est-ce pas ? Ne me le promettez
  7    I,       3|             de Pierrefitte.~ ~ ~– Qu’est-ce que cela, Pierrefitte ?~ ~ ~–
  8    I,       4|             un menton arrondi.~ ~ ~– Est-ce vous qui avez crié tout
  9    I,       4|          baron de Taverney.~ ~ ~– Qu’est-ce que c’est que le baron de
 10    I,       4|               ah ! fit l’inconnu, qu’est-ce que cela ?~ ~ ~– C’est Taverney.~ ~ ~–
 11    I,       4|              Nicole Legay !~ ~ ~– Qu’est-ce que Nicole Legay ? demanda
 12    I,       4|                Il demande mon nom… n’est-ce pas ?~ ~ ~– Justement. Et
 13    I,       5|          mais, au reste, peut-être n’est-ce que de l’affectation.~ ~ ~ ~
 14    I,       5|           vous la fissiez vous-même. Est-ce que la duchesse de Châteauroux
 15    I,       5| ajouta-t-elle d’une voix plus haute, est-ce fait ?~ ~ ~– Oui, mademoiselle,
 16    I,       6|             À propos de philosophes, est-ce que vous êtes de leurs amis,
 17    I,       6|    dites-vous ? j’ai de la chance, n’est-ce pas ? avec mes deux enfants,
 18    I,       6|            voyez, je parais vieux, n’est-ce pas ? Eh bien ! c’est parce
 19    I,       6|            monsieur, dix ans !~ ~ ~– Est-ce de M. de Richelieu que vous
 20    I,       6|           vois trente ans au plus, n’est-ce pas, Andrée ?~ ~ ~– En effet,
 21    I,       6|             tirer la chose au clair, est-ce que vous avez plus de trente
 22    I,       6|              vois encore ; blonde, n’est-ce pas ?~ ~ ~– Mordieu ! c’
 23    I,       6|         Archimède : Eurêka.~ ~ ~– Qu’est-ce qu’Archimède ? demanda le
 24    I,       9|             vous commencez à voir, n’est-ce pas ?~ ~ ~ ~Elle fit un
 25    I,       9|              Et vous allez parler, n’est-ce pas ?~ ~ ~– Oui, répondit
 26    I,       9|                Balsamo sourit.~ ~ ~– Est-ce vous, dit-il, qu’elle guette
 27    I,       9|              notre famille.~ ~ ~– Qu’est-ce que Maison-Rouge ?~ ~ ~–
 28    I,      10|              Vous ne m’aimez plus, n’est-ce pas ?~ ~ ~– Si fait, je
 29    I,      10|             ce serait absurde.~ ~ ~– Est-ce de la philosophie que vous
 30    I,      10|         parce que cela vous a plu, n’est-ce pas ?~ ~ ~– Sans doute.~ ~ ~–
 31    I,      11|           donc, mademoiselle ?~ ~ ~– Est-ce qu’il est tard ? demanda
 32    I,      11|           fleurs sentent meilleur, n’est-ce pas, mademoiselle ?~ ~ ~–
 33    I,      11|          sais cela, moi.~ ~ ~– Bon ! est-ce que tu as des chagrins,
 34    I,      11|              Parfaitement.~ ~ ~– Qui est-ce ? Tu me fais languir ; voyons.~ ~ ~–
 35    I,      11|       bonnement ce qui est.~ ~ ~– Qu’est-ce qui est ? Voyons !~ ~ ~–
 36    I,      11|      consentement à votre mariage, n’est-ce pas ?~ ~ ~– Oui, mademoiselle,
 37    I,      11|             Gilbert m’aime.~ ~ ~– Qu’est-ce que cela me fait, à moi,
 38    I,      11|          même chose à Gilbert.~ ~ ~– Est-ce que je parle à votre Gilbert ?
 39    I,      12|         quelqu’un, demanda le baron, est-ce un homme, est-ce une femme ?~ ~ ~–
 40    I,      12|              baron, est-ce un homme, est-ce une femme ?~ ~ ~– C’est
 41    I,      12|          bien ! Mais par quel hasard est-ce toi ?~ ~ ~– Mon père, dit
 42    I,      13|             a fait son entrée.~ ~ ~– Est-ce qu’on sait quelque chose
 43    I,      13|            Andrée.~ ~ ~– L’étranger, est-ce cet homme qui était près
 44    I,      13|          reculé par respect :~ ~ – N’est-ce pas monsieur, demanda-t-elle
 45    I,      14|          arbres une tasse de lait, n’est-ce pas ?~ ~ ~– Votre Altesse,
 46    I,      14|            air qui signifiait : « Qu’est-ce que cela veut dire, mon
 47    I,      14|        dauphine ; quel singulier nom est-ce là ?~ ~ ~– Joseph Balsamo !
 48    I,      15|     froidement Balsamo.~ ~ ~– Oui, n’est-ce pas ? reprit la dauphine
 49    I,      15|           dans un verre d’eau.~ ~ ~– Est-ce vrai ? interrogea la dauphine
 50    I,      15|             audience particulière, n’est-ce pas, monsieur ?~ ~ ~– Ne
 51    I,      16|              de faire nos preuves, n’est-ce pas, monsieur ? continua
 52    I,      16|         serviteurs que j’aurai là, n’est-ce pas, monsieur ? continua
 53    I,      16|           des préparatifs à faire, n’est-ce pas ?~ ~ ~– Sans doute,
 54    I,      16|          fait point trop de peine, n’est-ce pas, monsieur ? demanda
 55    I,      17|             ton mari sera content, n’est-ce pas ? dit mademoiselle de
 56    I,      17|             qu’elle projetait.~ ~ ~– Est-ce que Gilbert ne vient pas
 57    I,      17|        pouvait être heureuse !~ ~ ~ ~Est-ce donc si doux, l’amour ?
 58    I,      17|            de Nicole, reprit-elle, n’est-ce point quelqu’un que vous
 59    I,      17|               Nicole ?~ ~ ~– Voyonsest-ce que vous devenez imbécile,
 60    I,      17|            vous devenez imbécile, ou est-ce que je ne parle pas français ?
 61    I,      17|          offrez d’être votre mari, n’est-ce pas, mademoiselle Legay ?~ ~ ~–
 62    I,      17|                     Vous acceptez, n’est-ce pas ?~ ~ ~– Je refuse.~ ~ ~ ~
 63    I,      20|                De Taverney.~ ~ ~– Où est-ce, cela, Taverney ?~ ~ ~–
 64    I,      21|                     Elle dort.~ ~ ~– Est-ce un homme ou une femme ?~ ~ ~–
 65    I,      21|              Chon ! cria l’étranger, est-ce toi enfin ? Bonjour ! bonjour !~ ~ ~–
 66    I,      21|             faim ; mais lestement, n’est-ce pas ?~ ~ ~– Pourquoi donc ?~ ~ ~–
 67    I,      22|             me dire qui vous êtes, n’est-ce pas ?~ ~ ~– Vous y tenez ?~ ~ ~–
 68    I,      22|              honneur de descendre, n’est-ce pas ?~ ~ ~– Ah ! par exemple !
 69    I,      23|        arrivée de la dauphine.~ ~ ~– Est-ce donc d’un ennemi, cela ?~ ~ ~–
 70    I,      23|       indiscret ce que je demande, n’est-ce pas ?~ ~ ~– Non. Après l’
 71    I,      23|           temps de les distribuer. N’est-ce pas l’habitude, d’ailleurs,
 72    I,      23|                      Belle demande ! Est-ce que M. de Choiseul n’en
 73    I,      24|         madame ? Je vous jure…~ ~ ~– Est-ce dans ses attributions ?
 74    I,      24|                 Et des princesses, n’est-ce pas ?~ ~ ~– Je suis trop
 75    I,      24|             vengeance, dit le roi, n’est-ce pas, Sartine ?~ ~ ~– Mais,
 76    I,      24|            il n’y a pas de oh ! oh ! Est-ce que vous êtes le maître,
 77    I,      24|             serrera la main.~ ~ ~– N’est-ce pas juste de s’en prendre
 78    I,      24|         marcher vers la porte.~ ~ ~– Est-ce que je demande autre chose,
 79    I,      24|            comme on dit au Palais, n’est-ce pas, Sartine ? Qu’on aille
 80    I,      24|              un léger nuage d’ennui, est-ce déjà M. de Choiseul ?~ ~ ~–
 81    I,      25|        lui-même.~ ~ ~– Sire, dit-il, est-ce que madame la dauphine est
 82    I,      25|             hein ?… Tu es content, n’est-ce pas ?… Ta dauphine arrive,
 83    I,      26|      officier que vous connaissez, n’est-ce pas, monsieur de Choiseul ?~ ~ ~–
 84    I,      26|               sire, dit M. Choiseul, est-ce en défendant madame la dauphine,
 85    I,      26|             destinés à la dauphine ! Est-ce possible, sire ?~ ~ ~ ~Le
 86    I,      26|           vous me faites. Le public, est-ce que je l’écoute, moi, quand
 87    I,      27|             ne me quitterez point, n’est-ce pas ? C’est impossible que
 88    I,      27|              comme aux petits.~ ~ ~– Est-ce donc quelque danger que
 89    I,      28|           sais-tu, Graille ? dit-il. Est-ce que Louise, en partant,
 90    I,      28|            de dire de ces choses-là. Est-ce que je la dis jamais, la
 91    I,      28|            il tendait, l’intrusion ! Est-ce qu’il y a des intrus chez
 92    I,      28|              a des intrus chez moi ? est-ce qu’on me force à recevoir
 93    I,      29|               Nous sommes oubliés, n’est-ce pas ?~ ~ ~– Oubliés, ensevelis,
 94    I,      29|            écria la vieille dame, qu’est-ce qu’on dit donc là dedans,
 95    I,      29|           fois de sa vie.~ ~ ~– Mais est-ce bien de lui cette lettre ?~ ~ ~–
 96    I,      30|        Zamore. Moi qui vous parle, n’est-ce pas moi qui suis le chancelier
 97    I,      30|          vôtres, acceptez les miens. Est-ce dit ?~ ~ ~– Si je les accepte,
 98    I,      30|     négrillon ! s’écria la comtesse. Est-ce à madame votre sœur ?~ ~ ~–
 99    I,      30|          allé trouver sa sœur.~ ~ ~– Est-ce elle ? demanda la comtesse.~ ~ ~–
100    I,      31|                 Ah ! procès perdu, n’est-ce pas ? fit la vieille plaideuse
101    I,      31|                je la convaincrais, n’est-ce pas, monsieur ? j’en suis
102    I,      31|           présenterez cette femme, n’est-ce pas ? A-t-elle un bon procès,
103    I,      31|              est encore un secret, n’est-ce pas ?~ ~ ~– Sans doute ;
104    I,      31|              avec madame d’Aloigny n’est-ce pas ?~ ~ ~– Si je le suis !…
105    I,      31|       quelque chose pour un neveu, n’est-ce pas ?~ ~ ~– Quelque chose.~ ~ ~–
106    I,      32|              pas mentir, elle.~ ~ ~– Est-ce vrai, comtesse ?~ ~ ~– Sire,
107    I,      32|           plus rapproché possible, n’est-ce pas, monsieur la France ?~ ~ ~ ~
108    I,      32|           retourne ce soir.~ ~ ~– Qu’est-ce encore ? dit madame du Barry,
109    I,      33|                     Qui donc alors ? Est-ce vous, Chon ?~ ~ ~– Moi,
110    I,      33|             dit-il en s’arrêtant, qu’est-ce donc que cette odeur, comtesse.~ ~ ~–
111    I,      34|          apprêts de départ.~ ~ ~– Qu’est-ce à dire, comtesse ? demanda-t-il ;
112    I,      34|            il fallait lire.~ ~ ~– Qu’est-ce là, grande Chon ? un billet
113    I,      34|        devant,~ ~ ~« Jean »~ ~ ~– Qu’est-ce ? fit le roi, qui surprit
114    I,      34|          écria le roi. En bonne foi, est-ce que je puis me mêler de
115    I,      34|              me mêler de tout cela ? est-ce que je puis signer l’ordre
116    I,      34|             envers madame du Barry ? est-ce vous, Sartine vous, un homme
117    I,      34|         Contre le sieur Rousseau. Qu’est-ce que ce Rousseau-là, Sartine,
118    I,      34|                   La tranquillité, n’est-ce pas, sire, la tranquillité,
119    I,      35|             payera une seconde fois. Est-ce tout ?~ ~ ~– Pardon. Je
120    I,      36|              et pouvoir sont deux, n’est-ce pas, duchesse ? dit en se
121    I,      36|              le nom n’y fait rien, n’est-ce pas ? – désira dernièrement
122    I,      36|              plus rien à craindre, n’est-ce pas, chère duchesse ?~ ~ ~–
123    I,      36|              pas ses meilleurs amis, est-ce que cette présentation serait
124    I,      36|           personne ne l’a entendu, n’est-ce pas ? – vous haïssez plus
125    I,      37|          vestibule ; ma robe !~ ~ ~– Est-ce qu’elle n’est pas arrivée ?
126    I,      37|            est un complot, comtesse. Est-ce que Sartine n’en fera pas
127    I,      37|            pas arrêter les auteurs ? est-ce que Maupeou ne les fera
128    I,      37|             ne les fera pas pendre ? est-ce qu’on ne brûlera pas les
129    I,      37|         cette histoire de gazette, n’est-ce pas, mon cher monsieur ?~ ~ ~–
130    I,      38|           vous viendrez à présent, n’est-ce pas ?~ ~ ~– Madame, dit
131    I,      38|           est de la soie de Chine, n’est-ce pas, avec des fleurs appliquées ?
132    I,      38|             ses armes.~ ~ ~– Oui ? n’est-ce pas, une rose est bien plus
133    I,      38|            madame du Barry.~ ~ ~– Qu’est-ce ? demanda-t-il en regardant
134    I,      38|              vous présenterez-vous ? Est-ce sous celui du comte de Fœnix ?~ ~ ~–
135   II,      40|        voyait un nègre, oh ! oh ! qu’est-ce que ceci ?~ ~ ~ ~Quant à
136   II,      40|               vous en savez assez, n’est-ce pas ?~ ~ ~– Certainement,
137   II,      41|         bonnes grâces. C’est cela, n’est-ce pas ?~ ~ ~ ~Gilbert rougit.~ ~ ~–
138   II,      41|              Philippe de Taverney, n’est-ce pas ?~ ~ ~– Oh ! pour cela,
139   II,      41|             point demandé à venir, n’est-ce pas ? Je suis donc libre.~ ~ ~–
140   II,      43|            regarde quand il passe, n’est-ce pas ? on l’admire, on se
141   II,      43|             d’argent pour étudier, n’est-ce pas, monsieur ?~ ~ ~– Il
142   II,      43|              a des écoles à Paris, n’est-ce pas ?~ ~ ~– Et même des
143   II,      43|              cette recommandation, n’est-ce pas ?~ ~ ~– Oui.~ ~ ~– Mais
144   II,      44|          trouvez tout cela hideux, n’est-ce pas ? dit le vieillard.
145   II,      44|             disait timidement.~ ~ ~– Est-ce qu’il est trop tard, bonne
146   II,      44|           dérangera rien, Thérèse. N’est-ce pas, mon ami, vous veillerez
147   II,      45|     répugnerez point à travailler, n’est-ce pas ?~ ~ ~– Vous savez,
148   II,      45|             les respirer le matin, n’est-ce pas, pour un pauvre captif,
149   II,      45|              je le crois.~ ~ ~– Mais est-ce que ce petit barbouillage
150   II,      45|               Moi ?~ ~ ~– Oui, vous. Est-ce la nuit que l’écrivain public
151   II,      47|              personne n’entre ici, n’est-ce pas ?~ ~ ~– Sans ordre,
152   II,      48|              que chez les Parisiens, est-ce que les carrosses du roi
153   II,      49|            mademoiselle de Taverney, est-ce que je vous ai jamais volé ?~ ~ ~–
154   II,      49|           autrement que les autres ; est-ce à tort ? est-ce à raison ?
155   II,      49|             autres ; est-ce à tort ? est-ce à raison ? l’avenir me l’
156   II,      50|            passera la nuit.~ ~ ~– Qu’est-ce donc que ce bruit, alors ?~ ~ ~–
157   II,      50|         personne.~ ~ ~– Quelle femme est-ce ?~ ~ ~– Belle et d’une physionomie
158   II,      50|         princesse la releva.~ ~ ~– N’est-ce pas vous, madame, dit-elle,
159   II,      50|    seriez-vous point… ?~ ~– Folle, n’est-ce pas ? c’est ce que vous
160   II,      50|            amertume, hélas ! Madame, est-ce que j’ai des amis !~ ~ ~–
161   II,      50|           avouer à mon confesseur, n’est-ce pas, Madame ?~ ~ ~– Sans
162   II,      50|             avec compassion.~ ~ ~– N’est-ce pas, dit Lorenza, que c’
163   II,      50|       continua-t-elle ; mais alors n’est-ce pas, je fusse revenue à
164   II,      50|           Madame Louise. Eh bien ! n’est-ce pas ainsi que la chose est
165   II,      51|         vieillard ?~ ~ ~– Acharat… N’est-ce pas un nom antichrétien,
166   II,      51|        contre lui.~ ~ ~– Par vous, n’est-ce pas, Madame ?~ ~ ~– Oui,
167   II,      51|           Mais vous, à aucun prix, n’est-ce pas, vous ne voulez retourner
168   II,      51|            Folie ! dit la princesse. Est-ce que l’on entre ainsi chez
169   II,      51|             le comte de Fœnix.~ ~ ~– Est-ce lui ? demanda la princesse
170   II,      51|            vous est cette personne ? Est-ce votre alliée, votre parente,
171   II,      51|             la jeune femme :~ ~ ~– N’est-ce pas, Lorenza, dit-il, que
172   II,      51|          porte de la chapelle.~ ~ ~– Est-ce de l’effroi que vous éprouvâtes
173   II,      52|           Entraînée par cet homme, n’est-ce pas, mon enfant ? cédant
174   II,      52|             au mur du cabinet.~ ~ ~– Est-ce là tout ce que Votre Altesse
175   II,      52|            monde, je l’espère.~ ~ ~– Est-ce que monsieur aurait fait
176   II,      52|     présentant au cardinal.~ ~ ~– Qu’est-ce là ? demanda celui-ci.~ ~ ~–
177   II,      52|        extorquée.~ ~ ~– Extorquée, n’est-ce pas ? c’est possible, s’
178   II,      52|     consentement de Lorenza aussi, n’est-ce pas ? dit le comte avec
179   II,      52|            Magiques ! Cardinal, mais est-ce bien vous ?…~ ~– Monsieur
180   II,      52|             l’a fait évanouir.~ ~ ~– Est-ce ma faute, reprit le comte
181   II,      52|         tonner en certains moments ; est-ce ma faute, si cette vérité
182   II,      52|      produire de semblables effets ? Est-ce moi qui ai cherché la princesse ?
183   II,      52|            ai cherché la princesse ? Est-ce moi qui ai demandé à lui
184   II,      52|                     Monsieur !~ ~ ~– Est-ce ma faute, Madame, si cet
185   II,      52|            les quarante-huit heuresEst-ce bien cinq cent mille francs ?
186   II,      53|         pensée ? qui le dira ?~ ~ ~ ~Est-ce le marinier qui descendait
187   II,      53|             la chanson de Henri IV ? Est-ce la joyeuse lavandière qui
188   II,      54|           Andrée et Nicole.~ ~ ~– Qu’est-ce que mademoiselle Andrée ?
189   II,      54|            tout à fait étranger ; qu’est-ce que mademoiselle Andrée ?
190   II,      56|              Mais tu me pardonnes, n’est-ce pas ?~ ~ ~– Je te pardonnerai
191   II,      56|           sont, l’une, le sommeil, n’est-ce pas, et l’autre, la veille ?~ ~ ~–
192   II,      56|       froideur. Vois, tu te recules. Est-ce que je te brûle avec mes
193   II,      57|             Là, dans quelque coin, n’est-ce pas ? Taisons-nous tous
194   II,      57|             un sourire bienveillant, est-ce une torture que d’habiter
195   II,      57|           doucement la tête.~ ~ ~– N’est-ce pas que vous dites cela
196   II,      58|              porte s’ouvrit.~ ~ ~– N’est-ce point ici que demeure M.
197   II,      58|              le cardinal de Rohan, n’est-ce pas, monseigneur ?~ ~ ~ ~
198   II,      59|             est venue en carrosse, n’est-ce pas ? Du moins, c’est en
199   II,      59|        pourrez dire d’où il vient, n’est-ce pas ? car vous l’avez vu
200   II,      59|           avec de l’or, on a tout, n’est-ce pas, monseigneur ?~ ~ ~–
201   II,      59|      sacristain d’aujourdhui.~ ~ ~– Est-ce bien cela ? demanda-t-il
202   II,      60|          avec une atroce naïveté, qu’est-ce donc qu’on en fait ?~ ~ ~–
203   II,      60|             des clubs à organiser, n’est-ce pas ?~ ~ ~– Oui, maître.~ ~ ~–
204   II,      60|               le cadavre, le fumier. Est-ce doux, la souffrance ? Est-ce
205   II,      60|         Est-ce doux, la souffrance ? Est-ce beau, le cadavre ? Est-ce
206   II,      60|            Est-ce beau, le cadavre ? Est-ce désirable, le fumier ?~ ~ ~–
207   II,      60|         œuvre est accomplie.~ ~ ~« N’est-ce pas cela ?~ ~ ~– Oui ; regardez-vous
208   II,      60|             et je prends vingt ans ; est-ce trop, sage philosophe ?~ ~ ~–
209   II,      60|         chose infinie, invincible, n’est-ce pas ? ajouta le vieux savant
210   II,      60|       Althotas, tu crois à la vie, n’est-ce pas, puisque tu crois à
211   II,      60|            chien mort d’apoplexie, n’est-ce pas ? dit Althotas. Une
212   II,      60|            connais mes ressources, n’est-ce pas ? Tu supposes que j’
213   II,      60|         contre ce nouvel attentat. N’est-ce pas, il est mort, et bien
214   II,      60|             premier pas est fait. Qu’est-ce que prolonger la vie, quand
215   II,      60|        vaincu tout à fait la mort, n’est-ce pas ? je lui ai du moins
216   II,      61|                  J’en ai le droit, n’est-ce pas ?~ ~ ~– Oh ! à merveille.
217   II,      61|              Rue Plâtrière.~ ~ ~– Qu’est-ce que cela, rue Plâtrière ?~ ~ ~–
218   II,      61|             rue Plâtrière ?~ ~ ~– Qu’est-ce que c’est que la rue Plâtrière ?~ ~ ~–
219   II,      62|        demande un peu s’il achèvera. Est-ce cette fille qui vous gêne ?
220   II,      62|           sois mis à courir aussi, n’est-ce pas ?~ ~ ~– C’est vrai,
221   II,      62|              son pain et son eau ; n’est-ce pas, Sylvie ? dit le vicomte.~ ~ ~–
222   II,      63|              hier.~ ~ ~– Ah ! merci. Est-ce officiellement ?~ ~ ~– Officiellement,
223   II,      63|             tout ce qu’il me faut. N’est-ce pas là que le soleil se
224   II,      63|           Mes notes sur M. Rousseau. Est-ce que vous croyez qu’il fait
225   II,      63|              philosophes de Paris, n’est-ce pas ?~ ~ ~– Oh ! mon Dieu !
226   II,      64|        connaissez les patriarches, n’est-ce pas ?~ ~ ~– Sans doute.~ ~ ~–
227   II,      64|        dauphin comme votre enfant, n’est-ce pas ?~ ~ ~– Oh ! certes,
228   II,      64|         heureusement ?~ ~ ~– Sire, n’est-ce pas un bonheur ?~ ~ ~– Ainsi,
229   II,      64|              l’histoire de France, n’est-ce pas, monsieur de la Vauguyon ?~ ~ ~–
230   II,      66|               dit Philippe.~ ~ ~– Qu’est-ce que c’est que ce baron-là
231   II,      66|        compromettre votre dignité, n’est-ce pas ?~ ~ ~– Cependant, quand
232   II,      68|            lui vois pas de blessure. Est-ce celui que vous cherchez ?~ ~ ~ ~
233   II,      69|           écria le baron un peu ému, est-ce qu’ils ne sont pas rentrés,
234   II,      73|         sentez encore bien faible, n’est-ce pas, Andrée ?~ ~ ~– Oh !
235   II,      73|              baron Joseph Balsamo, n’est-ce pas ?~ ~ ~– Oui, le même
236   II,      73|              ce que vous craignez, n’est-ce pas ?~ ~ ~– Oui, mon frère.~ ~ ~–
237   II,      75|        Jussieu un peu embarrassé ; n’est-ce pas une maîtresse qui vaut
238   II,      76| connaissances ; il a été mon hôte. N’est-ce pas, petit ?… Est-ce que
239   II,      76|               N’est-ce pas, petit ?… Est-ce que tu serais déjà ingrat
240   II,      76|       comprenait parfaitement.~ ~ ~– Est-ce faisable, monsieur de Jussieu ?
241   II,      77|            arrive de Paris.~ ~ ~– Qu’est-ce que cela prouve ?~ ~ ~–
242   II,      77|              pas venu à Luciennes, n’est-ce pas, voilà ce que vous voulez
243   II,      77|           Grammont, elle en était, n’est-ce pas ?~ ~ ~– C’est-à-dire,
244   II,      77|           génie, cela, duc.~ ~ ~– Qu’est-ce donc, comtesse ?~ ~ ~– C’
245   II,      77|             cette satanée prune. » N’est-ce pas cela, comtesse, hein ?~ ~ ~–
246   II,      77|            une contre l’autre.~ ~ ~– Est-ce cela ?~ ~ ~– Ma foi, comtesse,
247   II,      77|              sûr, comtesse.~ ~ ~– Qu’est-ce donc ?~ ~ ~– Il me paraît
248   II,      77|                   Eh bien, maréchal, est-ce une affaire entendue ?~ ~ ~–
249   II,      78|         comtesse !~ ~ ~– Sans douteEst-ce qu’on ne pend pas les voleurs ?~ ~ ~–
250   II,      78|                      Eh bien ?~ ~ ~– Est-ce que je ne vole pas la place
251   II,      78|  pardonnons-nous mutuellement.~ ~ ~– Est-ce sérieusement que vous demandez
252   II,      79|            duc, votre démission ? qu’est-ce que cela veut dire ?~ ~ ~–
253   II,      79|          philosophes. À propos, duc, est-ce que vous êtes philosophe,
254   II,      80|              avons décrit.~ ~ ~– Qui est-ce que j’y vois ? dit le roi
255   II,      81|           mille tonnerres !~ ~ ~– Qu’est-ce que vous voulez dire ?~ ~ ~–
256   II,      81|      positivement.~ ~ ~ Louis. »~ ~– Est-ce clair ? dit la comtesse.~ ~ ~–
257   II,      81|                  Que vous refusez, n’est-ce pas ?~ ~ ~– Moi ! Dieu m’
258   II,      81|             il vous est bien cher… n’est-ce pas, comtesse ?~ ~ ~– Comme
259   II,      81|            premier ministre.~ ~ ~– N’est-ce pas ?~ ~ ~– Oh ! je n’en
260  III,      82|       calèche est en morceaux.~ ~ ~– Est-ce un mort que je vois là-bas
261  III,      82|         crois pas, cela remue.~ ~ ~– Est-ce un homme ou une femme ?~ ~ ~–
262  III,      82|            répliqua Éminence~ ~ ~ ~– Est-ce qu’un Rohan, un prince,
263  III,      82|           dirent-ils ensemble.~ ~ ~– Est-ce que vous le connaissez ?
264  III,      82|         regardant la comtesse.~ ~ ~– Est-ce bien noir, le diable ? demanda
265  III,      82|              pour un cardinal.~ ~ ~– Est-ce que l’on vous dit la bonne
266  III,      82|                    Des feux verts, n’est-ce pas ? des spectres, des
267  III,      82|            bien, au contraire.~ ~ ~– Est-ce que vous ne vous ferez pas
268  III,      82|      terrible nom, maréchal.~ ~ ~– N’est-ce pas, madame ?~ ~ ~– Duc,
269  III,      83|     palpitante sous ce regard.~ ~ ~– Est-ce vrai, lui dit-il, ce que
270  III,      84|             de madame de Grammont, n’est-ce pas, monsieur le maréchal ?
271  III,      85|          Comme saint Thomas a cru, n’est-ce pas, monsieur le duc ? Cela
272  III,      86|            Dieu ! murmura Richelieu, est-ce que la scène d’hier va recommencer ?~ ~ ~–
273  III,      86|              que je suis instruit, n’est-ce pas ?~ ~ ~ ~Le duc essuya
274  III,      87|              tout à fait entendus, n’est-ce pas, comtesse ?~ ~ ~– Absolument,
275  III,      87|            la Guerre aux Finances, n’est-ce pas ? Ou bien, est-ce la
276  III,      87|              n’est-ce pas ? Ou bien, est-ce la Marine que vous désirez ?~ ~ ~–
277  III,      87|           venir.~ ~ ~– Tu l’aimes, n’est-ce pas, ce premier rôle de
278  III,      87|    aimerais-tu pas madame du Barry ? Est-ce cela ?… Fou ! triple fou !
279  III,      87|            triple fou ! malheureux ! est-ce cela ?~ ~ ~– Oh ! non, ce
280  III,      87|              disant tout bas :~ ~ ~– Est-ce que le drôle a deviné que
281  III,      88|            vous disiez l’autre jour, est-ce qu’on n’en arrête pas un
282  III,      88|           vous êtes…~ ~ ~– L’Ange, n’est-ce pas ? lui dit à l’oreille
283  III,      89|          grimaçant devant la glace ; est-ce que tu n’es pas content ?~ ~ ~–
284  III,      89|             content ?~ ~ ~– Moi ! qu’est-ce que cela me fait ? Vous
285  III,      89|              comme tu sais.~ ~ ~– Qu’est-ce que cela me fait ? pensait
286  III,      89|              à madame la dauphine, n’est-ce pas ?~ ~ ~– Un grand ! s’
287  III,      89|                      Pourquoi pas ?… Est-ce une raison, parce qu’on
288  III,      89|              monsieur le maréchal, n’est-ce pas ?~ ~ ~– Vous êtes un
289  III,      90|             bien difficile à voir, n’est-ce pas ? Parti dauphin, mon
290  III,      90|        réussit. Vous êtes content, n’est-ce pas ?~ ~ ~– Voulez-vous
291  III,      90|            coup… on va hurler.~ ~ ~– Est-ce que je ne suis pas aimé
292  III,      90|      Aiguillon.~ ~ ~– Mais enfin, qu’est-ce que ce commandement ?~ ~ ~–
293  III,      90|             ligue admirable.~ ~ ~– N’est-ce pas ?~ ~ ~– Et j’entre avec
294  III,      90|         opinion.~ ~ ~– Bravo !~ ~ ~– Est-ce que Taverney demeure à Trianon
295  III,      92|              comme un étourdi.~ ~ ~– Est-ce que vous êtes allé aussi
296  III,      92|              devant de lui.~ ~ ~– Qu’est-ce que j’ai donc fait, duc ?~ ~ ~–
297  III,      92|           succès enhardissent.~ ~ ~– Est-ce pour nous dire que vous
298  III,      92|             Il s’appelle Philippe, n’est-ce pas, mademoiselle ?~ ~ ~–
299  III,      92|            on les a dérobés.~ ~ ~– N’est-ce pas ?… Une tête heureuse ?
300  III,      93|        obtenu, j’apporte.~ ~ ~– Duc, est-ce bien vrai, et… cette bonté
301  III,      93|              connu sans scrupules, n’est-ce pas ?~ ~ ~– Cela veut dire
302  III,      93|               Mais, à propos, baron, est-ce que tu n’as pas aussi une
303  III,      93|               À de mauvaises mœurs ; est-ce cela que tu veux dire ?~ ~ ~–
304  III,      93|             est bien belle !~ ~ ~– N’est-ce pas ?~ ~ ~– Belle de ce
305  III,      93|            ne répondit pas.~ ~ ~– Qu’est-ce que cette jolie fille, poursuivit
306  III,      93|              me la confies, alors… n’est-ce pas ? dit Richelieu.~ ~ ~–
307  III,      94|         diable !~ ~ ~– Tu trouves, n’est-ce pas ?~ ~ ~– C’est extraordinaire ;
308  III,      94|            pas une grande affaire, n’est-ce pas ?~ ~ ~– Il ne s’agit
309  III,      94|         contraire. Vous m’écoutez, n’est-ce pas ?~ ~ ~– Oui, monseigneur,
310  III,      96|         honnête homme. On me joue, n’est-ce pas, et M. le maréchal ne
311  III,      97|          mulets de la fable… Mais qu’est-ce que j’entends par là ?~ ~ ~–
312  III,      97|            ce maître Flageot ? et qu’est-ce que c’est, d’abord ?~ ~ ~–
313  III,      98|      promptement au maître.~ ~ ~– Qu’est-ce encore, Rafté ? demanda
314  III,      98|             Oui, vous.~ ~ ~– Eh ! qu’est-ce que cela me fait, que M.
315  III,      98|          fallu hier une vengeance, n’est-ce pas ? Vous avez voulu voir
316  III,      98|            en haussant les épaules : est-ce que Louis XV est Louis XIV ?~ ~ ~–
317  III,      98|          elle ne l’est pas.~ ~ ~– Qu’est-ce que cette défaite : il n’
318  III,      98|      tout-puissant.~ ~ ~– Tout cela, est-ce sérieux, ou jouons-nous
319  III,      99|                Et, tout haut :~ ~ ~– Est-ce que madame monte aussi chez
320  III,      99|       personne voudra-t-elle ?~ ~ ~– Est-ce trop de curiosité, monsieur
321  III,     104|               ils se hâtaient.~ ~ ~« Est-ce que Dieu, qui préside aux
322  III,     104|          Voilà ce que vous voulez, n’est-ce pas ? Vous ne l’obtiendrez
323  III,     105|              effet, il n’y a rien, n’est-ce pas, dans un cadavre ?~ ~ ~–
324  III,     105|             j’ai trouvé la douleur : est-ce la douleur que vous appelez
325  III,     105|             ce que nous concluons, n’est-ce pas, c’est que ces cadavres
326  III,     106|            Qu’appelez-vous folie ? N’est-ce point une abstraction de
327  III,     107|           vérité, elle n’y est plus. Est-ce que vous ne l’aviez pas
328  III,     107|         monsieur, dit dame Grivette, est-ce que vous m’accusez, par
329  III,     107|                      Simon.~ ~ ~– Qu’est-ce que cet homme ?~ ~ ~ ~La
330  III,     107|          somnambule se tut.~ ~ ~– Qu’est-ce que cet homme ? répéta Balsamo.~ ~ ~ ~
331  III,     108|             oui, c’est magnifique, n’est-ce pas ? dit-elle en le raillant.
332  III,     108|            veut vous voir.~ ~ ~– Qui est-ce ?~ ~ ~– Un seigneur de la
333  III,     108|                   Ah ! par exemple ! est-ce que je reçois des inconnus ?~ ~ ~–
334  III,     108|            misanthrope, à la cour, n’est-ce pas pour faire pâmer de
335  III,     110|  commandement… voilà l’expression, n’est-ce pas, monsieur de la Vauguyon ?~ ~ ~–
336  III,     110|              vôtre est restreint ; n’est-ce pas, monsieur de la Vauguyon ?~ ~ ~–
337  III,     111|            pupitre en disant :~ ~ ~– Est-ce que c’est mal ainsi, monsieur
338  III,     111|              charmant sourire.~ ~ ~– Est-ce que vous trouvez que cette
339  III,     111|          regard courroucé.~ ~ ~– Qui est-ce ? demanda le duc.~ ~ ~–
340  III,     112|               Un petit présent !… Qu’est-ce donc ? dit Taverney plein
341  III,     112|        serait offenser le roi ; mais est-ce que ce n’est pas toujours
342  III,     112|          aimerais mieux autrement, n’est-ce pas ?~ ~ ~– Oh ! moi, je
343  III,     112|               Or, tu ne l’oserais, n’est-ce pas ?~ ~ ~– Dieu m’en préserve !
344  III,     113|            sa fortune.~ ~ ~– Voyons, est-ce que c’est votre avis, baron ?
345  III,     113|           ainsi qu’elle s’appelle, n’est-ce pas ?~ ~ ~– Oui, sire, dit
346  III,     114|             avez prévenu mon père, n’est-ce pas ?~ ~ ~– De quoi ?~ ~ ~–
347  III,     115|       souverainement à Andrée.~ ~ ~– Est-ce que, par hasard, je serais
348  III,     116|              Voyons, enfant, dit-il, est-ce que votre père n’est pas
349  III,     116|          Andrée était couvert.~ ~ ~– Est-ce que je ne suis pas là pour
350  III,     116|               pour vous conseiller ? est-ce que vous ne vous sentez
351  III,     117|             indiquerai ?~ ~ ~– Oui ; est-ce tout ?~ ~ ~– Non, jurez –
352  III,     117|              cela et je me trompe, n’est-ce pas ? poursuivit ironiquement
353  III,     117|           vous voudrez.~ ~ ~– Oui, n’est-ce pas, je vous ferai faire
354  III,     118|             vais te prescrire.~ ~ ~– Est-ce bien difficile ?~ ~ ~– Une
355  III,     118|             Et ce qu’il y a à faire, est-ce pour moi ? est-ce pour vous ?~ ~ ~ ~
356  III,     118|             faire, est-ce pour moi ? est-ce pour vous ?~ ~ ~ ~Le duc
357  III,     118|        demi-louis.~ ~ ~– Là, dit-il, est-ce bien cela ?~ ~ ~– Je le
358  III,     120|                  Mais, vide, vide, n’est-ce pas ?~ ~ ~– Vide.~ ~ ~–
359  III,     122|         cochère et vint à lui.~ ~ ~– Est-ce toi, Fritz ? demanda Balsamo.~ ~ ~–
360  III,     122|              point par ici.~ ~ ~– Où est-ce ?~ ~ ~– Dans le faubourg
361   IV,     124|              sourire ironique.~ ~ ~– Est-ce que je serais assez heureux,
362   IV,     124|               mais vous m’aiderez, n’est-ce pas, j’en suis sûr, car
363   IV,     124|              sorte de signalement, n’est-ce pas, monsieur le comte ?~ ~ ~–
364   IV,     124|          sous lequel il se montre, n’est-ce pas ?~ ~ ~– Justement ;
365   IV,     124|            sonnette et le magistrat, est-ce qu’on m’arrête, moi ?~ ~ ~–
366   IV,     125|          lentement la tête.~ ~ ~– Qu’est-ce que l’affaire des grains ?
367   IV,     125|            grande quantité de blé. N’est-ce pas vraisemblable ?~ ~ ~–
368   IV,     125|          aurez qu’avec ma vie. Et qu’est-ce que je dis, avec ma vie !
369   IV,     125|             monsieur ! dit Balsamo ; est-ce pour moi, par hasard, que
370   IV,     126|         quelqu’un vous avait trahi : est-ce un homme ou une femme ?~ ~ ~–
371   IV,     126|            dit la comtesse en riant. Est-ce donc au vif-argent qui court
372   IV,     126|            Ah ! madame, dit Balsamo, est-ce possible ?~ ~ ~– Un goût
373   IV,     126|                Vous doutez ?~ ~ ~– N’est-ce point permis ?~ ~ ~– Ne
374   IV,     127|            que je vous affamé ; mais est-ce que vous n’êtes pas dans
375   IV,     127|        secourrai. Tu m’as entendu, n’est-ce pas ? Va, maintenant.~ ~ ~ ~
376   IV,     129|            mon Balsamo, à bientôt, n’est-ce pas ?~ ~ ~ ~Balsamo la salua
377   IV,     130|                Votre sœur, comtesse. Est-ce cela ? Vous l’avez priée
378   IV,     130|           comte, vous êtes sorcier ! Est-ce que vous regardez comme
379   IV,     132|            que cette femme morte ? N’est-ce pas un bouleversement de
380   IV,     132|             le maître si sublime ? N’est-ce pas monstrueux, enfin, que
381   IV,     132|              cette chambre funèbre ; est-ce que désormais quelque chose
382   IV,     133|                   Tu m’as entendu, n’est-ce pas, Balsamo ? répéta ce
383   IV,     133|           enfermée dans un coffret ; est-ce vrai ?~ ~ ~« Un jour, une
384   IV,     133|               et tout fut découvert. Est-ce vrai ?~ ~ ~– Parfaitement
385   IV,     135|       tournant vers Taverney :~ ~ ~– Est-ce que tu veux assister à ma
386   IV,     136|              voulez quelque chose, n’est-ce pas ?~ ~ ~– Moi, sire ?
387   IV,     136|                    Mais, sire…~ ~ ~– Est-ce que cela vous regarde ?~ ~ ~–
388   IV,     137|              Vous m’entendez bien, n’est-ce pas, Gilbert ?~ ~ ~– Oui,
389   IV,     139|                   Je le crois.~ ~ ~– Est-ce la peine de faire renvoyer
390   IV,     141|            avez raison, et peut-être est-ce cela. c’est fort dangereux,
391   IV,     141|              heure, tous les jours ? Est-ce le matin ?~ ~ ~– Le matin
392   IV,     142|             monsieur, dit Philippe ; est-ce bien à M. le docteur Louis
393   IV,     142|                  Oui, des spasmes, n’est-ce pas ?~ ~ ~– Des défaillances
394   IV,     142|            fois dans mes bras.~ ~ ~– Est-ce que la jeune dame est plus
395   IV,     143|        oubliais…~ ~ ~– Notre père, n’est-ce pas, Andrée ?~ ~ ~– Oui.~ ~ ~ ~
396   IV,     144|    Mademoiselle, demanda le docteur, est-ce vous qui avez désiré me
397   IV,     144|            lui est donc impossible ? Est-ce cela que tu veux dire ?
398   IV,     144|            le soin de ton honneur, n’est-ce pas, et celui de ta vengeance ?~ ~ ~–
399   IV,     145|           pas ? Et, fou que je suis, est-ce du résultat qu’elle m’accuserait,
400   IV,     146|              de Fœnix, dit Philippe, est-ce l’habitude de votre pays
401   IV,     146|    gentilhomme l’épieu à la main, ou est-ce une consigne particulière
402   IV,     146|            place Louis XV ?~ ~ ~– Qu’est-ce que cela signifie ? demanda
403   IV,     146|              se lit dans les yeux, n’est-ce pas ? Quant à ma faiblesse,
404   IV,     146|              aie revu votre sœur, qu’est-ce que cela prouve contre moi ?~ ~ ~–
405   IV,     147|  continua-t-il, je vous la donnerai. Est-ce tout de suite ? Soit. Entrons
406   IV,     148|          croyez bien qu’elle dort, n’est-ce pas ?~ ~ ~– Oui.~ ~ ~– Et
407   IV,     148|                      Tu le tueras, n’est-ce pas, Philippe ?~ ~ ~– Ah !
408   IV,     148|       toujours. Ah ! tu le tueras, n’est-ce pas, Philippe, tu le tueras ?~ ~ ~–
409   IV,     148|           avez plus besoin de moi, n’est-ce pas ?~ ~ ~– Non, monsieur ;
410   IV,     150|          envie d’y rien prétendre, n’est-ce pas ?~ ~ ~– Comme il vous
411   IV,     150|        cérémonieuses qui inquiètentEst-ce un malheur, voyons, ou un
412   IV,     150|            faiseurs d’énigmes.~ ~ ~– Est-ce bien une énigme pour vous,
413   IV,     150|           Taverney a eu bien peur… n’est-ce pas ?… Elle se sent donc
414   IV,     150|              jamais, mon père.~ ~ ~– Est-ce elle qui dit cela ?~ ~ ~–
415   IV,     151|                 Vous voulez dire : « Est-ce que votre mort, à vous,
416   IV,     151|          Être père, murmura Gilbert, est-ce un de ces liens-là ? Regardez-moi
417   IV,     151|        conseils à vous donner, moi ? est-ce que vous m’avez consulté
418   IV,     151|             livres, demanda Gilbert, est-ce assez pour nourrir son enfant ?~ ~ ~–
419   IV,     151|            mérite.~ ~ ~– Maintenant, est-ce là tout ce que vous désirez ?
420   IV,     151|             Ne parlons plus de cela. Est-ce tout ?~ ~ ~– Oui ; maintenant,
421   IV,     151|             est la cause physique, n’est-ce pas ?~ ~ ~– Oui. J’ai copié
422   IV,     151|           reprocher ce témoignage, n’est-ce pas ? cette évocation d’
423   IV,     153|            réparé.~ ~ ~– Réparé ! qu’est-ce que cela ? demanda Andrée,
424   IV,     153|     épouvante et l’étonnement.~ ~ ~– Est-ce que ce malheur m’était réservé,
425   IV,     155|              pas ; mais cruellement, est-ce vrai ?~ ~ ~– C’est vrai.~ ~ ~–
426   IV,     155|              Vers le 15 décembre : n’est-ce pas ce moment donné dont
427   IV,     156|           veut entrer en religion, n’est-ce pas ?~ ~ ~– Oui, madame.~ ~ ~–
428   IV,     156|               dit-il.~ ~ ~– Eh bien, est-ce par nécessité que votre
429   IV,     156|          Répondez donc franchement : est-ce cela ?~ ~ ~– Non, madame,
430   IV,     157|             Elle dort… Oh ! docteur, est-ce bien vrai, qu’elle dort ?~ ~ ~–
431   IV,     157|             Bon docteur !… Demain, n’est-ce pas ?~ ~ ~– Demain, à huit
432   IV,     162|         a-t-il donc ? demanda-t-il ; est-ce que le père refuse de rendre
433   IV,     162|            sœur qui criait :~ ~ ~– N’est-ce pas Philippe qui est entré ?~ ~ ~–
434   IV,     163|            de vos passagers aussi, n’est-ce pas ?~ ~ ~ ~Le capitaine
435   IV,     164|           comprends ma générosité, n’est-ce pas ?… Je te pardonne !
436   IV,     Epi|           Bordeu !… La Martinière !… est-ce donc vrai ?~ ~ ~ ~Les deux
437   IV,     Epi|                Une fenêtre éclairéeEst-ce cela ?~ ~ ~– Oui… mais comment
Best viewed with any browser at 800x600 or 768x1024 on Tablet PC
IntraText® (VA2) - Some rights reserved by EuloTech SRL - 1996-2010. Content in this page is licensed under a Creative Commons License